Moïse et l’Exode : Quand la science ébranle la foi

« La foi n'a pas besoin de preuve, elle doit même la regarder comme son ennemie. »

Kierkegaard.

Une contribution concernant les données archéologiques confrontées à la réalité du message biblique a attiré mon attention. J'ai voulu connaître les fondements de la Bible et du même coup la place de Moïse dans le récit à la fois dans le judaïsme, ce que dit l'archéologie de cette période mais aussi comment le prophète Moïse est perçu dans le Coran.

Suite de l'article...

Aucune trace archéologique de l'Exode ni de Moïse n'ayant été retrouvée, ni dans les documents égyptiens ni dans d'autres archives, il n'existe aucune donnée archéologique positive sur l'existence de l'Exode ni sur celle de Moïse. Il existe un certain nombre de données négatives, c'est-à-dire d'absence de traces là où l'on s'attendrait à en trouver. Le savoir scientifique repose ici sur tout un ensemble de faits attestés dans l'archéologie de terrain, concernant les dates, les populations et leurs langues (connues à partir des fouilles), la dissémination des cultures (marquage par les scarabées commémoratifs trouvés lors de fouilles dans des lieux divers), les traces d'itinéraires étudiés sur le terrain et les toponymes, ainsi que des témoignages à caractères historiques (tablettes d'argile constituant la correspondance entre souverains ou chefs divers, trouvées lors de fouilles). Ces données négatives sont autant d'indices qui jettent un doute sur la réalité de l'épopée telle qu'elle est racontée dans la Bible. Mais la logique ne permet pas de conclure que ce que l'on ne trouve pas n'a pas existé : les données négatives ne constituent, par principe, que des indices.

Source et suite de l'article...

sargon d'akad

yehudeyha royaume gupta d'inde ?

bref, un fond de vérité sur base de légende, ...

Sargon d'Akkad

Sargon d’Akkad, forme francisée de l’akkadien ������������ / Šarru-kīnu (qu’on traduit généralement par « roi légitime »), fut le souverain fondateur de l’empire d’Akkad, plutôt appelé aujourd’hui « empire d’Agadê »1, en unifiant par la force les principales cités de Mésopotamie sous son autorité. Les dates de son règne sont incertaines : on le situe couramment vers 2334-2279 av. J.-C., mais il peut avoir régné plus tard, vers 2285-2229.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sargon_d%27Akkad

Tant la science ébranle la foi qu' à la fin cette dernière ne peut-elle plus se résoudre qu' à se décharger....

On commence à comprendre le souci des pharaons de laisser une trace bien visible

J'avais déjà il y a deux ans donné ce lien. Qui mérite attention http://atheisme.org/archeologie-bible.html

Plus de moise plus de jésus ni de moahmed alors.Que va t'on devenir :smile2:

LOL

un claquement de doigts, ils disparaissent

un claquement de doigts, ils réapparraissent

hop !

hop !

au gré des vents, des modes et des humeurs des pros, des antis

etc etc

mais rien ne peut changer la vérité

La vérité, immuablement inébranlable...

la vérité

elle est de chaque instant donc pas immuable et inébranlable dans l'absolu, tout évolue, c'est ça le principe de la vie

mais une fois qu'un instant est passé, elle est inscrite dans son passé, gravée dans le marbre, et elle devient alors immuable, inébranlable, concernant ce passé-là

donc oui mais non

« La foi n'a pas besoin de preuve, elle doit même la regarder comme son ennemie. »

Kierkegaard.

Une contribution concernant les données archéologiques confrontées à la réalité du message biblique a attiré mon attention. J'ai voulu connaître les fondements de la Bible et du même coup la place de Moïse dans le récit à la fois dans le judaïsme, ce que dit l'archéologie de cette période mais aussi comment le prophète Moïse est perçu dans le Coran.

Suite de l'article...

Aucune trace archéologique de l'Exode ni de Moïse n'ayant été retrouvée, ni dans les documents égyptiens ni dans d'autres archives, il n'existe aucune donnée archéologique positive sur l'existence de l'Exode ni sur celle de Moïse. Il existe un certain nombre de données négatives, c'est-à-dire d'absence de traces là où l'on s'attendrait à en trouver. Le savoir scientifique repose ici sur tout un ensemble de faits attestés dans l'archéologie de terrain, concernant les dates, les populations et leurs langues (connues à partir des fouilles), la dissémination des cultures (marquage par les scarabées commémoratifs trouvés lors de fouilles dans des lieux divers), les traces d'itinéraires étudiés sur le terrain et les toponymes, ainsi que des témoignages à caractères historiques (tablettes d'argile constituant la correspondance entre souverains ou chefs divers, trouvées lors de fouilles). Ces données négatives sont autant d'indices qui jettent un doute sur la réalité de l'épopée telle qu'elle est racontée dans la Bible. Mais la logique ne permet pas de conclure que ce que l'on ne trouve pas n'a pas existé : les données négatives ne constituent, par principe, que des indices.

Source et suite de l'article...

Quand on voit quand a été écrit vers 600) les mythes fondateurs juifs , il est clair que ces histoires sont d'origine babylonienne. C'est comme toutes transmission orale, ça se déforme

Les papyrus racontant l'Exode sont chez moi.

L'exode de la bible, ce sont 600 000 familles, c'est à dire environs 1,5 millions d'individus qui se promènent dans le désert sur un petit périmètre pendant 45 ans sans laisser la moindre trace, ni historique, ni archéologique ! D'autant plus qu'il ne me semble pas non plus que l'histoire parlent d'esclaves hébreux .

Il est à noter aussi que selon la généalogie que l'on peut tirer de la bible, Moise vivait en 1350 avant JC, c'est à dire à une époque où toutes les populations du coin étaient polythéistes, ce qui a été toujours le cas pendant les 7 siècles qui ont suivi sa mort ! Il faut attendre 650 avant JC pour que le judaïsme monothéiste fasse son apparition dans le royaume de Juda, et qu'il réinvente Moise qui est un personnage fantasmé issu de plusieurs légendes venant d'autres civilisations, tout comme le déluge !

Cependant on sait que les rois Hyksos d'Egypte avaient de très bon rapports avec les hébreux (qu'ils nommaient "apirous".)

Sources "Moïse" et "Jacob" Gérald Méssadié

Je me suis toujours demandé si le subit monothéisme d'Aménophis IV (qui changea de nom pour devenir Akhenaton) n'avait pas été influencé pas la présence très forte (et attesté alors) à cette période d'hébreux en Egypte.

La vérité, immuablement inébranlable...

La vérité n'a pas de chance.

Cela me rappelle l'histoire du manchot qui...