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Cruauté de la vie

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querida13

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sirielle Membre 8 653 messages
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Je ne dis pas que la mortalité rend la vie absurde dans l'absolu. Seulement pour l'expérience de chacun, la mort est inouïe (parce que par définition, elle n'est jamais éprouvée mais elle est le but final, inéluctable). Et parce que la mort ne peut pas être éprouvée tant qu'on est vivant, nous avons l'illusion d'une vie éternelle et donc un peu sacrée. La mortalité contredit donc notre vécu et rend la vie de tout être vivant dénuée de sens.

Ensuite je ne pose pas comme règle générale qu'au cours d'une existence on souffre plus qu'on est heureux. En tous cas pas l'existence individuelle prise dans son ensemble. Mais vous le dîtes vous-même la mort qu'on pourrait qualifier de naturelle surgit à la limite supportable pour un corps. Et avant cette limite, la dégradation des fonctions vitales est évolutive. Et quand un être vivant subit cette évolution, les souffrances l'emportent forcément sur les plaisirs.

Alors, il ne s'agit absolument pas de défendre le suicide. Il s'agit de montrer que le suicide est un choix les plus intimes qu'il soit et pas nécessairement irrationnel.

Je ne crois pas que la mort soit un but, ni même qu'elle soit inéluctable, car il est possible de sauver des vies, ça peut même être un devoir. La mortalité ne contredit pas la vie, elle lui donne des limites. Comme la fin d'un livre ou sa possible fin ne sont pas le contraire d'un livre. Et pourtant ce même livre peut avoir du sens et de la valeur, être sacré.

On peut concevoir la vie éternelle en ayant conscience quand même de la mortalité, comme pour tous les idéaux, elle ne dépend pas que de la volonté mais pourtant elle existe, au moins dans l'imaginaire. Et cet imaginaire pourrait d'ailleurs concevoir une vie à la fois éternelle et mortelle. L'éternité étant différente de l'immortalité.

La dégénérescence et le dépérissement n'entraînent pas forcément plus de souffrance que de plaisir, bien qu'ils causent de la souffrance. Et ils ne sont pas toujours eux non plus inéluctables.

Comme je l'avais déjà écrit, un suicide ne concerne pas que le suicidaire, il concerne aussi la société dont il fait partie, puisqu'en se suicidant il suicide une part de cette même société. Mais je pense aussi que le suicide n'est pas toujours vraiment un choix, on peut y être plus ou moins contraint par le contexte, sans que ce soit pour autant une bonne chose.

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Il y a encore quelques assertions fausses, prononcé par certains, sur ce topic (sans doute à cause de biais cognitifs).

C'est-à-dire: Qu'il y a quelques généralités qui n'ont pour cause que des observation subjective (ou une dissonance cognitive) et qui peuvent produire d'éventuel conséquence néfaste.

Si l'observation subjective suffit pour créer une pensé (pour la philosophie, ou autre), cela n'est pas suffisant (comme en science, telle que la philosophie) pour l'imposer de façon générale.

Enfin, si on partage cette pensée, essayons d'en voir l'utilité en évitant les piège: trolls, pensées parasite, broyer du noir, ou la masturbation intellectuelle (qui favoriser les hypothétiques dépressions de certains lecteurs silencieux).

Ayant autre chose à faire que d'éternellement les dénoncer, je me focaliserais donc juste sur les gens qui voudrons bien dialogue avec moi :bo:Et tant pis, pour le nivellement par le bas.

--------------

------------------

--------------

Nous n'avons donc que ça Démonax ,l'espoir d'une vie plus pleine grâce à l'argent ou à la gloire ou encore plus vibrante grâce à l'amour ?
Si tu choisie (parmi d'autres options) de considérer la vie comme étant cruelle, il te reste encore d'autres choix, avant d’hypothétiquement sombrer dans les idées noirs*.

Tel que:

  • L'espoir comme tu le dis. Parfois réaliser, parfois continuellement recherché/attendu. Il permet de combattre la cruauté de la vie, avec au choix: une vie meilleur, un avenir meilleur, une vie comblé, une vie bien remplie, une vie employé à bon escient, une vie de rêver, une vie d'immortel (oxymore), etc; Que cela soit grâce à l'argent, la gloire, l'amour, la force, l'intelligence, la foi, la sagesse, la patience, l'idiotie, le bonheur, le masochisme, l'amitié, la passion, le désire, la manipulation, la science, les névroses, une communauté, ..... -la liste est longue-
  • Le fatalisme, <<mot formé à partir du latin fatum : le « destin ». C'est une doctrine selon laquelle le monde dans son ensemble, et l'existence humaine en particulier, suivent une marche inéluctable (fatalité), où le cours des événements échappe à la volonté humaine.>> (cf: Wikipédia)
    La sagesse (au mieux) qui représente l'acceptation de ce qui nous dépasse. Se résoudre face à notre impuissance et tourner la page (philosophiquement).
  • Le déterminisme, <<une notion philosophique selon laquelle la succession de chaque événement est déterminée en vertu du principe de causalité, du passé et des lois de la physique.>> (cf: Wikipédia)
    Reconnaitre la terrible réaction de l'ego face à (la conscience de) sa propre mort. Mais cela n'affecte en rien l'existence (au mieux cela influence pour survivre plus longtemps, ou dans de meilleur condition), c'est juste une étape, parmi tant d'autre (qui s'arrête pour certains, qui continue pour d'autre).
  • Dévier la souffrance. Ce n'est pas la vie qui est cruelle. C'est la mort !
    Certains humains sont (cons) cruelle, certaines évènement sont (hasardeux) cruelle, mais la vie reste une source intarissable de joie (suffit-il de cherchait et correctement). C'est la mort, qui arrête cette source, qui est cruelle. Combattons la cruauté de la mort, par une meilleur interprétation, motivation, action de la vie.
  • L'oublie. Parce qu'on n'y pense pas, parce qu'on se refuse d'y penser, parce qu'on noie cette pensé dans d'autres substance (amour, foi, alcool, poésie, philosophie, .....).
  • Autre. (?)

Il faut aussi prendre en compte:

  • _ que l'âge, sous entendant l'expérience (mais aussi, maladroitement, la maturité) permet de plus facilement accepter la mort.
    Autrement dit, quand tu sera plus âgé, il y a une forte probabilité que tu relativise mieux l'existence (sauf si t'as eu une vie de merde, ou que tu as un caractère de merde :D).
    _ que les religions/secte/croyance sont aussi pérenne pour leur facilité à accepté la mort (à travers des illusions).
    Autrement dit, même en connaissance de cause, tu peux choisir de "croire". Avec un conditionnement sur le long terme et tes biais cognitifs influencés par la psychose de la mort, tu finiras par avoir "la foi".
    _ que autre chose. (?)

*Exemple d'idées noirs:

<<La vie est cruelle, donc ma vie est cruelle.

(Captrice:)Je ne veux pas d'une vie cruelle. ...>>

(Captrice:)Je veux avoir exclusivement le choix de vivre ou mourir (face à cette cruauté). ...>>

Conséquence négative (au choix):

  • agir pour ne plus subir cette interprétation de la vie (pression cognitive).
  • se plaindre éternellement sans rien faire (névroses, pensés parasites, comportement improductif).
  • s'auto-détruire et emporter le plus de monde dans son chaos (idiotie, psychose, folie).
C'est oublier cependant un peu vite que ce n'est pas parce qu'on a [mettez ici ce que vous voulez possédez] qu'on n'a pas de problèmes[...]
:plus:

Mais, chaque chose en son temps !

Aujourd'hui, ton problème, c'est la cruauté de la vie.

Si demain, tu possèdes [mettez ici ce que vous voulez posséder] et que tu as un problème (si on ne prends pas en compte les arguments ou autre choix que j'apporte, en faisant preuve d'objectivité, de maturité, ou de jugeote), oui, ça te fera chier. Et il ne tiendra qu'a toi d'essayer de le résoudre (ou de te faire assister(ou de le fuir) ) en attendant le suivant, en tournant la page ou en trouvant la paix intérieure #3615-Secte :smile2: :p

Mais c'est toujours mieux que de rester bloquer sur la cruauté de la vie, qui n'apporte rien de bon.

Et même si l'on a ,ou l'on a eu tout ceci, il nous faut encore affronter la vie avec une certaine part de solitude endurante face à la cruauté des événements.
Ton problème (cognitif) c'est donc l'affrontement !

Tu as le droit d'être fatiguer ou de vouloir te reposer. Avec au choix, des vacances, ta famille, tes amis, un bon livre à lire au coin du feu, du sexe, changer de vie, du sport, ta passion, découvrir une passion, etc**.

Tu peux aussi arrêter de te battre, sans pour autant te suicider (si cela est hypothétiquement une option que tu considère maladroitement comme valide, malgré les démonstrations qui prouver que ce n'est pas le cas), faire preuve de fatalisme, ou d'apathie, ou trouver la paix intérieur (méditions, réflexion, entrainement, etc).

**: Au pire:

Tu (je ne dis pas que c'est ton cas, je prends un exemple) n'as pas d'argent, tu n'as pas d'amis, tu n'as pas de famille, tu n'as pas d'idée, et tu accompagnes ton quotidien d'une dépression. Là tu n'as pas le choix, tu dois te battre, dans l'optique d'avoir un meilleur avenir (et rassure-toi: quand on est plus bas que terre, difficile de faire pire. Donc, tu ne peux faire que mieux).

Tu as de la chance d'habiter en France. Il existe des tonnes d'association et de service d'aide à la personne.

Pas d'argent => Sécurité sociale, chômage, RSA, bénévolat, association, prostitution, esclavagisme (c'est une plaisanterie, pour les deux derniers, quoi que... :( ) etc.

Pas d'amis => forum :smile2:, association de jeux, de lecture, de danse, de croyance, etc.

Pas de famille => Agence matrimoniale, site de rencontre (même si c'est bidon), rentre dans une communauté, etc.

T'es dépressive => Consulte un professionnel qui t'aidera d'après tes moyens (et d'après ces compétences).

Il y aussi ceux qui s'imagine être le pire, c'est ceux qui abandonnent pour des raisons pitoyables.

Pour eux (tester et approuver), je leur préconise un mois de "travail par/pour/avec les autres", que se soit sur les marchés (un petit stage), dans la compagne, le bénévolat (un domaine bien vivant, bien fatiguant), et sympathiser avec les collègues, comme avec les clients.

Sinon, un petit tour dans le Tiers-Monde, histoire de montrer qu'abandonné pour 2-3 bidules, quant à côté t'as des gens qui n'osent pas abandonner (pour de bonne raison), malgré la faim et la guerre, ça remet les idées en place. :bo:

-------------

A partir de là, les arguments donné sont fallacieux (donc, ils n'ont aucun intérêt).

Tiens: va dire à Céline Dion que d'avoir eu le plus beau mariage du Canada la console d'avoir perdu R'né
Autrement dit, tu voudrais que je lui dise: "Les moyens justifie la fin" (c'est vrai, mais incomplet, comme je l'ai déjà dit, je sais plus sur quelle page).

Ne t'inquiète pas, elle le sait déjà, enfin... si elle a fait un mariage traditionnel avec la célèbre phrase "[...]Pour le meilleur, comme pour le pire[...]". Peut-être, faudra-t-il lui rappeler, mais je ne la connais pas et j'ai pas que ça à faire :bo:

Ou que d'avoir eu la gloire console France Gall d'avoir perdu sa fille et son mari!
Demande à Gérard Depardieu comment il a fait... :o°

On appelle ça se perdre dans un autre bonheur, relativiser, tourner la page, accepter la réalité, rester optimiste, etc.

Si tu avais Lady Diana devant toi,lui dirais- tu que faire partie de la famille la plus riche du monde devait compenser la trahison de son époux?
Oui. Je lui dirais aussi, que rien n'y personne n'est parfait, qu'il faut relativiser, grandir, murir, tourner la page, accepter, et que d'avoir un mari qui l'a trompe, ne l'empêche pas "elle" de le tromper aussi, tout en restant dans cette famille royale :cool: Modifié par Invité
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Membre, Posté(e)
CAL22 Membre 891 messages
Baby Forumeur‚
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Je ne crois pas que la mort soit un but, ni même qu'elle soit inéluctable, car il est possible de sauver des vies, ça peut même être un devoir. La mortalité ne contredit pas la vie, elle lui donne des limites. Comme la fin d'un livre ou sa possible fin ne sont pas le contraire d'un livre. Et pourtant ce même livre peut avoir du sens et de la valeur, être sacré.

On peut concevoir la vie éternelle en ayant conscience quand même de la mortalité, comme pour tous les idéaux, elle ne dépend pas que de la volonté mais pourtant elle existe, au moins dans l'imaginaire. Et cet imaginaire pourrait d'ailleurs concevoir une vie à la fois éternelle et mortelle. L'éternité étant différente de l'immortalité.

La dégénérescence et le dépérissement n'entraînent pas forcément plus de souffrance que de plaisir, bien qu'ils causent de la souffrance. Et ils ne sont pas toujours eux non plus inéluctables.

Comme je l'avais déjà écrit, un suicide ne concerne pas que le suicidaire, il concerne aussi la société dont il fait partie, puisqu'en se suicidant il suicide une part de cette même société. Mais je pense aussi que le suicide n'est pas toujours vraiment un choix, on peut y être plus ou moins contraint par le contexte, sans que ce soit pour autant une bonne chose.

On peut sauver des vies mais ces vies ne deviendront pas des vies d'immortels.

Je n'ai pas dit que la mort contredisait la vie mais effectivement elle y met fin. Et cette fin reste le but obligatoire pour tout être vivant : c'est en cela que je considère que la mort, parce qu'elle est le but obligatoire de toute vie, la rend absurde.

Et justement, les être humains faisant sans cesse de la métaphysique ne peuvent se concevoir qu'immortels, dans une vie éternelle, parce que sa propre mort est forcément inconcevable. C'est ainsi que les religions ont peuplé un ciel : celui de notre propre conscience.

Se savoir mortel et sans vie éternelle (ce qui reste une réalité objective) doit relativiser la relation au monde physique : nous sommes contingents et non nécessaires, nous disparaîtront quoi que l'on fasse dans le néant et cette perspective qui reste abstraite peut nous apporter un regard pertinent sur ce que l'on est et ce que l'on veut vraiment. Ensuite il est très probable que l'on rencontre de plus en plus la souffrance sous toutes formes, même si le plaisir nous attend encore.

Et vu sous cet angle notre vie nous appartient totalement c'est même notre seule absolue propriété. Et il y en ces mots rien d'un prosélytisme contre la vie ou pour le suicide d'autant qu'à cette heure je suis toujours vivant.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
Posté(e)

On peut sauver des vies mais ces vies ne deviendront pas des vies d'immortels.

Je n'ai pas dit que la mort contredisait la vie mais effectivement elle y met fin. Et cette fin reste le but obligatoire pour tout être vivant : c'est en cela que je considère que la mort, parce qu'elle est le but obligatoire de toute vie, la rend absurde.

Et justement, les être humains faisant sans cesse de la métaphysique ne peuvent se concevoir qu'immortels, dans une vie éternelle, parce que sa propre mort est forcément inconcevable. C'est ainsi que les religions ont peuplé un ciel : celui de notre propre conscience.

Se savoir mortel et sans vie éternelle (ce qui reste une réalité objective) doit relativiser la relation au monde physique : nous sommes contingents et non nécessaires, nous disparaîtront quoi que l'on fasse dans le néant et cette perspective qui reste abstraite peut nous apporter un regard pertinent sur ce que l'on est et ce que l'on veut vraiment. Ensuite il est très probable que l'on rencontre de plus en plus la souffrance sous toutes formes, même si le plaisir nous attend encore.

Et vu sous cet angle notre vie nous appartient totalement c'est même notre seule absolue propriété. Et il y en ces mots rien d'un prosélytisme contre la vie ou pour le suicide d'autant qu'à cette heure je suis toujours vivant.

Il faut savoir que les possessions peuvent avoir des droits et les possesseurs des devoirs. Posséder entraîne une responsabilité sur ce que l'on possède, mais en aucun cas, cela ne dispense de justice. Bien que nous nous appartenons, nous appartenons aussi à la société, qui est elle aussi partiellement responsable de nous.

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poxy91 Membre 126 messages
Baby Forumeur‚
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Il faut savoir que les possessions peuvent avoir des droits et les possesseurs des devoirs. Posséder entraîne une responsabilité sur ce que l'on possède, mais en aucun cas, cela ne dispense de justice. Bien que nous nous appartenons, nous appartenons aussi à la société, qui est elle aussi partiellement responsable de nous.

je me possède tant que l'autre ne me possède pas. C'est la seule façon d'être libre, cad responsable de soi, vraiment soi. D'où vient cette justice qui m'obligerais au sacrifice?

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
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je me possède tant que l'autre ne me possède pas. C'est la seule f

Une possession peut avoir plusieurs propriétaires. Ces propriétaires n'ont pas forcément pour autant "tous" les droits sur celle-ci, ni même tous les mêmes droits, mais ils en ont certains. Si une entreprise emploie quelqu'un, celui-ci lui appartient un peu par le contrat qui les lie. Elle peut lui demander des comptes à ce sujet mais il conserve quand même ses droits, cependant il peut ne pas avoir celui de décider de cesser le travail sans prévenir par exemple. Mais il a beau appartenir à cette entreprise en étant son employé, il ne s'en appartient pas moins. Il peut quitter l'entreprise sous certaines conditions mais il ne peut pas quitter la collectivité à laquelle il appartient dès la naissance. Celle-ci a des règles selon lesquelles en aucun cas on ne doit faire abstraction totale des inconvénients qu'elle pourrait subir par notre comportement pour que la place de chacun puisse être respectée et grâce à la conscience des conséquences possibles de nos actes et réciproquement. On doit donc lorsqu'on prend une décision, même pour soi-même, tenir compte des conséquences que cela pourrait avoir sur les autres pour assumer pleinement ses responsabilités à l'égard de nous-même et de la collectivité. Et d'autres peuvent aussi devoir décider pour nous et notre avenir dans un certain cadre (comme notre employeur par exemple) en devant là aussi en assumer les responsabilités sur nous-même (et l'entreprise par exemple) entre autres.

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Invité Lowy
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C'est qui ''on'' ?

Et le ''nous''?

''Je'' vois que tu en uses et abuses

so petit rappel

Un conseil: Tu devrais remplacer "nous" et "on" par "je" dans ce contexte, ça sonnerait beaucoup plus juste à mon avis.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
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C'est qui ''on'' ?

Et le ''nous''?

Selon le contexte, soi-même, l'humanité, les êtres vivants.

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Invité Lowy
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Je parle de ''ça '' aussi et dans le même contexte.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
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C'est qui ''on'' ?

Et le ''nous''?

''Je'' vois que tu en uses et abuses

so petit rappel

A quel sujet en ai-je abusé?

Je parle de ''ça '' aussi et dans le même contexte.

Si tu ne comprends pas ce que j'ai exprimé, sois plus précise. Car il ne s'agissait pas dans ma critique à ton égard, d'interdire l'emploi du nous et du on mais de pouvoir définir clairement ce qu'ils désignent quand on les emploie. Donc me mimer dans cet autre contexte semble injustifié.

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Mais dans tout ce que tu avances

c'est bien de se rappeler de ce qu'on reproche aux autres pour ne pas en user ou abuser, ça ''nous'' évite ce genre de situation embarrassante.

Un conseil: Tu devrais remplacer "nous" et "on" par "je" dans ce contexte, ça sonnerait beaucoup plus juste à mon avis.

ce n'est pas un reproche, ni un conseil mais un petit mémo, c'est utile.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
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Mais dans tout ce que tu avances

c'est bien de se rappeler de ce qu'on reproche aux autres pour ne pas en user ou abuser, ça ''nous'' évite ce genre de situation embarrassante.

ce n'est pas un reproche, ni un conseil mais un petit mémo, c'est utile.

Je me souviens de ce que je t'ai reproché, je l'assume et considère que c'était justifié. J'assume aussi ce que j'ai écrit ici, que je pense correctement exprimé.

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Invité Lowy
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Je viens aussi d'exprimer ce que je pense.

Ah : là ton conseil se transforme en reproche.

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Invité Lowy
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:) ben oui.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 653 messages
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Posté(e)

je me possède tant que l'autre ne me possède pas. C'est la seule façon d'être libre, cad responsable de soi, vraiment soi. D'où vient cette justice qui m'obligerais au sacrifice?

Pour préciser ma pensée suite à ta modification, s'appartenir ne dispense pas de la justice que l'on doit aux autres et à soi-même. S'il y a ce sujet un sacrifice à faire, c'est celui de ce pouvant nuire à celle-ci.

Posséder ne signifie pas priver de liberté, mais simplement avoir (seulement un peu parfois) à soi, ce qui n'est pas une atteinte à la liberté s'il n'y a pas d'abus.

Modifié par sirielle
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Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
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A partir du moment où l'on fait intervenir notre partialité***, le raisonnement ne peut pas être otpimal.

Exemple:

Être riche ?

_ C'est bien ! Parce que je suis riche et je fais plein de choses sympas !

_ C'est mal ! Parce que je ne suis pas riche et que je vois les riches faire n'importer quoi !

_ Objectivement: Ce n'est ni bien, ni mal, c'est un état (parfois justement admis, parfois injustement admis), dont certains en abuseront pour faire n'importe quoi et d'autre non (tout dépendra de leur morale, de leur environnement, conditionnement, etc).

L'ego à naturellement (de façon primitif ?), du mal à se dire honnêtement**** "je fais/dit/pense de la merde".

Dans notre cas, prendre part à la vision "La vie est cruelle", c'est prendre le risque de rentrer dans un processus cognitif néfaste.

Objectivement, la vie n'est pas cruelle (ni l'inverse), et il est déconseillé de l'interpréter comme tel (contrairement à son inverse), pour ne pas prendre de risque cognitif.

Combien même nous serions nous prémunir de ne pas tomber dans le piège des pensés parasite ou des idées noirs, enclin à la dépression. Même si d'un point de vue morale, nous ne devrions pas le faire (pour ne pas encourager les plus faibles), d'un point de vue intellectuel, ce n'est pas non plus optimal (parce que partial).

***:Pour être impartial, tel un juge (en magistrature), un scientifique, ou un analyste, il faut projeter son ego à travers l'image d'un sujet neutre (certains symptôme du spectre autistique facilite cette projection). Et par "projection", j'entends le terme psychologique qui désigne l'opération mentale (généralement inconsciente) par laquelle une personne s'attribue de/attribue à quelqu'un ou quelque chose d'autre, ces/ses sentiments; et non un truc magique, mystique à la mords-moi-le-nœud.

L'impartialité n'existe pas, c'est aussi un symbole, dont on essaye de se rapprocher le plus possible.

****: Parce que dans un processus cognitifs néfaste, ou sous des pressions sociales, (donc "pas de façon honnête"), notre ego peut aussi aboutir à ce dire "je fais/dit/pense de la merde".

Exactement !

Nous ne sommes pas tous identiques, nous n'avons pas toute la même volonté.

Pour donner une réponse optimal, je m'efforce d'être objectif.

Et dans mes réponses, je me suis permis d'ajouter des exemples de volontés, qui ne fuient pas cette cruauté, mais qui la combattent en étant heureux (je donne un échappatoire) ;)

Je prouve l'existence de d'autres (volontés) solutions, face à une interprétation négative de la vie.

Oui et Non.

Cela dépend des cas. Il n'existe pas de réponse général.

En connaissance de cause (qui, quand, pourquoi, comment), avec objectivité (...) et méthodologie (...), il est possible de dire si la vie vaut la peine d'être vécue ou non.

Dans le cas du suicide, majoritairement, la vie vaut la peine d'être vécue, si on se donne les moyens de combattre les problèmes qui influencent le suicide.

Dans le cas de l'euthanasie, la vie ne vaut pas la peine d'être vécue, à cause de la douleur insoluble, par empathie, et d'une perte nulle.

Dans le cas de..... [sujet], [étude], [Conclusion] (avec notre cerveau et notre cœur).

Utilisation d'argument faisant appel au "pathos*****", à la "partialité".

Là encore, l'amour est subjectif et changeant, ce n'est pas une variable "stable" qui permet de donner une réponse général.

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

*****:Étymologie du mot "Pathos"

Du latin pathos (« passion, émotion »). Les rhéteurs antiques donnaient ce nom aux mouvements, aux figures de rhétorique propres à toucher fortement l’âme des auditeurs.

Une étude dirigée par Andrew Rushby, de l’école des sciences de l’environnement de l’université d’East Anglia (UEA) en Grande-Bretagne, conclut à une période d’habitabilité restante comprise entre 1,75 et 3,25 milliards d’années.

On a le temps !.... :D

Combien même, il nous resterait 10 millions d'années, nous aurions encore largement le temps et le potentiel (d'après des estimations basé sur l'anthropologie) de voyager dans l'espace pour continuer notre développement/expansion/découverte/survie, ailleurs que sur notre planète Terre.

Enfin, que la mort interviennent dans 1 jour ou 10 milliards d'années, cela ne change rien à la problématique de la mortalité (donc c'est un argument fallacieux, qui prends appuis sur le sensationnisme et le fatalisme).

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

"erreur" => Interprétation partiale abusive (du hasard******).

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

******:Le hasard n'existe pas, c'est un symbole qui représente ce que l'humain n'est pas capable d'anticiper ou d'expliquer (par ignorance ou infaisabilité)

"marionnettes de[...]" => Interprétation partiale abusive (assimiler à la personnification de la causalité (on pourrait même extrapoler en parlant d'une sous-catégorie de l'anthropomorphisme)).

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

PS: Je ne sais pas à quoi fait référence tes mots "génie de l'espèce". Ils peuvent être interprétés de différentes manières.

J'ai compris tes mots comme si tu parlais d'une divinité. Mais peut-être (je ne te connais pas) y voyais-tu là une satire facile de l'évolution.

Dans ce cas: sache que l'évolution est un fait, prouvé scientifiquement depuis longtemps. Prétendre l'inverser, c'est jouer le jeu des obscurantistes religieux.

Si tu parle de l'intelligence des humains, mise à part le fait qu'elle soit diaboliser par les dictateurs, certaines croyances (#Ne-doutez-pas) et niveler par le bas, par la concurrence. Elle ne représente aucun mal.

"chair à canon[...]" => Interprétation partiale abusive ....

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

"leurre[...]" => Interprétation partiale abusive ....

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

J'ai déjà donné un argumentaire dessus: ICI.

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

Interprétation partiale abusive ....

Les humains (homme/femme, sinon il faut écrire "Homme" avec un h majuscule :bo:) mentent aussi pour faire d'agréable surprise.

Et la morale n'est en aucun cas l'histoire d'un échec (sauf si tu fais mention d'un mythe religieux qui à pour but d’abrutir ces fidèles crédule qui le prendrait au premier degré. Pour les autres fidèles, c'est juste un poème philosophique. L'art de la manipulation verbale !). C'est juste un symbole représentant ce qui nous ait favorable (et par extension/empathie: à autrui) et défavorable (et par extension/empathie: à autrui).

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

Argument fallacieux (de l'homme de paille) doubler d'une interprétation partiale abusive ....

L'humain de bonne intention n'est pas l'idiot de l'histoire, et si ce n'est moi, les proverbes de tout temps, de tout lieux, seront te persuader ou convaincre...

Réponse: Oui et Non (ça dépend des cas...).

De façon générale, je peux donné mon avis, mais je n'ai pas à obliger quelqu'un à penser d'une manière.

Par contre, je peux aussi lui conseillé d'être positif, affin d'éviter des pièges cognitifs.

Donc, si je saisis bien ce galimatias, il s'agit de démonter méticuleusement mon raisonnement. Le seul (je dis ça par politesse) problème – et il est de taille, tu en conviendras, c'est que je n'ai pas émis de raisonnement. Simplement, j'ai fait une énumération d'images pour dépeindre un état d'esprit, quelque chose qui tourne autour de ce que Camus appelait le sentiment de l'absurde. – Un exemple parmi tant d'autres : il est tout à fait indifférent que la terre soit engloutie par le soleil dans 10 millions ou 10 milliards d'années, puisque l'essentiel de cette idée n'est pas la donnée scientifique, mais bien le sentiment de l'insignifiance de l'humanité que cette réalité suggère. J’étais fort conscient que mon chiffre était tout à fait arbitraire.

Bref, tu emploies des méthodes d’analyse logique là où elles sont inapplicables (ce qui devrait d’ailleurs nous mettre la puce à l’oreille à l’effet que tu ne maîtrises pas le moins du monde ces méthodes).

Il existe une multitude de solutions. Parfois bonne, parfois mauvaise "(ça dépend des cas...)".

Ici, certains participant parte du principe de base que la vie est cruelle.

Je me permets juste d'intervenir pour corriger cela: Non, la vie est un fait.

Ensuite l'humain l'interprète comme "cruelle" (ou autre chose).

Et ensuite, l'humain réfléchir sur cette interprétation, et dans ce domaine, je donne aussi plusieurs échappatoires (quelle que soit l'interprétation de ces échappatoires).

_ Voir la vie autrement (l'interpréter autrement).

_ Combattre la mortalité en étant heureux (en cherchant à l'être, sans être utopique).

_ Combattre réellement la mortalité (scientifiquement).

_ Oubliez ces idées noirs, par l'amour, l'amusement, l'alcool, la fois, et autres.

_ Accepter l'imperfection, tourner la page et profiter du temps qu'il nous reste #Sagesse ou #Fatalisme.

_ Etc... (je ne sais pas tout, je n'ai pas toutes les réponses. Je donne juste les miennes, et celles que je connais)

Dans ce cas, on fait plus du hors-sujet, sur "la communication" et je crois qu'il existe déjà un topic la dessus ;)

Non, ce n’est pas du hors-sujet. Au contraire, c’est tout le reste qui est du hors-sujet. Il est ici le cœur de la discussion. Camus dans son ouvrage ne fait pas autre chose que d’aborder ce thème : à savoir ce qu’un philosophe peut dire devant le problème du suicide. Seulement, la plate réalité est que tu n’as que des banalités à livrer. Objectivement, je veux dire. Tu conviendras qu’il s’agit d’une enfilade de clichés sur la prévention du suicide. Remarque, personne n’est du niveau de Camus ici, et ce n’est pas un crime que d’avoir une pensée stéréotypée. Mais évidemment, la réflexion philosophique se distingue par une volonté de dépasser les clichés véhiculés par la société. On s’attend donc légitimement ici à un effort pour aller plus loin. Dans ton énumération, tu mentionnes l’idée de « voir la vie autrement » : et bien c’est précisément ce volet qu’il s’agit d’explorer.

Deuxièmement, Camus avertis bien que le problème du suicide a toujours été abordé sous l’angle « social » (ce que tu fais), alors que son dessein est de l’aborder sous l’angle philosophique – ce qui, ma foi, est la chose logique à faire en philosophie. Or, pour ce faire, j’ai livré la méthode : il faut trouver le sentiment de l’absurde en soi, pour ensuite l’arpenter sous tous les angles. C’est-à-dire qu’il faut trouver la force d’affronter toutes ces idées noires qui peuvent facilement germer en nous – ce qui ne signifie pas le moins du monde qu’il s’agisse d’affirmer objectivement que la vie est effectivement noire, dégoûtante, humiliante, ce qui serait bien sûr absurde.

Alors, on va voir si tu es capable d’autre chose que de draper ta banalité derrière un voile d’hyper-rationalité (ça inclut tes interventions sur les autres topics).

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Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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Dans son roman "l'étranger" Camus met en scene un homme absurde, Meursault, un homme étranger au monde qui l'entoure et qui n'arrive pas a s'y intégrer.

Mais dans son cachot quelques heure avant de mourir il réalise qu'il a toujours eu raison d'etre absurde puisque le monde l'est aussi:

vidé d’espoir, devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux.

Dans son essai " Il faut imaginer Sisyphe heureux" Sisyphe est tout le contraire de l'homme absurde, puisque le moyen qu'il a trouvé pour etre heureux malgré l'absurdité du monde c'est la lutte, la révolte.

Etre heureux en affrontant l'absurde, et peut importe le succes ou l'échec.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
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Un seul mot( suicide) pour désigner des choses si differentes. La personne poussée par un raptus suicidaire fait-elle la même chose en se supprimant qu'un bonze s'immolant pour sa cause ou un kamikaze pour ses illusions? Les mots sont trop courts pour rendre compte du réel, alors tels les aveugles et l'elephant chacun se fait une idée du réel, juste mais si fausse...

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
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Un seul mot( suicide) pour désigner des choses si differentes. La personne poussée par un raptus suicidaire fait-elle la même chose en se supprimant qu'un bonze s'immolant pour sa cause ou un kamikaze pour ses illusions? Les mots sont trop courts pour rendre compte du réel, alors tels les aveugles et l'elephant chacun se fait une idée du réel, juste mais si fausse...

Mouais, m'enfin est-ce que ce n'est pas un peu nier la dimension intérieure que de dire ça ?

Je crois pas qu'on puisse dire qu'on se suicide pour de seules raisons idéologiques, il me semble plutôt que si l'on se suicide "au nom" d'une idéologie, c'est que celle-ci répond - ou est vue comme telle - à une autre dimension, elle intérieure.

Moi il me semble qu'on se suicide quand on ne peut plus "gérer" notre vie, voire souvent quand quelque chose arrive "en trop", qui se surajoute à cette ingérabilité.

Sinon le bonze qui s'immole n'est sans doute pas désespéré, mais c'est quand même l'exception qui confirme la règle.

.

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