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Les électeurs du FN sont-ils des feignasses?

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Invité Kutta

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Invité Kutta
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Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
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il y a 34 minutes, Skanderbeg a dit :

Quand les pauvres votaient à gauche on n'avait pas le droit de se moquer. Depuis qu'ils votent FN c'est open bar.

À la base, il n'y a rien de particulièrement drôle dans le choix de vote. Ce qui est drôle c'est la logique avancée dans la citation que j'ai relevée.

il y a 6 minutes, Skanderbeg a dit :

Plus le proverbe est insipide, plus il dégueule de la bouche des sots.

Il vote FN, tu te trompes de cible 

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 5 minutes, Kutta a dit :

J'ai hâte d'entendre la réponse de Roger Locco à ce sujet. Je pourrais l'imiter même, mais j'ai la flemme.

Pour ma part, je trouve ta vision un poil caricaturale et un peu en dehors de la réalité.

C'est ce qui fait mon charme parait il: ce coté poète urbain surréaliste. La réalité c'est que tout le monde adore le pognon et c'est une réalité d'un trop triste banalité... Ce qui me rappelle ce maitre à penser Karl Lagerfeld à qui on avait demandé "savez vous combien il y a sur votre compte bancaire?" Et avec la sobriété et la pondération qu'on lui connait il avait répondu "pas du tout, c'est une question de pauvre ça." Karl et moi on est peut être du même monde... sauf que je n'ai jamais été obèse.  

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
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Il y a 2 heures, Kutta a dit :

Je me permets de poser la question suite à ce post:

"Je vais t'apprendre une chose que tu ignore, l'être humain est forgé par son expérience et son éducation.Concrètement ça se traduit comme ça : tu lui donne une éducation qui dit que le travail est récompensé, mais comme en fait il ne l'est pas, il déchante, pense qu'on lui a menti, refuse de faire des efforts et vote FN."

 

Tu remplaces "vote FN" par" vote front de gauche" ou "vote NPA" et ça marche aussi .....

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Membre, Forumeur autochtone, Posté(e)
Skanderbeg Membre 1 910 messages
Forumeur autochtone,
Posté(e)
il y a 38 minutes, Crabe_fantome a dit :

A partir du moment où le FN se présente comme le parti des déçus des autres partis, je pense qu'effectivement on peut estimer que le vote FN est au mieux un vote de déçus, au pire un vote de désespérés. 

Cette remarque préchauffée pourrait servir contre n'importe quel parti d'extrême gauche.

 

il y a 38 minutes, Crabe_fantome a dit :

Après je ne suis pas pauvrophobiques j'ai des amis pauvres

"Je ne suis pas raciste j'ai un ami noir" :)

 

il y a 39 minutes, Crabe_fantome a dit :

A l'exacte opposé des pauvres qui votent FN qui eux espère gagner en pouvoir d'achat. D'un point de vu confucéens ils sont méprisable.

Quand on pense à ces pauvres qui réclament du pouvoir d'achat pour habiller leurs gosses, les nourrir, payer les factures. Ils n'ont toujours pas compris que la vraie nourriture était celle de l'esprit. On a presque envie de leur cracher à la gueule. Bah d'ailleurs c'est ce qu'on fait. :) 

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Membre, Forumeur autochtone, Posté(e)
Skanderbeg Membre 1 910 messages
Forumeur autochtone,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Oui quand t'es ouvrier ton intéret c'est de travailler moins parce que t'as pas choisi ton travail, qu'il est chiant voire pénible, et que c'est mieux de prendre sa retraite à 60 ans plutôt qu'à 69... Si t'es chef d'entreprise c'est différent, c'est ton bébé, ton entreprise, t'as pas envie de lâcher et t'aime ton boulot...

La question de l'âge du départ à la retraite n'est plus spécifiquement assimilable à la gauche, puisque le PS est à peine plus généreux que la droite sur la question et que le FN prend parti pour les 60 ans.

De plus, il y a pas mal d'ouvriers, d'artisans, contrairement à ce que tu penses, qui aiment leur métier et qui dépriment littéralement quand arrive la retraire ; j'en ai vus. Tout comme il y en a plus que tu l'imagines, des mécaniciens, des plaquistes, qui sont hostiles aux 35H et comblent en faisant un peu de black. Penser qu'il n'y a que les chefs d'entreprise qui aiment leur métier est assez révélateur de ce mépris banalisé de la pensée bourgeoise pour les métiers manuels.

 

Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Quand à te répondre pourquoi c'est totalement débile d'affirmer que tout ce qui t'arrive c'est de la faute des étrangers, les bras m'en tombe tellement je ne sais pas comment t'expliquer cette évidence... Si tu es chômeur est ce que c'est un immigré qui t'as pris ton travail?

Je n'ai jamais entendu dire "tout est de la faute des étrangers", excepté dans la bouche débile de ceux qui caricaturent sans talent ni intelligence le discours attribué au FN. L'immigration est un phénomène économique conséquent à la logique libérale au même titre que les délocalisations : on délocalise la main d'oeuvre quand on ne peut pas délocaliser l'outil de travail. Tu disais tout à l'heure que les pauvres s'étaient fait rouler par le libéralisme ? C'est vrai, il ne te manque plus qu'à comprendre ce qu'est le libéralisme dans sa globalité.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 45 minutes, Skanderbeg a dit :

Cette remarque préchauffée pourrait servir contre n'importe quel parti d'extrême gauche.

 

"Je ne suis pas raciste j'ai un ami noir" :)

 

Quand on pense à ces pauvres qui réclament du pouvoir d'achat pour habiller leurs gosses, les nourrir, payer les factures. Ils n'ont toujours pas compris que la vraie nourriture était celle de l'esprit. On a presque envie de leur cracher à la gueule. Bah d'ailleurs c'est ce qu'on fait. :) 

 

Bah le plus méprisable c'est que ces pauvres votent pour ceux qui leur raconte de la merde... Je comprends que le pognon c'est intéressant aujourd'hui maintenant dis moi... qui a le pognon? les riches? ou les immigrés? Auprès de qui on peut réclamer du pognon?

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Membre, Forumeur autochtone, Posté(e)
Skanderbeg Membre 1 910 messages
Forumeur autochtone,
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à l’instant, Crabe_fantome a dit :

 

Bah le plus méprisable c'est que ces pauvres votent pour ceux qui leur raconte de la merde...

C'est à dire ?

il y a 6 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je comprends que le pognon c'est intéressant aujourd'hui maintenant dis moi... qui a le pognon? les riches? ou les immigrés? Auprès de qui on peut réclamer du pognon?

Les immigrés sont là par la volonté "des riches" au détriment des autres. Le Medef réclame toujours plus d'immigration, plus il y a de demande sur le marché du travail et plus l'employeur est en position de force.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 3 minutes, Skanderbeg a dit :

La question de l'âge du départ à la retraite n'est plus spécifiquement assimilable à la gauche, puisque le PS est à peine plus généreux que la droite sur la question et que le FN prend parti pour les 60 ans.

De plus, il y a pas mal d'ouvriers, d'artisans, contrairement à ce que tu penses, qui aiment leur métier et qui dépriment littéralement quand arrivent la retraire ; j'en ai vus. Tout comme il y en a plus que tu l'imagines, des mécaniciens, des plaquistes, qui sont hostiles aux 35H et comblent en faisant un peu de black. Penser qu'il n'y a que les chefs d'entreprise qui aiment leur métier est assez révélateur de ce mépris banalisé de la pensée bourgeoise pour les métiers manuels.

 

Je n'ai jamais entendu dire "tout est de la faute des étrangers", excepté dans la bouche débile de ceux qui caricaturent sans talent ni intelligence le discours attribué au FN. L'immigration est un phénomène économique conséquent à la logique libérale au même titre que les délocalisations : on délocalise la main d'oeuvre quand on ne peut pas délocaliser l'outil de travail. Tu disais tout à l'heure que les pauvres s'étaient fait rouler par le libéralisme ? C'est vrai, il ne te manque plus qu'à comprendre ce qu'est le libéralisme dans sa globalité.

 

Les artisans oui parce que quelque part ils sont aussi chef de leur entreprise, ils ont un savoir faire qu'ils peuvent vendre... Un ouvrier par contre heureux de toucher un smic pour que son patron puisse aller skier à Courch' cet hiver, franchement j'en connais pas... Que ce soit "pas si terrible que ça" c'est peut être le maximum que je peux entendre.

Ces artisans sont libre de bosser comme ils le souhaitent... Ils peuvent aussi s'occuper durant leur retraite, personne ne va les obliger à aller pécher ou regarder les émissions des chômeurs l'après midi. T'es pas non plus obligé d'avoir un patron pour te dire quoi faire... Il a pas des gamins qui retapent une maison? Il a pas des voisins à aider? Il a pas une vieille peugeot à retaper avec des potes? Tu penses vraiment que ton mécano jeune retraité regrette son patron et n'est pas capable d'aller dans une casse pour s'acheter des pièces, retaper des motos et les garder ou les vendre après? 

 

Comprendre le libéralisme dans sa globalité c'est comprendre que l'ouvrier se met dans la merde lui même en courant après son pouvoir d'achat: il veut acheter moins cher, un patron délocalise pour fabriquer moins cher, il se retrouve au chomage, il est obligé d'acheter moins cher, d'autres patrons délocalisent... Le FN pense sottement (fait du moins croire aux sots) qu'il suffit de fermer les frontières et hop on se retrouve dans le village d'Amélie Poulain "entre nous" et on a tous du travail et des bons produits frais bien de chez nous... Mais qui sont ces pauvres cons qui croient à ça? Un coup de baguette magique et hop... Mais qui sont ces gens qui ont délocaliser? Des bons et riches français comme nous. Comme si la finance française était gentille alors que la finance internationale représentait le danger... Mais relisez les misérables ou Germinal: qui sont ces gens qui exploitent la misère humaine? Des juifs? Des arabes? Des chinois? Que nenni: des français!!! France Télécom qui pousse ses employés au suicide, des français... La société général qui spécule et vire ses tradders... des français...

 

Notre ennemi n'est pas l'immigration, elle ne l'a jamais été... c'est la cupidité des cons. 

 

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 7 minutes, Skanderbeg a dit :

C'est à dire ?

Les immigrés sont là par la volonté "des riches" au détriment des autres. Le Medef réclame toujours plus d'immigration, plus il y a de demande sur le marché du travail et plus l'employeur est en position de force.

La France distribue des visas de travail pour faire le boulot que les français ne veulent ou ne peuvent pas faire. Il y a des quottas, l'immigration du travail est maitriser et plus aucun promoteur immobilier ne va risquer de bloquer un projet à plusieurs centaines de millions d'euros pour économiser en prenant des gens au black, c'est fini... En outre il faut une immigration pour compenser la perte des départs des français vers l'étranger. Il faut encore une immigration étudiante que ce soit pour former des médecins là où on en manque ou pour que les pays qui nous envoie des étudiants (qui font vivre en parti nos villes) puissent retrouver des gens avec une solide formation universitaire. 

 

Et oui, l'immigration c'est bon pour tout le monde. Après il reste les imbéciles persuadés que l'immigration c'est un truc du patronat, comme si tu pouvais filer du boulot à un immigré qui n'est pas formé et qui parle un français approximatif. Le BTP, la sécurité, la restauration recrutent des étrangers mais libre aux français d'y aller aussi... On a plein de chomeurs, le FN peut sans doute obliger les français a accepter ces boulots... 

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Membre, 77ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 6 129 messages
Forumeur vétéran‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Kutta a dit :

Je me permets de poser la question suite à ce post:

"Je vais t'apprendre une chose que tu ignore, l'être humain est forgé par son expérience et son éducation.Concrètement ça se traduit comme ça : tu lui donne une éducation qui dit que le travail est récompensé, mais comme en fait il ne l'est pas, il déchante, pense qu'on lui a menti, refuse de faire des efforts et vote FN."

Est-ce que les gens qui refusent de faire des "efforts" dans le domaine professionnel s'orientent inexorablement vers le FN? Est-ce un trait commun à ses électeurs? En d'autres termes, est ce qu'une personne déçu professionnellement a plus de chances de voter pour ce parti? Témoinages? Expériences?

A mon sens rien de plus faux ! La véritable question est : Est-ce qu'il y a une véritable justice sociale ainsi que les mêmes droits entre les Français ? La réponse est non ! Régimes spéciaux, fonctionnaires, 2 catégories protégées et les autres, le secteur privé, qui non seulement finance les protégés, mais n'a que les droits à la précarité et au chômage. Rajouté à cela que la diversité et les migrants, réguliers ou non, donne le sentiment qu'ils sont mieux aidés que les Français...et le cocktail est plein.

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Invité Kutta
Invités, Posté(e)
Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
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Il y a 4 heures, Crabe_fantome a dit :

 

Les artisans oui parce que quelque part ils sont aussi chef de leur entreprise, ils ont un savoir faire qu'ils peuvent vendre... Un ouvrier par contre heureux de toucher un smic pour que son patron puisse aller skier à Courch' cet hiver, franchement j'en connais pas... Que ce soit "pas si terrible que ça" c'est peut être le maximum que je peux entendre.

Ces artisans sont libre de bosser comme ils le souhaitent... Ils peuvent aussi s'occuper durant leur retraite, personne ne va les obliger à aller pécher ou regarder les émissions des chômeurs l'après midi. T'es pas non plus obligé d'avoir un patron pour te dire quoi faire... Il a pas des gamins qui retapent une maison? Il a pas des voisins à aider? Il a pas une vieille peugeot à retaper avec des potes? Tu penses vraiment que ton mécano jeune retraité regrette son patron et n'est pas capable d'aller dans une casse pour s'acheter des pièces, retaper des motos et les garder ou les vendre après? 

 

Comprendre le libéralisme dans sa globalité c'est comprendre que l'ouvrier se met dans la merde lui même en courant après son pouvoir d'achat: il veut acheter moins cher, un patron délocalise pour fabriquer moins cher, il se retrouve au chomage, il est obligé d'acheter moins cher, d'autres patrons délocalisent... Le FN pense sottement (fait du moins croire aux sots) qu'il suffit de fermer les frontières et hop on se retrouve dans le village d'Amélie Poulain "entre nous" et on a tous du travail et des bons produits frais bien de chez nous... Mais qui sont ces pauvres cons qui croient à ça? Un coup de baguette magique et hop... Mais qui sont ces gens qui ont délocaliser? Des bons et riches français comme nous. Comme si la finance française était gentille alors que la finance internationale représentait le danger... Mais relisez les misérables ou Germinal: qui sont ces gens qui exploitent la misère humaine? Des juifs? Des arabes? Des chinois? Que nenni: des français!!! France Télécom qui pousse ses employés au suicide, des français... La société général qui spécule et vire ses tradders... des français...

 

Notre ennemi n'est pas l'immigration, elle ne l'a jamais été... c'est la cupidité des cons. 

 

Peut être parce que les gens mettent sous l'étiquette "immigrés" le migrant de Calais, le riche investisseur allemand établi depuis plusieurs décennies, l'arabe du coin qui tient une épicerie, le chinois qui a un bac +5, l'africain qui occupe un bon poste, l'arabe devenu djihadiste. Bref, une étiquette qui renferme tous les cas de figures et qu'on rejette parfois dans sa globalité souvent pour des raisons inavouées (car inavouables): une forme de peur peut être, un racisme latent basé sur le rejet de la différence, la jalousie ou tout simplement le patriotisme (ou un mélange de tout ça?). Bien sûr, ces raisons inavouables se cachent derrière des arguments économiques et sociaux (le coût de l'immigration, les problèmes d'intégration) qui se répercutent donc au niveau politique, et à juste titre car il est vrai en effet qu'une immigration anarchique est un désastre. Mais le problème c'est qu'on ne prend pas en compte tous les cas de figures où l'immigration et l'intégration ont été une franche réussite. Au lieu de chercher à répliquer ce succès, on préfère fermer les portes de l'emploi et plus globalement, les frontières au nom de la préférence nationale (et donc, parfois, au détriment du bon sens). 

 

 

 

 

 

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Invité Kutta
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Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
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Il y a 5 heures, Skanderbeg a dit :

C'est à dire ?

Les immigrés sont là par la volonté "des riches" au détriment des autres. Le Medef réclame toujours plus d'immigration, plus il y a de demande sur le marché du travail et plus l'employeur est en position de force.

Oui, et donc certains "pauvres" se retrouvent donc en concurrence sur le marché de l'emploi, ce qui les poussent à se différencier des autres étrangers. C'est plutôt une bonne chose dans l'absolu. Si un employeur n'emploie que les meilleurs (et ce, quelque soit leur origine), son entreprise n'a t-elle pas plus de chances de devenir la meilleure? 

L'emoloyé sera toujours en position de faiblesse s'il ne développe pas d'avantage compétitif (et pas seulement face aux étrangers). 

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Invité Kutta
Invités, Posté(e)
Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
Posté(e)
il y a 23 minutes, Scrongneugneu a dit :

A mon sens rien de plus faux ! La véritable question est : Est-ce qu'il y a une véritable justice sociale ainsi que les mêmes droits entre les Français ? La réponse est non ! Régimes spéciaux, fonctionnaires, 2 catégories protégées et les autres, le secteur privé, qui non seulement finance les protégés, mais n'a que les droits à la précarité et au chômage. Rajouté à cela que la diversité et les migrants, réguliers ou non, donne le sentiment qu'ils sont mieux aidés que les Français...et le cocktail est plein.

Qu'est ce qui est faux précisément?

Tu te sens victimes de tout ça?

Tu parles de "diversité" et de "migrants". Deux choses différentes. 

C'est quoi la diversité? En quoi serait elle mieux servie que les Français? Et en quoi les migrants seraient mieux lotis que les Français? (On en a parlé ailleurs mais tu pourrais nous redire tes arguments?).

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Membre, 38ans Posté(e)
Saint-Just Membre 576 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)
Portrait-type =>

Il est tout de même sacrément surprenant de ne jamais entendre parler de certains thèmes d’une actualité pourtant brûlante dans nos mouvances… Celui qu’on appellera, par facilité de langage, le thème des « cas sociaux » est un bon exemple. Il n’y a pas non plus que l’immigration qui détruit notre pays, n’est-ce pas ?

Nous allons définir ce que nous entendons par « cas sociaux » directement, afin que les quelques considérations qui suivent soient claires. C’est une sorte de nouvelle classe de la population blanche, issue majoritairement des milieux populaires (mais pas seulement et ne se calquant pas forcément sur eux) se distinguant avant tout par son caractère vulgaire que l’on retrouve tant dans son apparence que dans ses aspirations ou façons de vivre. Ils constituent aujourd’hui une importante partie de la population de notre pays qui, à l’image des White Trash anglo-saxons, dégénère peu à peu et ne fait que s’enfoncer dans la médiocrité d’une époque ne proposant, il faut bien le reconnaître, pas grand-chose d’autre… Fruits du chômage de masse et de la précarisation qui touchent la France depuis des années, de la merde télévisée servie jusqu’à plus faim et de la société de consommation ne proposant que des rêves en carton à une population coupée de toutes ses racines ainsi que, de plus en plus, de toute valeur. C’est aussi ça, le legs de la déchristianisation dans nos pays. Les gens simples suivent toujours le modèle dominant de la société dans laquelle ils vivent. Avant, c’était le christianisme et ses valeurs, de nos jours, c’est le libéralisme et son mode de vie… Et quel mode de vie ! Nourris au Lidl, au foot tendance Ribéry, à la musique de supermarché, au matérialisme de babioles made in China et finalement au néant intellectuel, nos cas soc’ sont bien le low cost de la population.

Le « phénomène » cas soc’ n’est pourtant pas l’apanage d’un seul type de population mais se conjugue à plusieurs niveaux sociaux et, telle une gangrène, envahit et infecte notre pays. En voici quelques exemples.

Le premier type de cas soc’ est celui du parasitisme social transmis de génération en génération, où l’on assiste littéralement à une apologie de l’oisiveté et de la pollution sociale. L’individu de ce premier type est fier de ne rien faire et utilise la seule once d’intelligence qu’il possède à magouiller et utiliser au maximum les rouages d’un système d’aide outrancier. Les travailleurs sont à ses yeux des idiots, les « riches », il les exècre et son attitude belliqueuse vient du fait qu’il estime que tout lui est dû, fort des aides à tous niveaux (juridictionnelle etc.) qu’il reçoit de la part d’un système complice.

Le « cas social travailleur » est également très présent dans notre société. Content de son esclavagisme, satisfait de son métier abrutissant qu’il défend bec et ongles (les fameux excès de zèle si communs dans les usines…), il est totalement différent du « simple ouvrier » d’avant qui, lui, était digne. Dans un monde ouvrier supposé souder les travailleurs entre eux (entraide, solidarité, lutte syndicale…), notre « cas social travailleur », suintant la jalousie et la petitesse, n’hésite pas, dans sa vie de tous les jours, à écraser son prochain à coups de délation et de commérages. A croire que le boulot d’esclave que le système lui a gracieusement accordé est l’alpha et l’omega de sa vie…

Nous pourrions également faire une parenthèse et mentionner le cas du travailleur qui a bien conscience qu’il est en train de se faire entuber au regard de son (très) maigre salaire et de la conjoncture économique démente qui lui laisse, pour vivre jusqu’à la fin du mois, un découvert ou une interdiction bancaire. Donc peu à peu, celui-ci a tendance à glisser vers une envie de ne plus travailler et de devenir à son tour un parasite puisqu’après tout, il sait que le cas social du premier type vit mieux que lui !

Il est par ailleurs important de mettre en lumière ce que l’on appellera la « cas-social attitude » qui touche, quant à elle, un large spectre de strates sociales et qui, en première instance, nous arrive tout droit de notre chère nourrice cathodique qui est littéralement devenue le Grand Guide de toute famille. Nous retrouverons ainsi l’ingénieur vociférer un « Nan mais allô quoi !? », l’infirmier expliquer à ses collègues qu’il se « détend » devant Les Chtis à Las Vegas, et le chômeur se prélasser « parce qu’il a bien mérité son repos forcé » devant les téléfilms mettant en avant tous les vices du monde moderne. Sans compter que leurs enfants sont victimes dès le plus jeune âge d’un abrutissement massif programmé, cautionné par leurs parents qui ne savent plus les occuper autrement.

Mis à part les programmes TV les plus abrutissants qui soient, force est de constater qu’il existe une culture et un mode de vie « cas-social » qui empire d’année en année au gré de la décadence de « notre » société. C’est, souvent, une affaire d’apparence où la vulgarité et l’absence de goût, règnent sans partage. Voyez les processions de poussettes conduites par des tromblons en survêtement, ou pire, en mini-jupe talons de mauvais casting porno, la clope au bec et l’œil torve, hurlant voire insultant leur marmaille sale et déguenillée ; les ados rachitiques, enceintes à 14 ans d’on ne sait qui, fagotées en fringues fluos du marché, à la chevelure douteuse qui passe du blond pisse au noir corbeau ; les hommes au visage vérolé par l’alcool mélangeant les styles vestimentaires propres à trois marqueurs musicaux phares de la « berloulerie » : le rap, la techno et Johnny Halliday, bien souvent fans de tunning… et de foot. (D’ailleurs, on associe souvent, malheureusement, à nos idées deux types de cas soc’ qui se caractérisent eux-aussi par la débilité et, souvent, une affligeante bassesse : les gabbers et certains « skinheads »… Chacun sa gangrène…)

Les cas sociaux sont partagés, sans jonction aucune, entre une attirance facilement outrancière pour le luxe (voitures, i-phones, écrans plats etc.) et un manque inexorable de goût pour le reste (habits, maquillage, nourriture), n’étant pas suffisamment éveillés pour faire la part des choses. D’ailleurs, ils tournent en ridicule tout ce qui est synonyme d’élévation intellectuelle ou spirituelle (lecture, études, religion), préférant de loin adopter sans réfléchir la sous-culture américaine dans ce qu’elle possède de plus bas (voyez les prénoms des enfants majoritairement tirés des plus mauvaises séries).

Leur vide cérébral les amène facilement à tous les vices : tabagisme, alcoolisme, drogues… d’où découlent également un total manque de discernement au niveau relationnel, un manque de conscience qui les mène bien souvent à la maltraitance poussée à l’extrême, aux déviances sexuelles, et autres dégénérescences pouvant faire d’eux de véritables dangers pour tout ce qui les entoure. Les exemples ne manquent pas.

Chaque époque a certes eu droit à son lot d’êtres décérébrés, victimes inconscientes des plus mauvais aspects d’un mode de fonctionnement sociétal inadéquat, mais, jamais nous n’étions arrivés à un tel pourcentage de déchets sociaux ! Nos anciens, il y a quelques décennies encore, étaient bien plus pauvres que les cas soc’ évoqués plus haut, mais ne tombaient pas dans le laisser-aller vulgaire auquel on assiste depuis, grosso-modo, les années 1980. Ils étaient déjà largement plus dignes (par exemple dans nos corons du Nord), savaient s’entraider (car non-pourris par l’individualisme), étaient malins, courageux et cherchaient à évoluer intellectuellement en prenant soin de montrer à leurs enfants ô combien il était important de sortir de la misère induite par leur condition sociale modeste. Autre époque, autre société, finalement pas si lointaine mais qui ne centrait pas les aspirations humaines à l’hédonisme bon marché et incapacitant ou à la légèreté pleinement assumée. La vie de nos anciens n’était pas basée sur le matérialisme, mais était plus spirituelle et surtout, communautaire. On vivait ensemble, on luttait ensemble, on partageait le pain et les valeurs ensemble.

Le système n’a pas cherché à tirer les gens vers le haut, bien au contraire, il les a encouragés à descendre plus bas encore dans la décrépitude de leur vie en en faisant de simples individualistes consommateurs. Il faut bien réaliser, à propos de ce dernier aspect, qu’économiquement, la consommation est portée par les cas soc’ -qui finalement, ont plus de pouvoir d’achat que nous- ainsi que par les classes aisées, alliées à l’oligarchie. Ce sont elles qui entretiennent majoritairement la société de consommation actuelle (pendant que les classes moyennes et modestes paient pour tout le monde). Et comme, en consommant des merdes, elles s’abrutissent toujours davantage, le système bénéficie avec elles de supporters loyaux et stupides qui, pour rien au monde, ne voudraient le voir tomber. Indéniablement, les cas soc’ sont les clients du système qui a trouvé avec eux de quoi parfaire son double objectif : décérébrer la population pour mieux la contrôler (un peu comme avec les « prolétaires » du livre visionnaire d’Orwell : « 1984 ») tout en en tirant un avantage économique certain. Considérant à quel point les cas sociaux se multiplient et prennent une part toujours plus importante dans la population blanche de notre pays, on peut légitimement les voir comme une arme du système.

 

 

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Invité Kutta
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Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
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il y a 4 minutes, Saint-Just a dit :
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Il est tout de même sacrément surprenant de ne jamais entendre parler de certains thèmes d’une actualité pourtant brûlante dans nos mouvances… Celui qu’on appellera, par facilité de langage, le thème des « cas sociaux » est un bon exemple. Il n’y a pas non plus que l’immigration qui détruit notre pays, n’est-ce pas ?

Nous allons définir ce que nous entendons par « cas sociaux » directement, afin que les quelques considérations qui suivent soient claires. C’est une sorte de nouvelle classe de la population blanche, issue majoritairement des milieux populaires (mais pas seulement et ne se calquant pas forcément sur eux) se distinguant avant tout par son caractère vulgaire que l’on retrouve tant dans son apparence que dans ses aspirations ou façons de vivre. Ils constituent aujourd’hui une importante partie de la population de notre pays qui, à l’image des White Trash anglo-saxons, dégénère peu à peu et ne fait que s’enfoncer dans la médiocrité d’une époque ne proposant, il faut bien le reconnaître, pas grand-chose d’autre… Fruits du chômage de masse et de la précarisation qui touchent la France depuis des années, de la merde télévisée servie jusqu’à plus faim et de la société de consommation ne proposant que des rêves en carton à une population coupée de toutes ses racines ainsi que, de plus en plus, de toute valeur. C’est aussi ça, le legs de la déchristianisation dans nos pays. Les gens simples suivent toujours le modèle dominant de la société dans laquelle ils vivent. Avant, c’était le christianisme et ses valeurs, de nos jours, c’est le libéralisme et son mode de vie… Et quel mode de vie ! Nourris au Lidl, au foot tendance Ribéry, à la musique de supermarché, au matérialisme de babioles made in China et finalement au néant intellectuel, nos cas soc’ sont bien le low cost de la population.

Le « phénomène » cas soc’ n’est pourtant pas l’apanage d’un seul type de population mais se conjugue à plusieurs niveaux sociaux et, telle une gangrène, envahit et infecte notre pays. En voici quelques exemples.

Le premier type de cas soc’ est celui du parasitisme social transmis de génération en génération, où l’on assiste littéralement à une apologie de l’oisiveté et de la pollution sociale. L’individu de ce premier type est fier de ne rien faire et utilise la seule once d’intelligence qu’il possède à magouiller et utiliser au maximum les rouages d’un système d’aide outrancier. Les travailleurs sont à ses yeux des idiots, les « riches », il les exècre et son attitude belliqueuse vient du fait qu’il estime que tout lui est dû, fort des aides à tous niveaux (juridictionnelle etc.) qu’il reçoit de la part d’un système complice.

Le « cas social travailleur » est également très présent dans notre société. Content de son esclavagisme, satisfait de son métier abrutissant qu’il défend bec et ongles (les fameux excès de zèle si communs dans les usines…), il est totalement différent du « simple ouvrier » d’avant qui, lui, était digne. Dans un monde ouvrier supposé souder les travailleurs entre eux (entraide, solidarité, lutte syndicale…), notre « cas social travailleur », suintant la jalousie et la petitesse, n’hésite pas, dans sa vie de tous les jours, à écraser son prochain à coups de délation et de commérages. A croire que le boulot d’esclave que le système lui a gracieusement accordé est l’alpha et l’omega de sa vie…

Nous pourrions également faire une parenthèse et mentionner le cas du travailleur qui a bien conscience qu’il est en train de se faire entuber au regard de son (très) maigre salaire et de la conjoncture économique démente qui lui laisse, pour vivre jusqu’à la fin du mois, un découvert ou une interdiction bancaire. Donc peu à peu, celui-ci a tendance à glisser vers une envie de ne plus travailler et de devenir à son tour un parasite puisqu’après tout, il sait que le cas social du premier type vit mieux que lui !

Il est par ailleurs important de mettre en lumière ce que l’on appellera la « cas-social attitude » qui touche, quant à elle, un large spectre de strates sociales et qui, en première instance, nous arrive tout droit de notre chère nourrice cathodique qui est littéralement devenue le Grand Guide de toute famille. Nous retrouverons ainsi l’ingénieur vociférer un « Nan mais allô quoi !? », l’infirmier expliquer à ses collègues qu’il se « détend » devant Les Chtis à Las Vegas, et le chômeur se prélasser « parce qu’il a bien mérité son repos forcé » devant les téléfilms mettant en avant tous les vices du monde moderne. Sans compter que leurs enfants sont victimes dès le plus jeune âge d’un abrutissement massif programmé, cautionné par leurs parents qui ne savent plus les occuper autrement.

Mis à part les programmes TV les plus abrutissants qui soient, force est de constater qu’il existe une culture et un mode de vie « cas-social » qui empire d’année en année au gré de la décadence de « notre » société. C’est, souvent, une affaire d’apparence où la vulgarité et l’absence de goût, règnent sans partage. Voyez les processions de poussettes conduites par des tromblons en survêtement, ou pire, en mini-jupe talons de mauvais casting porno, la clope au bec et l’œil torve, hurlant voire insultant leur marmaille sale et déguenillée ; les ados rachitiques, enceintes à 14 ans d’on ne sait qui, fagotées en fringues fluos du marché, à la chevelure douteuse qui passe du blond pisse au noir corbeau ; les hommes au visage vérolé par l’alcool mélangeant les styles vestimentaires propres à trois marqueurs musicaux phares de la « berloulerie » : le rap, la techno et Johnny Halliday, bien souvent fans de tunning… et de foot. (D’ailleurs, on associe souvent, malheureusement, à nos idées deux types de cas soc’ qui se caractérisent eux-aussi par la débilité et, souvent, une affligeante bassesse : les gabbers et certains « skinheads »… Chacun sa gangrène…)

Les cas sociaux sont partagés, sans jonction aucune, entre une attirance facilement outrancière pour le luxe (voitures, i-phones, écrans plats etc.) et un manque inexorable de goût pour le reste (habits, maquillage, nourriture), n’étant pas suffisamment éveillés pour faire la part des choses. D’ailleurs, ils tournent en ridicule tout ce qui est synonyme d’élévation intellectuelle ou spirituelle (lecture, études, religion), préférant de loin adopter sans réfléchir la sous-culture américaine dans ce qu’elle possède de plus bas (voyez les prénoms des enfants majoritairement tirés des plus mauvaises séries).

Leur vide cérébral les amène facilement à tous les vices : tabagisme, alcoolisme, drogues… d’où découlent également un total manque de discernement au niveau relationnel, un manque de conscience qui les mène bien souvent à la maltraitance poussée à l’extrême, aux déviances sexuelles, et autres dégénérescences pouvant faire d’eux de véritables dangers pour tout ce qui les entoure. Les exemples ne manquent pas.

Chaque époque a certes eu droit à son lot d’êtres décérébrés, victimes inconscientes des plus mauvais aspects d’un mode de fonctionnement sociétal inadéquat, mais, jamais nous n’étions arrivés à un tel pourcentage de déchets sociaux ! Nos anciens, il y a quelques décennies encore, étaient bien plus pauvres que les cas soc’ évoqués plus haut, mais ne tombaient pas dans le laisser-aller vulgaire auquel on assiste depuis, grosso-modo, les années 1980. Ils étaient déjà largement plus dignes (par exemple dans nos corons du Nord), savaient s’entraider (car non-pourris par l’individualisme), étaient malins, courageux et cherchaient à évoluer intellectuellement en prenant soin de montrer à leurs enfants ô combien il était important de sortir de la misère induite par leur condition sociale modeste. Autre époque, autre société, finalement pas si lointaine mais qui ne centrait pas les aspirations humaines à l’hédonisme bon marché et incapacitant ou à la légèreté pleinement assumée. La vie de nos anciens n’était pas basée sur le matérialisme, mais était plus spirituelle et surtout, communautaire. On vivait ensemble, on luttait ensemble, on partageait le pain et les valeurs ensemble.

Le système n’a pas cherché à tirer les gens vers le haut, bien au contraire, il les a encouragés à descendre plus bas encore dans la décrépitude de leur vie en en faisant de simples individualistes consommateurs. Il faut bien réaliser, à propos de ce dernier aspect, qu’économiquement, la consommation est portée par les cas soc’ -qui finalement, ont plus de pouvoir d’achat que nous- ainsi que par les classes aisées, alliées à l’oligarchie. Ce sont elles qui entretiennent majoritairement la société de consommation actuelle (pendant que les classes moyennes et modestes paient pour tout le monde). Et comme, en consommant des merdes, elles s’abrutissent toujours davantage, le système bénéficie avec elles de supporters loyaux et stupides qui, pour rien au monde, ne voudraient le voir tomber. Indéniablement, les cas soc’ sont les clients du système qui a trouvé avec eux de quoi parfaire son double objectif : décérébrer la population pour mieux la contrôler (un peu comme avec les « prolétaires » du livre visionnaire d’Orwell : « 1984 ») tout en en tirant un avantage économique certain. Considérant à quel point les cas sociaux se multiplient et prennent une part toujours plus importante dans la population blanche de notre pays, on peut légitimement les voir comme une arme du système.

 

 

 

Quid de la corrélation entre les cas sociaux et les intentions de vote?

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Membre, 77ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 6 129 messages
Forumeur vétéran‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 42 minutes, Kutta a dit :

Qu'est ce qui est faux précisément?

Tu te sens victimes de tout ça?

Tu parles de "diversité" et de "migrants". Deux choses différentes. 

C'est quoi la diversité? En quoi serait elle mieux servie que les Français? Et en quoi les migrants seraient mieux lotis que les Français? (On en a parlé ailleurs mais tu pourrais nous redire tes arguments?).

Il semblerait que tu n'as pas bien compris mes dires. J'ai bien parlé de sentiment ou ressentit des gens "d'en bas" sur une certaine injustice sociale qui ne concours pas à se décarcasser à bosser. Les feignasses, comme tu dis, ne sont pas forcément de ce bord politique. Certains fonctionnaires ( heureusement pas tous ), du fait de l'absence de jours de carences profitent du système, avec la complicité des médecins pour se mettre en arrêt maladie, à l'occasion d'un pont ou lors de vacances scolaires. C'est un exemple. Autre exemple, le bougnat comme moi a ce triste sentiment d'être un crétin de Français dès lors qu'être noir ou café au lait est davantage considéré. Sentiment ( là aussi ) partagé par la majorité de mon entourage.

Si comme la première phrase des droits de l'homme qui dit que nous naissons tous égaux en droit, à l'évidence, arrivé à l'age adulte, les droits ne sont pas les mêmes. Pour mémoire, les régimes spéciaux qui partent à la retraite entre 5 et 10 ans plus tôt que le privé, à taux plein et avec certains avantages à vie, est-ce normal ? Les fonctionnaires sont protégés en matière d'emploie et quasiment invirable, est-ce normal ? 

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Membre, 35ans Posté(e)
Litteul Kevin Membre 218 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Kutta a dit :

Bon, je réagissais à la citation de la personne qui associe le vote FN à la misère professionnelle donc sociale et qui illustrait son propos par ses exemples personnels tournés vers l'échec. À la base, il n'était pas question du FN mais j'ai trouvé ça assez rigolo et osé de qualifier le vote FN comme un vote de désespérés. (Je me demandais alors si certains pensaient comme lui).

Les votes extrêmes ont toujours été des votes désespérés.

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Membre, 38ans Posté(e)
Saint-Just Membre 576 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Kutta a dit :

 

Quid de la corrélation entre les cas sociaux et les intentions de vote?

Un bel ajout pour un éventuel blog.

il y a 9 minutes, Litteul Kevin a dit :

Les votes extrêmes ont toujours été des votes désespérés.

De manière générale oui.

 

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Membre, 38ans Posté(e)
Saint-Just Membre 576 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)

S'agissant de l'électorat FN , J'invite la plupart à se rendre sur la page FB de Marine Le Pen pour se rendre  compte de quoi et de qui il est constitué.

 

 

Modifié par Saint-Just
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Invité Kutta
Invités, Posté(e)
Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Saint-Just a dit :

Un bel ajout pour un éventuel blog.

De manière générale oui.

 

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