Aller au contenu

Rafle du Vel d’Hiv: Les propos de Marine Le Pen sont «un moyen de remettre sa candidature au centre du jeu»

Noter ce sujet


DroitDeRéponse

Messages recommandés

Membre, Ne se refuse rien, 36ans Posté(e)
cricket Membre 3 815 messages
36ans‚ Ne se refuse rien,
Posté(e)
il y a 28 minutes, Garlaban a dit :

Que ce soit MLP ou un autre qui affirme cela, ses propos sont frappés du sceau du bon sens ...

Il ne vient à l'idée de personne d'affirmer que la Russie est responsable des purges staliniennes? ... c'est bien le régime communiste de l'époque qui l'est... Lorsque la guillotine à fonctionné à plein régime pendant la Terreur, qui orchestrait cette dérive criminelle, la République Française où la minorité montagnarde et enragés alors au pouvoir? 

Vouloir tout criminaliser de haut en bas, dans les grandes largeurs cache des intentions peu louables, il est peut être temps de s'en rendre compte...

 

 

 

C'est clair.

En même temps c'est pas le gouvernement qui a commis les exactions qui va les reconnaître. A partir de là qui doit le faire, sinon les suivants? Ou alors on dit qu'on s'en fout et que ça ne compte pas?

Je pense qu'on n'a pas à se flageller pour ce qui a été fait autrefois. Par contre reconnaître officiellement que le pays a merdé à ce moment là, c'est nécessaire. Et partant de là elle n'aurait pas dû revenir sur les propos de Chirac.

Modifié par cricket
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 61ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rafle_du_Vélodrome_d'Hiver

La rafle du Vélodrome d'Hiver, souvent appelée « rafle du Vél’d’Hiv »[2],[3],[4],[5],[6], est la plus grande arrestation massive de Juifs réalisée en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Entre les 16 et 17 juillet 1942 plus de 13 000 personnes, dont près d'un tiers étaient des enfants, ont été arrêtées[1] dans Paris et sa banlieue ; presque toutes ont été assassinées : moins de cent ont survécu à leur déportation[7].

Effectuées à la demande du Troisième Reich — qui, dans le cadre de sa politique d'extermination de toutes les populations israélites d'Europe, organise, en juillet 1942, une rafle à grande échelle de Juifs dans plusieurs pays européens, l'« opération Vent printanier » —, ces arrestations ont été menées avec la collaboration de 7 000 policiers et gendarmes français[8],[9], assistés de 300 militants du PPF de Doriot[10], sur ordre du gouvernement de Vichy, après des négociations avec l'occupant menées par René Bousquet, secrétaire général de la Police nationale[1]. À la suite de ces négociations, initiées par Pierre Laval, les Juifs de nationalité française avaient été exclus de cette rafle qui concernait essentiellement les Juifs étrangers ou apatrides réfugiés en France[11].

Jacques Doriot, né à Bresles dans l'Oise le 26 septembre 1898 et mort à Mengen, dans le Wurtemberg (Allemagne), le 23 février 1945, est un homme politique et journaliste français, communiste puis fasciste. Il est, pendant la Seconde Guerre mondiale, l'une des figures de proue du collaborationnisme.

Après son départ du Parti communiste français, Doriot fonde, en 1936, le Parti populaire français (PPF) et reprend le journal La Liberté, lequel prend position contre le Front populaire. Durant la guerre, Doriot est un partisan radical de la collaboration. Il contribue, ainsi, à la création de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) et combat personnellement sous l'uniforme allemand sur le front russe, avec le grade de lieutenant.

Il se réfugie en Allemagne en 1944, et tente de mettre en place un Comité de libération française ; il meurt lors du mitraillage de sa voiture par deux avions en maraude. Selon certaines thèses, il aurait été victime de divergences entre les nazis.

René Bousquet, né le 11 mai 1909 à Montauban et mort assassiné le 8 juin 1993 à Paris, est un haut fonctionnaire français et un collaborateur qui a été, sous le gouvernement de Pierre Laval durant l'Occupation de la France par les forces armées du IIIe Reich, secrétaire général de la police du régime de Vichy, ceci du 18 avril 1942 au 31 décembre 1943. À ce titre, il est l'organisateur de la rafle du Vélodrome d'Hiver de juillet 1942, où plus de 13 000 Juifs sont arrêtés par la police française pour être remis aux autorités d'occupation qui en organisent la « déportation à l'Est »[N 1],[N 2]. Il dirige également la police française aux côtés de l'occupant lors de la rafle de Marseille, en janvier 1943.

À la Libération, il parvient à passer à travers l'épuration et peut faire, à partir des années 1950, une florissante carrière d'homme d'affaires et d'influence — il fait notamment partie des fréquentations de François Mitterrand[8] — avant d'être rattrapé par son passé à la fin des années 1980 puis d'être abattu à la porte de son domicile par un déséquilibré, Christian Didier, alors que l'instruction de son procès pour crimes contre l'humanité est en cours.

doriot avait quitter les rangs de la gauche dès 1936 !! c 'est dit dans ton lien !!

bousque a bel et bien échappé à l'épuration !!

c 'est historique !!

mais

tu sembles oublié un truc important !

jean marine , quand elle a pris lesmains de la SARL, a affirmer assumer toute l'histoire du fn !!

dont

Proche lui-même de l'ancien nazi belge Léon Degrelle, Le Pen se montre en revanche beaucoup plus discret sur les anciens du régime de Vichy et autres admirateurs de l'Allemagne hitlérienne étroitement mêlés à l'histoire du FN.

Léon Gaultier. Cet ancien lieutenant Waffen SS a fondé une maison de disques, la SERP, avec Le Pen en 1963. Il fut membre du conseil national du FN dès sa création, en 1972.

André Dufraisse. Ex-membre du Parti populaire français et de la Légion des volontaires français (LVF), c'est à son engagement sur le front de l'Est sous l'uniforme allemand qu'il dut son surnom de « Tonton Panzer ». Membre du bureau politique du Front national de 1972 à sa mort, chargé du recrutement des chefs d'entreprise, André Dufraisse fut aussi le compagnon de Martine Lehideux, actuelle présidente du groupe FN au conseil régional d'Ile-de-France, elle-même nièce de François Lehideux, ministre de l'Industrie de Pétain. A la mort de « Tonton Panzer » en 1994, Le Pen prononça sur le parvis de l'église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet un bref hommage au défunt, avec lequel il avait milité depuis 1956.

François Brigneau. Cet ancien milicien, qui connut les geôles de Fresnes au temps de Brasillach, fut vice-président du FN à sa création. Editorialiste de National Hebdo , condamné plusieurs fois pour incitation à la haine raciale, il a pris ses distances au moment de la scission mégrétiste.

Roland Goguillot, alias Roland Gaucher, s'occupa pendant la guerre des jeunesses du RNP de Marcel Déat, qu'il suivit à Sigmaringen en 1944. A la Libération, il prit le pseudonyme de Roland Gaucher. Journaliste à Minute , Gaucher-Goguillot fut fondateur en 1972, puis membre du bureau politique du Front. Grand spécialiste du PCF, il a sensibilisé Le Pen à l'efficacité des techniques militantes communistes. Il sera conseiller régional FN de Franche-Comté et directeur de National Hebdo jusqu'en 1993.

Pierre Bousquet, premier trésorier du FN, décédé en 1991, était un ancien caporal de la division Charlemagne.

Victor Barthélemy, secrétaire général du Front national de 1973 à 1978, décédé en 1985, fut le secrétaire de Jacques Doriot, chef du PPF. Il a été membre du comité central de la Légion des volontaires français (LVF).

Gilbert Gilles fut de tous les combats de l'extrême droite. Aujourd'hui retraité et auteur de livres sur la Seconde Guerre mondiale, il ne cache rien de son passé : « J'ai été à la Waffen SS et adjudant de la division Charlemagne, j'ai combattu en Ukraine du Nord et purgé quatre ans et demi de prison pour appartenance à l'OAS : nous avions fait sauter les pylônes à haute tension à Sarcelles un jour où de Gaulle devait y faire un discours. » En 1984, Gilbert Gilles devint le chargé de mission de Le Pen (qu'il tutoie) afin de récolter des fonds en Afrique, mais fut écarté par Jean-Pierre Stirbois.

source

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2007-01-22/le-pen-et-ses-fantomes/917/0/62572?hc_location=ufi

pourquoi tu zappe toujours cette histoire ??

pourquoi tu  reparles sans cesse, sur ce forum, de doriot pour impliquer la gauche ??,

il a quitter la gauche en 1936 comme victor barthélémy qui l'a suivi et au PPF et à la LVF ??

ce type a structuré le fN sur le PPF et sur  les bases du PCF !! donc le fn est coco ??,

 

extraits

Pour Pessah, la Pâque juive, Marine Le Pen a décidé d'ouvrir une polémique sur la rafle du Vél d'Hiv, dont elle a estimé que la France n'était pas responsable. Ce thème lui permet de s'adresser à l'électorat conservateur sur un segment qui lui convient, la grandeur de la France contre la repentance, alors que cet électorat s'avère rétif à son programme économique et européen.

........(......).....

En avril 1973, une convocation interne à Ordre nouveau invite ainsi les militants à une conférence sur le PPF présidée par lui et qu’il anime avec André Dufraisse, un ancien de la LVF. Rien de nostalgique, mais une perspective fonctionnelle: «Il ne s’agit pas pour les nationalistes en 1973 d’évoquer les expériences passées, mais d’analyser les causes de l’échec de notre famille politique, afin d’en tirer un enseignement indispensable à tout engagement politique.» Le mois suivant, Jean-Marie Le Pen tente d'éviter l'explosion de l'alliage entre le FN et Ordre nouveau en déclarant lors d'un meeting: «Vous maurassiens, vous intégristes, vous anciens fascistes, laissez de côté vos querelles, venez sous la bannière du Front national défendre la droite nationale, sociale et populaire.»

Rien n'y fait: après la dissolution par l’État d'Ordre nouveau en juin 1973, le conflit entre le président du FN et l'ex-équipe d'Ordre nouveau finit devant les tribunaux pour savoir à qui appartient le nom du mouvement. Barthélémy choisit de soutenir le président plutôt que les jeunes néo-fascistes. Secrétaire administratif du FN depuis 1973, il occupait en fait des fonctions de secrétaire général qu'il obtient officiellement au congrès de 1975. Pour Jean-Marie Le Pen, c'était là un choix logique: «Dans mon esprit, le Front national visait à rassembler les patriotes. Qu’elles qu’aient été leurs options personnelles, politiques ou historiques précédentes. À condition qu’ils n’aient pas agi par esprit de lucre, ni qu’ils aient servi d’autres pays que le leur…, m'expliquait-il en 2012, ainsi qu'à Joseph Beauregard, pour notre livre Dans l'ombre des Le Pen. Une histoire des numéros 2 du FN. Victor est disponible, à la retraite, et a une connaissance technique de la marche d’un mouvement, modéré, efficace, se faisant accepter de gens plus jeunes que lui… C’était un bon organisateur, un bon technicien, qui avait une expérience politique, révolutionnaire d’abord, ensuite qui avait exercé des responsabilités nationales dans un grand parti politique, et qui n’essayait pas de faire prévaloir son passé politique mais qui se mettait à la disposition des initiatives nouvelles.»

Il est vrai que Barthélémy n'est pas enfermé dans le passé. Alors que l’immigration n'est pas la préoccupation essentielle du FN à sa naissance en 1972, il tenait déjà, quant à lui, à expliquer qu’il s’y opposait par solidarité avec les immigrés. En effet, il affirmait alors qu'elle les transformerait «en sous-hommes victimes de l’exploitation des négriers; coupés la plupart du temps de leurs familles, isolés dans des ghettos, ils n’ont pas la possibilité de s’épanouir, tout en constituant une menace pour la sécurité dans de nombreux quartiers». Défense des identités, lien entre immigration et insécurité urbaine: le discours dépréciant la promiscuité inter-ethnique se réinventait, et cet homme qui n'était plus jeune était à l'avant-garde de ces discours-là.

Barthélémy reprend donc les structures du PPF pour réorganiser le FN. Il crée des fédérations départementales et des inspections régionales, met en place en 1975 une série de commissions. Il dote le parti d’institutions, un comité central et un bureau politique, dont les dénominations sont évocatrices du mouvement ouvrier. Il met en place avec Dufraisse des associations destinées à servir de courroies de transmission au Front national, sur le modèle de l’action du PCF. Il élimine toute trace de collégialité pour faire remonter toutes les structures au président.

L’homogénéité interne va de pair avec une unification externe. C’en est fini des affiches où le nom de «Le Pen» se mêle à celui d’autres orateurs. Toute la propagande est personnalisée autour du tribun: le Front national doit être identifié comme «le parti de Jean-Marie Le Pen». À l’intérieur il faut un chef, aux masses il faut présenter un sauveur.

 

en entier sur

http://www.slate.fr/story/143267/victor-barthelemy-rafle-vel-hiv-le-pen

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.atlantico.fr/decryptage/assez-ignorant-croire-collabos-venaient-tous-extreme-droite-resistants-gauche-stephane-courtois-402460.html

e ne fais pas de politique et ne tiens pas à interférer dans les débats internes de l’UMP, mais je ne peux pas laisser sans réagir la déclaration de M. Thierry Solère, député de l’UMP qui vient de déclarer : « L’extrême gauche en France était dans la résistance. L’extrême droite française était à l’époque dans la collaboration. » Déclaration qui laisse pantois l’historien spécialiste de la période de la Deuxième Guerre mondiale, surtout venant d’un député appartenant à un parti réputé « gaulliste » et donc, en principe, concerné par l’histoire de l’Occupation, du régime de Vichy et de la Résistance.

 

 

 

 

M. Solère semble ignorer qu’en 1939, l’extrême gauche alors représentée par le Parti communiste fut interdite dès le 26 septembre 1939 par le gouvernement de la République dirigé par un chef du Front populaire — M. Daladier — pour avoir approuvé l’alliance entre Hitler et Staline, conclue le 23 août 1939 et qui aboutit, le 1er septembre, à l’attaque allemande contre la Pologne et surtout, le 17 septembre, à l’invasion de la Pologne par l’URSS.

M. Solère semble ignorer que le 1er octobre 1939, Jacques Duclos, dirigeant du PCF, diffusa une lettre ouverte invitant le gouvernement à engager d’urgence des négociations de paix avec l’Allemagne nazie, avec qui la France était en guerre depuis le 2 septembre, ce qui entraina la condamnation de 44 députés communistes en mars 1940.

 

M. Solère semble ignorer que dans la nuit du 3 au 4 octobre 1939, Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, fut enlevé à son régiment par un commando de l’Internationale communiste et, sous passeport soviétique, passa en URSS où il demeura de 1939 à 1944. Pour cette désertion en temps de guerre il fut condamné par contumace et déchu de la nationalité française.

M. Solère semble ignorer que le 18 juin 1940 — au moment même où le général de Gaulle lançait son premier appel à la résistance —, un dirigeant du PCF, sur ordre de Moscou et sous l’autorité de Duclos, prenait contact avec les services allemands, installés place de l’Opéra à Paris depuis deux jours, et engageait avec Otto Abetz, le représentant de Hitler à Paris, une négociation politique qui dura jusqu’à la mi-août.

M. Solère semble ignorer que si le PCF critiqua violemment le régime de Vichy, il n’est entré dans la résistance active à l’occupant qu’en juin 1941. Tout ceci n’enlève rien aux sacrifices des militants communistes entre 1941 et 1944, mais l’extrême gauche communiste a été largement absente du combat contre l’Allemagne nazie entre septembre 1939 et juin 1941.

M. Solère semble ignorer que de très nombreux hommes politiques de gauche — radicaux, socialistes — ont voté les pleins pouvoirs à Pétain et ont participé à son Conseil national, quand ils n’ont pas été des collaborationnistes actifs, en particuliers ceux qu’on appelait les néo-socialistes (Déat, etc.).

Enfin, M. Solère utilise une expression — « l’extrême droite » — qui ne signifie rien. Que dire de tous ces premiers résistants qui étaient des monarchistes de l’Action française — Daniel Cordier, le secrétaire de Jean Moulin, De Vawrin le chef du BCRA (le service secret gaulliste), le fameux colonel Rémy premier agent du général de Gaulle en France occupée —, voire issus de la mouvance de la Cagoule — Guillain de Bénouville, chef du mouvement Combat, François Mitterrand ? Avec la défaite et l’occupation, « l’extrême droite » a éclaté en plusieurs courants, les uns allant vers la révolution totalitaire nazie (Doriot et son PPF), les autres vers le régime réactionnaire et autoritaire de Vichy bientôt engagé dans la collaboration, et les troisièmes entrant tête baissée dans la Résistance par nationalisme et détestation de l’Allemagne pangermanique. Le général de Gaulle lui-même était un conservateur catholique et nationaliste, violemment critiqué pour cela, encore en juin 1941, par les communistes français : c’est pourtant lui qui a lancé le cri de ralliement initial et a dirigé de main de maître le combat pour que la France retrouve sa place de nation indépendante à la Libération.

De grâce, Monsieur le Député, faites preuve d’un peu plus de culture historique avant de lancer des anathèmes.


°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Enfin, M. Solère utilise une expression — « l’extrême droite » — qui ne signifie rien.

Comme beaucoup qui ne comprennent rien à l'histoire et se contentent de répéter bêtement.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 20 minutes, Garlaban a dit :

Que ce soit MLP ou un autre qui affirme cela, ses propos sont frappés du sceau du bon sens ...

Il ne vient à l'idée de personne d'affirmer que la Russie est responsable des purges staliniennes? ... c'est bien le régime communiste de l'époque qui l'est... Lorsque la guillotine à fonctionné à plein régime pendant la Terreur, qui orchestrait cette dérive criminelle, la République Française où la minorité montagnarde et enragés alors au pouvoir? 

Vouloir tout criminaliser de haut en bas, dans les grandes largeurs cache des intentions peu louables, il est peut être temps de s'en rendre compte...

 

 

 

La Russie comme la France doivent assumer leur histoire. Les purges staliniennes font partie de l'histoire russe. Staline n'est pas belge...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Caravage a dit :

               Ca c'est vrai !!

 

                           C'est la police française qui a arrèté mon père (résistant non juif ) et l'administration pénitentière française aussi qui l'a livré aux allemands pour un séjour à Buchenwald dont il a eu la chance inouïe de revenir et de me concevoir quelques années plus tard (avec ma mère juive qui l'a attendu patiement) et il y a aussi de fortes probabilités pour qu'il ait été dénoncé par un ou une bon(e) français(e) de l'époque

    Ce qui fait que bien que gaulliste il détestait la police au point plus tard de porter ses médailles pour sortir de commissariats certains de ses ouvriers algériens arrètés à tort pendant la guerre d'Algérie .

 

          La mère Le Pen est une grosse salope( si j'ai un avertissement pour injure la dessus je m'en fout complètement merci!!)     

tout mon respect et ma compassion !!

l'histoire familiale est toujours plus douloureuse que l'histoire tout court !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Une belle visite à faire au musée Maillol

http://www.telerama.fr/sortir/que-s-est-il-vraiment-passe-au-21-rue-la-boetie-dans-la-mythique-galerie-rosenberg,155071.php

 

Un laboratoire de propagande

Rosenberg n’a jamais rouvert le 21, rue La Boétie. En 1941, le régime de Vichy le déchoit de sa nationalité. Humilié, l’ancien combattant de 14-18 devenu apatride décide de rester aux Etats-Unis. La même année, son immeuble parisien est réquisitionné pour y installer l’Institut des Questions juives (IEQJ), une association française commandée en sous-main par la Gestapo. Aryanisée, la galerie de l’avant-garde se transforme en laboratoire de la propagande antisémite, où se presse tout ce que la France compte de collaborateurs. Dans son livre, Anne Sinclair décrit une photo où, sur les murs, à la place des tableaux impressionnistes de son grand-père, est déployée une grande banderole : « Nous combattons les Juifs pour redonner à la France son vrai visage, son visage de chez nous ».

 

Céline, un habitué des lieux, râle car les autorités collaborationnistes ne donnent pas assez de place à ses écrits. L’Institut des Questions juives concevra dans les murs de la galerie Rosenberg l’exposition Le Juif et la France, présentée au Palais Berlitz, boulevard des Italiens en 1941, vue par 500 000 personnes. On y apprend, entre autres, à repérer les faciès sémites, et les effigies de personnalités juives, Léon Blum ou Pierre Lazareff, sont représentées comme des cibles à abattre. Après la guerre, et après de longues tractations, l’immeuble est enfin rendu à son propriétaire. Dans les caves de la galerie, il retrouvera des milliers de fascicules et de brochures de propagande antisémite. Ne voulant plus y mettre les pieds, Rosenberg vend son bien en 1953, quelques années avant sa mort.

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité centurion
Invités, Posté(e)
Invité centurion
Invité centurion Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

http://www.20minutes.fr/elections/2047043-20170410-rafle-vel-hiv-propos-marine-pen-moyen-remettre-candidature-centre-jeu

 

Nicolas Lebourg, historien spécialiste de l’extrême-droite, revient sur la sortie médiatique de Marine Le Pen sur la responsabilité de la France dans la rafle du Vel d’Hiv…

« La France n’est pas responsable du Vel d’Hiv. Je pense que, de manière générale, plus généralement, d’ailleurs, s’il y a des responsables, c’est ceux qui étaient au pouvoir à l’époque, ce n’est pas la France ».

Nicolas Lebourg, historien d'extrême gauche? et spécialiste de l'extrême droite.

Modifié par centurion
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 14 minutes, hdbecon a dit :

La Russie comme la France doivent assumer leur histoire. Les purges staliniennes font partie de l'histoire russe. Staline n'est pas belge...

La Russie se penche aussi sur son histoire, et le petit père des peuples est en cours de réhabilitation, les statues fleurissent .

http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/une-statue-de-staline-inauguree-en-russie_320067.html

il y a 7 minutes, centurion a dit :

Nicolas Lebourg, historien d'extrême gauche? e spécialiste de l'extrême droite.

http://www.lesinrocks.com/2015/12/23/actualite/qui-est-nicolas-lebourg-lincontournable-historien-du-fn-11794622/

 

 

Parfois accusé d’être trop neutre dans son traitement du FN, cet historien spécialiste de l’extrême droite est devenu incontournable sur le sujet. En 2016 il publiera une Histoire de la haine identitaire, avec Stéphane François. Rencontre et portrait.

Le 9 décembre au soir, dans l’émission Ça vous regarde sur LCP, un jeune historien tout de noir vêtu fait de grands gestes avec les mains. “Soyons rationalistes”, lance-t-il à ses convives. D’une voix posée, il balise un débat sur le Front national qui aurait pu virer à l’échange d’invectives convenues. Définitions des termes, exemples historiques, comparaisons, conclusions : à chaque fois qu’il intervient, il coupe la chique à ses voisins de plateau. A ses côtés, Jean-Marie Le Pen l’écoute attentivement, approuve parfois, sourit à moitié pendant cette leçon d’anatomie du parti qu’il a fondé. On devine que le président d’honneur du FN a de l’estime pour la culture historique, l’honnêteté et la rigueur intellectuelle de ce docte personnage, indépendamment de ses opinions sur le fond.

..........

“J’ai bu plus de bières avec des militants du FN que Florian Philippot”

Un fond de compromission politique – au sens noble et non partisan du terme – demeure toutefois dans la démarche du jeune universitaire. En 2008, dans la cuisine du chercheur en droit public Dominique Sistach, Nicolas Lebourg lance l’idée du site Fragments sur les temps présents (FTP) : un site internet qui réunirait les articles d’une bande de chercheurs sur les marginalités politiques, pour les rendre accessibles à tous. Rapidement Sylvain Crépon, Gaël Brustier, Jean-Yves Camus, Stéphane François, Olivier Dard et d’autres rejoignent cette “fraternité fafologique”, comme ils se plaisent à l’appeler. “L’éducation populaire est à la base de FTP”, explique Stéphane François, maître de conférence à l’Université de Valenciennes, qui a connu Nicolas Lebourg en 2006.

 

=================================

A priori il n'instruit pas à charge , mais connait très bien le FN .

Modifié par DroitDeRéponse
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, DroitDeRéponse a dit :

La Russie se penche aussi sur son histoire, et le petit père des peuples est en cours de réhabilitation, les statues fleurissent .

http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/une-statue-de-staline-inauguree-en-russie_320067.html

Le monde est fou. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Garlaban Membre 7 686 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, Anatole1949 a dit :

Dans ce cas l'Allemagne n'est pas responsable de l'arrivée d'Hitler au pouvoir et encore moins des crimes nazis...

Que je sache, Staline, Hitler et bien d'autres encore, ont été adulés par leur peuple respectif et en pleine connaissance de cause...

En France, Pétain a reçu les pleins pouvoirs par les représentants du peuple à savoir l'assemblée générale, tout le monde savait ce qui se passait, la collaboration avec les nazis, la chasse aux juifs, la milice et son zèle, etc...

A chaque sortie de Pétain les foules étaient néanmoins là !!!

Oui, c'est bien l'Etat français qui est responsable des crimes durant cette période.

 

 

Si la France est responsable de cette rafle, alors tous les français sont des criminels, il faut donc les juger, les faire payer jusqu'à la nuit des temps et remiser cette horrible pays dans les oubliettes de l'histoire ... Pire que tout, votre fond de commerce anti-fachos s'effondre, s'en prendre à la seule extrême-droite n'a plus de sens puisque selon vous c'est toute la France qui est facho!! .. Vous vous mettez vous-même les menottes aux poignets ...

Je préfère prendre les choses avec humour tant ceci + le buzz qui va avec sont grotesques ... Cela me fait penser à un sketch des Inconnus où des policiers venus secourir une femme battue par son mari finisse par l'embarquer ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 123 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Tout à fait, et donc ce n'était pas la France ?

C'est à moi que vous posez la question?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
à l’instant, Morfou a dit :

C'est à moi que vous posez la question?

Vi vi

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, PASCOU a dit :

http://www.atlantico.fr/decryptage/assez-ignorant-croire-collabos-venaient-tous-extreme-droite-resistants-gauche-stephane-courtois-402460.html

e ne fais pas de politique et ne tiens pas à interférer dans les débats internes de l’UMP, mais je ne peux pas laisser sans réagir la déclaration de M. Thierry Solère, député de l’UMP qui vient de déclarer : « L’extrême gauche en France était dans la résistance. L’extrême droite française était à l’époque dans la collaboration. » Déclaration qui laisse pantois l’historien spécialiste de la période de la Deuxième Guerre mondiale, surtout venant d’un député appartenant à un parti réputé « gaulliste » et donc, en principe, concerné par l’histoire de l’Occupation, du régime de Vichy et de la Résistance.

 

 

 

 

M. Solère semble ignorer qu’en 1939, l’extrême gauche alors représentée par le Parti communiste fut interdite dès le 26 septembre 1939 par le gouvernement de la République dirigé par un chef du Front populaire — M. Daladier — pour avoir approuvé l’alliance entre Hitler et Staline, conclue le 23 août 1939 et qui aboutit, le 1er septembre, à l’attaque allemande contre la Pologne et surtout, le 17 septembre, à l’invasion de la Pologne par l’URSS.

M. Solère semble ignorer que le 1er octobre 1939, Jacques Duclos, dirigeant du PCF, diffusa une lettre ouverte invitant le gouvernement à engager d’urgence des négociations de paix avec l’Allemagne nazie, avec qui la France était en guerre depuis le 2 septembre, ce qui entraina la condamnation de 44 députés communistes en mars 1940.

 

 

M. Solère semble ignorer que dans la nuit du 3 au 4 octobre 1939, Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, fut enlevé à son régiment par un commando de l’Internationale communiste et, sous passeport soviétique, passa en URSS où il demeura de 1939 à 1944. Pour cette désertion en temps de guerre il fut condamné par contumace et déchu de la nationalité française.

M. Solère semble ignorer que le 18 juin 1940 — au moment même où le général de Gaulle lançait son premier appel à la résistance —, un dirigeant du PCF, sur ordre de Moscou et sous l’autorité de Duclos, prenait contact avec les services allemands, installés place de l’Opéra à Paris depuis deux jours, et engageait avec Otto Abetz, le représentant de Hitler à Paris, une négociation politique qui dura jusqu’à la mi-août.

M. Solère semble ignorer que si le PCF critiqua violemment le régime de Vichy, il n’est entré dans la résistance active à l’occupant qu’en juin 1941. Tout ceci n’enlève rien aux sacrifices des militants communistes entre 1941 et 1944, mais l’extrême gauche communiste a été largement absente du combat contre l’Allemagne nazie entre septembre 1939 et juin 1941.

M. Solère semble ignorer que de très nombreux hommes politiques de gauche — radicaux, socialistes — ont voté les pleins pouvoirs à Pétain et ont participé à son Conseil national, quand ils n’ont pas été des collaborationnistes actifs, en particuliers ceux qu’on appelait les néo-socialistes (Déat, etc.).

Enfin, M. Solère utilise une expression — « l’extrême droite » — qui ne signifie rien. Que dire de tous ces premiers résistants qui étaient des monarchistes de l’Action française — Daniel Cordier, le secrétaire de Jean Moulin, De Vawrin le chef du BCRA (le service secret gaulliste), le fameux colonel Rémy premier agent du général de Gaulle en France occupée —, voire issus de la mouvance de la Cagoule — Guillain de Bénouville, chef du mouvement Combat, François Mitterrand ? Avec la défaite et l’occupation, « l’extrême droite » a éclaté en plusieurs courants, les uns allant vers la révolution totalitaire nazie (Doriot et son PPF), les autres vers le régime réactionnaire et autoritaire de Vichy bientôt engagé dans la collaboration, et les troisièmes entrant tête baissée dans la Résistance par nationalisme et détestation de l’Allemagne pangermanique. Le général de Gaulle lui-même était un conservateur catholique et nationaliste, violemment critiqué pour cela, encore en juin 1941, par les communistes français : c’est pourtant lui qui a lancé le cri de ralliement initial et a dirigé de main de maître le combat pour que la France retrouve sa place de nation indépendante à la Libération.

De grâce, Monsieur le Député, faites preuve d’un peu plus de culture historique avant de lancer des anathèmes.


°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Enfin, M. Solère utilise une expression — « l’extrême droite » — qui ne signifie rien.

Comme beaucoup qui ne comprennent rien à l'histoire et se contentent de répéter bêtement.

 

ah  courtois !

 

cet ancien coco, stal, qui a rejoint les rangs de l'extrême droite !!!

là, tu ne parles pas de lui comme coco !! curieux !!

Comme Robert O PAXON ledit dans son bouquin ""la france de vichy"", la collaboration a fait sauter bien des clivages politiques !!

Des gens de gauches qui s'engouffrent dans la collaboration alors que d'autres décident de résister !

des gens de droite qui collaborant alors que d'autres décident de collaborar

des gens d'extrêmes droites qui collaborent alors que d'autres décident de résister !

 

et un tas de gens qui sont trop occuppés à survivre pour s'engagés dans un camps  !

des tas de gens qui pensent que le héros de verdun est le bouclier qui va les protéger !

selon PAXON = 1 % de résistants, 1 % de collabos  !!!!!!

un autre rappel sur cette triste période =

Publié le 17/06/2015 à 11:23Mis à jour le 17/06/2015 à 11:42

Cet appel de celui qui allait fonder l'organisation clandestine des Francs-Tireurs et Partisans (FTP), dont il sera le chef d'état-major, n'aura pas connu le même écho que l'Appel à la résistance lancé le lendemain 18 juin, depuis Londres, par le général Charles De Gaulle, dont Charles Tillon sera le ministre à la Libération, avant l'expulsion des ministres communistes du gouvernement en 1947 pour cause de Guerre froide entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique.

Ainsi, à 24 heures d'intervalle et à plus d'un millier de kilomètres de distance, deux hommes, tous deux rebelles par rapport à leur milieu, se dressaient contre la défaite et organisaient la résistance.
 

Charles Tillon, le rebelle

Ce 17 juin 1940, Charles Tillon, presque 43 ans, ajusteur de métier, a déjà une longue carrière de militant derrière lui: mutin de la Flotte française de la Méditerranée en 1919, condamné à cinq ans de bagne, syndicaliste à la CGT puis à la CGTU, il est membre du Bureau politique du PCF dès 1932, député d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) en 1936.
 

Un appel girondin

Son appel, lancé depuis le moulin du Moulineau à Gradignan, où il se cache, alors qu'il vient d'entendre à la radio l'appel du maréchal Philippe Pétain à la cessation du combat, est aussitôt diffusé dans un tract qu'il signe au nom du PCF: "Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu de la guerre des capitalistes. Il est le nombre. Uni, il sera la force".

Dans un second texte, publié le 18 juillet, il appelle "à l'union pour chasser à la fois les capitalistes, leur tourbe de valets et de traîtres et les envahisseurs".

en entier sur

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/2015/06/17/l-appel-du-17-juin-1945-de-charles-tillon-eclipse-par-celui-du-18-749357.html

 

un autre rappel

Conférence de Léon Landini* le 20 octobre 2002 à Avignon :

Dès juin et juillet 1940 et bien que désorganisés par l’arrestation de nombreux dirigeants, les communistes conscients que les combats ne s’arrêteraient pas avec la capitulation de Pétain et l’occupation de la France, commencèrent à ramasser des armes abandonnées par l’armée française en déroute.

L’OS (Organisation Spéciale du PCF) qui avait pour charge de protéger les imprimeries clandestines, ainsi que les cadres du Parti pourchassés par la police française, fut au lendemain de la libération, officiellement reconnue et homologuée par les services du Ministère des armées comme « unité combattante » à partir d’octobre 1940.

Les FTPF et les FTP-MOI ont été à leur tour homologués « unité combattante » à partir du premier mai 1941.

Parmi les animateurs de l’OS se distingueront des hommes qui paieront de leur vie la gloire des premières armes.

CARRE, LOSSERAN, REBIERE, COQUILLET, KERNIEN, MARCHANDISE, MIRET-MUST, HEMMEN… tous fusillés en 1941 et 1942.

La liste des survivants artisans de l’OS est moins longue que celle des morts.

Quant à « l’action directe » contre l’occupant et ses valets, préconisé dès le début par les communistes et longtemps vilipendée par les « attentistes », démontre que les communistes n’attendirent pas l’invasion de l’URSS pour la mettre en pratique, en effet :

En juillet 1940 : A Nantes, une famille d’instituteurs communistes nommée Leroy, a saboté une centrale électrique qui a privé Nantes de lumière. Une amende importante a été infligée à la ville par les occupants. Le même jour les Leroy ont effectué une distribution de tracts appelant à la Résistance.

Début août 1940 : Dans le Nord, dans l’arrière salle d’un petit café de Dechy, une douzaine d’hommes sont réunis, qui se jurent d’agir contre l’occupant. Il y avait là Eusebio Ferrari, les frères Martel, les frères Camphin, Debarge, tous communistes.

Le lendemain, les habitants de Fenain virent flotter en haut d’un pylône de haute tension, un immense drapeau rouge avec l’inscription « COURAGE ET CONFIANCE ».

Toujours au mois d’août : Les mêmes incendient plusieurs véhicules de l’armée d’occupation et font sauter un train allemand.

En décembre 1940 : Ils dynamitent la génératrice et la sous station de Benory-Cumichy.

Toujours en décembre 1940 : à l’autre bout de la France, dans le Var, Roger Landini, secrétaire des jeunesses communistes et ses camarades, font dérailler en pleine gare de triage de Fréjus-Plage, 8 wagons de marchandise destinée à L’Allemagne alors que la Zone-Sud n’était pas occupée.

en entier sur

https://progreshumain.wordpress.com/2013/06/22/la-resistance-communiste-avant-juin-1941/

 

j'ai une ou deux tonnes de saloperies à reprocher au PCF mais j'ai un respect pour les résistant et encore plus ceux d'avant 1941 !!

et autant pour un roger holeindre  ! un vrai résistant même si une vraie saloperie !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Garlaban Membre 7 686 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

La Russie se penche aussi sur son histoire, et le petit père des peuples est en cours de réhabilitation, les statues fleurissent .

Il faut arrêter de raconter n'importe quoi, Staline est loin de faire l'objet d'un nouveau culte en Russie. les russes ne sont pas des imbéciles, toutes les familles russes savent ce que fut la souffrance de cette époque ... ce n'est pas parce qu'une statue à la gloire du vainqueur du nazisme a été érigée dans l'extrême orient sibérien qu'il faut en conclure qu'une nouvelle religion renait de ses cendres.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité centurion
Invités, Posté(e)
Invité centurion
Invité centurion Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

 

=================================

A priori il n'instruit pas à charge , mais connait très bien le FN .

Tu te moques du monde une fois de plus, à moins que tu ne le fasses pas exprès. Il suffit de lire n'importe lequel de ses articles sur les journaux en ligne de gauche (slate.fr, libération.fr) pour comprendre que tous ses articles sont à charge contre le FN.

......

"Il adhère brièvement à la Gauche populaire, think tank proche du Parti socialiste créé en 2012 qui plaide pour une meilleure prise en compte des attentes des catégories populaires. Il le quitte sur un désaccord[1].

Souvent sollicité dans les médias, il écrit régulièrement des articles pour Slate[14] et Libération, en réaction à l’actualité[1]."

____

"En 2016, il publie Lettres aux Français qui croient que cinq ans d’extrême droite remettraient la France debout (Éditions Les Échappés). L'ouvrage rassemble dix lettres adressées à dix électeurs types du FN qu'il entend dissuader de voter pour lui[15]."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Lebourg

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Garlaban a dit :

Si la France est responsable de cette rafle, alors tous les français sont des criminels, il faut donc les juger, les faire payer jusqu'à la nuit des temps et remiser cette horrible pays dans les oubliettes de l'histoire ... Pire que tout, votre fond de commerce anti-fachos s'effondre, s'en prendre à la seule extrême-droite n'a plus de sens puisque selon vous c'est toute la France qui est facho!! .. Vous vous mettez vous-même les menottes aux poignets ...

Je préfère prendre les choses avec humour tant ceci + le buzz qui va avec sont grotesques ... Cela me fait penser à un sketch des Inconnus où des policiers venus secourir une femme battue par son mari finisse par l'embarquer ...

Tous les français ne sont pas coupables, mais doivent connaître et assumer leur histoire. Tous les français ne sont pas criminels,  comme tous les français ne sont pas résistants...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, Garlaban a dit :

Il faut arrêter de raconter n'importe quoi, Staline est loin de faire l'objet d'un nouveau culte en Russie. les russes ne sont pas des imbéciles, toutes les familles russes savent ce que fut la souffrance de cette époque ... ce n'est pas parce qu'une statue à la gloire du vainqueur du nazisme a été érigée dans l'extrême orient sibérien qu'il faut en conclure qu'une nouvelle religion renait de ses cendres.

C'est quand même bizarre comme statue.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Garlaban a dit :

Il faut arrêter de raconter n'importe quoi, Staline est loin de faire l'objet d'un nouveau culte en Russie. les russes ne sont pas des imbéciles, toutes les familles russes savent ce que fut la souffrance de cette époque ... ce n'est pas parce qu'une statue à la gloire du vainqueur du nazisme a été érigée dans l'extrême orient sibérien qu'il faut en conclure qu'une nouvelle religion renait de ses cendres.

Ce n'est pas une statue , je n'ai donné qu'un exemple, chacun pourra relire les déclarations de Mr Poutine sur ce sujet , ou un reportage récent sur télématin sur ce phénomène .

 

http://revuecivique.eu/articles-et-entretiens/europe-0/poutine-sur-staline-heros-sublime-terreur-oubliee/

 

À l’heure où les JO d’hiver s’ouvrent en Russie, dans une conjoncture où le rappel des atteintes aux Droits de l’Homme dans ce pays s’impose, la Revue Civique publie ce texte d’entretien en mémoire des victimes de Staline, dictateur qui fait l’objet d’un nouveau culte, favorisé depuis des années par le régime de Poutine.

Le réalisateur d’un documentaire télévisé – diffusé récemment par la chaîne ARTE –, qui traite de cette résurgence de la figure de Staline comme « Père de la Nation » dans la Russie de Poutine,  Thomas Johnson a répondu à nos questions. Cet entretien se retrouvera dans le numéro de la Revue Civique, dont le thème est : « Engagements et Mémoire.

 

 

Modifié par DroitDeRéponse
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

C'est la lâcheté qui a mené un homme de 84 ans au pouvoir!

https://blogs.mediapart.fr/anido-mirolo/blog/290111/philippe-petain-marechal-de-france-ses-annees-noires-de-1940-1944-suit

Je ne reprends pas les thèses du Front national mais, il faut bien se rendre à l'évidence que donner les pleins pouvoirs à Pétain qui est déjà un homme très âgé même avec toute sa tête étaient de la part des parlementaires, une lâcheté.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

 

 

Modifié par PASCOU
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×