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Invité Quasi-Modo

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
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Et le sujet de la psychanalyse, pardon... Parlons-en... Ou n'en parlons plus, vous et moi.

J'ai beaucoup de mal à participer à ce brouhaha visant à étouffer ce dont on cause véritablement.

Il y a, ça et là, beaucoup de hors-sujet auquel veut se mêler le sujet.

Dans le genre : Promethee_Hades qui continue à dire que la coiffure c'est de l'm*rde et que tous les coiffeurs sont des enc*lés. LouiseAragon qui Roudinescocotte en hystérie de séduction. Demonax qui s'excite en nous claquant la porte au nez. Chapati qui veut être contre-argumenté à sa juste valeur, épicétou ! Deja-utilise qui n'est ni pour ni contre, bien au contraire. Dompteur de mots qui nous frustre comme à son habitude et enfin Ping qui est le seul à ne pas faire de hors-sujet et à garder son calme au lieu d'envoyer tout le monde au Diable !

La belle histoire que voilà !

Mais au fond, c'est bien ça, oui... La psychanalyse, c'est tout ça et plus encore.

Bonjour Anna Kronisme, bisous.

Je ne dis pas que la coiffure c'est de la m*rde, je dis qu'il vaut mieux aller passer un moment avec son coiffeur que de perdre son temps avec le psyK, mais j'aurai pus parler de bons copains, de curés, rabbins ou imams.

Pour le reste je me contente de lire, les interventions, en rigolant dans ma barbe. J'ai offert mon point de vue sur la psychanalyse, qui se résume en un mot "escroquerie".

Quand au propos la justifiant, que je lis, ils m'amusent fort, comme le l'ai déjà dit, ils démontrent des croyances et des méconnaissance totale du sujet en faisant souvent des amalgames n'ayant rien à voir. Je conseillerai aussi de découvrir François Roustang qui mérite aussi attention. un lien pour se faire une idée. http://www.nonfiction.fr/article-8390-francois_roustang__de_la_psychanalyse_a_lhypnotherapie.htm

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Sinon, pour en revenir au sujet, la psychanalyse, et pour essayer d'y voir plus clair, ( mais pas trop, comme dirait Oedipe en se crevant les yeux lorsque la vérité lui apparait.), je pense qu'il ne serait pas mal de preciser que ce mot , psychanalyse, n'etant pas une marque déposée, on trouvera des psychanalystes d'obediences très differentes les unes des autres. Le point commun etant l'inconscient, un l'envisagera comme ( je vulgarise et schematise), un inconscient personnel, sorte de cave à refoulé, l'autre le voyant comme langage, et le troisième comme un inconscient personnel baignant dans un inconscient collectif. Pour ne citer que les trois principaux. Mine de rien, il ne serait pas idiot de se documenter sur ces differences, et donc finalement sur ce dont on parle lorsqu'on evoque "la" psychanalyse.

Qu’est-ce que le cerveau humain, sinon un palimpseste immense et naturel ? Mon cerveau est un palimpseste et le vôtre aussi, lecteur. Des couches innombrables d’idées, d’images, de sentiments sont tombées successivement sur votre cerveau, aussi doucement que la lumière. Il a semblé que chacune ensevelissait la précédente. Mais aucune en réalité n’a péri. [baudelaire]

Parce que j'ai un faible pour le tout langage de Lacan qui a d'ailleurs utilisé le métaphorique palimpseste en ces termes :

[...] Il s’ajoute au fait que "l’inconscient est structuré comme un langage", reprend Jacques Lacan, un enrichissement du langage qui lui-même se trouve structuré sur deux portées : le pré-conscient et l’inconscient – ce dernier étant, j’y insiste bien, non pas plus difficile d’accès mais radicalement inaccessible, et qui se manifeste en poussant des surgeons vers l’autre niveau. Je crois qu’on peut employer l’image d’un palimpseste, vous savez, ces manuscrits sur lesquels un premier texte avait été effacé pour être recouverts d’une autre écriture. Oui, un palimpseste, vous avez deux textes à lire dont un ne surgit que là où l’autre a des défaillances, mais qui ne se relie pas du tout au premier texte et que vous ne pouvez pas entendre, aussi longtemps que sa structure n’a pas été reconnue.[...]

Je suis donc davantage intéressée par l'inconscient qui "parle" qu'à celui qui se planque dans la cave ou qui fait de la télépathie avec ses copains même si ces deux autres notions sont indispensables à la compréhension de la troisième.

Il y a, dans l'inconscient qui "parle", une part de candeur qui me fascine.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
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:) :) Je ne sais dans quel milieu tu évolues ...

Je ne sais où tu puises tes infos ... et je ne sais pourquoi

tu ironises sur un lacangourou, une roudinescottte, ou autres calembours

à la mode ! Ces blagounettes se relaient, elles sont dans l'air du temps !

Quels sont les gouroumaîtres à penser qui les propulsent et dans quelle intention ?

Serait-ce inexplicable ? Inextricable ?

Les relayer c'estt bien de l'ordre du 'oui, je " sautillant et bondissant allègrement à califourchon sur le "pouvoir" riant sottement de sa bonne blague si bien reprise et si

bien ali...ali énée ...et go ... poursuivons la ronde et tournons gogos gagas gugus ...hihi !

http://www.appeldesappels.org/publications/l-appel-des-appels-politique-des-metiers-manifeste-1260.htm

http://www.appeldesappels.org/publications/-l-individu-ingouvernable-roland-gori-1660.htm

http://www.librairie-terranova.fr/157-agenda-en-cours-marie-jean-sauret.html

:)

C'est de l'Oulipo, LouiseAragon... Mais tu as raison, il y a tant de choses que tu ne sais pas.

Comme par exemple, pourquoi personne n'a envie d'ouvrir tes liens.

Les mots, c'est que je joue avec, j'y suis dedans, tu peux y trouver mon âme.

Toi, tu joues dessus, tu es ailleurs voire à côté. Tu n'habites pas ton propos, tu fais la Roudinescocotte... C'est à dire que la dame est une historienne talentueuse mais qu'elle se place en dehors de la psychanalyse pour exercer son art. Elle parle des "gens", des conditions qui les ont menés là, etc. mais de psychanalyse, ketchi, walou, niente, que dalle ! Juste qu'il s'agit d'une discipline avec ses disciples et ses dissipateurs, ses disculpations et tout le tralala !

J'avais envie que tu le saches que tu m'ennuies.

CAL22, viens avec ton gyrophare ! Je suis chamaille... :blush:

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Invité s
Invités, Posté(e)
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On parle bien des psychanalystes, hein...je sais bien qu'ils ne prétendent pas tout soigner, mais sans formation, comment peuvent-ils savoir si le gars qui se présente à eux clafi de troubles anxieux, n'a pas tout bêtement un dysfonctionnement thyroïdien? Ou bien un syndrome génétique qui se manifeste uniquement par des troubles du comportement?

ma question est très sérieuse.

DEVENIR PSYCHANALYSTE : FORMATION NÉCESSAIRE

La profession de psychanalyste n'est pas réglementée. Si la législation en vigueur n'impose l'obtention d'aucun diplôme, dans les faits, il est nécessaire de posséder une solide formation en psychologie. D'ailleurs, la plupart des psychanalystes sont des psychologues ou des psychiatres ayant obtenu :

• soit l'un des masters suivants : recherche en psychologie, psychologie clinique, psychanalyse... ;

• soit un Diplôme d'études spécialisées (DES) en psychiatrie qui correspond à 6 années d'études de médecine générale plus 4 années de spécialisation.

Pour espérer intégrer la Société psychanalytique de Paris, il faut avoir pratiqué une psychanalyse pendant plusieurs années à raison de plusieurs séances hebdomadaires. A ce stade, la Société psychanalytique de Paris distille une formation pratique et théorique qui dure environ 8 ans.

Etudiant

Il vaut mieux quand même se diriger vers un psychanalyste qui a suivi une formation.

Modifié par samira123
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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
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Études / Formation pour devenir Psychanalyste

Le psychanalyste doit avoir effectué une analyse personnelle lui permettant de bien comprendre les mécanismes de son inconscient.

Parallèlement, la formation est assurée dans le cadre de l’une des sociétés de psychanalyse ou d’écoles psychanalytiques de l’une ou l’autre obédience issues de l’histoire du mouvement psychanalytique.

Il doit en outre commencer à pratiquer les analyses sous le contrôle d’un analyste superviseur ou d’un groupe d’analystes, selon l’école. Il doit également entreprendre un travail de recherche clinique et théorique continu avec d’autres analystes pour compléter sa formation.

Un psychanalyste possède fréquemment une solide formation universitaire initiale en psychologie.

Cependant aucune disposition légale ne réglemente la pratique de la psychanalyse en France. Le plus souvent, les thérapeutes appartiennent à une société affiliée à l’Association psychanalytique internationale (API) liée au courant freudien. Mais d’autres écoles ou tendances existent, tels les courants lacanien, jungien, adlérien etc.

Mon lien

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Invité Lowy
Invités, Posté(e)
Invité Lowy
Invité Lowy Invités 0 message
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Je pense que parfois les psychanalystes lobotomisent leurs patients -sans chirurgie en leurs inculquant des notions biaisées et qu'ils font en sorte de leur faire croire que c'est leurs idées..., c'est assez bizarre de voir que les gens qui parlent de leurs psycho en parlent comme d'un gourou qui leur donne le droit de survivre...ça m'a toujours frappé de voir ça chez les gens avec ces mots appris et qu'ils répètent comme une évidence mais sans grande conviction tout en voulant convaincre les autres que c'est comme ça...

Flippant de voir que des médecins fassent ça de leur patients, j'ai toujours pensé qu'ils pouvaient être dangereux en déterrant ce qui devrait rester enterré ; je pense aussi qu'ils peuvent avoir une ascendances très négative sur le patient jusqu'à lui enlever ce truc qui le différencie; c'est comme s'ils endormaient une partie de son âme et qu'ils généralisaient ce côté de ''c'est comme ça '' que ça devrait marcher...une sorte de résignation ...

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On parle bien des psychanalystes, hein...je sais bien qu'ils ne prétendent pas tout soigner, mais sans formation, comment peuvent-ils savoir si le gars qui se présente à eux clafi de troubles anxieux, n'a pas tout bêtement un dysfonctionnement thyroïdien? Ou bien un syndrome génétique qui se manifeste uniquement par des troubles du comportement?

ma question est très sérieuse.

Un psychanalyste qui a une formation est capable de voir certains troubles mais en dehors de cela, une personne qui va voir un psychanalyste y va avant tout pour parler de ses problèmes personnels liés à son enfance, à son présent, du fait qu'il se sente mal parce que ça a un rapport avec son vécu. Par exemple, une personne qui se sent dépressive et qui ne sait pas pourquoi va d'abord voir son médecin traitant qui en lui posant des questions va lui faire passer des analyses donc si cela vient admettons d'un dysfonctionnement thyroïdien, pas d'utilité d'aller voir un psychanalyste.

Je ne pense pas qu'une personne se dirige vers un psychiatre, un psychologue, un psychanalyste parce qu'il veut guérir de tel symptôme ou telle maladie mais plutôt qu'il sait qu'il a des problèmes à cause de son vécu, dans son relationnel avec les autres... Et elle va plutôt aller voir soit un psychologue, psychiatre, psychanalyste, coach, faire du théâtre, hypnose...parce que ce n'est pas son médecin traitant qui peut l'aider à ce niveau, il peut juste la diriger vers une méthode qui pourrait mieux lui convenir.

Modifié par samira123
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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
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C'est reparti pour un strip-tease en règle de ces pauvres coiffeurs ! C'est Promethee_Hades qui va être content ! **private joke**

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
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Flippant de voir que des médecins fassent ça de leur patients, j'ai toujours pensé qu'ils pouvaient être dangereux en déterrant ce qui devrait rester enterré ; je pense aussi qu'ils peuvent avoir une ascendances très négative sur le patient jusqu'à lui enlever ce truc qui le différencie;

Oui c'est ça le problème : le type arrive avec son histoire et on lui explique que c'est pas ça l'histoire, que l'histoire c'est papa-maman... alors il est spolié, dépossédé de son histoire : il en reverra plus jamais la couleur de son histoire à lui, du processus sans doute long, tortueux, complexe, qui l'a amené à raconter cette histoire-là et pas une autre. Elle sera enfouie une couche plus loin, plus profond.

Et là on a le même effet qu'une pilule (en plus cher), le type - tant qu'il y croit au baratin du psy - n'aura pas de moyen de retrouver son, ses fils conducteurs, d'avoir une chance d'aller au bout de son truc.

Et là, ça fait du mal bien sûr la psyK.

C'est pas exactement que ça devait rester enterré, c'est qu'enterré ça mûrit, ça progresse : c'est de facon souterraine, avec le temps, que les choses avancent. S'il n'y a pas ce genre de mûrissement, mais on n'a aucune chance de venir a bout de quoi que ce soit !

.

Modifié par chapati
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Je pense que parfois les psychanalystes lobotomisent leurs patients -sans chirurgie en leurs inculquant des notions biaisées et qu'ils font en sorte de leur faire croire que c'est leurs idées..., c'est assez bizarre de voir que les gens qui parlent de leurs psycho en parlent comme d'un gourou qui leur donne le droit de survivre...ça m'a toujours frappé de voir ça chez les gens avec ces mots appris et qu'ils répètent comme une évidence mais sans grande conviction tout en voulant convaincre les autres que c'est comme ça...

Flippant de voir que des médecins fassent ça de leur patients, j'ai toujours pensé qu'ils pouvaient être dangereux en déterrant ce qui devrait rester enterré ; je pense aussi qu'ils peuvent avoir une ascendances très négative sur le patient jusqu'à lui enlever ce truc qui le différencie; c'est comme s'ils endormaient une partie de son âme et qu'ils généralisaient ce côté de ''c'est comme ça '' que ça devrait marcher...une sorte de résignation ...

Un bon psychanalyste n'est pas celui qui va dire à son patient, "c'est comme ça" mais plutôt celui qui saura faire une interprétation juste sur ce que le patient lui dira et quand je dis juste, ça veut dire qu'il y a compréhension pour le patient, que c'est une évidence qui fait que celui-ci se sentira mieux ou du moins aura compris le problème. Et sûrement qu'il existe des médecins qui ont un pouvoir sur leurs patients, qu'ils sont des gourous comme tu dis mais pour être un bon médecin, il faut déjà savoir être à l'écoute du patient non imposer quoi que ce soit d'ailleurs le patient est capable par lui-même de faire ses propres interprétations, c'est le plus important car c'est quand même le patient qui par son vécu est quand même mieux placé pour savoir ce qu'il en est.

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
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Un bon psychanalyste n'est pas celui qui va dire à son patient, "c'est comme ça" mais plutôt celui qui saura faire une interprétation juste sur ce que le patient lui dira et quand je dis juste, ça veut dire qu'il y a compréhension pour le patient, que c'est une évidence qui fait que celui-ci se sentira mieux ou du moins aura compris le problème. Et sûrement qu'il existe des médecins qui ont un pouvoir sur leurs patients, qu'ils sont des gourous comme tu dis mais pour être un bon médecin, il faut déjà savoir être à l'écoute du patient non imposer quoi que ce soit d'ailleurs le patient est capable par lui-même de faire ses propres interprétations, c'est le plus important car c'est quand même le patient qui par son vécu est quand même mieux placé pour savoir ce qu'il en est.

Peut-être mais qu'est-ce qu'il se passe si le psyK n'a pas les moyens de comprendre les problèmes du patient ?

Comment il va faire pour "l'orienter" ? Vers quoi ? A partir de quoi il va se permettre "d'interpréter" ? C'est quoi une interpretation "juste" ?

(en admettant donc qu'il n'ait aucun schéma préconçu de diagnostic, de type freudien lacanien ou autre).

Parce que si le patient "a compris le problème" - comme tu dis - alors elle est finie la psyK, non ?

Qui est qualifié ?

.

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Invité Lowy
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Invité Lowy
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Un bon psychanalyste n'est pas celui qui va dire à son patient, "c'est comme ça" mais plutôt celui qui saura faire une interprétation juste sur ce que le patient lui dira et quand je dis juste, ça veut dire qu'il y a compréhension pour le patient, que c'est une évidence qui fait que celui-ci se sentira mieux ou du moins aura compris le problème. Et sûrement qu'il existe des médecins qui ont un pouvoir sur leurs patients, qu'ils sont des gourous comme tu dis mais pour être un bon médecin, il faut déjà savoir être à l'écoute du patient non imposer quoi que ce soit d'ailleurs le patient est capable par lui-même de faire ses propres interprétations, c'est le plus important car c'est quand même le patient qui par son vécu est quand même mieux placé pour savoir ce qu'il en est.

Je n'ai pas dis que cela se passe comme ça -tout le temps : j'ai dis parfois ; de là, à dire ''bon'' et ''mauvais'' psychanalyste , c'est bien relatif- certains savent soigner certaines pathologies et pas d'autres , certains savent parler aux patients et leur donner ce leste nécessaire à s'exprimer et pas d'autres , certains donnent ce confort d'être aux patients dans leurs cabinets-cliniques mais en en sortant les malades se retrouvent confrontés à leurs démons si ce n'est pire parcequ'ils comptaient sur ce psy qui les aidait et là, ils ne doivent compter que sur eux mêmes ou encore ce même psy a fait surgir des peurs, phobies etc...que ni lui, ni le patient ne sauraient gérer...

Oui, les thérapies marchent parfois (cela dépends des cas et de la volonté ou force du patient...) elles peuvent aussi complétement foirer ; une sorte de roulette russe...

Et ça ''c'est comme ça'' malheureusement.

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
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Dépression: des scientifiques mettent en lumière les causes génétiques de la maladie

Maladie psychiatrique courante, la dépression a pourtant des causes génétiques, ce qui explique sans survenue même sans traumatisme apparent dans la vie du patient. C'est en tout cas les conclusions d'une étude du Massachusetts General Hospital aux Etats-Unis.

http://www.francesoir.fr/societe-sante/depression-des-scientifiques-mettent-en-lumiere-les-causes-genetiques-de-la-maladie

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Peut-être mais qu'est-ce qu'il se passe si le psyK n'a pas les moyens de comprendre les problèmes du patient ?

Comment il va faire pour "l'orienter" ? Vers quoi ? A partir de quoi il va se permettre "d'interpréter" ? C'est quoi une interpretation "juste" ?

(en admettant donc qu'il n'ait aucun schéma préconçu de diagnostic, de type freudien lacanien ou autre).

Parce que si le patient "a compris le problème" - comme tu dis - alors elle est finie la psyK, non ?

Qui est qualifié ?

.

C’est avant tout au patient de comprendre ses problèmes. Je pense que dans les premières séances qui permettent d’évaluer la situation par diverses questions, le psy est capable de voir si pour le patient, la thérapie peut lui être utile. Mais de façon générale, une thérapie, c’est parler de ses problèmes donc sans même qu’un psy intervienne, juste le fait de parler peut être bénéfique. Bien souvent, ce qui est difficile pour le patient, c’est de parler de ce qui le met vraiment mal à l’aise et certains patients abandonnent car ils ont du mal à s’en exprimer ou parlent d’autres choses mais n’arriveront à aller mieux que le jour où ils y feront face. Quand je dis interprétation juste, admettons un patient évoque une situation difficile qu’il a vécu et il culpabilise, si le psy arrive à savoir exactement pourquoi et que le patient comprend qu’il n’a plus à culpabiliser, là, un de ses problèmes va s’en aller.

Une bonne interprétation peut être quand le patient expose une difficulté et que le psy aura compris ce qu’il en est d’où son interprétation et s’il tombe juste, le problème s’en va mais je dirais que c’est plus le patient qui en parlant, en analysant sa situation est capable de comprendre ce qui ne va pas et le problème sera résolu quand le patient n’y accordera plus d’importance et passera à autre chose.

Non ce n’est pas parce qu’un problème se résout que l’analyse se termine, d’ailleurs une analyse peut être sans fin, on ne peut pas parler de guérison mais d’un mieux être. La fin d’une analyse ça peut être quand le patient ne ressent plus le besoin d’aller voir le psy. Si tu veux, une personne qui a vécu un événement douloureux, une enfance malheureuse…Elle va y penser souvent, ça va jouer dans sa vie de tous les jours, il va y avoir des blocages…Ce n’est qu’en se libérant par la parole, qu’elle va en avoir une autre vision et en comprendre mieux le pourquoi…Et le jour où elle en aura fait le deuil, c’est-à-dire dans le sens où ça n’a plus d’impact sur son présent, là on peut dire qu’elle va mieux.

Pour moi, un bon psy, c’est déjà une personne qui a une formation, celui qui a une bonne écoute, une connaissance de l’humain, une bonne compréhension, un psy qui parle trop n’est pas un bon psy, sinon, c’est très varié parce que ça dépend de ce que recherche le patient.

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
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Deuxième découverte (dans le même lien) : manger trop gras rendrait dépressif (assurément un journée a marquer d'une pierre blanche dans l'histoire de la médecine).

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

@ Samira,

Admettons.

Et comment fait le patient pour savoir si le psy est à la hauteur (et donc je répète ni familialiste, ni structuraliste etc, soit théoriquement dénué de préjugés interprétatifs et ce quelle que soit la parole du patient ) ?

Où on le trouve, cet énergumène, prêt à admettre-accepter la possibilité de ne rien comprendre, laissant ainsi toutes portes ouvertes au patient ?

(à part dans la théorie j'entends)

.

Modifié par chapati
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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
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Bonjour Chapati, poigne de mains.

A toi aussi, tu visite. J'en ai vue d'autre c'est pas mal non plus, il y a la aussi de la visite à faire

De toute façon c'est de la psyK par ce que là on est en plein dans le sujet sur la libido

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/08/03/25263-lorgasme-feminin-heritage-levolution

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/04/28/22280-sexe-ce-que-veulent-femmes?position=18&keyword=orgasme

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

C’est avant tout au patient de comprendre ses problèmes. Je pense que dans les premières séances qui permettent d’évaluer la situation par diverses questions, le psy est capable de voir si pour le patient, la thérapie peut lui être utile. Mais de façon générale, une thérapie, c’est parler de ses problèmes donc sans même qu’un psy intervienne, juste le fait de parler peut être bénéfique. Bien souvent, ce qui est difficile pour le patient, c’est de parler de ce qui le met vraiment mal à l’aise et certains patients abandonnent car ils ont du mal à s’en exprimer ou parlent d’autres choses mais n’arriveront à aller mieux que le jour où ils y feront face. Dans ce cas là le patient n'a qu'à parlé à son mur, à sa table, à son lit, à une arbre et sa coute moins cher et il sera mieux servi que par le psy Quand je dis interprétation juste, admettons un patient évoque une situation difficile qu’il a vécu et il culpabilise, si le psy arrive à savoir exactement pourquoi et que le patient comprend qu’il n’a plus à culpabiliser, là, un de ses problèmes va s’en aller. Bien ça l'analysé peut se le faire toujours lui même comme job et ça coute pas la peau des c ouille ouilles

Une bonne interprétation peut être quand le patient expose une difficulté et que le psy aura compris ce qu’il en est d’où son interprétation et s’il tombe juste, le problème s’en va mais je dirais que c’est plus le patient qui en parlant, en analysant sa situation est capable de comprendre ce qui ne va pas et le problème sera résolu Bien voilà c'est le patient qui fait le job, l'autre encaisse sans rien faire quand le patient n’y accordera plus d’importance et passera à autre chose. Bien oui il est capable tout seul comme un grand de s'en sortir sans devoir engraisser un fainéant qui veut pas bosser à l'usine comme les copains

Non ce n’est pas parce qu’un problème se résout que l’analyse se termine, d’ailleurs une analyse peut être sans fin, on ne peut pas parler de guérison mais d’un mieux être. La fin d’une analyse ça peut être quand le patient ne ressent plus le besoin d’aller voir le psy. Si tu veux, une personne qui a vécu un événement douloureux, une enfance malheureuse…Elle va y penser souvent, ça va jouer dans sa vie de tous les jours, il va y avoir des blocages…Ce n’est qu’en se libérant par la parole, qu’elle va en avoir une autre vision et en comprendre mieux le pourquoi…Et le jour où elle en aura fait le deuil, Nul besoin d'un psychanalyste pour ça, la plupart le font très bien tout seul c’est-à-dire dans le sens où ça n’a plus d’impact sur son présent, là on peut dire qu’elle va mieux.

Pour moi, un bon psy, c’est déjà une personne qui a une formation, celui qui a une bonne écoute, une connaissance de l’humain, une bonne compréhension, un psy qui parle trop n’est pas un bon psy, sinon, c’est très varié parce que ça dépend de ce que recherche le patient.

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Posté(e)

@ Samira,

Admettons.

Et comment fait le patient pour savoir si le psy est à la hauteur (et donc je répète ni familialiste, ni structuraliste etc, soit théoriquement dénué de préjugés interprétatifs et ce quelle que soit la parole du patient ) ?

Où on le trouve, cet énergumène, prêt à admettre-accepter la possibilité de ne rien comprendre, laissant ainsi toutes portes ouvertes au patient ?

.

C'est très difficile de savoir qui peut être à la hauteur, j'ai eu divers expériences psy suite à des problèmes dans l'enfance et une thérapie négative ensuite heureusement une positive mais je crois que ce qui m'a permis de m'en sortir, c'est de savoir que je ne pouvais compter que sur moi-même. Je pense que si on attend trop du psy, on risque d'être déçu, il ne faut pas y aller en pensant que le psy peut tout régler car ça dépend avant tout du patient. Après il y a la possibilité d'en voir plusieurs avant d'entreprendre une thérapie et ça ne peut être qu'au feeling ou parce que le psy dès les premières séances, on va se sentir compris ou alors demander l'avis du médecin traitant ou des professionnels parce que plusieurs se connaissent entre eux. Mais enfin dans l'ensemble, les psys que j'ai vus étaient plus ou moins biens à part celui avec qui j'ai eu une thérapie négative, il n'y a pas un type de profil mais si cela se passe bien dans le relationnel, je pense que c'est le plus important.

Je vais essayer de te répondre mais si tu peux la prochaine fois évite d'écrire dans le post car après je suis obligée de reprendre toutes tes phrases une par une.

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