Avant, c'était mieux ! Mythe ou réalité ?

Mais oui bien sûr.

Embrasse ta belle-sœur pour moi...

Laquelle? :cool:

Le fait est que pour ceux d'entre nous qui ont connu les paysans des années 50 et ceux d'aujourd'hui, c'est hallucinant !

Quand je vois des jeunes gars à lunettes d'intellectuels, semblant sortir de l'université, juchés sur leurs tracteurs j'ai les yeux écarquillés ! Deux mondes si différents...

Sur le plan de l'éveil, de la culture générale etc...je doute fort qu'ils puissent envier leurs ainés, mais je ne suis pas sûr qu'ils en savent autant qu'eux sur les choses de la "nature".

Ils savent...la plupart sont des descendants...ils y vivent avant que de le devenir!

Rares sont ceux qui n'en viennent pas!

Vous savez sans doute qu'il existe des tracteurs connectés qui bossent touts seuls?

http://www.pleinchamp.com/actualites-generales/actualites/l-agriculture-connectee-big-tracteur

On les trouve également dans les bâtiments, dans les champs ou encore sur les animaux. Dans les champs, les systèmes de géolocalisation par satellite (GPS) constituent le point de départ du Big data. Ils permettent de faire le lien entre une position centimétrique dans une parcelle et toutes les opérations culturales qui y sont associées, du travail du sol à la récolte en passant par le semis, la protection, la fertilisation, l’irrigation…

Les ordres de travaux transitent via le réseau téléphonique de l’exploitation vers le tracteur connecté, la moissonneuse-batteuse connectée, le système d’irrigation connecté…

Lesquels adressent en retour leur rapport d’application une fois le chantier réalisé. Finie l’astreinte des saisies. Place à la modulation intra-parcellaire, à l’optimisation de la logistique, à la maintenance à distance, à l’agriculture de haute précision.

Animaux connectés

L’élevage n’est pas en reste. La boucle électronique fixée à l’oreille des animaux constitue dans ce secteur le premier maillon du Big data. Le sésame pour identifier chaque animal et le préalable pour automatiser la traite, pour optimiser la reproduction grâce au monitoring des chaleurs et du vêlage, pour suivre les performances laitières en temps réel grâce aux compteurs et analyseurs de lait, pour piloter au plus juste l’alimentation grâce aux

Tiré du lien!

C'était mieux parce que les souvenirs ont vocation à être idéalisés, ou minimisés, c'est selon.

Et parce que le temps qui passe rapproche de l'inéluctable.

Il y a des choses mieux et d'autres moins bien. Et ce ne seront pas les mêmes selon les individus...

Bien sûr, et certains paysans étaient capable de disserter avec une grande intelligence de choses qu'ils avaient croisé et pensé.

De vécus qui leur appartenaient et que les citadins ignoraient

(et vice-versa etc)

Aujourd'hui le paysan cause de ce qu'il voit à la télé tout comme le citadin, soit l'un comme l'autre de trucs qu'ils n'ont jamais vu ou touché ni de près ni de loin : c'est une partie essentielle de ce qui fait leur univers de pensée et donc l'image qu'ils se font des autres et d'eux-mêmes... image donc directement déconnectée de tout vécu et ne portant que sur les façon de croire et de raisonner... en la comparant aussitôt aux autres opinions et sans le temps du murissement.

Un bavardage incessant...

.

En un mot, aujourd'hui ils sont formatés par TF1 et pas qu'eux.

En un mot, aujourd'hui ils sont formatés par TF1 et pas qu'eux.

Oui mais ce que j'essaie d'introduire, c'est que TF1 est tout autant formaté et que personne n'est au commande de ce processus... il se fait (quasiment) tout seul. Quand bien même il y aurait des gens que ça arrange et qui s'en servent voire l'amplifient, ils sont eux-mêmes coincés dans le processus...

Laquelle? :cool:

Ils savent...la plupart sont des descendants...ils y vivent avant que de le devenir!

Rares sont ceux qui n'en viennent pas!

Vous savez sans doute qu'il existe des tracteurs connectés qui bossent touts seuls?

http://www.pleinchamp.com/actualites-generales/actualites/l-agriculture-connectee-big-tracteur

On les trouve également dans les bâtiments, dans les champs ou encore sur les animaux. Dans les champs, les systèmes de géolocalisation par satellite (GPS) constituent le point de départ du Big data. Ils permettent de faire le lien entre une position centimétrique dans une parcelle et toutes les opérations culturales qui y sont associées, du travail du sol à la récolte en passant par le semis, la protection, la fertilisation, l’irrigation…

Les ordres de travaux transitent via le réseau téléphonique de l’exploitation vers le tracteur connecté, la moissonneuse-batteuse connectée, le système d’irrigation connecté…

Lesquels adressent en retour leur rapport d’application une fois le chantier réalisé. Finie l’astreinte des saisies. Place à la modulation intra-parcellaire, à l’optimisation de la logistique, à la maintenance à distance, à l’agriculture de haute précision.

Animaux connectés

L’élevage n’est pas en reste. La boucle électronique fixée à l’oreille des animaux constitue dans ce secteur le premier maillon du Big data. Le sésame pour identifier chaque animal et le préalable pour automatiser la traite, pour optimiser la reproduction grâce au monitoring des chaleurs et du vêlage, pour suivre les performances laitières en temps réel grâce aux compteurs et analyseurs de lait, pour piloter au plus juste l’alimentation grâce aux

Tiré du lien!

QUELLE HORREUR !!!

Evidemment SI on considère l'agriculture en général et l'élevage en particulier comme des "industries" comme les autres, on ne peut que se réjouir des progrès accomplis: gains de productivité, gains de temps etc...

Mais si l'on voit les choses sur un plan d'éthique la plus basique, j'ai presque envie de dire "d'humanité"...

Que la nourriture végétale, comme animale soient devenues des "marchandises comme les autres" (et c'est hélas le cas aujourd'hui) me répugne totalement, mais je vois mal le processus revenir en arrière.

Et dire que l'on importe de la nourriture bio faute d'une production suffisante en france. Si ces messieurs-dames de Bruxelles décidaient d'attribuer la totalité des subventions au secteur bio, les choses iraient nettement mieux !!

J'ai didscuté avec des agriculteurs recemment convertis dans le bio. Ils ont reconnu que ça demandait beaucoup plus de travail plus de soin et finalement plus "d'amour" mais pour rien au monde ils ne retourneraient à l'agriculture extensive...

Et en plus, à ma grande surprise, ils m'ont dit que les "rendements" étaient sensiblement les mêmes !! Alors ???

Heu ... avant quoi ?

Ce qui a disparu, je peux toujours le regretter.

Mais s'il reprenait la place de maintenant, peut-être bien que je regretterais encore le temps disparu.

Alors, je préfère faire en sorte que le temps présent me convienne ...

Si... enfin, moi, je me comprends ! :smile2:

T' as raison bibi ....

Quand tu vois ces villages que l' on traverse sans voir âme qui vive , pas un seul commerce , pas un seul mouvement , que c' en est est un crève coeur .

Il faut voir la vitalité qu' il y a dans le moindre village africain ou asiatique .... Ça bruisse de vie partout , c' est vivant , coloré , riant et rieur malgré une grande pauvreté . La grande distribution n' a pas encore tué la vie dans ces pays .

Oui , nos petites routes de France , avec leurs petites auberges , leurs relais routier aux serveuses à la cuisse légère , les paysage bucoliques qu' elles traversent , et leur superbes platanes tueurs d' automobilistes . Ça n' avait rien à voir avec ces autoroutes , rails pour bagnoles sans aucune poésie .

Mais les grandes surfaces n'ont pas seulement détruit la vie dans les villes, mais aussi tué les producteurs, enlaidi les paysages, réduit les homme en bêtes qui vont a la trayeuse (à fric ).

C'est une pitié !

Oui mais ce que j'essaie d'introduire, c'est que TF1 est tout autant formaté et que personne n'est au commande de ce processus... il se fait (quasiment) tout seul. Quand bien même il y aurait des gens que ça arrange et qui s'en servent voire l'amplifient, ils sont eux-mêmes coincés dans le processus...

Je ne le pense pas, je crois que ce processus est conscient et organisé. Il existe une nomenklatura qui nous prend pour des imbéciles que l'on peut manipuler à leur avantage.

Et ça marche, puisqu'ils votent pour eux et en redemandent.

Foutaises, ce sont pas les crimes qui démontrent quoi que ce soit, les gens sont de plus en plus violents, individuellement, au niveau relationnel, et pas qu'en France !

C'ètait beaucoup mieux avant, dans tous les bals du samedi soir, quand bien alcoolisés les mecs se mettaient des coup de poing sur le pif et finissaient quelques fois avec des couteaux..

Et apres ils rentraient en voiture, ils étaient bien bourrés.......

C'est du vécu...!!! J'y ai laissé quelques potes...

Si aujourd'hui les jeunes se comportaient comme cela, tous les rèseaux sociaux exploseraient de récriminations...

J'hésite à en parler car venant d'un milieu petit-bourgeois relativement aisé, mais je suis très nostalgique de cette france beaucoup moins riche, mais TELLEMENT plus humaine plus fraternelle et surtout plus NATURELLE. J'ai de très précieux souvenirs, à la campagne lorsque enfin libéré du carcan de mon "milieu" je cotoyais des gens "essentiels" dans le plus beau sens du terme.

Bien sûr nous étions "en vacances" et j'étais trop jeune pour me préoccuper de leurs vraies conditions de vie, mais ces gens là me manquent. Cruellement...

Et bien, moi j'ètais de se milieu plein de bon sens, ayant le sens de l'entraide et de la solidarité qui c'est vrai n'existe plus trop aujourd'hui.Par contre en ce qui concerne la qualité de vie, aujourd'hui, l'enfant même le plus pauvre vie comme un prince par rapport à nos conditions de vie..Pas d'eau courante, donc pas de salle de bain. un vieux poêle pour chauffer une grande maison pleine de courants d'air..Et le pereNoel qui bien souvent oubliait de passer...Nous n'étions pas trop malheureux car dans le village la plupart étaient comme nous. Mais c'était violent quand pour le goûter on amenait une tartine avec un morceau de fromage quand les fils d'ouvriers amenaient des CHOCO ....Et la violence c'était aussi parce que la maîtresse ne nous aimait pas trop, nous les enfants de paysans..On sentait la vache !!!

Mais au moins les titulaires du bac de cette époque savaient quelque chose .... Ils avaient une vraie instruction générale .

A l' époque , dans l' armée , un gars appelé qui avait le bac pouvait devenir aspirant et être officier de réserve. Aujourd' hui il reste deuxième pompe .

Peut on comparer ?? Le service d'un an avec un service de trois jours...

Le fait est que pour ceux d'entre nous qui ont connu les paysans des années 50 et ceux d'aujourd'hui, c'est hallucinant !

Quand je vois des jeunes gars à lunettes d'intellectuels, semblant sortir de l'université, juchés sur leurs tracteurs j'ai les yeux écarquillés ! Deux mondes si différents...

Sur le plan de l'éveil, de la culture générale etc...je doute fort qu'ils puissent envier leurs ainés, mais je ne suis pas sûr qu'ils en savent autant qu'eux sur les choses de la "nature".

Aller !!! Il y a 50 ans les paysans étaient tous débrouillards ..sinon ils étaient morts..Pas d'aides de lEurope ni de l'Etat...Juste les allocs qui bien souvent servaient à nourrir toute la famille et à payer les vêtements.. Le reste de l'argent passait dans l'exploitation.' Et un paysan n'achetait que s'il avait de l'argent.Les emprunts c'était pour les autres....Mais pour l'intelligence, c'était comme partout..Il y avait de tout..

C'ètait beaucoup mieux avant, dans tous les bals du samedi soir, quand bien alcoolisés les mecs se mettaient des coup de poing sur le pif et finissaient quelques fois avec des couteaux..

Et apres ils rentraient en voiture, ils étaient bien bourrés.......

C'est du vécu...!!! J'y ai laissé quelques potes...

Si aujourd'hui les jeunes se comportaient comme cela, tous les rèseaux sociaux exploseraient de récriminations...

Là, il faut VRAIMENT savoir de quoi on parle : as-tu réellement 60 ans, as-tu vécu ton enfance dans un milieu "difficile" et surtout :habites-tu dans une grande ville ou bien dans un petit village tranquille. J'ai passé 5 semaines au printemps dans l'Hérault, visité de charmants petits villages et je me serais cru sur une autre planète ! Un calme absolu, des enfants parlant presqu'à voix basse dans les cours d'école, pas un seul SDF, bref presque la france des années 60. Si j'habitais dans un tel endroit c'est sûr que je ne dirais pas "c'était mieux avant" !

Et de quelle violence parle-t-on ? pas des crimes, cambriolages et autres hold-ups, car là ça n'a guère changé...

Par contre si l'on parle des innombrables actes d'incivilité (cracher par terre, tager les murs, pisser dans les rues comme des chiens et j'en passe et des bien pires ! Si on parle de la drogue qui ne conçernait qu'un nombre infime d'usagers en 60

des merdeux de 10,12 ans qui trainent dans les rues jusqu'à 2 heures du matin, des innombrables voitures brûlées etc. etc.

Il faudrait 10 pages pour tout énumerer (j'allais oublier les fraudes en tous genres qui étaient très loin d'être aussi nombreuses "avant")

Alors si tout celà n'est pas de la VIOLENCE, je ne sais pas ce qu'il te faut ! C'est sur que pour un jeune citadin d'aujourd'hui qui est tellement habitué à cet univers et qui le trouve "normal" nos regards de baby-boomers ne signifie rien, mais les faits sont bien là, et à mon avis indiscutables ...

Là, il faut VRAIMENT savoir de quoi on parle : as-tu réellement 60 ans, as-tu vécu ton enfance dans un milieu "difficile" et surtout :habites-tu dans une grande ville ou bien dans un petit village tranquille. J'ai passé 5 semaines au printemps dans l'Hérault, visité de charmants petits villages et je me serais cru sur une autre planète ! Un calme absolu, des enfants parlant presqu'à voix basse dans les cours d'école, pas un seul SDF, bref presque la france des années 60. Si j'habitais dans un tel endroit c'est sûr que je ne dirais pas "c'était mieux avant" !

Et de quelle violence parle-t-on ? pas des crimes, cambriolages et autres hold-ups, car là ça n'a guère changé...

Par contre si l'on parle des innombrables actes d'incivilité (cracher par terre, tager les murs, pisser dans les rues comme des chiens et j'en passe et des bien pires ! Si on parle de la drogue qui ne conçernait qu'un nombre infime d'usagers en 60

des merdeux de 10,12 ans qui trainent dans les rues jusqu'à 2 heures du matin, des innombrables voitures brûlées etc. etc.

Il faudrait 10 pages pour tout énumerer (j'allais oublier les fraudes en tous genres qui étaient très loin d'être aussi nombreuses "avant")

Alors si tout celà n'est pas de la VIOLENCE, je ne sais pas ce qu'il te faut ! C'est sur que pour un jeune citadin d'aujourd'hui qui est tellement habitué à cet univers et qui le trouve "normal" nos regards de baby-boomers ne signifie rien, mais les faits sont bien là, et à mon avis indiscutables ...

Indiscutablement!

Là, il faut VRAIMENT savoir de quoi on parle : as-tu réellement 60 ans, as-tu vécu ton enfance dans un milieu "difficile" et surtout :habites-tu dans une grande ville ou bien dans un petit village tranquille. J'ai passé 5 semaines au printemps dans l'Hérault, visité de charmants petits villages et je me serais cru sur une autre planète ! Un calme absolu, des enfants parlant presqu'à voix basse dans les cours d'école, pas un seul SDF, bref presque la france des années 60. Si j'habitais dans un tel endroit c'est sûr que je ne dirais pas "c'était mieux avant" !

Et de quelle violence parle-t-on ? pas des crimes, cambriolages et autres hold-ups, car là ça n'a guère changé...

Par contre si l'on parle des innombrables actes d'incivilité (cracher par terre, tager les murs, pisser dans les rues comme des chiens et j'en passe et des bien pires ! Si on parle de la drogue qui ne conçernait qu'un nombre infime d'usagers en 60

des merdeux de 10,12 ans qui trainent dans les rues jusqu'à 2 heures du matin, des innombrables voitures brûlées etc. etc.

Il faudrait 10 pages pour tout énumerer (j'allais oublier les fraudes en tous genres qui étaient très loin d'être aussi nombreuses "avant")

Alors si tout celà n'est pas de la VIOLENCE, je ne sais pas ce qu'il te faut ! C'est sur que pour un jeune citadin d'aujourd'hui qui est tellement habitué à cet univers et qui le trouve "normal" nos regards de baby-boomers ne signifie rien, mais les faits sont bien là, et à mon avis indiscutables ...

On idéalise ce que l'on veut..Aussi bien son enfance que sa vie actuelle..

Oui j'ai 60 ans et ce que je raconté est une partie de mon enfance.Mais c'était la vie de village des années 70/80.. Aujourd'hui un enfant qui reçoit une claque par un maître est un enfant martyre .A notre époque si la maîtresse nous donnait une gifle, jamais on ne se serait plaint..On en aurait reçu une autre par les parents..

.Quand on faisait des bétises avec les enfants des voisins et que mon père nous surprenait, il nous courrait après et le dernier était celui qui recevait un coup de " villion" et personne n'aurait eut l'idée de se plaindre...On était loin, très loin d'être des anges..Rodéo sur les veaux, martyriser la bonne du château était des passe temps ordinaires..De temps en temps, caché derrière les buissons, lancer des cailloux au facteur qui passait à vélo, nous amusait beaucoup..

 aucun moment je n'idéalise une époque. Chaque époque à ses qualité et ses défaut.Juste dire que la violence est plus présente aujourd'hui me fait un peu sourire quand je pense qu'en 39/45 l'Europe était à feu et à sang..Et pas que l'Europe s'il m'en souvient..

Et qu'après guerre, mes oncles me racontaient qu'avec mon pere et leurs copains ils donnaient RV aux enfants dû villages d'â côté et qu'ils se bagarraient comme des chiffonniers..Beaucoup repartaient tout nus et égratignés de partout...

IMAGINEZ SEULEMENT..SI......Aujourd'hui les enfants se comportaient comme cela....

Je ne parle pas d'un village d'arriérés ni de débiles mentaux.Juste d'un village en Bresse et pas si petit que ça..1600 habitants....

Là, il faut VRAIMENT savoir de quoi on parle : as-tu réellement 60 ans, as-tu vécu ton enfance dans un milieu "difficile" et surtout :habites-tu dans une grande ville ou bien dans un petit village tranquille. J'ai passé 5 semaines au printemps dans l'Hérault, visité de charmants petits villages et je me serais cru sur une autre planète ! Un calme absolu, des enfants parlant presqu'à voix basse dans les cours d'école, pas un seul SDF, bref presque la france des années 60.

Alors là vous idéalisez.. Les enfants des villages sont ABSOLUMENT comme les enfants des villes dans la cour d'école..Il faut les surveiller comme le lait sur le feu..Ils sont aussi bien informés qu'en ville...Ma sœur instit dans un petit village mignon comme tout..Mais comme en ville elle a eut plusieurs fois obligation de signaler des comportements déviants, alerté les parents du jeu du foulard ....

C'était tellement bien avant...

Quand la firme Bayer achetait « des lots de femmes » à Auschwitz

PAR YANNIS YOULOUNTAS · 11/10/2016

Le capitalisme pue la mort et son histoire est une rivière de sang. Voilà, par exemple, le vrai visage de la firme colossale Bayer qui vient de se payer Monsanto pour 59 milliards d’euros :

QUAND LA FIRME BAYER ACHETAIT « DES LOTS DE FEMMES » À AUSCHWITZ

Sous le régime nazi, Bayer, alors filiale du consortium chimique IG Farben, procéda à de nombreuses expériences médicales sur des déportés qu’elle se procurait dans les camps de concentration.

Voici des extraits de cinq lettres adressées par la Maison Bayer au commandant du camp d’Auschwitz, publiées dans le numéro de février 1947 du Patriote Résistant.

Les lettres, trouvées à la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, datent d’avril-mai 1943.

Première lettre : » En vue d’expérimenter un soporifique, vous serait-il possible de mettre à notre disposition quelques femmes et à quelles conditions, toutes les formalités concernant le transfert de ces femmes seront faites par nous. »

Deuxième lettre : » Nous accusons réception de votre lettre. Considérant le prix de 200 marks exagérés, nous offrons 170 marks par sujet, nous aurions besoin de 150 femmes. «

Troisième lettre : » D’accord pour le prix convenu. Veuillez donc faire préparer un lot de 150 femmes saines que nous enverrons chercher très prochainement. «

Quatrième lettre : » Nous sommes en possession du lot de 150 femmes. Votre choix est satisfaisant quoique les sujets soient très amaigris et affaiblis. Nous vous tiendrons au courant du résultat des expériences. «

Cinquième lettre : » Les expériences n’ont pas été concluantes. Les sujets sont morts. Nous vous écrirons prochainement pour vous demander de préparer un autre lot. «

IG Farben, le consortium de Bayer, a également fournit aux nazis le Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz, et a massivement exploité la main-d’œuvre concentrationnaire dans ses usines.

Condamnée pour crimes contre l’humanité à Nuremberg, puis à la dissolution, IG Farben possède toujours un statut juridique, malgré son démantèlement entre les sociétés Bayer, BASF et Hôchst.

Et maintenant, à quand le Nuremberg du capitalisme ?

Y.Y.

Sources :http://www.cbgnetwork.org/163.htmlet http://bellaciao.org...p?article152015(merci Annie Chalmeton)

N&B – Paroxysme du pouvoir.

N&B – Qui est responsable ?

Partager :

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• Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)NI DIEU NI MAÎTRE, MÊME NAGEUR

03/10/2015Dans "Réflexions"

Censure à la fac du Mirail13/04/2016Dans "Coup de gueule"

Des anarchistes demandent officiellement la déchéance de la nationalité française22/01/2016Dans "Communiqués"

C'était tellement bien avant...

Quand la firme Bayer achetait « des lots de femmes » à Auschwitz

PAR YANNIS YOULOUNTAS · 11/10/2016

Le capitalisme pue la mort et son histoire est une rivière de sang. Voilà, par exemple, le vrai visage de la firme colossale Bayer qui vient de se payer Monsanto pour 59 milliards d’euros :

QUAND LA FIRME BAYER ACHETAIT « DES LOTS DE FEMMES » À AUSCHWITZ

Sous le régime nazi, Bayer, alors filiale du consortium chimique IG Farben, procéda à de nombreuses expériences médicales sur des déportés qu’elle se procurait dans les camps de concentration.

Voici des extraits de cinq lettres adressées par la Maison Bayer au commandant du camp d’Auschwitz, publiées dans le numéro de février 1947 du Patriote Résistant.

Les lettres, trouvées à la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, datent d’avril-mai 1943.

Première lettre : » En vue d’expérimenter un soporifique, vous serait-il possible de mettre à notre disposition quelques femmes et à quelles conditions, toutes les formalités concernant le transfert de ces femmes seront faites par nous. »

Deuxième lettre : » Nous accusons réception de votre lettre. Considérant le prix de 200 marks exagérés, nous offrons 170 marks par sujet, nous aurions besoin de 150 femmes. «

Troisième lettre : » D’accord pour le prix convenu. Veuillez donc faire préparer un lot de 150 femmes saines que nous enverrons chercher très prochainement. «

Quatrième lettre : » Nous sommes en possession du lot de 150 femmes. Votre choix est satisfaisant quoique les sujets soient très amaigris et affaiblis. Nous vous tiendrons au courant du résultat des expériences. «

Cinquième lettre : » Les expériences n’ont pas été concluantes. Les sujets sont morts. Nous vous écrirons prochainement pour vous demander de préparer un autre lot. «

IG Farben, le consortium de Bayer, a également fournit aux nazis le Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz, et a massivement exploité la main-d’œuvre concentrationnaire dans ses usines.

Condamnée pour crimes contre l’humanité à Nuremberg, puis à la dissolution, IG Farben possède toujours un statut juridique, malgré son démantèlement entre les sociétés Bayer, BASF et Hôchst.

Et maintenant, à quand le Nuremberg du capitalisme ?

Y.Y.

Sources :http://www.cbgnetwork.org/163.htmlet http://bellaciao.org...p?article152015(merci Annie Chalmeton)

N&B – Paroxysme du pouvoir.

N&B – Qui est responsable ?

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03/10/2015Dans "Réflexions"

Censure à la fac du Mirail13/04/2016Dans "Coup de gueule"

Des anarchistes demandent officiellement la déchéance de la nationalité française22/01/2016Dans "Communiqués"

On sait tous cela, du moins nous autres, parce que poser la question à des jeunes de maintenant, ils n'en savent rien!

Et l'on parle de nos générations nées en 50/60! en 40 c'est déjà difficile, c'était bien autre chose!

Celles que l'on connait, que l'on a vécu!

Vous ne voulez pas remonter à Mathusalem des fois, si?

Alors parlons des douces années 50/60 quand les homosexuels se cachaient pour vivre leur vie. Oû les femmes avortaient en cachette. Oû les femmes violées n'osaient porter plainte et meme simplement d'en parler sous peine de passer pour des putes....

Oui..on peut en parler........ Mais pour moi c'est d'une grande violence ....

Alors là vous idéalisez.. Les enfants des villages sont ABSOLUMENT comme les enfants des villes dans la cour d'école..Il faut les surveiller comme le lait sur le feu..Ils sont aussi bien informés qu'en ville...Ma sœur instit dans un petit village mignon comme tout..Mais comme en ville elle a eut plusieurs fois obligation de signaler des comportements déviants, alerté les parents du jeu du foulard ....

Eh bien !... quelle noirceur ! on dirait presque du Zola...ou bien du "réalisme" C'est aussi pour ça que le petit enfant de la ville que j'étais ne s'interessait pas aux problèmes des adultes : que des soucis, que de la misère...

Oui ma vision du passé est empreinte de nostalgie. Forcément...Mais je persiste à dire qu'il y avaient de très bonnes choses

que l'on a balayé d'un revers de main, non pour un soit-disant progrès pour l'humanité, mais dans le seul but d'acroitre les richesses d'un petit nombre. Cette démence de la croissance perpétuelle qui accroit les inégalités sociales comme jamais durant le siècle dernier, ne me convient pas. Heureusement je vis en marge de cette folie collective, ce qui m'en préserve.

Pour finir, concernant le "jeu du foulard", il parait qu'il s'est "toujours" pratiqué mais je n'avais jamais entendu parler de ce jeu et pourtant j'en ai fait des écoles ! Pourrais-tu me renseigner ou quelqu'u d'autre ?

Alors parlons des douces années 50/60 quand les homosexuels se cachaient pour vivre leur vie. Oû les femmes avortaient en cachette. Oû les femmes violées n'osaient porter plainte et meme simplement d'en parler sous peine de passer pour des putes....

Oui..on peut en parler........ Mais pour moi c'est d'une grande violence ....

Mais l'avortement est autorisé depuis 1975 soit depuis 40 ans en France, mais encore interdit dans beaucoup de pays .Les homosexuels sont encore discriminés et les violes n'ont pas cessé.

Nous parlons des 30 glorieuses aussi appelé "la parenthèse enchantée".