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Invité Quasi-Modo

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ceux qui polluent ce topic philosophique sur la psychanalyse, sont ceux qui font à répétition, des hors-sujets,

du sophisme, des arguments fallacieux, des procès d'intention, des témoignages comme preuve et de la propagande

pour l'illusion/escroquerie qu'est la psychanalyse d'obédience freudienne :cool:

Mais Démonax, la psychanalyse n'est pas une philosophie !

.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Sur la base de ce réquisit intransigeant, il peut ensuite se permettre de démythifier de grands noms de la philosophie contemporaine — Heidegger, Husserl, Foucault et Deleuze — dont il montre avec rigueur et vivacité que leur renommée théorique est usurpée, parce qu'ils ne nous apportent, du fait de leur irrationalisme foncier, ni le vrai ni le bien dont la poursuite, sous une forme nouvelle, certes, définit toujours l'exigence philosophique authentique.

(...)

Vais-je susciter une nouvelle salve d'insultes en citant les travaux de nos contemporains ? :)

Non là ce sera plutôt un regard compatissant. J'ignorais qu'il existait encore des "philosophes" (?) qui pensent encore comme au temps de Platon, en terme de "vrai" et de "bien".

Anachronisme rafraîchissant...

Si je trouve un ou deux liens clairs, je démolirai le type avec délectation, ça m'occupera une heure ou deux et vous fournira votre dose quotidienne de confiture.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Merci pour tes informations !

Que disait Coluche déjà ?....... :hum:

Coluche épinglait les cons ... il disait qu'il avait tout lu Freud !

Et toi ?

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Mmmh voyons...

- Quiniou, philosophe attitré du Parti Communiste (quoi d'autre venant de Louise, on s'en doutait un peu)

- pour Quiniou, l'Islam est une religion "fasciste"... ah oui quand même !

Mon lien

... soit, en parlant du burkini :

Ce n’est pas un simple signe religieux se manifestant dans l’espace public : c’est, à travers un signe religieux, l’expression insupportable d’une religion de type fasciste

Bah, ça vaut pas le coup de prendre une heure : dix minutes suffisent...

"Révolutionnaire" qu'on vous disait !

:noel:

dix a vingt millions de morts, ça vous pourrit l'ambiance

Fin du chapitre Quinion en ce qui me concerne.

.

Modifié par chapati
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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 117 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)

L'espace Deleuze serait plus approprié pour débattre de philosophie,

chacun pouvant y apporter sa pierre pour en faire un espace de débat démocratique !

Mais bon ... Poursuivons sur le topic " La Psychanalyse" ...

Il y a ce livre d'Yvon Quiniou qui vient de paraître aussi:

Misère de la philosophie contemporaine, au regard du matérialisme

- Heidegger, Husserl, Foucault, Deleuze dont voici la présentation:

"Dans ce nouveau livre, Yvon Quiniou s'attelle à une tâche inédite et audacieuse. D'abord faire le point sur ce

qu'a été la philosophie dans son histoire et sur ce qu'elle peut devenir depuis que les sciences

l'ont détrônée de son statut d'instance de connaissance suprême, apportant la vérité dans tous les domaines

de la réalité concevables.

Elle ne peut échapper au diagnostic de Marx annonçant sa mort et rebondir, malgré diverses tentatives liées à

l'idée d'interprétation, qu'en élaborant réflexivement une conception du monde et de l'homme fondée sur la science, matérialiste donc, et débouchant sur un projet d'émancipation humaine indissolublement moral et politique.

Sur la base de ce réquisit intransigeant, il peut ensuite se permettre de démythifier de grands noms de la

philosophie contemporaine — Heidegger, Husserl, Foucault et Deleuze — dont il montre avec rigueur et vivacité

que leur renommée théorique est usurpée, parce qu'ils ne nous apportent, du fait de leur irrationalisme foncier,

ni le vrai ni le bien dont la poursuite, sous une forme nouvelle, certes, définit toujours l'exigence philosophique authentique.

Cette réflexion devrait susciter de nombreux débats."

Médiapart en fait aussi une présentation :

https://blogs.mediap...du-materialisme

Vais-je susciter une nouvelle salve d'insultes en citant les travaux de nos contemporains ? :)

Dans la mesure où tu écris "Poursuivons sur le topic la psychanalyse", peux tu expliquer en quelques lignes en quoi le dernier ouvrage de Quiniou a un rapport de près ou de loin avec la psychanalyse ?

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

C'est bien un espace Deleuze !

Nous, au village on a "la maison du temps libre".

C'est les années Mitterrand.

Avant c'était les "maisons de la culture". C'était bien mais ça faisait coco !

Maintenant les vieux ils passent leur temps libre sur des vélos ou en randos.

C'est les anciens 68tards.

Il faut un équipement particulier pour l'espace Deleuze ?

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Dans la mesure où tu écris "Poursuivons sur le topic la psychanalyse", peux tu expliquer en quelques lignes en quoi le dernier ouvrage de Quiniou a un rapport de près ou de loin avec la psychanalyse ?

:angel:

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est bien un espace Deleuze !

Nous, au village on a "la maison du temps libre".

C'est les années Mitterrand.

Avant c'était les "maisons de la culture". C'était bien mais ça faisait coco !

Maintenant les vieux ils passent leur temps libre sur des vélos ou en randos.

C'est les anciens 68tards.

Il faut un équipement particulier pour l'espace Deleuze ?

:smile2:

L'espace G. Deleuze, je l'avais ouvert pour répondre à l'injonction

de ceux qui se plaignent de HS !

G. Deleuze, professeur de philosophie, nous a laissé son oeuvre !

Je pensais en effet qu'il était louable de lui ouvrir un espace 'propre' où

chacun aurait pu déposer sa pierre à l'édifice. Mais ce fut bien mal

compris !

Pourtant la psychanalyse n'est pas une philosophie, elle est une pratique dont découle

une théorie, qui, elle même change et se modifie au fur et à mesure du temps et des cures.

Faut-il un équipement particulier dans l'espace Deleuze ? demandes-tu ...

Moi, vois-tu, je milite pour la liberté des cultes, mais suivant 'mes maîtres',

et sans me trahir, je tente au mieux de me désaliéner.

Qu'il s'y fasse ce qu'on voudra dans l'espace Deleuze, pour l'instant, il y a des insultes

assez vulgaires, grossières même ! (Ce que c'est que la vulgarisation, n'est-ce pas ?!)

Il y est dit que I. Garo n'est pas la prêtresse idéale pour interroger Deleuze.

Soit ! Moi, j'observe juste qu'au nom de la liberté du bien penser, il y en a qui

censurent à tour de bras, et à coups de poings ! Mais c'est pour le BIEN, n'est-ce pas ?

Au passage, je signale que la psychanalyse n'a jamais été possible ni sous Hitler,

ni sous Staline !

La présence de la psychanalyse est peut-être un indicateur de démocratie.

Ceci dit, le Marché libre et non faussé absorbe tout et même les savoirs ...

Aujourd'hui, tout le monde sait que la 'dépression' se loge dans le cerveau et

que les pilules sont efficaces pour donner du plaisir aux consommateurs !

Jouis, jouis donc ... et ne te pose pas de questions ...

Pub ?/ Tract ? / Info ?/ Partage ?/ https://www.cairn.info/revue-psychanalyse.htm

A chacun de voir ...

.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Dans la mesure où tu écris "Poursuivons sur le topic la psychanalyse", peux tu expliquer en quelques lignes en quoi le dernier ouvrage de Quiniou a un rapport de près ou de loin avec la psychanalyse ?

Cher Tison2feu, Le dernier Quiniou n'a rien à voir avec la PSYCHANALYSE !

Ma phrase était ironique ... 'poursuivons sur le topic de la Psychanalyse"

puisque de fait, c'est là qu'on vient pour interroger Deleuze, tout en se plaignant

de HS ...

Le monde est plein de contradictions, n'est-ce pas ?

Ainsi, on peut lire sur ce topic, que citer Freud ou Lacan ou d'autres psychanalystes

c'est HS, ou du sophisme, de l'obscurantisme, de l'escroquerie...

Je passe sur les insultes ...

Et on nous livre des bibliographies de plusieurs pages de philosophes bien pensants

et utilisables sur le topic !

Tu peux m'expliquer, toi ?

La modération elle même a été convoquée pour qu'on reste dans le sujet !

Moi, je ne sais pas ...

.

.

Modifié par LouiseAragon
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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

L'espace G. Deleuze, je l'avais ouvert pour répondre à l'injonction de ceux qui se plaignent de HS ! G. Deleuze, professeur de philosophie, nous a laissé son oeuvre ! Je pensais en effet qu'il était louable de lui ouvrir un espace 'propre' où chacun aurait pu déposer sa pierre à l'édifice. Mais ce fut bien mal compris !

:censored:

Ma foi, puisque le fascisme d'une petite fonctionnaire de la révolution nous impose de tourner en rond dans le hors sujet, tournons en rond !

Ici t'es même pas capable d'argumenter, rien a part tes tracts et tu débarques maintenant en disant "causons de Deleuze", non mais pour qui tu te prends, petite prof... toi qui il y a peu traitais Deleuze comme un simple petit prof de philo ?

Pour qui tu te prends Louise Aragon ?

Et Althusser voire Marx, qu'est-ce qu'ils viennent foutre avec Deleuze et Foucault ?

Tu vas m'opposer Althusser parce que celui-là tu l'a lu, parce que communiste... et dire du mal sur les autres à partir de tes tracts sans en avoir lu une ligne ? Au nom de Staline ?

Ça va pas non ?

Et tu oses écrire là-bas que ce serait un fil sur Deleuze ?

Quelle arrogance, quelle prétention, quelle mépris, quelle manière de prendre les gens pour des cons !

Va voir un psy !

Et en guise d'intro a Deleuze, une melenchonienne... et quoi encore ?

Et pourquoi pas Robert Menard pour nous expliquer Nietzsche ?

Et ce pipo : "Deleuze et Foucault seraient en conversation constante avec Marx" !

Quelle rigolade ! :lol:

Et en une heure, rien sur Deleuze... si, une infecte diffamation :

Deleuze, selon elle, associerait la classe ouvrière au désir de fascime.

Pouah, qu'est-ce que ça pue ! :censored:

Encore Louise ? Ok.

- Quiniou, philosophe attitré du Parti Communiste (quoi d'autre venant de Louise, on s'en doutait un peu)

- pour Quiniou, l'Islam est une religion "fasciste".

Mon lien

... soit, en parlant du burkini :

Ce n’est pas un simple signe religieux se manifestant dans l’espace public : c’est, à travers un signe religieux, l’expression insupportable d’une religion de type fasciste

QUI INSULTE LES GENS, LOUISE ?

.

Modifié par chapati
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Coluche épinglait les cons ... il disait qu'il avait tout lu Freud !

Et toi ?

Non, désolé... j'ai déjà assez de lecture avec tes hors-sujet :hehe:

Mais demande à ces gens, ce qu'ils pensent de leur lecture (sans aucun doute, bien plus grande et de meilleur qualité, que la tienne :o°) de Freud :bo:

  • Nadine Kirchgessner:
    Diplômée en psychologie (Master Développement de l’enfant et de l’adolescent) et en Sciences de l’Education de l’université Paris VIII. Travail sur la douance depuis plus de 20 ans.
  • Michel Onfray:
    Il est assez connu ?
  • Jacques Van Rillaer:
    Ex-psychanalyste. C'est un psychologue et psychothérapeute, spécialiste des thérapies cognitivo-comportementales
  • Lionel Naccache:
    Médecin hospitalier et universitaire français en neurologie.
  • Sophie Robert:
    Auteure, productrice et réalisatrice de documentaires, spécialiser dans la psychanalyse.
  • Mikkel Borch-Jacobsen:
    Ex-psychanalyste. C'est un philosophe et professeur de littérature comparée à l'Université de Washington (Seattle)
  • Jean-Pierre Ledru:
    Ex-psychanalyste lacanien (membre puis démissionnaire de l'ECF puis de l'EPFCL). C'est un docteur en médecine, psychiatre, psychothérapeute.
  • Stuart Schneiderman:
    Ex-principal représentant du lacanisme aux Etats-Unis. Il a toutefois fini par délaisser la psychanalyse au profit d’une pratique active de conseiller psychologique.

Tu auras plus d'information (de livre, de conférence, d'audio/vidéo) ICI

Bonne lecture :bo:

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non, désolé... j'ai déjà assez de lecture avec tes hors-sujet :hehe:

Mais demande à ces gens, ce qu'ils pensent de leur lecture (sans aucun doute,

bien plus grande et de meilleur qualité, que la tienne :o°) de Freud :bo:

Tu fais des pleines pages de définitions sur https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pouvantail_(rh%C3%A9torique),

https://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_dilemme, et sur les jugements ad'hominem, as-tu le lien ?https://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_hominem

Surtout, ne perd pas ton temps à me lire, et fais ce que tu dis !

259.jpg

Tu peux regarder aussi ici ... si tu veux mieux voir !

Une question en amènant une autre, tu vas passer un agréable moment !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ali%C3%A9nation

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ali%C3%A9nation

QUI INSULTE LES GENS, LOUISE ?

Elle est bizarre ta question, Chapati !

Tu me demandes qui insulte qui, tu sais bien que c'est toi,

qui insulte ...

.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Calomnier, nier un homme, c'est pas des insultes pour toi Louise ?

Tu n'es rien Louise...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est fascinant cette faculté qu'on a d'être en écho tel un rebond du son emis par l'autre sur une paroi plus ou moins importante de soi qui revient donc plus ou moins deformé tel un boomerang

Connaissant la nature du son de départ et la nature du rebond, on en apprend davantage sur la structure interne de la paroi que sur le véritable fondement du message contenu dans le son

J'ai ce petit problème personnel avec un mythomane multi pseudoté multi affabulateur qui drappe sa cape d'incompétence derrière une reconstruction de son personnage public

De faux diplômes en faux CV, il distille un message pseudo élitiste en discordance entre un profil savant affiché et l'idiotie la plus avancée des informations communiquées et de l'intérêt même à approfondir ou à échanger sur un sujet

Il faut au final se rendre compte que tout le monde n'en a à peu près rien à foutre et que le prout proutisme de nos convictions n'emmerde que nous mêmes

Ou plus exactement, c'est fascinant de constater que ce qui nous interesse, c'est 20% du fonds du discours et 80% des disputes à psycho analyser des intervenants

On en apprend tous davantage au travers des lignes que dans les lignes

Et cet apprentissage on le conscientise ou pas

Mais il est fait par tous sur tous

Modifié par zenalpha
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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 117 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)

Cher Tison2feu, Le dernier Quiniou n'a rien à voir avec la PSYCHANALYSE !

Ma phrase était ironique ... 'poursuivons sur le topic de la Psychanalyse"

puisque de fait, c'est là qu'on vient pour interroger Deleuze, tout en se plaignant

de HS ...

Le monde est plein de contradictions, n'est-ce pas ?

Ainsi, on peut lire sur ce topic, que citer Freud ou Lacan ou d'autres psychanalystes

c'est HS, ou du sophisme, de l'obscurantisme, de l'escroquerie...

Je passe sur les insultes ...

Et on nous livre des bibliographies de plusieurs pages de philosophes bien pensants

et utilisables sur le topic !

Tu peux m'expliquer, toi ?

La modération elle même a été convoquée pour qu'on reste dans le sujet !

Moi, je ne sais pas ...

.

.

Eh bien, si tu as choisi délibérément la voie du hors-sujet, c'est à mes yeux une erreur qui traduit une incapacité à argumenter. Et je ne cautionne pas pour autant ni le recours à l'insulte, ni le recours à l'auto-citation trollesque, qui contribuent tout autant à plomber un topic au point d'en hâter la clôture.

En proposant le visionnage de la conférence d' I. Garo, sans doute t'a-t-il échappé que cette philosophe se fait l'écho d'écrit ou de propos attribués à Deleuze, sans qu'il soit possible d'en connaître la source ni le contexte. C'est cela qui a fait sortir de ses gonds Chapati. Et moi aussi, Louise, je m'étonne que tu cautionnes les dires, calomnieux jusqu'à preuve du contraire, d'une philosophe sans t'être livrée toi-même à ce travail de vérification, puisque tu es incapable de nous donner des sources et des références aux affirmations problématiques d'I. Garo. Si ces propos attribués à Deleuze sont référencés dans l'ouvrage d'I. Garo, tu devrais alors être apte à les reproduire ici même. Ou alors, tu n'as pas lu cet ouvrage que tu cites et dans ce cas, tu tiens pour vrai sans preuve ce que dit I. Garo ; cela s'appelle de la croyance, ni plus ni moins.

Quant à cet argument quelque peu usé de la bien-pensance, et de cette soi-disante censure dont seraient victimes en 2016 certains philosophes communistes français (dont se plaint Quiniou), permets-moi de sourire. C'est vraiment prendre les profs de philo, qui ont une très grande marge de manoeuvre dans l'élaboration de leurs cours, pour des crétins finis.

Dans la liste des auteurs au programme du baccalauréat, dont les oeuvres devront être obligatoirement choisies, figurent entre autres Marx et Freud (et Foucault). En revanche, Deleuze ne figure pas sur cette liste. Si donc il y a lieu de discuter l'arbitraire de la sélection d'auteurs pour le bac, ce n'est pas aux freudo-marxistes d'élever la voix, loin s'en faut, mais bien plutôt aux deleuziens, n'est-il pas ?

http://www.education...ENE0301199A.htm

Modifié par tison2feu
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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 117 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)

Ce sont toujours de superbes écrits mêlant connaissances et prise de position personnelle, merci Tison.

Dans tes reflexions plusieurs pensées désordonnées me viennent que je livre brut de pomme.

La première serait que ce lien entre philosophie et psychanalyse ou entre le discours à propos du monde motivé et argumenté par le philosophe dans le monde est riche de sens.

Nous sommes dans le rapport du sujet observant à propos de l'objet observé dont lui-même est partie prenante.

Cette interaction voire imbrication, on la retrouve dans les mecanismes les plus intimes de la matière lorsque l'acte d'observer transforme la realité profonde de l'onde / particule élémentaire.

Certains allant jusqu'à se demander si la lune existerait sans un observateur pour la regarder

La theorie du tout peut s'envisager comme une theorie qui devrait intégrer ce rapport un peu comme si notre perception d'une realité fondamentalement différente et extérieure était impossible sans intégrer ce feed back d'un être conscient pour l'interroger et s'interroger

Physiciens et neurophysiologues s'opposent souvent dans cette conception et les seconds n'hésitent pas à définir la realité comme une reconstruction totale de notre esprit

Tu parles de machine à concept à propos de la philosophie et, sur ce point, je souligne le parallèle à Alain Connes qui definit les mathematiques et en particulier celles de la seconde moitié du vingtième siècle comme....créatrices de concepts....

On retrouve le lien antique philosophie mathématiques dans la modernité avec le même débat sur la nature ontologique mathématique vue comme une realité plus fondamentale tel Platon ou vu comme creation de notre esprit comme Lichnerowicz

Decouvrons nous le monde mathématique ? L'inventons nous ? Est il réél ou pas ?

Quand Galilée parle du langage de la nature, est il intrinsèquement lié à elle ? N'est ce qu'une intermediation de la nature à nous pour nous "parler"? Est ce un nieme langage humain qui force la nature à cracher du nombre ?

On retrouve le même rapport sujet / objet...,

Un truc qui me parle dans ton ecrit est l'ambivalence également

On sent deux forces se tirailler dans les motivations à philosopher entre la carotte et le bâton, entre le desir positif et la motivation négative qui ne peut réduire la philosophie à ce qu'elle n'est pas

J'ai le sentiment de retrouver dans une definition négative de la philosophie sur ce qu'elle n'est pas la même position que l'athéisme aux religions à savoir un déni du sens sans donner de sens

On peut se construire dans l'opposition mais peut on construire sans fondement ?

Bref, donner du sens, créer des concepts, se définir, s'aimer, aimer, proposer, construire, écouter, accepter...

La psychanalyse est peut-être un voyage en soi pour mieux entreprendre le voyage vers les autres

Synthetiser le sujet de l'objet, l'actif du passif, le yin et le yang car au final le désir, l'amour, la connaissance de soi et des autres est un chemin qui s'impose à chacun avec nos maladresses

Evader l'esprit pour lui permettre de trouver une nourriture à être parmi les autres et dans ce monde

Merci beaucoup, Zenapha, pour cette lecture attentive.

Si indispensable soit-il, l'esprit critique est une arme de déconstruction qui ne suffit pas à faire de nous de vrais philosophes ou de vrais scientifiques. Par surcroît, il me semble que tout travail de déconstruction connaît ses limites s'il ne parvient pas à se libérer pleinement de ce qu'il démystifie.

Ce n'étaient que quelques idées échangées à développer dans d'autres topics (mais oui, parfois certains posts parviennent à retentir et à se faire écho, par delà les barrières catégorielles du forum. C'est le miracle de l'agir communicationnel !).

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Eh bien, si tu as choisi délibérément la voie du hors-sujet, c'est à mes yeux une erreur qui traduit une incapacité à argumenter. Et je ne cautionne pas pour autant ni le recours à l'insulte, ni le recours à l'auto-citation trollesque qui, elles aussi, contribuent à plomber un topic au point d'en hâter la clôture.

En proposant le visionnage de la conférence d' I. Garo, sans doute t'a-t-il échappé que cette philosophe se fait l'écho d'écrit ou de propos tenu par Deleuze, sans qu'il soit possible d'en connaître la source ni le contexte. C'est cela qui a fait sortir de ses gonds Chapati. Et moi aussi, Louise, je m'étonne que tu cautionnes les dires, calomnieux jusqu'à preuve du contraire, d'une philosophe sans t'être livrée toi-même à ce travail de vérification, puisque tu es incapable de nous donner des sources et des références aux affirmations problématiques d'I. Garo. Tu tiens donc pour vrai sans preuve ce que dit I. Garo, et cela s'appelle de la croyance.

Quant à cet argument quelque peu usé de la bien-pensance, et de cette soi-disante censure dont seraient victimes en 2016 certains philosophes communistes français (dont se plaint Quiniou), permets-moi de sourire. C'est vraiment prendre les profs de philo, qui ont une très grande marge de manoeuvre dans l'élaboration de leurs cours, pour des crétins finis.

Dans la liste des auteurs au programme du baccalauréat, dont les oeuvres devront être obligatoirement choisies, figurent Marx et Freud (et Foucault). En revanche, Deleuze ne figure pas sur cette liste. Si donc il y a lieu de se plaindre de choix arbitraires dans la sélection d'auteurs pour le bac, ce ne sont en aucun cas les freudo-marxistes les plus à plaindre, loin s'en faut, mais plutôt les deleuziens, n'est-il pas ?

http://www.education...ENE0301199A.htm

Tison2feu,

Ah bon, j'ai choisi la voie du HS, c'est comme ça que tu résumes la situation !

Lis le topic et viens donner des détails ! Pour ce qui concerne mon incapacité,

je te laisse juge et libre !

I. Garo est posée dans le topic Deleuze avec les références de son livre, et pouvait servir

d'entrée en matière à un débat, une recherche, une discussion ou une messe sur Deleuze !

Tu estimes toi que son discours n'est pas sourcé, lis le et puis reviens en parler ...

Je crois que tu te fais JUGE bien vite ! Calomnies, dis-tu ! Quelle calomnie ?

Pour la bien-pensance, j'ai parlé de celle qu'on oppose sur ce topic où il est régulièrement avancé

que Freud ceci ou Lacan cela ... Ce qui, à mon avis, est assez contradictoire sur un topic sur la

Psychanalyse !

Tu extrapoles beaucoup et me fais dire ce que je n'ai jamais dit !

Si le programme de l'EN ne te satisfait pas, écris à qui de droit, moi, je n'en suis pas responsable !

Et si tu veux trouver des références, tu peux en trouver là

http://www.espaces-marx.net/spip.php?breve54

http://www.espaces-marx.net/spip.php?article255

Fouille, si cela te dit, ou passe et va où bon te semble ...

et http://www.forumfr.com/sujet721774-foucault-deleuze-althusser-et-marx.html?p,10385374,fromsearch,1#entry10385374

là, vois-tu, on peut sans risque de HS approfondir les questions philosophiques,

mais si l'entrée en matière ne convient pas, quiconque peut ouvrir le topic comme

il lui convient de penser ... Deleuze !

:fille:

.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 994 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Bonjour Demonax,

Procès d'intention, argument fallacieux de l'homme de paille, argument fallacieux de la pente glissante.

Je comprends pourquoi tu préfères méjuger l'apparence de la critique de la psychanalyse, toi qui semble l'affectionner. Mais ce n'est pas correcte, logiquement (et moralement).

Non, il semblerait que justement tu ne comprennes pas, et à force d'y réfléchir, je me demande si ce qui se passe ne serait pas la même chose que toi face à un film cinématographique ou à une oeuvre d'art !? Tu ne regarderais que les images ou les scènes s'enchainant, en analysant d'un oeil hautement critique ce que font les personnages, par les seuls outils que sont la logique, la science, le raisonnement, de ce qu'ils disent, ou si les conditions évènementielles seraient réalistes, conforment à la pure réalité, occultant par la même l'essentiel d'une oeuvre cinéaste ou artistique...

Tu n'as donc pas du tout compris, mais je me suis sans doute mal exprimé, où je voulais en venir, t'arrêtant uniquement sur la part lexicale, au pied de la lettre, ce que j'écris, occultant ce que j'essaie de signifier, et donc la substance même de mon propos !

Pour t'expliquer mieux encore ce que je te dis présentement, je vais exemplifier mes dires, c'est comme si lorsque je m'adresse à toi par l'emploi d'un dicton, d'un proverbe ou d'une expression, tu prenais uniquement littéralement la phrase pour tenter de comprendre ce que je te fais parvenir, ce faisant tu passes à coté de ce que je te signifie, le sens à trouver, à entendre, à déchiffrer va au-delà de la matérialisation graphique utilisée et/ou de la juxtaposition des termes employés:

par exemple dire " un homme averti en vaut deux ", tu aurais certainement le réflexe de me démontrer qu'un homme n'en vaut toujours qu'un, que le raisonnement est faux, l'assertion erronée/biaisée, ou autre, peu importe, ce qui t'éloignerait de là où je voulais te conduire dans tous les cas, puisque tu emprunterais des chemins de traverses à partir de considérations mal venues, t'égarant de l'objectif premier et du sens de mon intervention.

Argument fallacieux qui vise à ignorer la cause commune (définis ICI), ou argument fallacieux petitio principii (explication ICI).

Ce n'est pas une hypothèse correcte, ni une contraposé correcte !

Nous avons les faits:

  1. Naissance de la psychanalyse (d'obédience freudienne) avec Freud.
  2. Évolution de la psychanalyse (d'obédience freudienne) jusqu'à nos jours.
    De la même façon que les sectes ont évoluer, que les lobbying ont évoluer, que la mafia à évoluer, que la politique à évoluer, etc... Tout évolue, en bien ou en mal, que se soit une interprétation philosophique d'après une situation différente, ou une question de survie/adaptabilité
  3. Démonstration de l'incorrection intellectuel (et morale, au pire) de la psychanalyse (d'obédience freudienne).
  4. Insistance du lobbying de la psychanalyse (d'obédience freudienne) pour garder son pouvoir en place (on change pas une équipe qui gagne... du frique)

Mais n'est-ce pas toi Demonax, qui ramène systématiquement la psychanalyse à celle freudienne, pour pouvoir radoter toujours la même chose !?

Est-ce que moi je me cantonne à celle freudienne ? N'ai-je pas au contraire dès le départ promulgué quelque chose de bien plus large, en commençant par parler de ce qu'il y a de plus fondamental: l'inconscient !!! Puis d'étayer ma vision par mes propres considérations sur ce que j'entendais par auto- psychanalyse entre autre, une forme poussée d'introspection, ce qui m'a valu des objections de Louise, puis un peu plus loin, d'insister pour dire qu'il fallait se méfier de tout vouloir interpréter, et que parfois les choses se présentent clairement à notre conscience, au premier degré, ou encore que tout n'était pas une question de libido, m'éloignant considérablement de Freud !?

Entends-tu que lorsque je parle de psychanalyse, mon approche dépasse de très loin ce que toi tu conjures par l'obédience freudienne !?

Les victimes de sectes, les victimes d'escroc, disent avoir été aider par ceux-ci. Est-ce pour autant, une réalité ? Est-ce pour autant une façon de tolérer leur existence (sachant qu'il existe d'autres moyens, moins onéreux ou frauduleux ?...

Par exemple:

Les problèmes lorsqu'un marchand de sommeil vend un placebo et que celui-ci aide le dormeur.

  • C'est l'argent que se fait le marchant sur la crédulité du dormeur.
  • C'est l'ignorance du dormeur, que de ne pas savoir qu'il est le seul auteur de son malheur, et aussi le seul à pouvoir le résoudre (et qu'il profite à des illusionniste frauduleux) !
  • C'est l'argent/temps/énergie perdu sur une illusion, plutôt que sur un médicament/méthode fonctionnel.
  • La crédulité du dormeur est entretenue et développer sur le long terme, c'est malsain... (ces mêmes gens qui ensuite: Votent, éduquent la prochaine génération, établissent la norme)

C'est le même principe avec l'astrologie, la voyance ou avec la psychanalyse (d'obédience freudienne).

As-tu lu attentivement mes premières interventions sur ce fil ? As-tu saisi ce que j'ai tenté de dire précédemment, ce à quoi tu réponds à coté avec ta réponse ?

Je disais donc que l'on ne prescrit pas de la vaccine atténuée à toute personne qui est suspectée d'avoir une maladie infectieuse, donc que la psychanalyse n'est pas non plus à prescrire à tout le monde sans discernement, à l'inverse il y a bien des gens qui souffrent de la variole et que dans ce cas le vaccin à base de vaccine atténuée est adéquat, de même ceux qui ont subit des sévices plus jeunes, y compris d'ordre sexuel, ont un intérêt certain à passer par une psychanalyse, si ils ont refoulés les troubles, cela ne les guérira peut-être pas, mais les conduira vers la voie d'une possible guérison, en usant d'autres stratégies complémentaires. Dans la plupart des cas, on devrait prêter à la psychanalyse, non pas un rôle thérapeutique, mais bien plutôt quelque chose de l'ordre du développement personnel, quelque part entre madame Irma, le coaching et la psychiatrie, suivant les personnes, ce qui n'est donc pas sans aucun intérêt non plus.

Je ne rejette pas quant à moi les " bienfaits " de l'astrologie, de la voyance, non en tant que domaine de compétence avéré, mais comme aide à la personne à connotation commerciale certes, mais qui a une utilité qu'il faudrait apprendre à reconnaitre, non comme science bien évidemment, mais comme soulagement pour les personnes dans le besoin, dans l'anxiété, névrosées, dans une forme de souffrance, dont l'usage de ces mystifications permet, dans de bonnes conditions ( à préciser ), d'apporter un mieux, ce mieux pouvant être purement psychologique, ou comme je l'ai fortement suggéré, en rapport étroit avec l'empathie, une écoute, un partage, un geste d'humanité quand il y a contact physique ( ce n'est pas systématiquement la cas malheureusement, comprends bien que je ne fais aucunement l'éloge de ces domaines, dont je ne reconnais aucune qualité revendiquée, hormis celle indirecte et non voulue initialement, de la chaleur humaine, induisant très certainement l'effet que l'on pourrait nommer par simplification placebo faute de s'y intéresser véritablement/sérieusement ).

Arthur Schopenhauer nous en donnes à tous, les moyens, dans l’Art d’avoir toujours raison.

Mais il y a une très grande différence, entre avoir raison, et être raisonnable !

Malheureusement, ce n'est pas une causalité, mais une corrélation que d'avoir raison, lorsqu'on est irraisonnable, lorsqu'on utilise le sophisme (par exemple). Par contre, c'est une causalité, d'avoir raison, lorsqu'on est raisonnable. Et faire l'amalgame entre ces deux méthodes, c'est pas correcte.

Soyons raisonnable, et démasquons la supercherie de la psychanalyse ! :rtfm:

Si, si c'est correct, mais il faudrait que tu te donnes la peine de chercher à comprendre où je veux en venir, et ne pas seulement rebondir sur les mots et les phrases que je produis !

Il n'y a pas que Schopenhauer, il y a aussi Pascal " l'art de persuader " ou de manière plus approfondie " Psychologie de la communication et persuasion " par C. Chabrol et M. Radu édit. De boeck ou encore dans la même veine: " Menteur qui comme Ulysse " édit. Belin, " Crimes contre la logique, comment ne pas être dupe des beaux-parleurs " édit. les Belles lettres, voire " How to lie with statistics " de Darrell Huff et " Statistiques méfiez-vous " édit. ellipses

Tout outil est adapté à un usage, vouloir l'appliquer sans discernement, n'est pas bon, mais ne pas s'en servir quand il est de rigueur est tout aussi incongru.

Tu es contre la psychanalyse d'appartenance freudienne, mais qu'en est-il de La psychanalyse au sens large ? Je n'ai besoin d'aucun discours extérieur, lorsque je fais moi-même mes propres expérimentations, que ce soit par exemple avec l'alcool, lorsque l'on dit habituellement que l'on perd la mémoire après une cuite, ceci s'avère totalement faux dans mon cas, de même par pratique de l'auto-psychanalyse et les résultats que j'obtiens, je ne peux absolument pas dire, que c'est dangereux systématiquement ou que ça ne sert absolument à rien, puisque ce serait contraire à ce que j'ai réussi à faire de mon coté, me conduisant donc à donner un certain crédit à l'art d'écouter l'inconscient, mais comme toute activité qui réclame une dextérité, tout le monde ne peut pas y parvenir d'emblée, comme tout le monde n'arrive pas à jongler avec 7 balles, ou être contorsionniste, il faut de la pratique, de la patience et une dose de détermination, dans le cas contraire, on obtient que très peu... as-tu essayé sur toi d'analyser ton propre comportement, en lien avec ton inconscient déjà ?

Avoir les ingrédients c'est bien... éviter de les service à toutes les sauces, c'est mieux #Nausée

Égaux en droite et devoir, mais pas en potentiel intellectuel, pas en culture, pas en mémoire, pas en objectivité, etc...

Là n'était pas le propos, mais dans celui de venir avec un argument d'autorité pour simplifier, ou en faisant office, du genre moi je suis diplômé et pas toi, donc c'est moi qui sais, qui ai raison, alors que la science elle-même regorge d'endoctrinement au sein d'une spécialité ( Pasteur en est un bon représentant, lui biologiste qui a fait bouger la médecine, alors que les médecins de son temps ne lui reconnaissaient aucune compétence, mais il y en a tant d'autres, comme le dogme du tout génétique il y a peu encore ) , personne n'a la science infuse, ni l'exclusivité de découvrir/trouver, ou encore d'être excellent dans un domaine ne présage rien sur un autre ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Allais https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Allais ).

L'intelligence ou l'esprit critique ne sont pas proportionnels ou concomitants à un parcours académique/formel, un héritage génétique ou social ou à l'appartenance à une caste quelconque... On ne choisit pas d'être intelligent ou bête, c'est contingent, il n'y a donc aucune fierté à avoir sur cela, la seule chose dont on peut éventuellement se targuer, c'est ce que l'on obtient par l'usage de sa volonté propre, comparativement à ce qu'il serait advenu sans son recours !

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 994 messages
If you don't want, you Kant...,
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Bonjour Tison,

n'ayant lu que le résumé de ce livre par le lien fourni, je suis donc dépendant de son contenu, j'apprécie que tu en précises de ton coté la substance, qui je crois est aussi mêlée à ta propre personne, me faisant alors mieux " apprécier " ce qui est dit, à travers ta plume.

Avant de te répondre, je tiens à préciser que l'ouvrage Pourquoi philosopher ? de Lyotard regroupe quatre conférences introductives à la philosophie, la première conférence ayant pour titre "Pourquoi désirer ?" et comme source d'inspiration les travaux de Freud et de Lacan. C'est cette imprégnation de la psychanalyse qui m'a le plus frappé en lisant cette première conférence.

Mettre en exergue une causalité en répondant à un pourquoi, ne résorbe pas le questionnement, il ne fait au mieux que le déplacer, peut-être que si l'interrogation avait été: Pour quoi philosopher, ou pour quoi désirer, je pourrais mieux y voir le lien avec la psychanalyse, qui pour l'instant demeure bien mystérieux.

Je peux d'ores et déjà apporter un élément de réponse, en stipulant que selon moi, il n'est pas à proprement parler question de désir, mais bien plutôt de besoin, en effet un désir peut avantageusement être troqué contre un autre, pourvu qu'il y ait une satisfaction au moins aussi grande en bout de ligne, ce qui n'est pas vraiment le cas d'un besoin, lui qui nécessite sa réalisation impérieuse si l'on ne veut pas subir d'avarie. Il me semble que la philosophie, comme l'addiction au sport ou à toute passion, ne peut pas être échangée, et que seule sa consommation apaise les maux qu'elle suscite, tel qu'il en va de son homologue culinaire...

Lyotard nous invite à établir un parallèle entre philosopher et désirer, le désir étant ambivalent (tout à la fois force attractive et créative, présente en nous, et expression d'une absence, d'une insatisfaction). Lyotard cite Lacan : "Toute relation à la présence s'accomplit sur fond d'absence".

Quant à l'habitude du prof de philosophie d'inaugurer son cours par la question classique : qu'est-ce que la philosophie ?, Lyotard y voit une ressemblance avec un acte manqué freudien par le fait de "ne pas réussir à mettre la main sur un objet qu'on avait seulement rangé quelque part". Nous sommes invités à partir en quête de la philosophie à partir de zéro, ou mieux, à partir de quelque chose qui apparaît et qui disparaît, qui est à la fois présence et absence, dont l'objet insaisissable, voire oublié pour la plupart des gens, a tout le temps besoin d'être rétabli.

Mais aussi tout simplement, parce que philosopher est quelque chose qui n'est pas facile à partager, puisque reposant sur une disposition, qu'il nous faut peut-être éveiller au préalable. Il est malaisé de lancer un sujet sur un domaine qui échappe sans doute à l'auditoire, d'autant plus si l'orateur lui y est familiarisé, nous avons un peu ce même schéma, lorsqu'un spécialiste s'adresse à un non-spécialiste, ce qui lui semble naturel et évident après tant d'années d'expériences, avec d'autres savants, s'avère paradoxalement compliqué à faire sentir à un profane !

De même aborder certains sujets avec de jeunes enfants est parfois délicat, car ils sont encore trop éloignés de notre préoccupation, des enjeux, des implications et son corollaire de ramifications à n'en plus finir, par où commencer ?, si ce n'est finalement que de demander ce que l'enfant sait déjà, pour s'en servir de point d'appui et développer à partir de cette référence. N'est-ce pas aussi l'intention du prof que d'avoir une base, un sol sur lequel reposera la suite de ses interventions, en demandant aux élèves ce qu'est la philosophie, plutôt que de savoir pourquoi on le fait, surtout face à public propédeutique, puisque réclamant d'en avoir une certaine vision pas trop floue et même une connaissance non nulle pour répondre, il me semble.

Plus que quelque chose d'évanescent, c'est surtout une prise de conscience et une envie qu'il convient de mettre en évidence, même si elle existe à la barbe de la personne concernée, il appert selon moi, que l'on ne peut pas donner envie, susciter un désir de philosopher, par plus que l'on peut le/la donner pour le sport, on peut certes inciter les gens à en faire, pour différentes raisons, mais pas d'en être investi jusqu'au plus profond de son être, je peux bien évidemment expliquer quelles sont les vertus de l'amour, et le dire avec engouement et ferveur, mais je ne peux pas déclencher le sentiment amoureux chez autrui de la sorte, je ne peux que m'y référer pour ceux l'ayant déjà connu.

Le préambule étant donc, de partir en quête de cet état, de cette possibilité ignorée pour certains, pour les autres ce ne sera malheureusement qu'une forme de culture générale, tout comme on ne force pas un créationniste à la pensée scientifique de l'évolution, un non sportif au goût du sport, un végétarien les bienfaits de la nourriture carnée ou encore un athée l'utilité de la religion, philosopher réclame cette graine en dormance ou déjà germée chez l'individu, dans le cas contraire ce n'est qu'une perte de temps, qu'une influence marginale/éphémère, il nous faut donc rechercher et identifier ceux qui ont ce besoin en eux, c'est le mieux que nous puissions espérer.

Comme toi, Déjà, Lyotard compare la philosophie à une histoire d'amour. Dans philo-sophie, il y a phylein, aimer, être amoureux, désirer. Mais il s'interroge sur le pourquoi de ce désir ambivalent et de sa structure présence / absence. D'abord en se posant la question : est-ce le désirable/l'aimable qui suscite le désir ou au contraire le désir qui crée le désirable ? Puis en rappelant le mythe de la naissance d'Eros évoqué dans le Banquet de Platon par Diotime ; la nature d'Eros est double, divine par son père (ingénieux) et humaine/mortelle par sa mère (démunie), et cette paire contrastée est identifiée aussi à la dualité mâle-femelle. Lyotard voit dans le désir la manifestation névrotique de la double ambiguïté scrutée dans Eros, celle de la vie et celle du sexe, sans pour autant tomber dans un pansexualisme réducteur qui éluderait les autres activités de la libido.

Après s'être référé au dialogue entre Alcibiade et Socrate, Lyotard en vient à conclure que "philosopher n'est pas désirer la sagesse, c'est désirer le désir..." En clair, il y a bien de l'amour dans la philosophie, cet amour est sa ressource. Mais la philosophie est autant dans l'amour que dans son indigence (la mère d'Eros s'appelle Pénia = Indigence).

Ce que tu dis est très éclairant, et rejoint en même temps, la critique faite à la psychanalyse, c'est-à-dire l'interprétation, en tout cas je salue tes efforts sur ces explications précises.

On en viendrait dans ce cas à se demander si c'est la curiosité qui conduit au secret ou le secret qui induit la curiosité, ou encore si c'est l'envie qui produit les objets enviés ou les objets enviables qui déclenche l'envie ?

Pour ma part, il n'y a pas dualité ou contraste à ce niveau, les objets acquièrent le trait en question, ne sont le réceptacle que d'une faculté innée, ils n'en sont qu'une manifestation concrète, qui aurait pu être autre, on pourrait les appeler des pulsions, et celles-ci se cristallisent à tel endroit plutôt qu'à tel autre, par différents facteurs extérieurs, c'est l'usage qui aiguise l'intensité de ces poussées naturelles, comme il en va de même avec l'appétit ou le besoin de manger, on mange tel ou tel aliment car c'est sur celui-ci que s'est fixé notre dévolu, qui avec le temps peut acquérir une plus grande force comparativement à d'autres ayant l'effet plutôt inverse.

Si je dois donner un exemple plus parlant, je partirai sur le désir charnel, le désir du sexe opposé, où avec le temps la discrimination des éléments qui déclenchent l'effervescence deviennent plus précis en même temps que plus intenses, il y a comme une concentration, une réduction, une densification du désir de plus en plus ciblé. Néanmoins, ce désir n'est pas issu de ces éléments déclencheurs, qui n'en sont que des révélateurs de plus en plus efficaces, qui s'affinent avec le temps, tout comme mon moyen perceptif tactile n'est pas du fait des objets que je touche, mais qu'avec l'habitude je discerne mieux, plus précisément et avec plus d'acuité qu'autrefois, ce sens devient plus efficace, plus performant pour résumer, tout comme un désir ou un besoin peuvent également s'affiner et s'affirmer davantage.

Il n'y a donc de mon coté aucune ambivalence, mais acte de discrimination temporelle, autrement dit un tri et un affinage.

De plus, on n'oubliera pas que je ne vois pas l'acte de philosopher comme relevant d'un désir, mais d'un besoin, ce qui ne laisse aucun choix, et donc de raisons à rechercher particulières, pas plus que je trouverais pourquoi je subit un coup de foudre avec telle personne plutôt qu'avec telle autre, quand bien même elles partageraient nombre de traits communs, il y a une part de mystère, et cette partie obscure participe grandement à l'effet magique ressenti, vouloir le résorber à tout prix ne pourrait que conduire à son anéantissement accéléré.

Je comprends bien que la réflexion philosophique doive privilégier le souci de soi en prenant acte de ce qui ne dépend que de toi et non des autres. Mais enfin, cher Déjà, peux-tu t'extraire de ton époque au point de ne devenir, toi en tant que philosophe solitaire, que l'inventeur de tes propres problèmes dans lesquels personne ne se retrouverait dans ce que tu pourrais en dire ? (puisque la philosophie passe par le dire).

Ma conviction est que nous sommes avant tout travaillés par notre époque et, comme le dit Lyotard, il n'y aurait pas eu de grandes philosophies repliées en "strates épaisses" (ici, je sens poindre l'influence deleuzienne) parce que chacune des modalités de la parole philosophique a été un moment où l'Occident cherchait à se dire et à se comprendre dans son discours. La parole sur soi est le noyau, une singularité précieuse, une différence que nul ne doit faire taire, mais elle ne peut se limiter à une parole solitaire et vouée à la folie. La conclusion de Lyotard prend des accents lacaniens : "ça veut à travers eux", "nous philosophons parce que ça désire". Ce faisant, Lyotard, me semble travaillé par son époque, elle-même secouée depuis plus d'un demi-siècle par la vague freudienne - et la vogue lacanienne - de la psychanalyse.

Non bien sûr, et je ne n'avais pas ceci en tête Tison, je suis comme les autres, empêtré dans le monde dans lequel je vis, et c'est justement une raison suffisante, ce manque d'objectivité, pour ne pas sombrer dans des prises de positions arbitraires, contestables, revisitables, contextuelles ou engluées dans l'air du temps, dont nos successeurs ne seront pas dupes et sauront nous reprocher.

Plutôt que de se donner de modifier le contexte socio-politique comme objectif primordial, je pars dans l'autre sens, je le prends comme il est et je cherche à m'en accommoder, même si j'ai de sérieuses critiques à y faire, il ne faut pas refaire de manière acroyante ce que les prosélytes religieux ont perpétré pendant des siècles, de vivre dans l'expectative d'une vie meilleure, il faut aussi apprendre à vivre et bien vivre avec celle-ci. Cela rejoint aussi une autre vision qui en partage des similarités, plutôt que de quérir un système politique parfait avec des hommes et femmes imparfaits, il vaudrait bien mieux changer d'abord les esprits de ces hommes et femmes dans un système imparfait, les résultats seraient plus probants selon moi [ de même qu'un outil mauvais utilisé à bon escient peut tout de même donner de bon résultat avec celui assez attentif à son défaut, alors qu'un bon outil mal employé produit un résultat décevant, je songe par exemple à une scie à bois ou un rabot tous deux gauches/déviants ].

Je m'insère dans un environnement, sociétal, je le subis en grande partie certes, je ne peux donc pas en faire abstraction, et les problèmes que cela soulève font aussi partie d'un traitement philosophique de ma part, mais et c'est là le point de discorde, ma philosophie n'est pas avant tout tournée vers mon époque, ni vers mes congénères comme le laisse entendre Lyotard, c'est sans doute une nécessité, mais pas une exclusivité ou ce qui est prépondérant, l'épistémologie qui occupe beaucoup de mon temps et de mes ressources réflexives, démontre qu'il y a d'autres préoccupations que celle de l'enlisement inévitable d'un environnement/climat contemporain, des idées du moment ou à la mode, mon esprit erre au-delà des limitations qui bloquent en général les âmes de mes semblables, j'étends dans le temps et l'espace mes réflexions, je ne me cantonne pas au giron où mon corps physique se trouve, n'ayant ni peur de revenir en arrière, ni d'extrapoler, ou encore de mettre ma curiosité dans tous les domaines de la connaissance que mes maigres forces peuvent me permettre d'appréhender: Plus j'apprends et plus je sonde la profondeur de mon ignorance !

La psychanalyse étant un des nombreux moyens pour y tendre, mais à utiliser avec précaution, car il n'existe toujours pas d'élixir de jouvence...

P.S.: j'espère ne pas avoir répondu trop à coté de la plaque, ni te prendre trop de ton temps ou épuiser ta patience !

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 117 messages
Forumeur expérimenté‚
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Tison2feu,

Ah bon, j'ai choisi la voie du HS, c'est comme ça que tu résumes la situation !

Lis le topic et viens donner des détails ! Pour ce qui concerne mon incapacité,

je te laisse juge et libre !

I. Garo est posée dans le topic Deleuze avec les références de son livre, et pouvait servir

d'entrée en matière à un débat, une recherche, une discussion ou une messe sur Deleuze !

Tu estimes toi que son discours n'est pas sourcé, lis le et puis reviens en parler ...

Je crois que tu te fais JUGE bien vite ! Calomnies, dis-tu ! Quelle calomnie ?

Pour la bien-pensance, j'ai parlé de celle qu'on oppose sur ce topic où il est régulièrement avancé

que Freud ceci ou Lacan cela ... Ce qui, à mon avis, est assez contradictoire sur un topic sur la

Psychanalyse !

Tu extrapoles beaucoup et me fais dire ce que je n'ai jamais dit !

Si le programme de l'EN ne te satisfait pas, écris à qui de droit, moi, je n'en suis pas responsable !

Et si tu veux trouver des références, tu peux en trouver là

http://www.espaces-m...pip.php?breve54

http://www.espaces-m....php?article255

Fouille, si cela te dit, ou passe et va où bon te semble ...

et http://www.forumfr.c...1#entry10385374

là, vois-tu, on peut sans risque de HS approfondir les questions philosophiques,

mais si l'entrée en matière ne convient pas, quiconque peut ouvrir le topic comme

il lui convient de penser ... Deleuze !

:fille:

.

(En m'excusant d'interférer sur le dernier post de Déjà)

Non, Elise, les rares paroles portant sur Deleuze dans cette conférence d'une heure, qui n'a rien à voir avec la psychanalyse, ne sont pas référencées. A la minute 52.40, faut-il rappeler les mots d'I. Garo : "Deleuze fait partie de ceux qui vont, dans la tradition d'un certain marxisme, dire que la classe ouvrière fait partie du capitalisme, et qu'il n'y a rien à attendre de la classe ouvrière, et que non seulement la classe ouvrière fait partie du capitalisme mais que la classe ouvrière est celle qui désire le fascisme. C'est invraisemblable quand on lit ça aujourd'hui.. et qu'il peut écrire ça dans les années soixante..."

Dans quel texte I. Garo a-t-elle lu cela ? (afin d'en connaître le contexte exact). Nous ne le saurons jamais.

Ce que je trouve encore plus lamentable, pour ma part, c'est qu'I. Garo évoque le Deleuze des années soixante. C'est la seule chose, dans cette conférence, que Garo a retenu de Deleuze.

Or, toute l'oeuvre de Deleuze a été écrite APRES les années soixante à l'exception d'un ouvrage sur Hume.

Ainsi donc, comme le signalait Chapati, c'est toute l'oeuvre de Deleuze qui est niée purement et simplement dans cette conférence consacrée prétendument à Foucault, Deleuze et Althusser (en réalité, seul Foucault est traité). Cette façon de procéder est inqualifiable, pour rester poli, puisqu'elle te permet à la fois d'évacuer la réalité de L'Anti-Oedipe de Deleuze et Guattari, qui avait parfaitement sa place dans ce topic, tout en multipliant les posts vantant la littérature politico-philosophique du PCF, qui eux n'ont rien à faire dans ce topic sur la psychanalyse.

Voilà la vérité, je n'extrapole rien, tout le monde peut le vérifier.

Toutes tes dernières interventions ne sont donc qu'une accumulation de hors-sujets, n'ayant plus aucun lien avec la psychanalyse.

Modifié par tison2feu
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