FN, Donald Trump, montée des «populismes» : le baroud d'honneur des «petits blancs»

FN, Donald Trump, montée des «populismes» : le baroud d'honneur des «petits blancs»

Une nouvelle thématique agite le microcosme médiatique: comment se fait-il que certaines élites, aux États-Unis comme en Europe, regardent désormais le «populisme» avec moins d'appréhension qu'autrefois?

Pour répondre à cette question orientée, il suffit de regarder l'état de discrédit dans lequel se trouve aujourd'hui le «système».

Non pas seulement, le système politique, comme voudraient le faire croire certains médias, mais plutôt le système politico-médiatique qui inspire à ceux que je propose d'appeler désormais les «popélites» une désespérance irritée encore plus grande que tous les tribuns aux manières trop rustres.

Tout d'abord, nos popélites, ne s'en laissent plus compter: ils savent que tous les mots médiatiques sont piégés. Ayant repéré, la place du curseur sur la carte politique, les mots «populistes, extrême droite, droitier, islamophobes…» ne sont plus pris sans barguigner.

Ils ont remarqué que les gens qualifiés d'extrême droite étaient souvent ceux qui combattaient extrêmement une extrême gauche nommée plus aimablement «gauche de la gauche».

Ils ont remarqué que ceux qui taxaient rapidement tel autre de populiste, nourrissaient souvent pour le peuple une manière de mépris, et principalement pour le vieux et petit peuple autochtone dont les appréhensions ou les aspirations étaient souvent prises en hautaine dérision.

Ils ont remarqué que les gens qualifiés d'extrême droite étaient souvent ceux qui combattaient extrêmement une extrême gauche nommée plus aimablement «gauche de la gauche».

Ils ont remarqué que l'islamophobie était le moyen le plus sûr pour les islamistes, les antiracistes professionnels sélectifs et autres islamo-gauchistes d'empêcher toute critique de l'islam ou de l'immigration islamique incontrôlée.

Ils ont remarqué que si la lexicologie médiatique connaissait le droitier, elle serait contrariée d'épingler un gaucher.

Bref, le popélite n'est pas un mélomane entiché de cette petite musique jouée depuis quelques décennies par une certaine clique politico-médiatique.

La semaine passée fournit un bel exemple de ce que l'Europe politique apporte de désespérance à notre popélite.

L'idée communautaire de s'en remettre au sultan ottoman pour régler la question des migrants lui inspire la même confiance que de confier à Al Capone la gestion de son portefeuille.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/03/07/31001-20160307ARTFIG00216-fn-donald-trump-montee-des-populismes-le-baroud-d-honneur-des-petits-blancs.php

En ce qui concerne les migrants il y a deux choix:

la négociation(qui passe par la répartition du fardeau de ces populations qui se reproduisent comme des lapins,rappel:150 000 bébés de plus en quatre ans en Turquie chez les migrants ,ce qui va alourdir le poids écologique sur le pays d'accueil déjà bien empêtré avec sa natalité galopante) ou la guerre d'extermination avec la fermeture des frontières.

La Turquie n'est que l'ultime bastion musulman avant l'Europe après tout!

Ecoutez bien les discours de chacun et vous verrez de quel côté penchent les opinions.

L'autre solution serait de dire OK tu rentres ici mais interdiction de dépasser un descendant, sinon tu dégages!

    Du 100% Figaro : étriqué et jamais dans le décompte de ses propres responsabilités ^^" En plus pour un canard faisant dans l'actu, occulter la percée de l'extrême droite en Croatie la semaine dernière, qui vient s'ajouter à la longue liste, me paraît plus qu'embarrassant. Ce billet, d'un nantis, me paraît lui-même relever des gesticulations du type qui sent la roue de la sociale-démocratie libérale tourner. "Système", qui jusque là ne servait qu'une caste cupide qui a laminé bien des peuples en y exacerbant les inégalités et en les montant en concurrence jusqu'à la défiance complète. Il pointe l'Europe, sur le journal, parmi d'autres, qui nous l'a quand même vendue. Il se défausse naturellement sur l'étranger, pour retourner complètement l'histoire : le populisme, réaction au racisme-anti-blanc ? Pour une frange, peut-être. Mais ce n'est que l'arbre qui cache la forêt du rejet : la dérégulation, la concurrence, le démantèlement des Etats pour le tout économique, la sape de nos fondements sociétaux à commencer par l'assurance sociale, la mondialisation à tout crin... c'est bibi et ses potes qui ont tout fait pour que cela arrive...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Melania_Trump

En tous les cas il plait!!!:)

oui mais lui aussi ,il est irrésistible ,il plait et en plus il est beau comme Crésus ....

Va t il gagner ?

les Américains en général et son parti en particulier l'ont sous estimé...

c'est un stratège ,ne serait ce qu'à voir la façon dont il change son discours en paraissant sincère selon son auditoire ...

Tout est possible avec ce type ... Pour être milliardaire ,il faut quand même mieux éviter d'être con ....

... je le crois aussi puis les américains veulent du changement!

Il a critiquer la politique de la France qui permet avec sa législation des attentats sur son sol!

FN, Donald Trump, montée des «populismes» : le baroud d'honneur des «petits blancs»

Une nouvelle thématique agite le microcosme médiatique: comment se fait-il que certaines élites, aux États-Unis comme en Europe, regardent désormais le «populisme» avec moins d'appréhension qu'autrefois?

Pour répondre à cette question orientée, il suffit de regarder l'état de discrédit dans lequel se trouve aujourd'hui le «système».

Non pas seulement, le système politique, comme voudraient le faire croire certains médias, mais plutôt le système politico-médiatique qui inspire à ceux que je propose d'appeler désormais les «popélites» une désespérance irritée encore plus grande que tous les tribuns aux manières trop rustres.

Tout d'abord, nos popélites, ne s'en laissent plus compter: ils savent que tous les mots médiatiques sont piégés. Ayant repéré, la place du curseur sur la carte politique, les mots «populistes, extrême droite, droitier, islamophobes…» ne sont plus pris sans barguigner.

Ils ont remarqué que les gens qualifiés d'extrême droite étaient souvent ceux qui combattaient extrêmement une extrême gauche nommée plus aimablement «gauche de la gauche».

Ils ont remarqué que ceux qui taxaient rapidement tel autre de populiste, nourrissaient souvent pour le peuple une manière de mépris, et principalement pour le vieux et petit peuple autochtone dont les appréhensions ou les aspirations étaient souvent prises en hautaine dérision.

Ils ont remarqué que les gens qualifiés d'extrême droite étaient souvent ceux qui combattaient extrêmement une extrême gauche nommée plus aimablement «gauche de la gauche».

Ils ont remarqué que l'islamophobie était le moyen le plus sûr pour les islamistes, les antiracistes professionnels sélectifs et autres islamo-gauchistes d'empêcher toute critique de l'islam ou de l'immigration islamique incontrôlée.

Ils ont remarqué que si la lexicologie médiatique connaissait le droitier, elle serait contrariée d'épingler un gaucher.

Bref, le popélite n'est pas un mélomane entiché de cette petite musique jouée depuis quelques décennies par une certaine clique politico-médiatique.

La semaine passée fournit un bel exemple de ce que l'Europe politique apporte de désespérance à notre popélite.

L'idée communautaire de s'en remettre au sultan ottoman pour régler la question des migrants lui inspire la même confiance que de confier à Al Capone la gestion de son portefeuille.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/03/07/31001-20160307ARTFIG00216-fn-donald-trump-montee-des-populismes-le-baroud-d-honneur-des-petits-blancs.php

Toute l'analyse est bonne. Ce qui ne veut pas dire que la solution l'est...

Va t il gagner ?

Clinton ne peut pas perdre face à Trump et c'est pourquoi les démocrates ont intérêt à Trump...

... je le crois aussi puis les américains veulent du changement!

Il a critiquer la politique de la France qui permet avec sa législation des attentats sur son sol!

Il y a eu quelques attentats sur le sol US aussi, dont celui du 11 septembre...

Le problème c'est qu'en France on sait et on ne fait pas grand chose !

Par exemple, accueillir des réfugiés est humain, mais accueillir des réfugies qui proviennent tous d'une même culture/idéologie (islam) qui nous est hostile et avec laquelle on est en guerre et c'est le moins que l'on puisse dire, c'est de l'inconscience et du masochisme !

Chose certaine, toutes les démocraties s'affaiblissent, la France avec Hollande, demain les US avec (peut-être) un Trump délirant, aujourd'hui Merkelà cause de son acceptation d'une vague de réfugiés, le Canada qui plie sans cesse devant les revendications des musulmans, la Grande-Bretagne qui est entre "deux eaux, les pays de l'Est qui installent des barbelés, la Grèce qui coule, etc...

Bientôt ce sera à notre tour d'immigrer à Casablanca

Les américains ne veulent plus des immigrés mexicains ou autres.

Il y a une classe désespérée sans travail et revenus.

Mme Clinton fait partie de la classe dirigeante, celle des hautes écoles, si Obama a gagné, c'est parce qu'il a dû se battre et financer ses études.

On a sous-estimé la désespérance des pauvres.