Devrait-on être plus indulgent envers les femmes qui ont leurs règles?

Lineole,

vous écrivez :

Il n'y a pas à avoir de droit différents. Les hommes, comme les femmes peuvent pleurer, mais ne pas passer leur temps à ça.

Comme si l'existence des hommes et des femmes ne devait être régit que par des lois écrites.

Une femme, ayant un enfant, nécessite au moins un an de remise en forme pour s'affranchir des fatigues de l'accouchement. Ce qui n'est pas le cas chez l'homme.

Que les congés parentaux soit plus favorable aux femmes qu'aux hommes me semble d'une telle évidence, que je me demande encore pour quelle raison j'interviens sur ce fil.

L'égalité en tout des féministes, frise vraiment la connerie dans toute sa splendeur!

Il n'y a pas à avoir de droit différents. Les hommes, comme les femmes peuvent pleurer, mais ne pas passer leur temps à ça.

Un congé maternité n'est ni plus, ni moins légitime qu'un congé paternité.

** tu n'as pas trouvé le bon smiley ? Cherche encore **

C'est une caricature à la Vilaine ou tu le penses vraiment?

Quelles conneries on peut lire,ici,franchement ,il n'y a donc qu'Enchantant qui a un brin de jugeotte sur ce topic?

Réclamer des droits légitimes ne revient pas à "pleurer".

Des droits légitimes? Mais beaucoup de femmes n'ont aucun problème lorsqu'elles ont leurs règles. Ne prends pas ton cas pour une généralité. Si cette période te cause des difficultés psychologiques importantes, va voir un psy. Moi, je n'aime pas qu'on me dise "si elle n'est pas contente c'est qu'elle a ses règles" car ce sont des préjugés injustifiés qui heureusement n'existent plus beaucoup.

C'est une caricature à la Vilaine ou tu le penses vraiment?

A mon avis, il le pense vraiment. J'ai donc crée un topic à ce sujet:

http://www.forumfr.com/sujet704769-le-conge-maternite-est-il-aussi-legitime-que-le-conge-paternite.html

Des droits légitimes? Mais beaucoup de femmes n'ont aucun problème lorsqu'elles ont leurs règles. Ne prends pas ton cas pour une généralité. Si cette période te cause des difficultés psychologiques importantes, va voir un psy. Moi, je n'aime pas qu'on me dise "si elle n'est pas contente c'est qu'elle a ses règles" car ce sont des préjugés injustifiés qui heureusement n'existent plus beaucoup.

Je n'ai jamais fait référence à mon cas personnel. Et je n'aime pas non plus recevoir cette remarque. Maintenant, c'est un fait, une femme indisposée est plus sensible, et on remarque les même choses au sujet des femmes enceintes. Ce sont des variations homronales qu'il ne faut pas négliger.

Partant de ce constat (facilement vérifiable), je me demandais juste comment la société devait se comporter face à ça.

Je n'ai jamais fait référence à mon cas personnel. Et je n'aime pas non plus recevoir cette remarque. Maintenant, c'est un fait, une femme indisposée est plus sensible, et on remarque les même choses au sujet des femmes enceintes. Ce sont des variations homronales qu'il ne faut pas négliger.

Partant de ce constat (facilement vérifiable), je me demandais juste comment la société devait se comporter face à ça.

Les difficultés hormonales varient selon les personnes. Socialement, c'est géré médicalement. Moi je n'ai besoin d'aucune indulgence particulière dans ce cas là, et je ne suis pas la seule, donc il ne s'agit pas de droit des femmes mais d'assistance médicale pour certaines.

Lineole,

vous écrivez :

Il n'y a pas à avoir de droit différents. Les hommes, comme les femmes peuvent pleurer, mais ne pas passer leur temps à ça.

Comme si l'existence des hommes et des femmes ne devait être régit que par des lois écrites.

Une femme, ayant un enfant, nécessite au moins un an de remise en forme pour s'affranchir des fatigues de l'accouchement. Ce qui n'est pas le cas chez l'homme.

Que les congés parentaux soit plus favorable aux femmes qu'aux hommes me semble d'une telle évidence, que je me demande encore pour quelle raison j'interviens sur ce fil.

L'égalité en tout des féministes, frise vraiment la connerie dans toute sa splendeur!

Tu confonds égalité et équité.

En revanche, tu survalorises la remise en forme, lié aussi à la physiologie, à l'âge, etc.

Et tu sous-valorises évidemment, la fatigue paternelle en supposant que rien n'a changé et que les hommes ne s'occupent toujours pas de se lever la nuit, de faire des biberons, de courir à droite et à gauche pour participer dans des tâches épuisantes.

Ce n'est pas une question de féminisme mais de réalisme.

C'est une caricature à la Vilaine ou tu le penses vraiment?

Je le pense et je l'ai expliqué.

Il faut être dogmatiquement féministe pour penser le contraire.

Des droits légitimes? Mais beaucoup de femmes n'ont aucun problème lorsqu'elles ont leurs règles. Ne prends pas ton cas pour une généralité. Si cette période te cause des difficultés psychologiques importantes, va voir un psy. Moi, je n'aime pas qu'on me dise "si elle n'est pas contente c'est qu'elle a ses règles" car ce sont des préjugés injustifiés qui heureusement n'existent plus beaucoup.

De fait.

Pour une amie qui passe deux jours dans le noir presque complet depuis 30 ans chaque mois (céphalées, spasmes), j'en ai plusieurs dizaines qui ne s'aperçoivent presque pas qu'elles ont leurs règles...

Les difficultés hormonales varient selon les personnes. Socialement, c'est géré médicalement. Moi je n'ai besoin d'aucune indulgence particulière dans ce cas là, et je ne suis pas la seule, donc il ne s'agit pas de droit des femmes mais d'assistance médicale pour certaines.

Et on cela a été dit plusieurs fois, la prise en compte n'a pas à se faire, elle existe déjà depuis des dizaines de milliers d'année...

Est-ce internet qui fait perdre la mémoire sociale et culturelle ? (tiens un sujet... Non, je fabrique le contexte d'un sujet que je voulais déjà lancer Tu sais ce dont je parle vilaine hein ?)

Mal au ventre et aux cuisses j'aurais aimé qu'on limite mes déplacements durant ces jours!

Ah mais à ce qui paraît, ça se gère MÉDICALEMENT ça :)

Querida vient de montrer qu'entre ce que l'on pense savoir, et la réalité, il y a souvent un énorme fossé.

Je connais des gens qui deviennent sensible, susceptible, fragile. Et ça aussi ça se gère médicalement?

Vous voulez d'autres exemples ou c'est suffisamment clair?

A***, m*****, g****

De toute façon ce n'est pas à dire, c'est des plus inconvenant, comme impudique, de plus on le sait, enfin certain.

Après réponse à ta question si on veux une égalité entre les êtres faut pas en tenir compte. Ce n'est pas une maladie à ce qui me semble, sans compter que faire une différence c'est donner raison à tout les machismes affirmant l'infériorité féminine.

Donc c'est NON !!!

A mon avis, il le pense vraiment. J'ai donc crée un topic à ce sujet:

http://www.forumfr.com/sujet704769-le-conge-maternite-est-il-aussi-legitime-que-le-conge-paternite.html

Je n'ai jamais fait référence à mon cas personnel. Et je n'aime pas non plus recevoir cette remarque. Maintenant, c'est un fait, une femme indisposée est plus sensible, et on remarque les même choses au sujet des femmes enceintes. Ce sont des variations hormonales qu'il ne faut pas négliger.

Partant de ce constat (facilement vérifiable), je me demandais juste comment la société devait se comporter face à ça.

Quand je pense le nombre de femmes qui accusent les hommes d'êtres dépendant de leur hormones, parait que les hommes ne pensent qu'à travers elles. Enfin ....

Nous avons tous toute la journée des variation hormonales de toutes sortes, s'il faut tenir compte des variations hormonales des uns et des autres, par exemple la T3 ( triiodothyronine) et la T4 ( Tyroxine ) qui touchent autant les hommes que les femmes. Faut quand même pas délirer. A quand les hémoroïdes et les corps aux pieds, ou le point noir qui est sur le nez.

Et puis pourquoi pas aussi tant que l'on y est prendre d'infime précaution envers les hommes qui eux sont de gros producteurs de prostaglandines qui servent justement dans certains soins pour les femmes qui n'en font pas ou si peu.

Hommes comme femmes tous égaux !!!!

Les difficultés hormonales varient selon les personnes. Socialement, c'est géré médicalement. Moi je n'ai besoin d'aucune indulgence particulière dans ce cas là, et je ne suis pas la seule, donc il ne s'agit pas de droit des femmes mais d'assistance médicale pour certaines.

Je te retourne la remarque que tu as fait plus haut:

"Ne prends pas ton cas pour une généralité."

Je te retourne la remarque que tu as fait plus haut:

"Ne prends pas ton cas pour une généralité."

Ce n'est pas ce que je faisais. Je t'expliquais au contraire que puisque les règles féminines ne provoquent pas forcément de souffrance il serait erroné de considérer que toutes les femmes ont besoin d'indulgence à cet égard socialement et professionnellement en informant publiquement de leur état. Et que les souffrances des quelques femmes concernées étaient prises en compte logiquement par le domaine médical et pharmaceutique car elles ne sont pas une fatalité.

J'ouvre ce topic suite à la remarque d'une forumeuse ménopausée qui me faisait très justement remarquer que la ménopause avait quelques avantages, dont celui d'être plus stable émotionnellement parlant, ce qui se traduit par des propos plus modérés, une attitude plus conciliante.

Nous, femmes jeunes valides et fertiles, nous devons encore subir cette période rouge qui nous rend parfois difficile à vivre. Je me demandais juste si dans le cadre conjugal, familial, professionnel et dans notre société de manière generale, nous devrions pas bénéficier d'un "traitement de faveur" durant cette période.

Des idées? Des suggestions?

J'espère en avoir suffisamment....même s'il y a ici, une grande population de femmes ménopausées qui ne vont pas se sentir concernées.

La ménopause aurait donc des avantages ? Moi qui la craignait, de suite ça me rassure car j'y aurais droit dans quelques années .☺

Elles vont finir par se saigner

Ce n'est pas ce que je faisais. Je t'expliquais au contraire que puisque les règles féminines ne provoquent pas forcément de souffrance il serait erroné de considérer que toutes les femmes ont besoin d'indulgence à cet égard socialement et professionnellement en informant publiquement de leur état. Et que les souffrances des quelques femmes concernées étaient prises en compte logiquement par le domaine médical et pharmaceutique car elles ne sont pas une fatalité.

Bien sûr que c'est que tu fais. Tu dis que tu n'as besoin d'aucune indulgence, comme si c'était un cas général. M'enfin, je vois pas comment tu peux me contredire là dessus. :gurp:

Parce que certaines ont besoin d'une indulgence, il est nécessaire de se poser la question. Avec ton raisonnement, on n'aurait jamais accordé de place de parking aux handicapés, ni revu les normes handicapés dans les logements récents, car il ne s'agit que de quelques uns..

Bien sûr que c'est que tu fais. Tu dis que tu n'as besoin d'aucune indulgence, comme si c'était un cas général. M'enfin, je vois pas comment tu peux me contredire là dessus. :gurp:

Parce que certaines ont besoin d'une indulgence, il est nécessaire de se poser la question. Avec ton raisonnement, on n'aurait jamais accordé de place de parking aux handicapés, ni revu les normes handicapés dans les logements récents, car il ne s'agit que de quelques uns..

Pour le coup ,one point pour vilaine

Mais pour accorder une "certaine indulgence" il faudrait que la dame clame en arrivant au bureau "je vous préviens, aujourd'hui je saigne comme un cochon, soyez indulgents"!

Or ça ne se fait pas, dans le coin

Bien sûr que c'est que tu fais. Tu dis que tu n'as besoin d'aucune indulgence, comme si c'était un cas général. M'enfin, je vois pas comment tu peux me contredire là dessus. :gurp:

Parce que certaines ont besoin d'une indulgence, il est nécessaire de se poser la question. Avec ton raisonnement, on n'aurait jamais accordé de place de parking aux handicapés, ni revu les normes handicapés dans les logements récents, car il ne s'agit que de quelques uns..

J'ai exprimé que je n'ai besoin d'aucune indulgence et que pour celles en ayant besoin les recours sont médicaux. Si j'avais généralisé outrancièrement mon cas j'aurais considéré qu'aucune femme ne souffrait dans un tel contexte, ce que je n'ai pas fait.

Tu peux si tu veux demander à tes fréquentations une indulgence en les informant de ton état, mais il est courant de cantonner ces informations au domaine privé car la médecine est la solution logique. Si tu dis à ton patron que tu as mal quand tu as tes règles, je pense qu'il aura tendance à te diriger vers un médecin plutôt qu'à modifier ton travail directement, sauf si tu as un certificat médical.

Et il ne serait pas logique qu'il s'informe sans avis médical par "droit des femmes" de l'état menstruel de celles-ci car celui-ci n'est pas toujours un problème handicapant, et même rarement. Or ta manière de généraliser ce problème conduit à penser que ce handicap féminin devrait être considéré socialement indépendamment de la médecine comme s'il était commun à toutes les femmes et insoluble .

J'ai exprimé que je n'ai besoin d'aucune indulgence et que pour celles en ayant besoin les recours sont médicaux. Si j'avais généralisé outrancièrement mon cas j'aurais considéré qu'aucune femme ne souffrait dans un tel contexte, ce que je n'ai pas fait.

Tu mélanges tout.

On ne parle pas de souffrance, ni des possibilités offertes en cas de désagréments.

On parle du fait que tu prennes ton cas pour appuyer ton argument. (Exactement ce que tu m'as reproché en fait). Ca enlève de la force à ton argumentation déjà assez faible.

Tu peux si tu veux demander à tes fréquentations une indulgence en les informant de ton état, mais il est courant de cantonner ces informations au domaine privé car la médecine est la solution logique. Si tu dis à ton patron que tu as mal quand tu as tes règles, je pense qu'il aura tendance à te diriger vers un médecin plutôt qu'à modifier ton travail directement, sauf si tu as un certificat médical.

Il n'y a parfois pas de traitements adaptés aux femmes qui souffrent de dyménhorrée. Le repos est la seule solution conseillée face à cette gêne.

Et il ne serait pas logique qu'il s'informe de sa propre initiative et sans avis médical de l'état menstruel des femmes selon le droit que tu invoques car celui-ci n'est pas toujours un problème handicapant, et même rarement.

Tu n'as pas l'air très au courant du sujet..

Tu mélanges tout.

On ne parle pas de souffrance, ni des possibilités offertes en cas de désagréments.

On parle du fait que tu prennes ton cas pour appuyer ton argument. (Exactement ce que tu m'as reproché en fait). Ca enlève de la force à ton argumentation déjà assez faible.

Il n'y a parfois pas de traitements adaptés aux femmes qui souffrent de dyménhorrée. Le repos est la seule solution conseillée face à cette gêne.

Tu n'as pas l'air très au courant du sujet..

J'ai justement évoqué les recours médicaux dont les certificats qui s'appliquent aux cas particuliers. Tu es de mauvaise foi et te permets les attaques personnelles pour je ne sais quelle raison.

Fais donc nous part de ta proposition de loi puisque les droits actuels des femmes à ce sujet te semblent insuffisants.