Compiègne : HLM mise à l'abri de 30 familles - Saint Ouen : breaking the wall

http://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/compiegne-quand-les-dealers-font-leur-loi_2012798.html

Impossible de pénétrer square Baudelaire à Compiègne (Oise) sans être escorté par des vigiles. Dans cet immeuble, un important trafic de drogue s'est installé depuis des années. Crack, héroïne, cannabis, les acheteurs et les vendeurs opèrent dans la cage d'escalier, devant les appartements. Un guetteur assure la surveillance, sept jours sur sept. Dans le hall et dans l'escalier, les dégradations sont quotidiennes, et depuis quelques semaines, elles s'aggravent.

"Je ne veux pas avoir des morts sur la conscience"

Désormais, c'est la sécurité des habitants qui est en jeu. Seule solution selon l'office HLM de l'Oise : murer les accès aux immeubles. "C'est une mesure d'urgence parce qu'il en va de la vie d'hommes, de femmes et d'enfants. Et tout simplement, je ne veux pas avoir des morts sur la conscience", explique Arnaud Dumontier, président de l'office public d'aménagement et de construction. L'OPAC a donc envoyé un courrier à la trentaine de locataires qui y habitent encore pour leur proposer un relogement temporaire. Le temps de se débarrasser des dealers qui empoisonnent la vie de la cité.

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http://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/compiegne-face-aux-dealers-des-cages-d-escaliers-emmurees_2011449.html

26 opérations de police ont eu lieu en 2016, mais le quartier reste une zone de non-droit. Le trafic y est estimé entre 200 000 et 300 000 euros chaque mois.

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http://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/saint-ouen-les-habitants-d-une-cite-s-opposent-a-un-mur-anti-dealers_2012520.html

A Saint-Ouen, au nord de Paris, des habitants d'une cité s'opposent depuis un mois à la construction d'un mur destiné à limiter le trafic de stupéfiants, mais qui condamnerait aussi l'une des entrées de la résidence.

Si l'office HLM et la mairie veulent murer cette sortie, c'est pour déranger le trafic de stupéfiants côté Michelet, créer une souricière et empêcher les dealers de fuir. L'argument n'est pas recevable pour Naïma, qui a fait signer une pétition contre ce mur. "On subit déjà des nuisances sonores et des nuisances avec les déchets. Ce n'est pas à nous non plus, de faire les éducateurs spécialisés" explique Naïma. 

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Des solutions enfin trouvées, ça avance. N'oublions pas plus de services publics, du dialogue et des services sociaux . En attendant une solution a été trouvée, plutôt que de résilier les baux ou d'éloigner / mettre au frais, ce sera donc la tour qui sera fermée . Si vous avez du deal en bas de chez vous, préparez vos cartons , l'OPHLM vous mettra à l'abri en attendant la fin des négociations. On a pas de pétrole, mais on a des idées.

http://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/hlm-evacues-a-compiegne-il-est-evident-que-le-trafic-de-drogue-va-se-deplacer_2014722.html

À cause du trafic de drogue, 4 000 habitants de Compiègne ont été évacués et la cité murée, en janvier dernier. Luc Poignant, porte-parole du syndicat Unité SGP police FO, a expliqué cette mesure radicale, jeudi sur franceinfo. 

Évacuer 4 000 habitants d'un quartier. C'est la mesure radicale prise le 5 janvier dernier par l'office HLM de Compiègne, dans l'Oise. Cette décision avait pour but de lutter contre le trafic de drogue dans la cité sensible du Clos-des-Roses. Certains bâtiments étaient squattés pour différents trafics : héroïne, cocaïne et cannabis.

50 000 habitants pour 100 policiers

Les habitants ont donc été priés de quitter les lieux et les entrées des HLM ont été murées. Sur franceinfo, jeudi 12 janvier, Luc Poignant, porte-parole du syndicat Unité SGP police FO a évoqué "une solution d'urgence" qui "n'est pas LA solution". "Il est évident que le trafic va se déplacer", a ajouté le syndicaliste.

Luc Poignant ne s'est pas montré optimiste sur l'efficacité de l'opération. "On peut abattre l'immeuble, les trafiquants iront ailleurs, a-t-il prévenu. Malheureusement, la police ne peut pas investir ces lieux, elle ne peut pas faire son travail".

L'agglomération de Compiègne, c'est 50 000 habitants pour 100 policiers donc c'est une question de moyens. Une trentaine de logements est concernée.

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Une occasion unique de remplacer par des animateurs sociaux pour apprendre à faire des barrettes décoratives .

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Pas de passe-droit égalité justice le maire solidaire

http://www.courrier-picard.fr/9575/article/2017-02-07/le-vehicule-de-philippe-marini-maire-de-compiegne-pris-pour-cible-et-incendie

En début de semaine, un véhicule du maire (LR) de Compiègne, Philippe Marini a été visé par un jet de projectile incendiaire type cocktail Molotov. La voiture était stationnée devant son domicile rue de l’Aigle dans le quartier des Avenues à Compiègne. Le véhicule a commencé à prendre feu. Un incendie rapidement maîtrisé.

Un faits divers au moment où le quartier du Clos-des-Roses à Compiègne et son trafic de stupéfiants font l’objet de toutes les attentions de la police et de la justice.

http://actu.orange.fr/france/oise-une-quinzaine-de-voitures-brulees-dont-celle-du-maire-de-compiegne-magic-CNT000000DgEdA.html

Ça alors, on a du mal à croire que ça existe...

Le constat est évident, l' état de droit de notre pays ne permet pas de mettre fin aux trafics dans les cités.

La " mise en sécurité " consiste donc à chasser les habitants de ces zones, les transformant en REFUGIES dans leur propre pays, comme si avoir été traités comme des chiens dans leurs quartiers pendant des années ne suffisait pas...

Ensuite, on va murer les entrées. Je travaillais dans une entreprise ou on nous demandait de murer les entrées d' immeubles avant leur démolition pour éviter toutes intrusions illégales. On retrouvait les murs que l' on avait monté la veille démolis le matin. L' OPH a du missionner des entreprises de sécurité avec chiens pour patrouiller la nuit.

Les trafiquants ne sont donc nullement inquiétés, leur business se pratiquera de la mème façon un peu plus loin.

On met les gens à l'abri mais on laisse le trafic se faire plus loin, parce que les dealers on y touchent pas trop, pas question d'aller leurs tirer les oreilles, ça pourrait faire des vagues avec en ce moment avec la fameuse affaire l'on connait si bien, alors le bizness des cités, ça passe en second plan, et c'est toujours à la mode, donc un petit coup de descente pour faire voir qu'on est là et au revoir, à la prochaine messieurs dames

il y a 10 minutes, PINOCCHIO a dit :

On met les gens à l'abri mais on laisse le trafic se faire plus loin, parce que les dealers on y touchent pas trop, pas question d'aller leurs tirer les oreilles, ça pourrait faire des vagues avec en ce moment avec la fameuse affaire l'on connait si bien, alors le bizness des cités, ça passe en second plan, et c'est toujours à la mode, donc un petit coup de descente pour faire voir qu'on est là et au revoir, à la prochaine messieurs dames

Chut...voyons, il ne faut surtout pas en parler ( les bonnes consciences habituelles, coucou..) en tout cas pas de vague avant une élection, ça n'est pas dans les programmes des futurs parasites qui vont sévir dans notre pauvre pays.

c'est tragique.

Ahhh les droits de l'homme hé hé hé !!! Voilà où ça nous a conduit ! Trop gentil , trop mignon tout plein car il ne faut pas stigmatiser les cités et maintenant , à cause de ça , ce sont les habitants de ces cités qui ne demandaient qu' à vivre en toute tranquillité qui sont stigmatisés et surtout  victimes . Préférer déloger des habitants plutôt que de frapper fort une bonne fois pour toute , je trouve ça terrible .

Un peu moins de droits de l'homme leurs passeraient peut-être ce sentiment d'impunité . Triste à dire mais plus les années passent et plus ce fléau prend de l'ampleur avec trop souvent des morts à la clé . 

Il y a 1 heure, nerelucia a dit :

c'est tragique.

Mais non, c'est l'habitude ,va t-on embêter ces pauvres gars qui vivent dans des conditions difficiles," chômage , précarité, " dans les clapiers que l'on trouvent indignent pour eux, le larmoiement des gauchos avec, un cas parmi tant d'autre, combien de villes sont touchés par cette racaille persistante?

On les comptent plus sur les doigts 

Le courage de vivre avec ces ordures là

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/faits-divers-compiègne-«on-ma-dit-quon-allait-masperger-dessence-et-me-brûler»/ar-AAncEqy?li=BBoJIji&ocid=UP21DHP

Il y a 1 heure, nerelucia a dit :

c'est tragique.

je dirais logique mais de là à déloger des habitants , de mémoire il ne me semble pas avoir déjà lu ça

il y a 14 minutes, PINOCCHIO a dit :

On les comptent plus sur les doigts 

Si si!! grâce à Tchernobyl , je peux les compter sur mes ..heuuu....attendez je compte mes doigts j'en ai juste pour 20 minutes!!

il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

"L'état a promis mais n'a pas dit quand". Ca ne devait pas être urgent ...

Il y a 1 heure, PINOCCHIO a dit :

Le courage de vivre avec ces ordures là

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/faits-divers-compiègne-«on-ma-dit-quon-allait-masperger-dessence-et-me-brûler»/ar-AAncEqy?li=BBoJIji&ocid=UP21DHP

On attend une réponse sensée de l'anar de service et de ses potes...

Il y a 1 heure, DroitDeRéponse a dit :

"L'état a promis mais n'a pas dit quand". Ca ne devait pas être urgent ...

Ca doit ètre programmé pour juin...

http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie/oise/compiegne/compiegne-affrontements-au-clos-roses-1183205.html

Par Camille Dicrescenzo Publié le 25/01/2017 à 20:59Mis à jour le 10/02/2017 à 13:38

Vers 17h ce mercredi, un accident s'est produit dans le quartier du Clos-des-Roses, à Compiègne. Alors que les pompiers intervenaient, des policiers municipaux présents, se sont fait caillasser par une bande de jeunes. Venue en renfort, la police nationale a répliqué avec du gaz lacrymogène.

vers 17h, un accident de la circulation s'est produit ce mercredi rue Victor Schoelcher, dans le quartier du Clos-des-Roses à Compiègne. Sur place, une dizaine de policiers municipaux a été caillassée par une soixantaine de jeunes, alors que les pompiers intervenaient. Ils auraient également subi des tirs de mortier, selon une source policière. 
Appelés en renfort, la gendarmerie et la police nationale de Creil, Beauvais et Amiens ont à leur tour été caillassés. Ils ont risposté par du gaz lacrymogène.

Selon un adjoint de la ville de Compiègne, présent au moment de l'accident, « il y a eu des renforts pour répliquer et montrer que l’Etat ne reculait pas face à ce genre de comportements ».

Les forces de l'ordre sont restées sur place jusqu'à 19h30.

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Encore un effort en fermant toutes les tours les policiers n'auront plus besoin de s'y rendre .

c'est sûr que si la seule réponse au problème c'est de fermer les barres d'immeubles , le problème ne sera jamais réglé mais seulement déplacé .

il y a 51 minutes, sterod a dit :

c'est sûr que si la seule réponse au problème c'est de fermer les barres d'immeubles , le problème ne sera jamais réglé mais seulement déplacé .

 

Dans ce quartier il y a déjà 30 ans l'excuse sociale était déjà la norme . On en récolte les fruits .

Espérons que l'UTC toute proche dont les labos sont parfois dégradés continue d'attirer , c'est un poumon pour la ville .

Le ‎22‎/‎02‎/‎2017 à 13:52, l'abbe resina a dit :

On attend une réponse sensée de l'anar de service et de ses potes...

Qui d'ailleurs se manifestent pas , pris dans l'engrenage des manifs en assurant la relève du caillassage , on ne peut pas être partout à la fois

il y a 2 minutes, PINOCCHIO a dit :

Qui d'ailleurs se manifestent pas , pris dans l'engrenage des manifs en assurant la relève du caillassage , on ne peut pas être partout à la fois

Oh la provoc hé hé hé !!!