Pauvreté, chômage, familles nombreuses… zoom sur les banlieues sinistrées

Pauvreté, chômage, familles nombreuses… zoom sur les banlieues sinistrées

Une étude de l'Insee se penche sur les 4,8 millions de personnes vivant dans les 1300 quartiers de la politique de la ville, des zones mises en place en 2015, estimées comme prioritaires. Portrait de ces banlieues, véritables zones sinistrées des villes de France.

Pauvreté et précarité. C'est le lot commun des quartiers prioritaires des politiques de la ville. Une étude de l'Insee publiée ce mardi met en lumière les difficultés de ces zones sinistrées. Décryptage.

► Qu'est-ce que c'est que ces quartiers de la politique de la ville ?

Depuis 2015, de nouvelles zones d'interventions ont été définies pour la politique de la ville, se recentrant sur des quartiers considérés comme les plus en difficulté : 1296 quartiers en France sont ainsi ciblés. Soit 4,8 millions d'habitants, dont près de 60% dans les régions Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Picardie, et Provence-Alpes Côtes d'Azur.

En fait, ces quartiers ont été délimités essentiellement sur la base de la faiblesse de revenus de leurs habitants. Par conséquent, le taux de pauvreté dans ces zones atteint des proportions gigantesques : il s'échelonne de 37% de la population en Ile-de-France, à plus de 47% en PACA et Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, contre 12% dans les villes qui englobent ces quartiers.

► Qui habite dans ces banlieues ?

En résumé, des jeunes, des familles nombreuses, des populations immigrées... D'après le rapport de l'Insee, La population des quartiers de la politique de la ville est jeune, beaucoup plus jeune qu'ailleurs. La part des résidents de nationalité étrangère dans la population y est aussi plus élevée, + 11 points par rapport au reste de la ville. Dans les quartiers d’Ile-de-France, cette part atteint 25% de la population.

...

http://www.metronews.fr/info/pauvrete-chomage-familles-nombreuses-comment-vit-on-dans-les-banlieues/mpec!bYdvdRGEzeN2Y/

Il n'y a pas de travail. Les gens n'ont pas de voitures car le permis et le carburant sont trop chers. Ils ne risquent pas de sortir de la merde avec les politiciens que l'on a. Certains s'enfoncent dans l'alcool parce que l'alcool donne du rêve.

Quand je pense aux premiers occupants de ces cités qui pour la première fois avaient enfin le confort : salle de bains, eau chaude, chauffage central, logements neufs et non plus habitat insalubre....

Ces cités étaient aussi appelées cités dortoirs, ce qui voulait dire que les habitants travaillaient....

Que s'est-il passé? j'ai bien mon idée mais elle ne va pas plaire!

J'ai pourtant assisté à la transition....

Il n'y a pas de travail. Les gens n'ont pas de voitures car le permis et le carburant sont trop chers. Ils ne risquent pas de sortir de la merde avec les politiciens que l'on a. Certains s'enfoncent dans l'alcool parce que l'alcool donne du rêve.

Et les transports en commun?

Pour ce qui est du boulot, c'est là où les CDD sont importants ainsi que les temps partiels!

Petits boulots et RSA socle!

Le principal est d'avoir un pied dans le monde du travail et cela peut déboucher sur un travail à plein temps!

Un mec au RSA depuis X années n'a qu'une chance infime de trouver un boulot,même s'il collectionne les formations, contrairement à celui qui l'est depuis aussi longtemps mais qui n'a pas quitté le monde du travail!

elle ne va pas plaire!

J'ai pourtant assisté à la transition....

Qui n'a pas arrangé les choses, vu ceux qui venaient remplacer les autres , on a maintenant le résultat escompté

Et ceux qui n'ont pas pu partir en payent les pots cassés

ce qui s' est passé c' est qu' au lieu de s' adapter au pays dans lequel ils habitent maintenant, la plupart des gens ont voulu garder le système social des petits villages d' Afrique, du bled au Maghreb ... et ce système est si éloigné du notre (.....) que cela a créé des frustrations énormes et un repli sur soi pas forcément apparent d' ailleurs ...mais qui a aidé les jeunes générations à se rebeller contre ce système d' organisation de la société ( et du coup à jalouser puis dénigrer le "blanc bien dans sa société", qui devenait de plus en plus gênant ) ...système qui au départ avait été fait pour que leurs parents s' intègrent ( j' insiste sur ce point ) de manière pacifiste..., quelle ironie ...

morale de l' histoire si on veut bien en donner une : ... ?

Quand je pense aux premiers occupants de ces cités qui pour la première fois avaient enfin le confort : salle de bains, eau chaude, chauffage central, logements neufs et non plus habitat insalubre....

Ces cités étaient aussi appelées cités dortoirs, ce qui voulait dire que les habitants travaillaient....

Que s'est-il passé? j'ai bien mon idée mais elle ne va pas plaire!

Vous avez pourtant la réponse à votre question noir sur blanc dans l'article

"ces quartiers ont été délimités essentiellement sur la base de la faiblesse de revenus de leurs habitants. Par conséquent, le taux de pauvreté dans ces zones atteint des proportions gigantesques : il s'échelonne de 37% de la population en Ile-de-France, à plus de 47% en PACA et Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, contre 12% dans les villes qui englobent ces quartiers."

Quand on "regroupe" au sein d'un même et unique "quartier" une population avec comme seul critère leur "faiblesse de revenus", ça s'appelle un ghetto.

Faire semblant après de s'étonner que cela pose problème (ou y voir des raisons pseudo "ethnico-religieuses") relève de l'aveuglement.

Vous avez pourtant la réponse à votre question noir sur blanc dans l'article

"ces quartiers ont été délimités essentiellement sur la base de la faiblesse de revenus de leurs habitants. Par conséquent, le taux de pauvreté dans ces zones atteint des proportions gigantesques : il s'échelonne de 37% de la population en Ile-de-France, à plus de 47% en PACA et Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, contre 12% dans les villes qui englobent ces quartiers."

Quand on "regroupe" au sein d'un même et unique "quartier" une population avec comme seul critère leur "faiblesse de revenus", ça s'appelle un ghetto.

Faire semblant après de s'étonner que cela pose problème (ou y voir des raisons pseudo "ethnico-religieuses") relève de l'aveuglement.

Sauf qu'ils sont les premiers à se réunir avec leur communauté!

J'ai assisté à cela aussi!

Et au départ de nombreuses familles qui n'en pouvaient plus d'être obligée de montrer patte blanche pour entrer chez elles, et je ne parle même pas des familles et des invités déboutés au bas de l'escalier!

J'en ai été moi-même "victime" sinon témoin!

Et je n'ai jamais habité ni Paris et sa région, ni Marseille ou Lyon....

Ce n'est pas pour autre chose qu'il y a des digicodes dans les entrées!

J'avais écrit "monter" patte blanche! cause à effet!

Est-ce que quelqu´un parmi vous à une solution ???

Est-ce que quelqu´un parmi vous à une solution ???

Retour au bled ?

Chez Mémé Jamila ?

Sauf qu'ils sont les premiers à se réunir avec leur communauté!

J'ai assisté à cela aussi!

J'en ai été moi-même "victime" sinon témoin!

Et je n'ai jamais habité ni Paris et sa région, ni Marseille ou Lyon....

Ce n'est pas pour autre chose qu'il y a des digicodes dans les entrées!

Personne ne va habiter dans ces cités pourries par choix, ça n'a rien à voir avec du communautarisme.

Quand on agglutine les populations les plus pauvres et précaires dans un même lieu clos, pas besoin d'être très futé pour deviner ce que ça va donner.

Au passage, à peu près quiconque connaissant un tout petit peu la région parisienne sait que quasi TOUS les immeubles y sont équipés en digicode.

Il faudra donc que vous m'expliquiez qu'elle peut bien être le pseudo rapport avec "leur communauté" (que vous pourriez d'ailleurs au mois avoir l'honnêteté intellectuelle d'appeler "communauté maghrébo-musulmane", puisque c'est bien eux que vous avez dans le viseur) ???

Puisque vous n'avez jamais habité la région parisienne, vous devriez peut être éviter vos pseudos "expertises" qui relèvent plus de la pure idéologie que d'une quelconque connaissance de la réalité "du terrain".

Voici par exemple le témoignage d'un habitant des Courtillères, à Pantin (qui, au passage, ne fait pas partie des 1296 "zones prioritaires") qui vous permettra peut être de relativiser la pseudo unique responsabilité des résidents dans la dégradation de leur lieu de vie:

"La cité n’a pas été entretenue pendant plus de 40 ans.

Durant toute cette période, le propriétaire était la SEMIDEP une société d’économie mixte de la Ville de Paris.

Le bâti s’est par endroits fortement dégradé et est devenu dangereux.

L’insalubrité est flagrante – des rats courent dans les communs.

Les circuits de distribution des flux (eau, gaz, électricité, aération) n’ont jamais été refaits et ils ne sont plus aux normes de sécurité.

Le parc intérieur n’a eu qu’un modeste entretien (tonte des pelouses une fois par an).

L’élagage forcené des arbres a contribué à leur mort prématurée. Les arbres morts n’ont jamais été remplacés.

Les arbustes des bosquets d’origine n’ont pas été plus entretenus.

Les bacs à sable et les aires de jeux ont été laissés à l’abandon.

Les nids de poule dans la chaussée des parkings n’ont pas été rebouchés.

Les bancs en béton se sont dégradés avec le gel.

Aujourd’hui, il n’y en a plus un seul debout. Dans le parc, aucune poubelle n’a été prévue.

Ne rien entreprendre, c’est prendre des risques à bon compte avec la vie des autres. Il y a là, matière à une mise en danger de la vie d’autrui.

Vouloir laisser les habitants dans de telles conditions de vie, c’est favoriser tous les trafics et la délinquance.

Il ne faut pas s’étonner que ces cités flambent et que les habitants ne se sentent en rien concernés par le devenir non seulement de leur cité, mais aussi de leur ville et du pays.

Laisser en déshérence ces grands ensembles c’est désespérer les citoyens."

Dominique Mangematin, plasticien, habitant de la Cité des Courtillières à Pantin depuis sa construction en 1959.

Permettez moi de penser que ce monsieur qui habite une cité du 93 depuis près de 60 ans est bien plus "qualifié" que vous en la matière.

Personne ne va habiter dans ces cités pourries par choix, ça n'a rien à voir avec du communautarisme.

Quand on agglutine les populations les plus pauvres et précaires dans un même lieu clos, pas besoin d'être très futé pour deviner ce que ça va donner.

Au passage, à peu près quiconque connaissant un tout petit peu la région parisienne sait que quasi TOUS les immeubles y sont équipés en digicode.

Il faudra donc que vous m'expliquiez qu'elle peut bien être le pseudo rapport avec "leur communauté" (que vous pourriez d'ailleurs au mois avoir l'honnêteté intellectuelle d'appeler "communauté maghrébo-musulmane", puisque c'est bien eux que vous avez dans le viseur) ???

Puisque vous n'avez jamais habité la région parisienne, vous devriez peut être éviter vos pseudos "expertises" qui relèvent plus de la pure idéologie que d'une quelconque connaissance de la réalité "du terrain".

Voici par exemple le témoignage d'un habitant des Courtillères, à Pantin (qui, au passage, ne fait pas partie des 1296 "zones prioritaires") qui vous permettra peut être de relativiser la pseudo unique responsabilité des résidents dans la dégradation de leur lieu de vie:

"La cité n’a pas été entretenue pendant plus de 40 ans.

Durant toute cette période, le propriétaire était la SEMIDEP une société d’économie mixte de la Ville de Paris.

Le bâti s’est par endroits fortement dégradé et est devenu dangereux.

L’insalubrité est flagrante – des rats courent dans les communs.

Les circuits de distribution des flux (eau, gaz, électricité, aération) n’ont jamais été refaits et ils ne sont plus aux normes de sécurité.

Le parc intérieur n’a eu qu’un modeste entretien (tonte des pelouses une fois par an).

L’élagage forcené des arbres a contribué à leur mort prématurée. Les arbres morts n’ont jamais été remplacés.

Les arbustes des bosquets d’origine n’ont pas été plus entretenus.

Les bacs à sable et les aires de jeux ont été laissés à l’abandon.

Les nids de poule dans la chaussée des parkings n’ont pas été rebouchés.

Les bancs en béton se sont dégradés avec le gel.

Aujourd’hui, il n’y en a plus un seul debout. Dans le parc, aucune poubelle n’a été prévue.

Ne rien entreprendre, c’est prendre des risques à bon compte avec la vie des autres. Il y a là, matière à une mise en danger de la vie d’autrui.

Vouloir laisser les habitants dans de telles conditions de vie, c’est favoriser tous les trafics et la délinquance.

Il ne faut pas s’étonner que ces cités flambent et que les habitants ne se sentent en rien concernés par le devenir non seulement de leur cité, mais aussi de leur ville et du pays.

Laisser en déshérence ces grands ensembles c’est désespérer les citoyens."

Dominique Mangematin, plasticien, habitant de la Cité des Courtillières à Pantin depuis sa construction en 1959.

Permettez moi de penser que ce monsieur qui habite une cité du 93 depuis près de 60 ans est bien plus "qualifié" que vous en la matière.

Donc la mairie de Paris serait responsable?

Moi ce que j'ai vu, et c'est pas d'aujourd'hui, je l'ai vu et vécu! à mon petit niveau, mais bon, j'suis pas la seule, hein?

Et comme précisé pas dans les régions de "bonnes réputations" que sont Paris etc.

C'est d'ailleurs d'autant plus flagrant dans une ville comme le Mans et ses deux proches voisines....

Pour ce qui est de Paris et sa banlieue, j'ai bien connu à une époque, mon oncle et ma tante demeurant à Levallois-Perret! nous y allions souvent!

Et mon cousin m'emmenait partout, y compris certains quartiers réservés à "ces dames"!

Nous étions très jeune d'une dizaine d'années à mes 15ans en gros!

De plus à une époque, 70, j'ai eu un copain qui habitait dans les HLM porte de clignancourt j'y "montais" tous les WE, nous sortions sur Saint Ouen et alentours!

Pour y aller je passais le quartier de la goutte d'Or et m'arrêtais à chaque fois boire un café, je restais dehors et n'ai jamais été emmerdée par quiconque!

Grand sourire et service soigné!

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Personne ne va habiter dans ces cités pourries par choix, ça n'a rien à voir avec du communautarisme.

Quand on agglutine les populations les plus pauvres et précaires dans un même lieu clos, pas besoin d'être très futé pour deviner ce que ça va donner.

Au passage, à peu près quiconque connaissant un tout petit peu la région parisienne sait que quasi TOUS les immeubles y sont équipés en digicode.

Il faudra donc que vous m'expliquiez qu'elle peut bien être le pseudo rapport avec "leur communauté" (que vous pourriez d'ailleurs au mois avoir l'honnêteté intellectuelle d'appeler "communauté maghrébo-musulmane", puisque c'est bien eux que vous avez dans le viseur) ???

Puisque vous n'avez jamais habité la région parisienne, vous devriez peut être éviter vos pseudos "expertises" qui relèvent plus de la pure idéologie que d'une quelconque connaissance de la réalité "du terrain".

Voici par exemple le témoignage d'un habitant des Courtillères, à Pantin (qui, au passage, ne fait pas partie des 1296 "zones prioritaires") qui vous permettra peut être de relativiser la pseudo unique responsabilité des résidents dans la dégradation de leur lieu de vie:

"La cité n’a pas été entretenue pendant plus de 40 ans.

Durant toute cette période, le propriétaire était la SEMIDEP une société d’économie mixte de la Ville de Paris.

Le bâti s’est par endroits fortement dégradé et est devenu dangereux.

L’insalubrité est flagrante – des rats courent dans les communs.

Les circuits de distribution des flux (eau, gaz, électricité, aération) n’ont jamais été refaits et ils ne sont plus aux normes de sécurité.

Le parc intérieur n’a eu qu’un modeste entretien (tonte des pelouses une fois par an).

L’élagage forcené des arbres a contribué à leur mort prématurée. Les arbres morts n’ont jamais été remplacés.

Les arbustes des bosquets d’origine n’ont pas été plus entretenus.

Les bacs à sable et les aires de jeux ont été laissés à l’abandon.

Les nids de poule dans la chaussée des parkings n’ont pas été rebouchés.

Les bancs en béton se sont dégradés avec le gel.

Aujourd’hui, il n’y en a plus un seul debout. Dans le parc, aucune poubelle n’a été prévue.

Ne rien entreprendre, c’est prendre des risques à bon compte avec la vie des autres. Il y a là, matière à une mise en danger de la vie d’autrui.

Vouloir laisser les habitants dans de telles conditions de vie, c’est favoriser tous les trafics et la délinquance.

Il ne faut pas s’étonner que ces cités flambent et que les habitants ne se sentent en rien concernés par le devenir non seulement de leur cité, mais aussi de leur ville et du pays.

Laisser en déshérence ces grands ensembles c’est désespérer les citoyens."

Dominique Mangematin, plasticien, habitant de la Cité des Courtillières à Pantin depuis sa construction en 1959.

Permettez moi de penser que ce monsieur qui habite une cité du 93 depuis près de 60 ans est bien plus "qualifié" que vous en la matière.

Quel bel angelisme, il suffit de voir dans quel état sont ces pauvres immeubles avec ces locataires magnifiques, vous esperez faire pleurer dans les chaumières, c'est raté, par contre, je vous encourage à prendre une de ces familles en pension, juste pour voir...

Pas tous des fauchés dans les cités, quand on sait les sommes récoltées par la vente de drogue dans certaines d’entre elles ...

A Bruxelles, dans la commune de Molenbeek (et autres) ne croyez pas que tous sont de malheureux qui ne trouvent pas de boulot, pour commencer nombre d'entre eux travaillent et ceux qui ne bossent pas c'est parce qu'ils ne le veulent pas ...

Par contre les BMW, Mercedes, Audi ne manquent pas même si elles sont d'occase il faut assumer l'assurance, la taxe, le carburant et bien sûr, prix d'achat ça fait beaucoup, alors d'où vient le fric ?

Parfois il s'agit de voiture de location, quand on sait le montant de la garantie à déposer pour une voiture de luxe, on se demande encore une fois, comment ils font.

Pour ce qui est de Paris et sa banlieue, j'ai bien connu à une époque, mon oncle et ma tante demeurant à Levallois-Perret! nous y allions souvent!

Et mon cousin m'emmenait partout, y compris certains quartiers réservés à "ces dames"!

Nous étions très jeune d'une dizaine d'années à mes 15ans en gros!

De plus à une époque, 70, j'ai eu un copain qui habitait dans les HLM porte de clignancourt j'y "montais" tous les WE, nous sortions sur Saint Ouen et alentours!

Pour y aller je passais le quartier de la goutte d'Or et m'arrêtais à chaque fois boire un café, je restais dehors et n'ai jamais été emmerdée par quiconque!

Grand sourire et service soigné!

Entre les années 70 et aujourd'hui on est passé de 3% de chômage à plus de 10%...!!

Ceci explique cela .

Donc la mairie de Paris serait responsable?

Moi ce que j'ai vu, et c'est pas d'aujourd'hui, je l'ai vu et vécu! à mon petit niveau, mais bon, j'suis pas la seule, hein?

Et comme précisé pas dans les régions de "bonnes réputations" que sont Paris etc.

C'est d'ailleurs d'autant plus flagrant dans une ville comme le Mans et ses deux proches voisines....

Pour ce qui est de Paris et sa banlieue, j'ai bien connu à une époque, mon oncle et ma tante demeurant à Levallois-Perret! nous y allions souvent!

Et mon cousin m'emmenait partout, y compris certains quartiers réservés à "ces dames"!

Nous étions très jeune d'une dizaine d'années à mes 15ans en gros!

De plus à une époque, 70, j'ai eu un copain qui habitait dans les HLM porte de clignancourt j'y "montais" tous les WE, nous sortions sur Saint Ouen et alentours!

Pour y aller je passais le quartier de la goutte d'Or et m'arrêtais à chaque fois boire un café, je restais dehors et n'ai jamais été emmerdée par quiconque!

Grand sourire et service soigné!

On ne peut pas comparer les années 70 à maintenant, cela fait plus de 40 ans, une autre génération

Entre les années 70 et aujourd'hui on est passé de 3% de chômage à plus de 10%...!!

Ceci explique cela .

On ne peut dialoguer avec des racistes viscéraux, leur raison n'y peut rien car elle est impuissante. C'est comme la peur des araignées, ça ne se contrôle pas. Il y a peu j'ai été obligé de tuer cette bestiole innocente car une proche a paniqué en la voyant, je lui ai pourtant dit qu'elle ne pouvait pas lui sauter à la gorge, cette bête semblait même terrifiée car immobile sur le carrelage du salon, rien n'y a fait une partie du cerveau humain était court-circuitée.

J'ai cessé d'essayer de les raisonner. Et l'âge n'arrange rien...

Tiens, Cruel Summer essaie de se refaire une virginité :) Ou il permet aux vieux aigris frustrés de venir déverser leur fiel par dépit vu que c'est tout ce qui leur reste pour exister encore un peu :)

Pauvres ??? Vu les milliards que rapporte le trafic de came, je ne pense pas.

Rouler en BM et Porsche Cayenne est peut-être devenu un emblème d'extrême pauvreté ?

J'avais raison :smile2:

Tu sais faire la distinction entre un trafiquant et un citoyen lambda ? Non ? Normal c'est l'âge

1462354507[/url]' post='10226751']

Quand je pense aux premiers occupants de ces cités qui pour la première fois avaient enfin le confort : salle de bains, eau chaude, chauffage central, logements neufs et non plus habitat insalubre....

Ces cités étaient aussi appelées cités dortoirs, ce qui voulait dire que les habitants travaillaient....

Que s'est-il passé? j'ai bien mon idée mais elle ne va pas plaire!

J'ai pourtant assisté à la transition....

En fait, après un sondage perso réalisé auprès des vieux qui ont vu naître ces bâtiments : direct, ils l'ont mal vu et ont su que ce serait pas 'top classe'.

À mon sens, il aurait fallu bâtir de petits immeubles , à taille humaine quoi.