[Présidentielle] Emmanuel MACRON candidat au 2nd tour

http://www.europe1.fr/politique/emmanuel-macron-siffle-et-bouscule-a-lusine-whirlpool-damiens-3312338

Le déplacement d'Emmanuel Macron à Amiens est décidément bien périlleux. Défié par Marine Le Pen pendant qu'il rencontrait l'intersyndicale de l'usine Whirlpool menacée de fermeture, le candidat d'En Marche s'est ensuite rendu sur le site de production vers 14h30. Une visite tardive qui lui a valu sifflets et bousculades devant l'usine.

"Marine présidente". Alors qu'ils avaient accueilli Marine Le Pen avec ferveur et en prenant des selfies, les salariés de Whirlpool ont réservé un accueil plus musclé à Emmanuel Macron. Le candidat a été sifflé à son arrivée et de nombreux "Marine présidente !" ont été lancés. Coincé entre les salariés, les journalistes et son service d'ordre sur les dents, Emmanuel Macron a eu bien du mal à parler avec les employés en grève devant l'usine. Cherchant à s'exprimer, il a demandé un porte-voix dans un premier temps. Ne pouvant en obtenir un, il a ensuite voulu monter sur une estrade mais son service d'ordre lui a demandé d'y renoncer.

.......

"Je viens parler avec vous". Emmanuel Macron a donc décidé de répondre directement aux apostrophes et aux invectives des salariés. "Sauvez nos emplois s'il vous plaît !", a crié l'un des 290 salariés menacés. "Venez qu'on puisse se parler", a répondu Emmanuel Macron. Le favori de l'élection présidentielle s'est ensuite adressé à un groupe de salariés en colère lui demandant pourquoi il n'était pas venu plus tôt. "J'ai pris mes responsabilités, je ne me défile pas. L'intersyndicale m'a dit qu'il y avait des gens qui voulaient me parler. Je viens parler avec vous", a-t-il dit. "Moi, je ne suis pas venu dans le dos de l'intersyndicale", a lancé Emmanuel Macron, visant Marine Le Pen venue vers midi pour une visite surprise.

Débats houleux. Finalement, Emmanuel Macron a pu rencontrer, sur le parking de l'usine, un groupe de salariés qui souhaitaient lui parler depuis sa réunion avec l'intersyndicale, par l'intermédiaire de représentants du personnel. Il leur a réitéré son projet pour le site. "Je considère que Christophe Sirugue (l'actuel secrétaire d'État chargé de l'industrie, ndlr) a fait du bon travail jusqu'ici. Je ne promets pas monts et merveilles, je ne fais pas de promesses intenables", a assuré le candidat d'En Marche!. 

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Débats houleux. Finalement, Emmanuel Macron a pu rencontrer, sur le parking de l'usine, un groupe de salariés qui souhaitaient lui parler depuis sa réunion avec l'intersyndicale, par l'intermédiaire de représentants du personnel. Il leur a réitéré son projet pour le site. "Je considère que Christophe Sirugue (l'actuel secrétaire d'État chargé de l'industrie, ndlr) a fait du bon travail jusqu'ici. Je ne promets pas monts et merveilles, je ne fais pas de promesses intenables", a assuré le candidat d'En Marche!. 

Macron étudiera les offres de reprise. Contrairement à Marine Le Pen, Emmanuel Macron a refusé d'envisagé une nationalisation. S'il est élu, il étudiera les offres de reprise et n'"homologuera aucun plan de sauvegarde de l'emploi qui ne serait pas à la hauteur". Face au risque de fermeture, Emmanuel Macron a mis en avant un point clé de son programme : la formation professionnelle. "Une formation, ça vous permet de retrouver un emploi quand une entreprise ferme", a-t-il justifié face à des employés peu convaincus. "Je me battrai pour que l'usine ne ferme pas", a-t-il répété.

.......

Echange avec François Ruffin. Le candidat d'En Marche a ensuite été abordé par François Ruffin, réalisateur de Merci Patron! et candidat aux législatives à Amiens. Il a tenu à "saluer le courage" d'Emmanuel Macron, "venu au milieu de la mêlée malgré le contexte tendu". "Mais vous payez votre manque de solidarité, votre absence pendant trois mois. Pas un mot, pas un communiqué, pas une prise de parole sur Whirlpool pendant la campagne. Il y a un abandon de votre part. Aujourd'hui, vous le payez ici", a critiqué François Ruffin. Le candidat de Picardie Debout aux législatives s'est ensuite lancé dans un discours pour décrire l'état de désespoir des salariés de Whirlpool, malmenés selon lui par une économie mondialisée qui les laisse sur le carreau.

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il y a 17 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il faut qu'il soit fraise et non pistache, il paraît qu'on va cracher du sang .

attention grenaaade!!

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Marrant de ta part vu que tu soutenais Fillon élu à la sortie des centres gériatriques à la sortie des primaires et qui au premier tour aura capte 45% des plus de 70 ans.

 

Je voulais me débarrasser de l'ordure Juppé. J'ai eu le fils d'alain juppé, Hollande, Attali et Minc. Mais comment peut on voter pour pareilles horreurs transgéniques, c'est quelque chose qui me dépassera toujours, en tout cas, la responsabilité de ces saloperies incombera aux Microniens du premier tour.

il y a 1 minute, Constantinople a dit :

Je voulais me débarrasser de l'ordure Juppé. J'ai eu le fils d'alain juppé, Hollande, Attali et Minc. Mais comment peut on voter pour pareilles horreurs transgéniques, c'est quelque chose qui me dépassera toujours, en tout cas, la responsabilité de ces saloperies incombera aux Microniens du premier tour.

Si vous pouviez arrêter de débiter des mensonges à la pelle , je suis comptable de mon vote Macron, Attali je n'en ai rien à battre .

il y a 23 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Si faire consensus c'est comprendre que la construction européenne ne peut pas se faire au détriment de notre industrie et qu'il doit mieux comprendre les enjeux de l'industrie classique dont nous ne pouvons pas nous passer , là OK j'entends bien , il doit se muscler et ne pas voir que par le prisme des nouveaux paradigmes , il va falloir apprendre et surtout bien s'entourer , mais je doute qu'en une semaine il puisse corriger cette corde qui manque à son arc . Il a ecoute sur ecopla par exemple , aura t'il appris je ne sais pas .

Bref la vérité est qu'il y a de vrais clivages  , et qu'ils ne se limitent pas à gauche droite , il ne pourra donc pas réunir 50% par adhésion sans tomber dans le rasage gratis ou le populisme , et c'est pareil pour tous les candidats . Sinon MLP elle,  a déjà mis de l'eau dans son vin et le plan B devient de plus en plus plan A plan B , l'appel du pied est clair ( enfin je n'ai pas tout ecoute parce que les raccourcis FFR à la téloche ça fait trop ).

La construction européenne c'est le détriment de notre industrie, on n'en est plus là.

Plus personne ne croit que l'UE apporte du travail à part les "insider microsoft" et autres endoctrinés du système qui trinquent avec Bill Gates et prêchent la bonne parole "on formera les gens, on fera une économie du service". C'est faux, on se doutait que c'était du pipeau mais après 25 ans d'expérience on en est surs. C'est juste faux. 

Aujourd'hui ce qu'il y a ce ne sont plus des clivages. Dans la France des années 70-80-90 il y avait la vision ouvrieriste de gauche, le point de vue du salarié ou du focntionnaire, et puis il y avait le point de vue artisan/paysan/indépendant ou industriel, c'est à dire celui de l'entreprise. Les deux étaient légitimes, les deux avaient des divergences de priorités et d'appréciation de la société imputables à leur fonctions et obligations en son sein.

Mais à l'époque patron et ouvrier s'accordaient sur la nécessité de faire tourner la boite. Cette économie là n'existe plus et ce clivage non plus.

Aujourd'hui il y a toujours deux points de vue, celui de la presse, de la bourse, des lobbies et politiciens. Selon la méthode bien connue de Tapie leur idée est de prendre le contrôle d'une boite, de la démembrer et vendre ses actifs en mettant tout le monde sur la paille, puis d'en racheter une autre pour faire la même chose. Et il y a le point de vue du mec qui se fait démembrer et virer. 

La différence est qu'il n'y a pas de point d'accord entre ces deux partis, il n'y a pas de discussion possible et d'ailleurs la discussion n'est pas non plus souhaitée.

C'est une guerre à mort. Pour l'instant l'un des deux partis se contente d'encaisser le feu ennemi, mais on ne sait pas si ça va durer encore longtemps.

Ah bah voilà. 

La "formation". 

C'est le mot magique, à mettre en parallèle de la flexibilité du travailleur, de l'enseignement par compétence évaluant non plus des savoir-faires mais des savoir-êtres, c'est à dire une adaptabilité des futurs homines oeconomici face aux changements de demande du marché. 

On y est. 

Quand à dire que ça permet de trouver de l'emploi... c'est selon le domaine de nouvelle formation, hein... et que faire des aspirations des individus, alors que les propositions de formations seront axées sur les besoins du marché ? 

AH bah oui, l'entreprenariat. La boucle est bouclée. 

http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/26/35003-20170426ARTFIG00195-le-pen-defie-macron-sur-le-site-de-whirlpool-a-amiens.php

Plié le banquier planqué à la machine à café....

http://www.20minutes.fr/elections/presidentielle/2056967-20170426-direct-macron-rend-amiens-pen-fait-bonne-campagne-61-francais

On voit qu'elle est à l'aise.

Celle-ci est trop mignonne

Cette haine de classe à Whirpool...Et les gens votent pour ça ? En plus le mec se permet de rabrouer les journalistes parce que malgré tout, il trouve qu'ils ne font pas suffisamment campagne pour lui...Cette campagne présidentielle, c'est la cinquième dimension. Sérieusement les français, réveillez vous. Qu'une merde pareille fasse un score Chiraquien dans notre pays, ce n'est pas possible.

Le pire c'est que dans 5 ans après Macron , les gens vont revenir à droite et à gauche , retour case départ

il y a 42 minutes, PLS maker a dit :

et que faire des aspirations des individus, alors que les propositions de formations seront axées sur les besoins du marché ? 

 

L'individu est parfaitement libre de faire des études de psycho si telle est son aspiration .

à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

L'individu est parfaitement libre de faire des études de psycho si telle est son aspiration .

On parle de formation de personnes perdant leur emploi suite à une fermeture d'usine, pas d'études. 

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

http://www.europe1.fr/politique/emmanuel-macron-siffle-et-bouscule-a-lusine-whirlpool-damiens-3312338

 

Le déplacement d'Emmanuel Macron à Amiens est décidément bien périlleux. Défié par Marine Le Pen pendant qu'il rencontrait l'intersyndicale de l'usine Whirlpool menacée de fermeture, le candidat d'En Marche s'est ensuite rendu sur le site de production vers 14h30. Une visite tardive qui lui a valu sifflets et bousculades devant l'usine.

"Marine présidente". Alors qu'ils avaient accueilli Marine Le Pen avec ferveur et en prenant des selfies, les salariés de Whirlpool ont réservé un accueil plus musclé à Emmanuel Macron. Le candidat a été sifflé à son arrivée et de nombreux "Marine présidente !" ont été lancés. Coincé entre les salariés, les journalistes et son service d'ordre sur les dents, Emmanuel Macron a eu bien du mal à parler avec les employés en grève devant l'usine. Cherchant à s'exprimer, il a demandé un porte-voix dans un premier temps. Ne pouvant en obtenir un, il a ensuite voulu monter sur une estrade mais son service d'ordre lui a demandé d'y renoncer.

 

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"Je viens parler avec vous". Emmanuel Macron a donc décidé de répondre directement aux apostrophes et aux invectives des salariés. "Sauvez nos emplois s'il vous plaît !", a crié l'un des 290 salariés menacés. "Venez qu'on puisse se parler", a répondu Emmanuel Macron. Le favori de l'élection présidentielle s'est ensuite adressé à un groupe de salariés en colère lui demandant pourquoi il n'était pas venu plus tôt. "J'ai pris mes responsabilités, je ne me défile pas. L'intersyndicale m'a dit qu'il y avait des gens qui voulaient me parler. Je viens parler avec vous", a-t-il dit. "Moi, je ne suis pas venu dans le dos de l'intersyndicale", a lancé Emmanuel Macron, visant Marine Le Pen venue vers midi pour une visite surprise.

Débats houleux. Finalement, Emmanuel Macron a pu rencontrer, sur le parking de l'usine, un groupe de salariés qui souhaitaient lui parler depuis sa réunion avec l'intersyndicale, par l'intermédiaire de représentants du personnel. Il leur a réitéré son projet pour le site. "Je considère que Christophe Sirugue (l'actuel secrétaire d'État chargé de l'industrie, ndlr) a fait du bon travail jusqu'ici. Je ne promets pas monts et merveilles, je ne fais pas de promesses intenables", a assuré le candidat d'En Marche!. 

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Débats houleux. Finalement, Emmanuel Macron a pu rencontrer, sur le parking de l'usine, un groupe de salariés qui souhaitaient lui parler depuis sa réunion avec l'intersyndicale, par l'intermédiaire de représentants du personnel. Il leur a réitéré son projet pour le site. "Je considère que Christophe Sirugue (l'actuel secrétaire d'État chargé de l'industrie, ndlr) a fait du bon travail jusqu'ici. Je ne promets pas monts et merveilles, je ne fais pas de promesses intenables", a assuré le candidat d'En Marche!. 

 

Macron étudiera les offres de reprise. Contrairement à Marine Le Pen, Emmanuel Macron a refusé d'envisagé une nationalisation. S'il est élu, il étudiera les offres de reprise et n'"homologuera aucun plan de sauvegarde de l'emploi qui ne serait pas à la hauteur". Face au risque de fermeture, Emmanuel Macron a mis en avant un point clé de son programme : la formation professionnelle. "Une formation, ça vous permet de retrouver un emploi quand une entreprise ferme", a-t-il justifié face à des employés peu convaincus. "Je me battrai pour que l'usine ne ferme pas", a-t-il répété.

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Echange avec François Ruffin. Le candidat d'En Marche a ensuite été abordé par François Ruffin, réalisateur de Merci Patron! et candidat aux législatives à Amiens. Il a tenu à "saluer le courage" d'Emmanuel Macron, "venu au milieu de la mêlée malgré le contexte tendu". "Mais vous payez votre manque de solidarité, votre absence pendant trois mois. Pas un mot, pas un communiqué, pas une prise de parole sur Whirlpool pendant la campagne. Il y a un abandon de votre part. Aujourd'hui, vous le payez ici", a critiqué François Ruffin. Le candidat de Picardie Debout aux législatives s'est ensuite lancé dans un discours pour décrire l'état de désespoir des salariés de Whirlpool, malmenés selon lui par une économie mondialisée qui les laisse sur le carreau.

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ça me rappelle Flamby à Florange ou au discours du Bourget... du blabla.

il y a 31 minutes, PLS maker a dit :

On parle de formation de personnes perdant leur emploi suite à une fermeture d'usine, pas d'études. 

Comme quoi le banquier ne comprend rien au monde du travail. Ça promet... 

il y a 35 minutes, PLS maker a dit :

On parle de formation de personnes perdant leur emploi suite à une fermeture d'usine, pas d'études. 

J'avais bien compris , mais vous parliez aspiration personnelle et marché de l'emploi , non ?

"

"

Je prends donc un cas concret , oui que faire si l'aspiration de l'individu ne cadre pas avec le marché de l'emploi ?

il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

J'avais bien compris , mais vous parliez aspiration personnelle et marché de l'emploi , non ?

Ben oui.

il y a 17 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je prends donc un cas concret , oui que faire si l'aspiration de l'individu ne cadre pas avec le marché de l'emploi ?

On parle de l'aspiration de l'individu qui vient de perdre un emploi et pour qui cette perte d'emploi n'est pas de son fait : il a déjà une formation et une qualification. Pourquoi la question devrait se poser ? Pourquoi ne pas tenter de trouver des postes équivalent ? ça se fait bien dans la fonction publique quand un établissement ferme.

Par ailleurs, en quoi la formation assure un retour à l'emploi ? Hormis des cas de demande spécifique où c'est le cas, encore faut-il que cela correspondent aux envies de l'individus et à ses possibilités en matière de mobilité (maison, famille, transport). Encore une fois, nous sommes dans un cas où la perte de travail n'a pas été du fait de l'individu. 

C'est un gros chantage, ni plus ni moins. 

il y a 20 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Soyez concrète Melle Jeanne que doit faire Macron pour faire consensus entre sa base centriste socio libérale , et vous ou Constantinople ?

Concretement ?

Si la reponse est rien , faisons simple votez blanc , et ca se réglera entre les électeurs de Macron et ceux de Le Pen , entre la peste et le choléra et ce sera parfaitement démocratique . 

Si faire consensus c'est abroger la loi travail ou plan A plan B , votez Le Pen .

 

Est-ce que j'écrirais en chinois, DDR, pour que vous ne puissiez lire ce que j'écris ? au point de répondre sans tenir compte à ce point de ce que je dis ? mais en me faisant dire tout autre chose, pour pouvoir édicter des allégations vous donnant raison et en même temps me faire passer pour une cruche, comme si j'avais dit ce que ces allégations pointent, et non développé qq chose de tout à fait différent ??

Est-ce que vous pourriez aussi éviter, SVP, de retourner mon propos pour en faire une affaire personnelle (et injonctions sarcastiques sur mon vote), en faisant comme si c'était de moi , moi et moi seule, dont j'avais parlé, comme si j'avais posé ma propre revendication personnelle, mon propre cas, mes intentions de vote et des exigences grotesques ?

Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Si faire consensus c'est comprendre que la construction européenne ne peut pas se faire au détriment de notre industrie et qu'il doit mieux comprendre les enjeux de l'industrie classique dont nous ne pouvons pas nous passer , là OK j'entends bien , il doit se muscler et ne pas voir que par le prisme des nouveaux paradigmes , il va falloir apprendre et surtout bien s'entourer , mais je doute qu'en une semaine il puisse corriger cette corde qui manque à son arc . Il a ecoute sur ecopla par exemple , aura t'il appris je ne sais pas .

Bref la vérité est qu'il y a de vrais clivages  , et qu'ils ne se limitent pas à gauche droite , il ne pourra donc pas réunir 50% par adhésion sans tomber dans le rasage gratis ou le populisme , et c'est pareil pour tous les candidats . Sinon MLP elle,  a déjà mis de l'eau dans son vin et le plan B devient de plus en plus plan A plan B , l'appel du pied est clair ( enfin je n'ai pas tout ecoute parce que les raccourcis FFR à la téloche ça fait trop ).

 

J'ose plus répondre....

Cette réponse  s'écarte également de mes précédents propos pour aller sur un autre terrain.

Mais bon... passons.

Personne ne lui demande de faire du populisme, et il a pas intérêt. Mais c'est président qu'il veut être. Il lui faut être capable de faire comprendre aux gens qu'ils les entend, pas qu'il les ignore, et comment ils peuvent s'y retrouver dans son programme  - et pas seulement l'électorat FN -  pas seulement ceux que sa rivale attire-  (ce que vous faites semblant de pas lire dans tous mes propos précédents...donner envie à ceux-là de voter pour lui et pas s'abstenir...)

Il va certainement l'avoir moins facile qu'avant le premier tour, où il ne rencontrait que le public à sa cause.  Mais il a pas le choix, il lui faut s'y coller. C'est le job, il a choisi. Et bon, il a été ministre, il est censé  quand même connaître un peu le pays et ses habitants déjà...

Il y a 2 heures, Curiosity a dit :

Spectacle consternant en effet!

Les deux candidats se sont prêtés à un jeu désolant, quitte à prendre ces ouvriers pour des cons ... 

Et l'une ou l'autre va gouverner la France....

Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

La cohabitation social libéral et vraie vraie gauche est du domaine de la tectonique .

La question européenne à droite itou.

Qu'il y ait au sein des partis des visions différentes, sur différents sujets, c'est naturel. Sinon, nous avons des partis totalitaires. Ce sont les rapports entre les différents courants qui font vivre ou mourir les partis. Processus inhérent à la démocratie...

Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

Pour le moment sur la centaine de circonscriptions bouclées c'est bel et bien sous le drapeau EM que les impétrants vont se présenter . Mais ce départ à la hussarde laissera t'il suffisamment de temps pour finaliser avant Juin ????

Encore une fois, gouverner, c'est prévoir.

Il semble que hors société civile, les politiques engagés sous le drapeau En Marche ne soient pas obligés de quitter leur parti d'origine. Ce point reste à éclaircir, si tuas des infos fiables, je suis preneur et prêt à avoir tort...

Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

Lire ci dessus . Il y a tout de même un signe puisqu'il semble refuser tout ancien membres de gouvernements , sauf peut être Le Drian qui a d'ailleurs lui aussi l'expérience de l'hétéroclite et qui je te le concède fréquente plus un petit café du bord de mer que la Rotonde

Il va bien falloir, si il veut des gages pour les législatives, qu'il fasse des compromis. Je n'ose créer un topic, mais la question me taraude : quel premier ministre..? Bayrou, Le Drian, société civile..? L'hypothèse Ségolène Royal ne me parait pas absurde...

Le banquier vient de fustiger ceux qui "enjambent" le deuxième tour alors que lui-même s'est cru vainqueur dimanche soir.