Les cabales judiciaires orchestrées par Hollande pour détruire des candidats ?

il y a 22 minutes, dubandelaroche a dit :

Merci ouest35 pour ce lien dont je tiens à souligner certains passages:

L’attaque de François Fillon – qui a affirmé avoir lu les bonnes feuilles de l’ouvrage – avait un objectif: prouver aux téléspectateurs que sa mise en examen pour «détournements de fonds publics» et «abus de biens sociaux» du 14 mars, la mise en examen de son successeur Marc Joulaud hier, et la possible inculpation de son épouse, sont l’œuvre d’une exécution judiciaire, commanditée de l’Elysée. Problème: rien dans le livre ne permet d’affirmer cela. Car si les combines politico-policières y sont dénoncées à longueur de pages, l’indépendance des juges, elle, en sort plutôt grandie.

Alors, Fillon victime? «Il ne faut jamais oublier que, quand Hollande arrive au pouvoir en 2012,

Le 28/03/2017 à 11:06, Constantinople a dit :

En lisant le livre on réalise qu'il y a vraiment un coté hilarant à cette séquence. Les auteurs ont fait clairement un livre engagé à gauche, visant trois personnes, Sarkozy (et sa clique), Baueur, et Valls. On nous inflige tous les poncifs qu'on pensait mort : le "sentiment" d'insécurité "supposée", le "la France a peur", la nécessaire "réconciliation de la police et des citoyens", et surtout, le livre visait l'institution policière en priorité. La maison Poulaga comme ils l'appellent eux même. D'ailleurs une partie de leur critique est fondée : La police française est éminemment une police politique au service de l'executif, pensée comme telle depuis Fouché, et ça pose des problèmes démocratiques insolubles au pouvoir qui refusera toujours de se priver d'un tel outil. Ceci dit ils oublient aussi de préciser que la Magistrature, plus anciennement encore que la police, a été politisée de la même manière et pose tout autant de soucis démocratiques.

En gros les auteurs s'attendaient à ce que la gauche, se décomplexe enfin vis à vis de l'insécurité et de la police, en rompant avec un "discours sécuritaire populiste" (car l'insécurité est un mythe pour le sociologue de gauche, n'est ce pas) la réforme de font en comble, la "casse", et déçus constatent que Hollande a fait du Sarkozy qui lui même a fait du Chirac, qui lui même a fait du mitterand.

Pour ça ils prennent toutes les pincettes : Alors que Sarkozy s'est servi de l'appareil policier à des fins politiques, Hollande n'a simplement "pas pu résister à la tentation". On précise bien que tout ce qui s'est passé sur le dos de Sarkozy, Pecresse, Valls, n'a surtout pas eu lieu avec Fillon. Parce qu'on ne veut pas servir la soupe à sa campagne. Les naifs. On comprends mieux les retropédalages maladroits, un sms notamment a fuité disant en substance "ferme ta gueule, on veut pas faire la campagne de Fillon"...

Mais ne mesurant pas les éléments livrés dans le livre, en croyant donner des secrets de polichinelles dont tout le monde était au courant, ils ont montré malgré tout les pratiques du GVT socialiste et a aucune moment l'idée qu'elles aient pu brutalement cesser juste avant les elections présidentielles est d'une vague crédibilité

Ces mecs vont se griller auprès de leurs amis politiques pour des années pour avoir sorti le bouquin pendant la campagne, et leur inconséquence à ne pas anticiper que ça allait arroser toute la gauche gouvernementale, en servant Fillon. Et j'ai envie de dire, vu leur courage, bien fait pour leur gueule.

survie. Il n’a pas constitué un cabinet noir. Il en a démantelé un et a reconstitué un réseau d’informateurs, dont il s’est évidemment servi ensuite. Comme tous ses prédécesseurs.»

François Hollande a-t-il fait pire? «Il s’est surtout protégé, avant de sombrer en parlant trop…» nous expliquaient fin 2016 Gérard Davet et Fabrice Lhomme, auteurs d’«Un président ne devrait pas dire ça…» (Ed. Stock). Un ex-conseiller élyséen confirme: «Imaginer Hollande en grand exécuteur de Fillon, c’est oublier l’autre cabinet noir: celui de Nicolas Sarkozy, qui ne digère toujours pas d’avoir été battu à la primaire.»

Fait aggravant dont le livre «Bienvenue Place Beauvau» parle en détail: le déjeuner du 24 juin 2014 entre François Fillon et le secrétaire général de l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet, intime du président. Une rencontre sollicitée par Fillon, durant laquelle celui-ci aurait demandé à son interlocuteur de faire accélérer les procédures judiciaires contre Sarkozy. «A cette époque, Fillon n’avait rien contre le cabinet noir qu’il dénonce aujourd’hui»,

 

 

Je me re cite car j'ai expliqué tout ça au dessus. Encore une fois moi je ne défend pas spécialement Fillon, je note juste que les pratiques de Hollande avec la justice, utilisant celle ci et l'appareil policier, les écoutes contre ses adversaires politiques ont été continues pendant le mandat. De son propre camp, comme celui de la droite avec une obsession maladive sur Sarkozy. C'est un fait. Et d'autre part on peut être idiot et penser qu'il a decidé de tout arrêter avec Fillon ou avoir un peu de jugeotte et comprendre que ça a continué comme avant, avec notamment Monsieur Jouillet, et que les auteurs de gauche ne voulaient pas servir la soupe à Fillon. Un peu d'objectivité ne nuit à personne.

Ensuite faut pas déconner, si Fillon va voir Jouillet pour lui demander d'activer les affaires de Sarko, ce n'est pas pour rien : Jouillet est au centre du dispositif mis en place par Hollande dés le début du quinquennat. Visiblement donc, tout le monde était au courant, et je suis sur que c'était un tel secret de polichinelle que les auteurs du livre n'ont pas réalisé les bombes qu'ils allaient mettre sur la place publique.

je le remets:

https://www.letemps.ch/monde/2017/03/24/barbouzeries-vieux-refrain-francais

extraits:

 Alors, Fillon victime? «Il ne faut jamais oublier que, quand Hollande arrive au pouvoir en 2012, il doit impérativement placer des hommes à lui dans un dispositif policier verrouillé par les amis de Sarko. Question de survie. Il n’a pas constitué un cabinet noir. Il en a démantelé un et a reconstitué un réseau d’informateurs, dont il s’est évidemment servi ensuite. Comme tous ses prédécesseurs.»

François Hollande a-t-il fait pire? «Il s’est surtout protégé, avant de sombrer en parlant trop…» nous expliquaient fin 2016 Gérard Davet et Fabrice Lhomme, auteurs d’«Un président ne devrait pas dire ça…» (Ed. Stock). Un ex-conseiller élyséen confirme: «Imaginer Hollande en grand exécuteur de Fillon, c’est oublier l’autre cabinet noir: celui de Nicolas Sarkozy, qui ne digère toujours pas d’avoir été battu à la primaire.»

Pour résumer, un menteur cite le livre de menteurs, accusant un autre menteur d'avoir comploté contre le menteur sus nommé. 

Ce n'est pas dans ce livre également qu'il est fait allusion à une sombre histoire de galipettes dans un buisson ? 

Ça a l'air d'être un vrai chef d'oeuvre littéraire... 

Le 23/03/2017 à 20:53, philkeun a dit :

C'est tout à fait exact.

Hollande est l'instigateur de bien des entourloupes, par ex , c'est lui qui :

1) a crée une fausse reconnaissance de dette du fn vers Poutine pour un gros emprunt

2) a monté 1 micro parti et une micro société, Jeanne et Riwal, pour escroquer l'argent de l'Etat

3) a ordonné aux juges cubano-stalino-guantanamo-brejneviens de monter 13 affaires contre le fn

4) a fabriqué un faux testament pour faire hériter les le Pen d'un industriel breton

5) a obligé toutes les vieilles ordures du gud à magouiller avec la valseuse autrichienne

Enfin un vrai post d'information que j'approuve à 100%, et un posteur qui met en avant les journalistes du Canard.

Merci qui ? Mmmhh ?

Philkeun a bien raison le parti FN est certainement le plus corrompu par les affaires d'argent, c'est congénital chez eux depuis le vieux borgne châtelain à Montretout en héritant par l'assassinat d'un milliardaire et en cachant ses lingots dans les iles Vierges.

Monsieur Fillon a une nouvelle casserole tous les jours ou presque après tous ces emplois fictifs, costumes, montres, société coneil etc.

Pas besoin d'écouter son téléphone, ses "amis" parlent pour lui