La salope

Absolument, c'est donc une énième volonté politico-idéologique de contenir le sens des mots quand ce sens nuit à l'idéologie.

Quid des vraies salopes qui correspondent à la définition du mot ? Elles ont cessé d'exister ?

En fait, tout insulte qui ne serait pas unisexe est de fait à considérer comme sexiste puisque le sexisme est le fait de considérer qu'il y a des différences entre les hommes et les femmes.

Une volonté politique? Le déplacement sémantique est une volonté politique? Si je ne peux plus dire à un copine "je vais te baiser" pour lui dire au revoir c'est une volonté politique?! Est il possible de détailler ça?

Ensuite il n'existe pas de VRAIE salope au moins pas sans (et je m'appuis sur la définition du dictionnaire) être vulgaire soit même. Peut on être vulgaire tout en étant dans la vérité? je ne suis pas sur... Il faut en outre juger de la "mauvaise vie"... mauvais par rapport à quoi? Si une femme prend des frittes à la place de la salade au mc do je peux la traiter de salope parce que j'estimerais qu'elle a une "mauvaise vie" exprimé à travers une "mauvaise alimentation"?

Quand à la seconde version "prête à tout pour réussir en passant par la sexualité" ça doit bien exister oui... mais ça exprime la dominance machiste de cette société alors. Si une femme corrompu par le pouvoir et l'argent (exactement de la même façon que les hommes) utilise sa sexualité pour obtenir ce qu'elle veut, c'est bien que ce sont les hommes qui détienne ce pouvoir.

Enfin le sexisme est une discrimination lié au sexe cf LAROUSSE: si les définitions du dictionnaire t'intéresse, merci de les respecter aussi pas uniquement quand ça t'arrange. L'insulte salope, selon la seconde définition, est sexiste parce que seuls des femmes ont recours au sexe pour obtenir que ce possèdent les hommes. Il faudrait vivre dans un monde où les présidents, les députés et les chefs d'entreprise sont très majoritairement des femmes pour transformer l'insulte sexiste en une autre insulte sexiste: celle qui toucherait ces hommes qui voudraient le pouvoir et l'argent et qui sont prêt à utiliser leur sexe pour l'obtenir...

Enfin le sexisme est une discrimination lié au sexe cf LAROUSSE: si les définitions du dictionnaire t'intéresse, merci de les respecter aussi pas uniquement quand ça t'arrange. L'insulte salope, selon la seconde définition, est sexiste parce que seuls des femmes ont recours au sexe pour obtenir que ce possèdent les hommes. Il faudrait vivre dans un monde où les présidents, les députés et les chefs d'entreprise sont très majoritairement des femmes pour transformer l'insulte sexiste en une autre insulte sexiste: celle qui toucherait ces hommes qui voudraient le pouvoir et l'argent et qui sont prêt à utiliser leur sexe pour l'obtenir...

Bin nous on est prêts à utiliser le sexe même sans argent ni pouvoir ...c'est truqué ton machin là !

En tout cas, je me disais que plutôt qu'une serviette, elles devraient utiliser un tampax.

Bien la première fois qu'elles ont un truc intéressant quand tu les as au bout du fil.

Bin nous on est prêts à utiliser le sexe même sans argent ni pouvoir ...c'est truqué ton machin là !

En tout cas, je me disais que plutôt qu'une serviette, elles devraient utiliser un tampax.

Bien la première fois qu'elles ont un truc intéressant quand tu les as au bout du fil.

La blague du bout du fil a un potentiel, je vais garder ça dans un coin de ma tête.

Reste que c'est une question intéressante: est ce qu'on irait vraiment fourrer tout ce qui bouge avec des nénés s'il n'y avait rien à gagner sinon un ou deux orgasmes? N'y a t'il pas une forme de pouvoir à vouloir "posséder" ces corps par dizaine?

C'est à ce niveau qu'il faut je pense bien comprendre la différence entre fourrer, pénétrer, décharger et jouïr car c'est à ce titre qu'on comprend mieux la psychologie masculine.

Et fourrez vous bien dans le crâne que pour pénétrer dans le royaume des cieux, il faut vous décharger de vos pêchés pour jouïr de la vie éternelle.

Amen.

C'est exact.

Maintenant, pour être juste, il faut bien admettre que le mot ait pu être galvaudé par certains hommes qui l'utilisaient et qui continuent de l'utiliser pour désigner toute femme qui, par exemple, échappe à leur désir. Les féministes ne font alors que rendre la monnaie de leur pièce à ces messieurs.

C'est le sort de n'importe quel mot que d'être employé à tort et à travers, combien de fois a t-on insulté d'enculé un type sans doute irréprochable parce qu'il ne conduisait pas assez vite à notre goût ? ^^

Une volonté politique? Le déplacement sémantique est une volonté politique? Si je ne peux plus dire à un copine "je vais te baiser" pour lui dire au revoir c'est une volonté politique?! Est il possible de détailler ça?

Le fait de disqualifier l'usage de certains mots non en raison ce qu'ils veulent dire et quand bien même ils le définiraient avec justesse mais parce que l'idéologie contemporaine les juge inappropriés.

Ensuite il n'existe pas de VRAIE salope au moins pas sans (et je m'appuis sur la définition du dictionnaire) être vulgaire soit même. Peut on être vulgaire tout en étant dans la vérité? je ne suis pas sur... Il faut en outre juger de la "mauvaise vie"... mauvais par rapport à quoi? Si une femme prend des frittes à la place de la salade au mc do je peux la traiter de salope parce que j'estimerais qu'elle a une "mauvaise vie" exprimé à travers une "mauvaise alimentation"?

Quand à la seconde version "prête à tout pour réussir en passant par la sexualité" ça doit bien exister oui... mais ça exprime la dominance machiste de cette société alors. Si une femme corrompu par le pouvoir et l'argent (exactement de la même façon que les hommes) utilise sa sexualité pour obtenir ce qu'elle veut, c'est bien que ce sont les hommes qui détienne ce pouvoir.

Avec ce genre de relativisme, plus aucun mot n'a de définition.

Enfin le sexisme est une discrimination lié au sexe cf LAROUSSE: si les définitions du dictionnaire t'intéresse, merci de les respecter aussi pas uniquement quand ça t'arrange. L'insulte salope, selon la seconde définition, est sexiste parce que seuls des femmes ont recours au sexe pour obtenir que ce possèdent les hommes. Il faudrait vivre dans un monde où les présidents, les députés et les chefs d'entreprise sont très majoritairement des femmes pour transformer l'insulte sexiste en une autre insulte sexiste: celle qui toucherait ces hommes qui voudraient le pouvoir et l'argent et qui sont prêt à utiliser leur sexe pour l'obtenir...

Salope:

• Péjoratif. Se dit d'une femme qui se conduit d'une façon méprisable, déloyale (terme d'injure) : Elle a été salope avec moi.

http://www.larousse....is/salope/70724

1) Il peut donc aussi s'agir d'un avantage puisque les hommes ne peuvent y avoir recours.

2) Ces femmes existants bel et bien, cette définition s'explique donc. Faut-il interdire les mots lorsqu'ils existent à partir d'une vérité qui dérange ? (surtout quand il s'agit d'une insulte, par ailleurs, et donc par définition faite pour blesser)

3) Les hommes et les femmes n'étant pas soumis aux mêmes degrés de pulsion sexuelle, il est assez logique que la manipulation via le sexe soit l'apanage du sexe faible.

En bref, une femme se comportant en salope ne doit pas être qualifiée ainsi, non pas parce qu'elle ne l'est pas, mais parce que c'est "sexiste" de le dire.

On dit traiter de, insulter étant intransitif; il me semble.

Sur ce, bon La rousse.

Salope:

• Péjoratif. Se dit d'une femme qui se conduit d'une façon méprisable, déloyale (terme d'injure) : Elle a été salope avec moi.

http://www.larousse....is/salope/70724

1) Il peut donc aussi s'agir d'un avantage puisque les hommes ne peuvent y avoir recours.

2) Ces femmes existants bel et bien, cette définition s'explique donc. Faut-il interdire les mots lorsqu'ils existent à partir d'une vérité qui dérange ? (surtout quand il s'agit d'une insulte, par ailleurs, et donc par définition faite pour blesser)

3) Les hommes et les femmes n'étant pas soumis aux mêmes degrés de pulsion sexuelle, il est assez logique que la manipulation via le sexe soit l'apanage du sexe faible.

En bref, une femme se comportant en salope ne doit pas être qualifiée ainsi, non pas parce qu'elle ne l'est pas,

mais parce que c'est "sexiste" de le dire.

http://www.forumfr.com/sujet674744-eloge-du-silence.html

C'est le sort de n'importe quel mot que d'être employé à tort et à travers, combien de fois a t-on insulté d'enculé un type sans doute irréprochable parce qu'il ne conduisait pas assez vite à notre goût ?

Oui. Mais est-il possible que certaines insultes acquièrent quelques fois une connotation politique, parce que leur utilisation contribue à perpétualiser le manque de reconnaissance d'un groupe dominé et l'hégémonie d'un groupe dominant ? Si l'insulte de "cervelle d'oiseau" s'était par exemple installée dans les moeurs des américains blancs pendant la période de l'esclavage pour désigner les noirs de manière plus ou moins systématique, n'aurait-il pas été juste que les noirs exigent ensuite que cette insulte soit déclarée politiquement incorrecte même si certains noirs peuvent effectivement se conduire comme s'ils avaient une cervelle d'oiseau ?

Toute la question est alors de savoir si le terme de "salope" a été utilisé et est utilisé par les hommes de façon telle qu'il en a pris une connotation politique.

Une autre question qui peut se poser, c'est de savoir si tu te sens effectivement brimé dans ton droit fondamental de pouvoir traiter certaines femmes de salopes. Ou alors as-tu acquis une mauvaise conscience a cet égard ?

C'est le sort de n'importe quel mot que d'être employé à tort et à travers, combien de fois a t-on insulté d'enculé un type sans doute irréprochable parce qu'il ne conduisait pas assez vite à notre goût ? ^^

Le fait de disqualifier l'usage de certains mots non en raison ce qu'ils veulent dire et quand bien même ils le définiraient avec justesse mais parce que l'idéologie contemporaine les juge inappropriés.

Avec ce genre de relativisme, plus aucun mot n'a de définition.

Salope:

• Péjoratif. Se dit d'une femme qui se conduit d'une façon méprisable, déloyale (terme d'injure) : Elle a été salope avec moi.

http://www.larousse....is/salope/70724

1) Il peut donc aussi s'agir d'un avantage puisque les hommes ne peuvent y avoir recours.

2) Ces femmes existants bel et bien, cette définition s'explique donc. Faut-il interdire les mots lorsqu'ils existent à partir d'une vérité qui dérange ? (surtout quand il s'agit d'une insulte, par ailleurs, et donc par définition faite pour blesser)

3) Les hommes et les femmes n'étant pas soumis aux mêmes degrés de pulsion sexuelle, il est assez logique que la manipulation via le sexe soit l'apanage du sexe faible.

En bref, une femme se comportant en salope ne doit pas être qualifiée ainsi, non pas parce qu'elle ne l'est pas, mais parce que c'est "sexiste" de le dire.

Oui quand ça ne correspond plus à ton idée c'est du relativisme, c'est pratique... Sauf que c'est bien le cas, tu ne prends le pouvoir qu'à ceux qui le possède. C'est pas une figure de style ou une allégorie, c'est un fait.

En outre "salope" n'est pas disqualifiée et sa définition s'élargie aussi bien aux femmes qui couchent qu'aux femmes qui ne couchent pas... et même aux gays ultra libertin. Je ne vois où il est interdit d'être un gros con et de traiter une femme de salope? Pas plus qu'une femme peut aussi donner dans la vulgarité et traiter un homme de connard. La différence réside uniquement dans le fait que les hommes possèdent le pouvoir et que certaines femmes aient envie d'y accéder.

"Salope" n'est pas sexiste... il sera aussi utilisée par d'autres femmes qui verront l'une d'elle grimper les échelons de l'entreprise via la promotion canapé. Est ce que seulement ça existe encore? J'en sais rien... il faudrait demander aux gens qui sont dans le monde de l'entreprise pour savoir si "Salope" signifie encore quelque chose, ou si l'insulte est définitivement obsolète.

Enfin "Salope" est une accusation et utiliser cette insulte implique OBLIGATOIREMENT avoir des preuves de ce qu'on avance pour traiter la femme en question. Et encore il faudrait que ça serve à quelque chose...

Du coup pourquoi est ce que toi tu souhaites pouvoir traiter les femmes de salopes? Tu bosses dans une grande entreprise et ta collègue a eut une promotion qui te revenait de droit parce qu'elle a couché pour l'avoir? Si non, tu n'as pas à l'utiliser. Y a bien d'autres insultes dans la vie, pour enrichir son vocabulaire...

Oui. Mais est-il possible que certaines insultes acquièrent quelques fois une connotation politique, parce que leur utilisation contribue à perpétualiser le manque de reconnaissance d'un groupe dominé et l'hégémonie d'un groupe dominant ? Si l'insulte de "cervelle d'oiseau" s'était par exemple installée dans les moeurs des américains blancs pendant la période de l'esclavage pour désigner les noirs de manière plus ou moins systématique, n'aurait-il pas été juste que les noirs exigent ensuite que cette insulte soit déclarée politiquement incorrecte même si certains noirs peuvent effectivement se conduire comme s'ils avaient une cervelle d'oiseau ?

J'avais pensé à ce parallèle avec le mot Nègre, mais je me suis ravisé parce que ce ne sont pas les noirs eux-mêmes qui l'ont rendu tabous, mais bien des blancs qui encore une fois se sont chargés à la place des premiers concernés de la diabolisation d'un mot en guise de réparation. En résumé, ce mot ne perpétuait un sentiment racialiste qu'aux yeux des bourgeois blancs, entre eux.

Mais pour en revenir au sujet, par quoi remplacer une insulte, qui a déjà pour vocation de ne pas faire plaisir dès le départ ? Par un mot doux ? L'objectif même d'une insulte étant de blesser la personne à qui on l'adresse, (que le propos soit vrai ou faux par ailleurs) , il me paraît assez surréaliste d'en interdire certaines sous prétexte ... qu'elles pourraient blesser : c'est leur but !

Toute la question est alors de savoir si le terme de "salope" a été utilisé et est utilisé par les hommes de façon telle qu'il en a pris une connotation politique.

Une autre question qui peut se poser, c'est de savoir si tu te sens effectivement brimé dans ton droit fondamental de pouvoir traiter certaines femmes de salopes. Ou alors as-tu acquis une mauvaise conscience a cet égard ?

L'usage des insultes, quelque soient leur nature, ne me pose à moi aucun problème. La véracité de ce qu'elles avancent est ensuite un autre sujet propre à discussion selon chaque cas où l'insulte est proférée et qui ne regarde que celui qui insulte et celui qui est insulté.

Je considère en effet qu' interdire pour des raisons politique l'usage d'un mot de la langue française, et spécialement dans le cas d'une insulte, est aussi idiot qu'inutile.

Oui quand ça ne correspond plus à ton idée c'est du relativisme, c'est pratique... Sauf que c'est bien le cas, tu ne prends le pouvoir qu'à ceux qui le possède. C'est pas une figure de style ou une allégorie, c'est un fait.

L'insulte est toujours subjective au regard de celui qui insulte.

Si je te traite de connard, c'est subjectif car d'autres penseront que tu es un génie. Une insulte n'est pas un fait avéré, c'est une insulte. Si un type te traite de "fils de pute" dans la rue, tu ne vas pas aller lui demander s'il pense vraiment que ta mère fait le trottoir, et pourquoi croit-il que c'est un métier dégradant, "par rapport à quoi" le croit-il, etc.

Comprends-tu pourquoi c'est du relativisme sans queue ni tête ?

Enfin "Salope" est une accusation et utiliser cette insulte implique OBLIGATOIREMENT avoir des preuves de ce qu'on avance pour traiter la femme en question. Et encore il faudrait que ça serve à quelque chose...

Ah bon car désormais une insulte doit absolument relever d'une réalité démontrable ? O_o

" - Sale nègre !

- Prouve le ?

- Eh bien tu es noir et tu n'as pas pris de douche depuis 3 mois.

- Oh ! Tu as raison. Tu es donc dans ton bon droit. "

Du coup pourquoi est ce que toi tu souhaites pouvoir traiter les femmes de salopes? Tu bosses dans une grande entreprise et ta collègue a eut une promotion qui te revenait de droit parce qu'elle a couché pour l'avoir? Si non, tu n'as pas à l'utiliser. Y a bien d'autres insultes dans la vie, pour enrichir son vocabulaire...

Tu poses la question à l'envers :à quoi sert de rendre taboues certaines insultes et pas d'autres puisque leur vocation est de blesser ? Depuis quand fait-on par ailleurs appel à la raison lorsqu'on insulte quelqu'un ? L'insulte est proférée sous le coup d'une émotion vive, et se moque de révéler ou non une vérité, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle, en droit, on dissocie l'injure publique de la diffamation.

Je connais ton point de vu mais je ne vois toujours pas qui t'empêche de traiter des femmes de salope dans ton intimité... Parce qu'on est bien d'accord que l'injure n'est pas traité de la même manière qu'elle soit prononcé dans un cadre privé ou dans un cadre public.

Faisons un rapide point sur la légalité de la chose....

Injure publique

L'injure publique est punissable par une amende pouvant aller jusqu'à 12 000 €.

Si c'est une injure raciste, sexiste, homophobe ou contre les handicapés, la peine encourue est de 6 mois de prison et de 22 500 € d'amende, qu'elle ait été prononcée à l'égard d'une personne désignée ou d'un groupe de personnes (telle ou telle communauté, nationalité...).

Injure non publique

L'injure non publique est punie par une contravention de 38 € maximum.

Si c'est une injure raciste, sexiste, homophobe ou contre les handicapés, la contravention est de 750 €maximum, qu'elle ait été prononcée à l'égard d'une personne désignée ou d'un groupe de personnes.

En sommes, si tu me traites de connard, tu payes 38 € mais si tu traites ma nana de salope (de façon non avéré au cas où elle aurait décroché ou non une promotion dans sa boite) tu payes 750 euros parce que c'est un peu sexiste quand même. De la même manière que tu payerais 750 euros en traitant mon mec de sale pédale...

Et si c'est sur ce forum, et si on estime que ce forum est un espace public, mon insulte de connard va quand même te couter 12000€ (maximum bien sur, je n'en demanderais pas autant pour ça).

Notons que l'insulte sexiste, est du même acabit que le racisme ou l'homophobie...

L'injure (blesser de manière consciente) est effectivement différent de... ? autre chose... qui n'est pas non plus une insulte parce que l'insulte peut être aussi une injure... il faudrait inventer un mot pour signifier "insulte non consciente". Et donc si c'est non conscient, si ce n'est pas réfléchi, alors il n'y a pas matière à discuter ou à débattre. Une fille te déplait et sous le coup d'une émotion tu la traites de salope. ça s'arrête là, pas la peine d'ouvrir un sujet pour ça...

On peut discuter de l'injure et de l'utilisation consciente, politique ou sociale... mais si ce n'est pas conscient il n'y a pas de manipulation possible.

Bah l'injure est dans tous les cas une attitude qu'il vaut mieux canaliser consciemment

Ce n'est jamais agréable d'en recevoir

Après le contexte peut en faire un jeu complice comme une agression sévère et si l'injurié a du temps à perdre pour un dépôt de plainte, qu'il le fasse

La justice est dans tous les cas une vaste fumisterie où 100% des gagnants ont tenté leur chance

un coup tu gagnes un coup tu perds

le grand Zidane a résolu le problème

Je connais ton point de vu mais je ne vois toujours pas qui t'empêche de traiter des femmes de salope dans ton intimité... Parce qu'on est bien d'accord que l'injure n'est pas traité de la même manière qu'elle soit prononcé dans un cadre privé ou dans un cadre public.

Mais le sujet n'est pas mon intimité.

Mais le sujet n'est pas mon intimité.

Un peu quand même si... Tu regrette une manipulation politique qui t'empecherait de traiter des femmes de salopes au moment où ça sortirait tout seul... Désolé mais pour moi c'est un sujet d'introspection. Si encore tu voulais déplorer l'interdiction des injures racistes, homophobes et sexistes pour les réhabiliter, on pourrait en discuter.

Un peu quand même si... Tu regrette une manipulation politique qui t'empecherait de traiter des femmes de salopes au moment où ça sortirait tout seul... Désolé mais pour moi c'est un sujet d'introspection. Si encore tu voulais déplorer l'interdiction des injures racistes, homophobes et sexistes pour les réhabiliter, on pourrait en discuter.

Il faut vraiment que tu arrêtes de venir en philo, penser c'est pas fait pour toi.

Une personne bienveillante aurait pris le temps d'expliquer si j'ai vraiment raté quelque chose... Pour l'heure effectivement je ne comprends pas ton sujet. Voici les éléments que j'ai retenu de ta part:

- on ne traite plus les femmes de salope (ben non, je l'emploie moi même de temps en temps sous la colère ou pour le fun au second degrés)

- c'est une volonté politique de nous empêcher de traiter les femmes de salope (ben non toujours pas).

- la définition de salope est notamment une femme qui couche pour réussir... mais on ne l'emploie pas pour définir ces femmes parce que c'est une insulte non consciente et non une injure. (Du coup quel est le rapport avec la définition puisque tu dis toi même qu'il n'y a pas de rapport entre l'insulte et les faits établis?)

Désolé d'être factuel au rayon philo mais si on veut tirer un peu vers la sagesse on a aussi besoin d'une base commune.

Ceci :

Tu regrette une manipulation politique qui t'empecherait de traiter des femmes de salopes au moment où ça sortirait tout seul

n'est pas factuel, c'est de la voyance, au mieux du procès d'intention.

Quant au reste, je viens égoïstement ici pour m'enrichir de la pensée des autres, non pour faire de la pédagogie à ceux qui en sont dépourvus. Mais je suis sûr que tu peux te passer d'échanger avec moi, pas vrai ?

ça c'était factuel:

- on ne traite plus les femmes de salope (ben non, je l'emploie moi même de temps en temps sous la colère ou pour le fun au second degrés)

- c'est une volonté politique de nous empêcher de traiter les femmes de salope (ben non toujours pas).

- la définition de salope est notamment une femme qui couche pour réussir... mais on ne l'emploie pas pour définir ces femmes parce que c'est une insulte non consciente et non une injure. (Du coup quel est le rapport avec la définition puisque tu dis toi même qu'il n'y a pas de rapport entre l'insulte et les faits établis?)

Après si tu ne souhaites pas répondre parce que l'issus du sujet ne correspond pas à ce que tu aurais aimé qu'il soit, fais comme à chaque fois: attaque moi pour avoir l'impression que cette pirouette te donne raison.

Je ne souhaite pas te répondre parce que j'ai acquis la certitude que tu ne disposes pas des facultés mentales nécessaires à la tenue d'un débat philosophique (d'un débat tout court d'ailleurs) et que j'ai observé à de nombreuses reprises que débattre avec toi ne servait à rien sinon à alimenter une machine à balayer dans le vide.

Cela dit, je n'ai aucun soucis à ce que tu crois que je fuis ton intelligence si ça peut t'aider à mieux le vivre. On a les mécanismes de défenses que l'on peut.

C'est effectivement le cas, je suis persuadé que tu fuis