Emmanuel Macron: «Le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler»

Macaron est une machine à faire du vent . Il ne risque pas de transpirer dans son costard à 1500 € .

"Le meilleur moyen de se payer un connard, c' est de trainasser"

(un assujetti anonyme des minima sociaux, crypto bobo bolchevique).

....... «Mais je rêve de travailler, monsieur Macron.» .............

. On pense à Nicolas Sarkozy et son «casse-toi pauv' con» lancé au Salon de l’agriculture.

http://www.liberatio...e-route_1455746

il rêve surtout qu'on lui donne du travail ...

il commence à y avoir dans ce pays ,une lutte des classes ...

d'un côté ceux qui exigent une paie de ministre alors qu'ils ne savent pas faire grand chose et d l'autre ceux qui savent faire et qui ont peur de traîner un boulet ...il y a forcément incompatibilité et ça explique aussi les mauvais chiffres du chômage ,et de celui de ceux qui "rêvent de travailler" lorsqu'ils sont couchés ...

Macron est plus éduqué que Sarkozy ,mais il est encore de gauche ..je ne lui donne pas un an pour en avoir assez de ces pleureuses ....

Macron est comme son mouvement ni de gauche ni de droite, entièrement voué à sa toute petite personne.

Macaron est une machine à faire du vent . Il ne risque pas de transpirer dans son costard à 1500 € .

Certains ici l'admirent pour sa performance, sa réussite, son "travail", son mérite, ben oui quoi l'homme qui s'est fait tout seul :smile2:

Comment un type supposé brillant ( qui réfléchit ) peut mépriser le pauvre type qui s'est levé à quatre heures du mat' et s'est crevé le cul pour lui faire son pain

et ses croissants contre un salaire de 8 € de l'heure ?

Et il voudrait nous donner des leçons de travail et courage, lui qui a seulement été verni !

Macron est plus éduqué que Sarkozy ,mais il est encore de gauche .

Excellent :smile2:

Et les Rotschild sont communistes :smile2:

C'est marrant venant d'un gars qui n'a jamais travaillé.

Essaye le paradis, tout y est parfait parait-il !

Marre de toujours entendre le terme "les travailleur" (on dirait du G. Marchais), comme si les autres ne travaillaient pas.

Le français est un peuple de pleurnicheurs, jaloux de la réussite des autres et qui attend tout de l'Etat.

Moi j'ai tout fait, j'ai été monteur en charpente métallique à 18 ans, service militaire, chauffeur livreur, magasinier, délégué dans une agence immo, gérant d'un point de location de véhicules, agent immo indépendant, chauffeurs poids lourds (10/12h par jour), de nouveau agent immo agréé, gérant de (petite) société immo et aujourd'hui je suis retraité à 65 ans.

Jamais je n'ai mis un pied au chômage, jamais je n'ai bénéficié d'une aide quelconque même quand c'était la galère, il faut savoir se bouger dans la vie, le problème c'est que la France est un pays d'assistés.

Tout va mal et la CGT enfonce le clou, sans doute pour se refaire une "santé" pour se refaire une santé.

Les réformes se feront avec ou sans la CGT, peut-être avec retard par rapport aux autres pays qui se marrent en nous regardant, mais elles se feront.

La contestation de la Loi Travail ne vient pas juste de la CGT, hein ! Les autres pays, je ne sais pas trop s'ils se marrent parce qu'ils sont en train d'assister au démantèlement de la France, pays d'acquis sociaux.

En fait, je ne suis pas surpris de la phrase de Macron. Je savais déjà qu'il pensait comme ça : il fait partie de la génération néo-libérale, plutôt start-up et finance qu'entreprise à la papa d'ailleurs (donc, pas tout à fait sur la même ligne que toi). Son logiciel de pensée, c'est "demain, tous entrepreneurs, tous flexibles et productifs". C'est en quelque sorte l'option que nous propose le modèle économique en cours. Avec un certain concept de "mérite" en filigrane, mérite de droite, je dirais.

Mais ça rentre en conflit avec le salariat, qu'il doit considérer comme dépassé. Il n'envisage pas qu'on puisse rester accroché à un métier, lui qui baigne dans un monde de mercenaires du travail, mobiles, et assez payés pour l'être.

Il ne pige pas non plus qu'on ne consente pas à se donner plus à son travail, lui qui est libéral, alors que j'entends beaucoup de gens qui ont l'impression de "ne vivre que pour bosser et payer".

Une grosse incompréhension de fond. Ça montre à quel point son ADN idéologique est celui de la mondialisation, de l'ultra-libéralisme. Une drôle de façon d'être de gauche, puisqu'il devrait avoir le souci des petits salariés, des emplois de base, des gens qui n'ont pas autant d'options que lui dans la vie.

Sa phrase sur le costard est très Sarkozienne, de cette idée que le travail est récompensé en proportion de la réussite. Façon grands patrons ou start-up dont les modèles scalables peuvent générer des revenus exponentiels. Les gens ne sont pas tous dans cette logique-là : ils veulent un revenu stable et régulier pour se construire simplement une vie.

La profession libérale ou être entrepreneur, ça n'est pas donné à tout le monde. On ne peut pas tout aligner dessus.

--------------------

moi aussi j'ai des origines très modestes et de gauche modérée.

Quand on voulait un costard, il fallait travailler pour se l'acheter. Personne ne nous a donné des aides comme maintenant.

Il va falloir que les gens de la gauche actuelle apprennent que pour avoir de l'argent il faut travailler et pas faire la quéte aux subventions aides et aux allocs en tous genres.

Et pour avoir du travail il faut que l'économie tourne et que les patrons honnis par les intellos de gauche puissent embaucher.

Jusqu'en 1968 être de gauche c'était prôner les vertus du travail.

Maintenant être de gauche consiste à dire des imbécillités sur les patrons, l'argent et je ne sais quoi encore.

Le problème, c'est qu'ils veulent surtout des moyens de virer des gens après usage. C'est la nouvelle variable d'ajustement : puisqu'on ne peut pas trop toucher aux salaires, on va essayer d'économiser sur un autre coût - la disponibilité. Appliquer cette logique à tout emploi, ça nous emmène vers un monde d'incertitude quotidienne pour les gens ordinaires.

C'est la loi du marché, de la concurrence mondialisée. On veut rivaliser avec le Bangladesh...

C'est un mode de pensée tout à fait libéral SAUF que ça ne convient pas à tous les métiers/modes de vie. Du point de vue des patrons, c'est une aubaine ! Forcément ! Le flux "salariés" géré au plus près, en visant à l'optimisation du temps. Du point de vue des gens, c'est un "sacrifice forcé" (temps, mobilité, précarité d'emplois devenant suite de missions,...). Etant en profession libéral, je vois bien que ça ne peut pas convenir à tout le monde.

Et je vois aussi qu'on fragilise beaucoup plus la position du travailleur en s'alignant dessus. Être de gauche, ça n'est pas chier sur l'entreprise, le patronat ou le travail. C'est essayer de trouver un modèle viable pour le patron ET l'employé, dans un monde qui dicte des lois de plus en plus dures, concurrentielles.

Et franchement, on a beau "ajuster les coûts" sur le dos du salariat, on n'a pas forcément quelque chose en retour. Et c'est prévisible : la logique de croissance perpétuelle, c'est prendre, prendre, prendre... Rendre, ça sera selon l'idéologie de l'employeur.

A 26.44 jusqu'à la fin.

http://www.itele.fr/chroniques/onvpsm-on-ne-va-pas-se-mentir/on-ne-va-pas-se-mentir-onvpsm-du-30052016-166306

Sa réussite personnelle et professionnelle parle pour lui. Un bon exemple vaut mieux que 10 sermons !

Il y a des médiocres qui n'aiment pas la réussite chez les autres !

Je n'envie pas sa réussite pro, j'ai une vie épanouie, merci. Et c'est même l'exemple d'une culture politique atrophiée de s'en préoccuper, quand la digne citoyenneté appelle plutôt à constater les résultats pour les citoyens et non pour le ministre lui-même... Sa réussite dans la conduite du pays vers de meilleurs conditions de vie et de travail pour le plus grand nombre, on l'attend encore.

Emmanuel Macron: «Le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler»

Connard !

Jupé président en 2017 avec Macron premier ministre en attendant 2022!!

Je signe tout de suite! Je pense que ça pourrait être une très bonne option pour le pays.

Moi je lui donne raison.

Y en a marre de voir une minorité de gens manipulés par un syndicat pourri (CGT) qui représente que 2,6 % des travailleurs et qui paralyse tout un pays !

Le seul pays qui ne se réforme pas c'est la France, ce pays devient archaïque et aussi la risée du monde,

En suivant votre raisonnement , 97.4% des salariés seraient en faveur de cette réforme !

Je crains que c'est vous deveniez la risée de ce forum

En suivant votre raisonnement , 97.4% des salariés seraient en faveur de cette réforme !

Je crains que c'est vous deveniez la risée de ce forum

Certainement pas, mais reconnait que la France est un pays impossible à réformer. La populace n'accepte que les réformes qui touchent le voisin, à chaque tentative des gouvernements successifs de gauche comme de droite de moderniser le pays nous avons eu des grèves et des manifs.

Macron, c ' est qui?

BIO expres....

"BIOGRAPHIE

Emma­nuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est le fils d'un couple de méde­cins. Son père est neuro­logue, sa mère pédiatre, et tous deux sont profes­seurs au CHU d'Amiens. Aîné de la fratrie, il a un frère et une soeur, il passe une grande partie de son enfance chez sa grand-mère adorée, direc­trice de collège élevée par des parents illet­trés. Il suit sa scola­rité chez les Jésuites de la Provi­dence à Amiens. Elève brillant – il est lauréat du Concours géné­ral de français à 16 ans – il se passionne égale­ment pour la musique et décroche le troi­sième Prix de piano du Conser­va­toire d'Amiens. En termi­nale, il arrive au lycée Henri-IV à Paris. Diplômé de Sciences Po Paris, il entame ensuite un cursus univer­si­taire à Nanterre. En 1999, il est assis­tant du philo­sophe Paul Ricoeur et parti­cipe à la rédac­tion de l'un de ses derniers ouvrages, La mémoire, l'histoire, l'oubli publié aux éditions du Seuil en 2000. Après une maîtrise de philo­so­phie sur Machia­vel, il rédige son mémoire de DEA sur l'Inté­rêt géné­ral, lecture et prin­cipes de la philo­so­phie du droit de Hegel.

En 2002, il se dirige vers la haute fonc­tion publique et intègre l'ENA – promo­tion Léopold Sédar Senghor – d'où il sort diplômé en 2004. Il débute sa carrière à l'Inspec­tion des Finances, d'abord inspec­teur adjoint en avril 2004, il devient inspec­teur des Finances en octobre 2005. En juin 2007, il est chargé de mission auprès du chef de service de l'Inspec­tion géné­rale des finances. En 2008, chan­ge­ment de cap, la banque Roth­schild l'engage à l’âge de 30 ans. Son ascen­sion au sein de la banque d'affaires est fulgu­rante, il en devient asso­cié-gérant en décembre 2010. En mai 2012, il accepte la propo­si­tion de François Hollande, rencon­tré en 2007 lors d'un dîner chez Jacques Attali, de rejoindre l'Elysée en tant que secré­taire géné­ral adjoint de la prési­dence. Le 26 août 2014, il est nommé Ministre de l'Econo­mie, de l'Indus­trie et du Numé­rique dans le deuxième gouver­ne­ment de Manuel Valls.

Côté vie privée, Emma­nuel Macron est marié depuis 2007 à Brigitte Trogneux, profes­seur de français de vingt ans son aînée, rencon­trée en classe de première au lycée La Provi­dence d'Amiens lors d'un atelier théâtre. Son épouse a trois enfants nés d'une précé­dente union et six petits-enfants."

c 'est du c/c, mais bon à savoir..

Quoiqu'on en dise, beau parcours. Ce mec a quand même sacrément bossé.

j ' en connais d ' autres.... et ceux là chient gaguent sur la gueule figure à personne....

et mettent leurs parcours au service de la communauté...

"lors d'un dîner chez Jacques Attali"...

Nanard, déjà, non.... Mais à l ' époque, pour être de gauche fallait être "vulgaire".... et aimer l ' OM...

à Manu,... :

Macron, c ' est qui?

BIO expres....

"BIOGRAPHIE

Emma­nuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est le fils d'un couple de méde­cins. Son père est neuro­logue, sa mère pédiatre, et tous deux sont profes­seurs au CHU d'Amiens. Aîné de la fratrie, il a un frère et une soeur, il passe une grande partie de son enfance chez sa grand-mère adorée, direc­trice de collège élevée par des parents illet­trés. Il suit sa scola­rité chez les Jésuites de la Provi­dence à Amiens. Elève brillant – il est lauréat du Concours géné­ral de français à 16 ans – il se passionne égale­ment pour la musique et décroche le troi­sième Prix de piano du Conser­va­toire d'Amiens. En termi­nale, il arrive au lycée Henri-IV à Paris. Diplômé de Sciences Po Paris, il entame ensuite un cursus univer­si­taire à Nanterre. En 1999, il est assis­tant du philo­sophe Paul Ricoeur et parti­cipe à la rédac­tion de l'un de ses derniers ouvrages, La mémoire, l'histoire, l'oubli publié aux éditions du Seuil en 2000. Après une maîtrise de philo­so­phie sur Machia­vel, il rédige son mémoire de DEA sur l'Inté­rêt géné­ral, lecture et prin­cipes de la philo­so­phie du droit de Hegel.

En 2002, il se dirige vers la haute fonc­tion publique et intègre l'ENA – promo­tion Léopold Sédar Senghor – d'où il sort diplômé en 2004. Il débute sa carrière à l'Inspec­tion des Finances, d'abord inspec­teur adjoint en avril 2004, il devient inspec­teur des Finances en octobre 2005. En juin 2007, il est chargé de mission auprès du chef de service de l'Inspec­tion géné­rale des finances. En 2008, chan­ge­ment de cap, la banque Roth­schild l'engage à l’âge de 30 ans. Son ascen­sion au sein de la banque d'affaires est fulgu­rante, il en devient asso­cié-gérant en décembre 2010. En mai 2012, il accepte la propo­si­tion de François Hollande, rencon­tré en 2007 lors d'un dîner chez Jacques Attali, de rejoindre l'Elysée en tant que secré­taire géné­ral adjoint de la prési­dence. Le 26 août 2014, il est nommé Ministre de l'Econo­mie, de l'Indus­trie et du Numé­rique dans le deuxième gouver­ne­ment de Manuel Valls.

Côté vie privée, Emma­nuel Macron est marié depuis 2007 à Brigitte Trogneux, profes­seur de français de vingt ans son aînée, rencon­trée en classe de première au lycée La Provi­dence d'Amiens lors d'un atelier théâtre. Son épouse a trois enfants nés d'une précé­dente union et six petits-enfants."

c 'est du c/c, mais bon à savoir..

Deux parents professeurs au CHU d'Amiens ça aide, parce que si t'as un QI de 150 et des parents pauvres t'iras nulle part. Le confort et l'insouciance totale aident beaucoup. Grâce à ça il a pu enchainer études sur études, pas pressé de bosser donc ...

Le détail révélateur du personnage, une Maîtrise de Philo sur Machiavel, ben là on a tout compris :smile2: :smile2: :smile2:

Nouvelles rumeurs de démission de Macron

http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/nouvelles-rumeurs-de-demission-de-macron-31-05-2016-2043228_1897.php

Deux parents professeurs au CHU d'Amiens ça aide, parce que si t'as un QI de 150 et des parents pauvres t'iras nulle part. Le confort et l'insouciance totale aident beaucoup. Grâce à ça il a pu enchainer études sur études, pas pressé de bosser donc ...

Le détail révélateur du personnage, une Maîtrise de Philo sur Machiavel, ben là on a tout compris :smile2: :smile2: :smile2:

Le cliché de base

Bien sûr que c'est plus facile d'y arriver lorsqu'on nait dans une famille aisée, mais la quantité de travail est la même : on ne rentre pas à l'ENA grâce à ses parents.

Je suis fils d'ouvrier immigré et j'ai réussi ma vie professionnelle ... sans avoir un QI de 150 .... uniquement à force de travail.

Certainement pas, mais reconnait que la France est un pays impossible à réformer. La populace n'accepte que les réformes qui touchent le voisin, à chaque tentative des gouvernements successifs de gauche comme de droite de moderniser le pays nous avons eu des grèves et des manifs.

Au contraire : les réformes sur l'économie, il y en a 13 à la douzaine depuis les années 70, toutes dans le sens de la libéralisation, allant d'allègement de cotisations aux entreprises, de niches fiscales, etc.

Le pays se réforme dans le sens que vous souhaitez depuis les années 70. La question qu'il faudrait vous poser c'est "Pourquoi les résultats tardent à venir ?".