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Quel est le dernier film que vous venez de voir

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Invité Tarid

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Totolasticot Membre 826 messages
Forumeur accro‚
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"Bombon el perro". Road movie argentin à oublier.

Un coutelier licencié de station-service récupère Bombon, magnifique dogue argentin de concours. Celui-ci refuse de faire des petits avec une chienne de même race, puis fugue, pour finalement s'accoupler avec une bâtarde. Un film tout en symboles sur la liberté et l'ouverture à la différence...

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Totolasticot Membre 826 messages
Forumeur accro‚
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"Pride". 1984 au Pays de Galles, des activistes homosexuel(le)s se proposent d'aider des familles de mineurs qui font la grève.

Présenté comme dans la lignée de "The full monthy" ou "Les virtuoses", ce film part plutôt d'une bonne idée, faire rire et réfléchir sur fond de réconciliation entre deux communautés persécutées que beaucoup de choses opposent, mais l'idée est mal exploitée à mon goût.

Une déception malgré des critiques presse très bonnes.

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 976 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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(Re)vu Nikita. 

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Anne Perillaud, toujours aussi excellente que dans mes souvenirs. Jean Réno is Jean Réno... quant à Luc Besson, je ne comprends pas comment il a pu faire des films aussi bons que Léon, Nikita, Le grand bleu, et sortir des daubes comme Valérian et la cité des 1000 planètes ou encore Taxi. 

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Invité Spontzy
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Invité Spontzy
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il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

quant à Luc Besson, je ne comprends pas comment il a pu faire des films aussi bons que Léon, Nikita, Le grand bleu, et sortir des daubes comme Valérian et la cité des 1000 planètes ou encore Taxi.  

Je suis d'accord. Sauf que même dans ses bons films, j'ai toujours ressenti qu'il était à la limite de flinguer son film à plusieurs endroits (sauf peut-être Nikita dans lequel je ne me souviens pas de mauvais point).

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 976 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 19 heures, Spontzy a dit :

Je suis d'accord. Sauf que même dans ses bons films, j'ai toujours ressenti qu'il était à la limite de flinguer son film à plusieurs endroits (sauf peut-être Nikita dans lequel je ne me souviens pas de mauvais point).

Ah oui ? Dans quels bons films, à quels endroits ? 

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Invité Spontzy
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Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
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Comme bons films, je pense à Leon ou Subway.

Dire de mémoire quel moment m'a piqué les yeux, je ne saurais plus. Mais c'est un ressenti global, dans le grand bleu également, où des scènes à la limite du grotesque ne me semblent pas à leur place. Prochaine fois que je regarde un de ses films, je ferai l'exercice de noter le(s) moment(s) qui m'a déplu.

Il y a des films (beaucoup même) que je trouve parfaitement réussis, mais jamais aucun de Besson ne m'a donné cette impression. Les goûts et les couleurs...

Bye.

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The Lunchbox que je regarde depuis tout a l'heure en contemplant de temps a autre ici et en me marrant de ce que j'y lis :) 

 

superbe film je l'ai déja vu 3 ou 4 fois très heureux qu'il repasse ce soir l'histoire est en inde

 

 

The Lunchbox (titre original : द लंच बॉक्स)1 est un film dramatique indien, écrit et réalisé par Ritesh Batra, sorti en 2013.

Il raconte l'histoire d'une jeune femme et d'un homme vieillissant qu'une erreur de livraison d'un coffret-repas met en contact. The Lunchbox est sélectionné au Festival de Cannes 2013 dans le cadre de la Semaine de la critiqueet concourt pour la Caméra d'or. Il est également présenté au Festival international du film de Toronto 2013.

 

Chaque jour à Bombay, près de 200 000 gamelles (dabba) préparées à la maison sont livrées par les dabbawallahs sur leur lieu de travail aux employés de bureau. Ila Singh, une jeune femme au foyer de la classe moyenne hindoue, tente de reconquérir son mari qui la délaisse en lui confectionnant des repas merveilleux. Le premier repas est livré par erreur à Saajan Fernandes, un comptable solitaire, un chrétien, ennuyé par l'incompétence de Shaikh, un musulman, qui doit lui succéder après son départ à la retraite. Bien qu'elle ait constaté l'erreur, Ila continue de confectionner des repas pour Saajan, avec qui elle commence à échanger des messages. Le film suit l'évolution des personnages dans les méandres de leur relation.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Lunchbox

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Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
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Le 27/06/2018 à 20:50, Léna-Postrof a dit :

(Re)vu Nikita. 

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Anne Perillaud, toujours aussi excellente que dans mes souvenirs. Jean Réno is Jean Réno... quant à Luc Besson, je ne comprends pas comment il a pu faire des films aussi bons que Léon, Nikita, Le grand bleu, et sortir des daubes comme Valérian et la cité des 1000 planètes ou encore Taxi. 

J'ai jamais accroché ni à Nikita ni Léon, dans l'effet facile, la trame prévisible, la lourdeur, le Pathos, même si il y a une trés belle esthétique (photographie etc) et que le casting est presque toujours impeccable. Les qualités de ces films, ils me semble, valent plus parce que à l'époque ça dépoussiérait le film français en lui apportant de manière intelligente on va dire le coté américain.

Le Grand bleu j'ai jamais pu le voir sans m'endormir.

Celui qui me laisse les moins mauvais souvenir, c'est probablement le 5 eme élément parce qu'il reste léger malgré la débauche de moyens.

Je crois que le plus gros probléme de Luc Besson, c'est qu'il n'a pas grand chose à dire au final.

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Image associéeRésultat de recherche d'images pour "vacances cary grant"

Johnny Case, beau, insouciant et spirituel, n'a aucun mal a séduire la charmante Julia, rencontrée sur les pistes de ski de Lake Placid. Mais Johnny est loin d'imaginer que sa future épouse est la fille d'un richissime banquier qui n'approuve pas le projet de mariage de sa fille. Il y consent a condition que John se consacre a l'argent et rien que l'argent. Linda, la soeur de Julia, comprend son futur beau-frère lorsqu'il disparaît le jour de ses fiançailles...

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 976 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Le 06/07/2018 à 20:10, Constantinople a dit :

J'ai jamais accroché ni à Nikita ni Léon, dans l'effet facile, la trame prévisible, la lourdeur, le Pathos, même si il y a une trés belle esthétique (photographie etc) et que le casting est presque toujours impeccable. Les qualités de ces films, ils me semble, valent plus parce que à l'époque ça dépoussiérait le film français en lui apportant de manière intelligente on va dire le coté américain.

Le Grand bleu j'ai jamais pu le voir sans m'endormir.

Celui qui me laisse les moins mauvais souvenir, c'est probablement le 5 eme élément parce qu'il reste léger malgré la débauche de moyens.

Je crois que le plus gros probléme de Luc Besson, c'est qu'il n'a pas grand chose à dire au final.

Parce que ce sont des films qui ne donnent nullement part à l'interprétation (un air de déjà vu ?), toutes les cartes sont distribuées, et les castings plutôt assez bien, oui. Gary Oldman est toujours très juste -ou particulièrement déjanté dans le rôle du méchant, chez Besson (Léon, le 5ème élément), ou ailleurs (Dracula).

Ce qui sauve aussi le 5ème élément, c'est l'originalité des personnages, a contrario de Valérian où ils demeurent fades comme du pain sans sel, et même avec le concours de Rihanna. Besson semble miser davantage sur le caractère atypique des personnages, leur histoire que sur l'histoire, et les effets spéciaux, ce qui peut frustrer certains spectateurs. 

N.B : J'ai vu récemment Mulholland drive, c'est...très étrange mais intéressant. Du Lynch. Confus par moment, très alambiqué. Pour qui aime interpréter, c'est sans doute ce qui se fait de mieux en matière de cinéma (toujours pas compris ce que venaient faire les vieux à la fin). C'est marrant parce que l'on y retrouve quelques traceurs ou les mêmes codes que dans Twin Peaks (boucles et distorsions temporelles, décors étranges et feutrés, figure angélique vs sulfureuse mais néanmoins "fusionnelles" ou "remplaçables"). Ça laisse un arrière-goût bizarre bizarre.

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Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 13 heures, Léna-Postrof a dit :

Parce que ce sont des films qui ne donnent nullement part à l'interprétation (un air de déjà vu ?), toutes les cartes sont distribuées, et les castings plutôt assez bien, oui. Gary Oldman est toujours très juste -ou particulièrement déjanté dans le rôle du méchant, chez Besson (Léon, le 5ème élément), ou ailleurs (Dracula).

Ce qui sauve aussi le 5ème élément, c'est l'originalité des personnages, a contrario de Valérian où ils demeurent fades comme du pain sans sel, et même avec le concours de Rihanna. Besson semble miser davantage sur le caractère atypique des personnages, leur histoire que sur l'histoire, et les effets spéciaux, ce qui peut frustrer certains spectateurs. 

N.B : J'ai vu récemment Mulholland drive, c'est...très étrange mais intéressant. Du Lynch. Confus par moment, très alambiqué. Pour qui aime interpréter, c'est sans doute ce qui se fait de mieux en matière de cinéma (toujours pas compris ce que venaient faire les vieux à la fin). C'est marrant parce que l'on y retrouve quelques traceurs ou les mêmes codes que dans Twin Peaks (boucles et distorsions temporelles, décors étranges et feutrés, figure angélique vs sulfureuse mais néanmoins "fusionnelles" ou "remplaçables"). Ça laisse un arrière-goût bizarre bizarre.

Ouais...Je trouve que la grande qualité de Besson est le choix des acteurs, et de leur créer un personnage "freak" sur mesure, il a vraiment un lien instinctif avec les acteurs qui font qu'ils sortent chaque fois quelque chose d'unique.  On se rappelle forcément de Gary oldman, Nathalie portman et Jean réno, de Bruce Willis, chris tucker et Mila jokovitch, d'ailleurs Jeanne d'Arc qui était particulièrement mauvais, je me souviens malgré des acteurs et certaines scènes bien jouées. Alors que paradoxalement, c'est aussi la faiblesse, il fait la part tellement belle aux acteurs qu'on ne croit plus aux personnages, et ses intrigues, dialogues, sous textes, sont totalement plats comme si ils n'étaient là que pour illustrer le show des acteurs. Besson semble miser davantage sur le caractère atypique des personnages, leur histoire que sur l'histoire, et les effets spéciaux, ce qui peut frustrer certains spectateurs. c'est tout à fait ça. Pour ça que j'ai toujours du mal à évaluer la valeur exacte de la filmographie Besson.

Ce qui sauve le 5 eme element c'est effectivement le coté décalé des personnages, puis simplement le fait de garder une légèreté qui donne comme un espèce d'encart énorme second degré à chaque scéne. Je me souviens encore de Bruce Willis en train de manger chinois dans une scéne où il est plus John Mac Clane que n'importe quel opus de la série die hard ;

NB c'est cool que vous ayez finalement pu y jeter un coup d'oeil sans vous endormir. Twin Peaks comme Mullholand drive sont  tous deux empreints des mêmes "traceurs" en effet, mais en fait cela raconte deux histoires somme toute simples, deux drames en réalite : dans l'un une fille a été détruite moralement et psychiquement par un père qui abusait d'elle et fini par l'assassiner, dans l'autre, une femme a été tellement détruite par Hollywood qu'elle fini par tuer son ex amante par rancœur et frustration, et se suicider en ne pouvant plus se supporter (en sous texte aussi une critique de ce monde). Ce qui est beau dans la maniére de lynch de les raconter, c'est qu'il donne des images des impacts sentimentaux et psychologiques de ces histoires, plutot qu'une histoire rationnellement racontée du point a au point b : le fait de nous faire entrer dans le rêve de la meurtriere qui se suicidera peu après son réveil pour toucher du doigt sa noirceur en creux, c'est génial je trouve.

Les vieux qui la pourchasse je crois que c'est tout simplement son remord, des images de ses anciens repéres moraux, probablement ses parents ou grands parents simples, vivant dans le bled où elle était avant de partir en Californie, qui la hantent. Ça prends plus aux tripes qu'un simple plan ou elle pleure avant de se tirer une balle avec une voix off disant "j'ai beaucoup trop de remords".

La scéne du début dans le bar est assez démente aussi dans le genre...Là ou je trouve qu'il est plus raté, c'est pour toutes les touches humoristiques qui sont mal emmenées au contraire de twin peaks, ça sonne un peu creux, genre le cow boy, etc.

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Description de l'image The Philadelphia Story Lobby Card.jpg.

Fille de la haute société de Philadelphie et de fort tempérament, Tracy Lord a gardé peu de temps son premier mari, le play boy C.K. Dexter Haven. Deux ans plus tard, elle est sur le point de se remarier avec un homme d'affaires en vue, ce qui intéresse au plus haut point le magazine Spy, à qui Dexter promet les entrées nécessaires à ses deux reporters, le journaliste Macaulay Connor et la photographe Liz Imbrie.

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 976 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Le 08/07/2018 à 00:50, Constantinople a dit :

Ouais...Je trouve que la grande qualité de Besson est le choix des acteurs, et de leur créer un personnage "freak" sur mesure, il a vraiment un lien instinctif avec les acteurs qui font qu'ils sortent chaque fois quelque chose d'unique.  On se rappelle forcément de Gary oldman, Nathalie portman et Jean réno, de Bruce Willis, chris tucker et Mila jokovitch, d'ailleurs Jeanne d'Arc qui était particulièrement mauvais, je me souviens malgré des acteurs et certaines scènes bien jouées. Alors que paradoxalement, c'est aussi la faiblesse, il fait la part tellement belle aux acteurs qu'on ne croit plus aux personnages, et ses intrigues, dialogues, sous textes, sont totalement plats comme si ils n'étaient là que pour illustrer le show des acteurs. Besson semble miser davantage sur le caractère atypique des personnages, leur histoire que sur l'histoire, et les effets spéciaux, ce qui peut frustrer certains spectateurs. c'est tout à fait ça. Pour ça que j'ai toujours du mal à évaluer la valeur exacte de la filmographie Besson.

Ce qui sauve le 5 eme element c'est effectivement le coté décalé des personnages, puis simplement le fait de garder une légèreté qui donne comme un espèce d'encart énorme second degré à chaque scéne. Je me souviens encore de Bruce Willis en train de manger chinois dans une scéne où il est plus John Mac Clane que n'importe quel opus de la série die hard ;

NB c'est cool que vous ayez finalement pu y jeter un coup d'oeil sans vous endormir. Twin Peaks comme Mullholand drive sont  tous deux empreints des mêmes "traceurs" en effet, mais en fait cela raconte deux histoires somme toute simples, deux drames en réalite : dans l'un une fille a été détruite moralement et psychiquement par un père qui abusait d'elle et fini par l'assassiner, dans l'autre, une femme a été tellement détruite par Hollywood qu'elle fini par tuer son ex amante par rancœur et frustration, et se suicider en ne pouvant plus se supporter (en sous texte aussi une critique de ce monde). Ce qui est beau dans la maniére de lynch de les raconter, c'est qu'il donne des images des impacts sentimentaux et psychologiques de ces histoires, plutot qu'une histoire rationnellement racontée du point a au point b : le fait de nous faire entrer dans le rêve de la meurtriere qui se suicidera peu après son réveil pour toucher du doigt sa noirceur en creux, c'est génial je trouve.

Les vieux qui la pourchasse je crois que c'est tout simplement son remord, des images de ses anciens repéres moraux, probablement ses parents ou grands parents simples, vivant dans le bled où elle était avant de partir en Californie, qui la hantent. Ça prends plus aux tripes qu'un simple plan ou elle pleure avant de se tirer une balle avec une voix off disant "j'ai beaucoup trop de remords".

La scéne du début dans le bar est assez démente aussi dans le genre...Là ou je trouve qu'il est plus raté, c'est pour toutes les touches humoristiques qui sont mal emmenées au contraire de twin peaks, ça sonne un peu creux, genre le cow boy, etc.

Bruce Willis... il faut aimer. Sa filmographie est toute en testostérone. Il a aussi joué le rôle d’un docteur dans un thriller psycho-surnaturel et un beau-père barré dans une comédie : pas convaincant. 

Milla Jovovich a également tenu des rôles plutôt très « dynamiques » (horror survival, SF). Dans un cas, comme dans un autre, je ne suis pas époustouflée, ce ne sont pas des acteurs qui me parlent vraiment, mais c’est une question de goût aussi. Je préfère les seconds rôles dans le 5ème élément (toujours une question de goût), qui apportent un peu de fraîcheur au film... et Besson quand il ne fait pas de science-fiction, finalement (idem). Les films pour enfants, n’en parlons même pas. 

Et non, je ne m’endors pas à chaque fois que je regarde un film, il faut simplement trois facteurs pour cela : que je sois un peu fatiguée, bien installée, et que le film soit particulièrement mauvais...

Révélation

Le thème de la prostitution revient également dans la série et dans le film. Sauf que dans le film c’est bien plus suggéré, juste allusif, on laisse entendre que « Rita » se prostituerait.  

Merci. Ce serait aussi simple que cela pour les vieux... et oui j’avais compris que c’était une scène de terreur, sinon, et qu’il s’agissait d’un univers parallèle ou d’un rêve, assez rapidement. Le personnage de « Betty » était bien trop lisse et trop mièvre pour être vrai.

Le passage musical ne m’a pas vraiment touchée. C’est un « tournant » du film, toutefois, tout s’enchaîne très rapidement ensuite ou du moins -presque- toute la lumière est faite sur l’histoire à partir de ce moment-là. 

N.B Pensez à mettre des balises quand vous « spoilez » trop.

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Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 4 heures, Léna-Postrof a dit :

Bruce Willis... il faut aimer. Sa filmographie est toute en testostérone. Il a aussi joué le rôle d’un docteur dans un thriller psycho-surnaturel et un beau-père barré dans une comédie : pas convaincant. 

Milla Jovovich a également tenu des rôles plutôt très « dynamiques » (horror survival, SF). Dans un cas, comme dans un autre, je ne suis pas époustouflée, ce ne sont pas des acteurs qui me parlent vraiment, mais c’est une question de goût aussi. Je préfère les seconds rôles dans le 5ème élément (toujours une question de goût), qui apportent un peu de fraîcheur au film... et Besson quand il ne fait pas de science-fiction, finalement (idem). Les films pour enfants, n’en parlons même pas. 

Et non, je ne m’endors pas à chaque fois que je regarde un film, il faut simplement trois facteurs pour cela : que je sois un peu fatiguée, bien installée, et que le film soit particulièrement mauvais...

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Le thème de la prostitution revient également dans la série et dans le film. Sauf que dans le film c’est bien plus suggéré, juste allusif, on laisse entendre que « Rita » se prostituerait.  

Merci. Ce serait aussi simple que cela pour les vieux... et oui j’avais compris que c’était une scène de terreur, sinon, et qu’il s’agissait d’un univers parallèle ou d’un rêve, assez rapidement. Le personnage de « Betty » était bien trop lisse et trop mièvre pour être vrai.

Le passage musical ne m’a pas vraiment touchée. C’est un « tournant » du film, toutefois, tout s’enchaîne très rapidement ensuite ou du moins -presque- toute la lumière est faite sur l’histoire à partir de ce moment-là. 

N.B Pensez à mettre des balises quand vous « spoilez » trop.

Je suis d'accord sur Willis et Jovovitch en fait, mais je trouve justement que dans ce film, Besson a créé des rôles sur mesures pour tirer le meilleur de ces acteurs. Ce coté surexcité pour elle et le coté désabusé de la vie et balourd qui a du coeur pour l'autre. Je crois que si il y a une patte "besson" c'est celle ci, son rapport aux acteur, ses castings. Sinon, je vois pas de fond, de propos, de scénar ou dialogues.

J'aime bien les seconds roles aussi, le méchant évidemment, le présentateur télé, les starlettes, la diva...

Révélation

Pour les vieux, en même temps, c'est aussi surement le signe qu'elle déraille et que ses cauchemars entrent dans la réalité : elle devient folle à force de haine de soi, de rancœur, de regrets, etc. Il a du talent pour distiller une scéne d'angoisse, comme celle de la cafétéria au tout début.

Dans ce rêve elle se voit globalement comme une de ces actrices des années 50, avec leur candeur, et globalement le rêve tourne autour de ça : Pour ça que ça fait "toc", volontairement je pense.

Oui pour le prostitution je pense, disons que ça évoque le coté "utilisation" des femmes que ce soit dans un rapport marchant direct, ou façon "wenstein". Je pense que ça parle beaucoup des travers Hollywood en général, et notamment vis à vis des femmes. Ça parait banal aujourd'hui mais c'était quand même début 2000, plus de dix ans avant le scandale me too.

J'aime beaucoup cette fin. Ce décalage brutal entre le rêve et la réalité et la façon dont ça se termine, avec une dernière image d'elle version rêve souriant sous les lumières flashy puis, une sorte d'image de son "vrai" elle, une vieille femme fatiguée, triste, à bout et desséchée murmurant "silencio". C'est ce que j'aime avec Lynch : Un mec comme Tarentino ce sert du coté "délirant" sans considération pour les personnages, alors qu'il y a toujours beaucoup d'humanité dans la manière de filmer les persos "lynchienne", au delà de tout le coté bizarre.

 

 

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Membre, 31ans Posté(e)
Shimoani Membre 573 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)
Le 08/07/2018 à 17:16, cry baby a dit :

pas aussi punchy que le premier mais sympa et marrant

J'ai justement regardé le premier volet la semaine passée parce que la b.a. du 2 me semblait sympa !
C'est un peu un film de teen, très léger, histoire habituelle mais ça se laisse regarder quoi :)

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 976 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Le 10/07/2018 à 19:44, Constantinople a dit :

Je suis d'accord sur Willis et Jovovitch en fait, mais je trouve justement que dans ce film, Besson a créé des rôles sur mesures pour tirer le meilleur de ces acteurs. Ce coté surexcité pour elle et le coté désabusé de la vie et balourd qui a du coeur pour l'autre. Je crois que si il y a une patte "besson" c'est celle ci, son rapport aux acteur, ses castings. Sinon, je vois pas de fond, de propos, de scénar ou dialogues.

J'aime bien les seconds roles aussi, le méchant évidemment, le présentateur télé, les starlettes, la diva...

  Révéler le contenu masqué

 

Il est fort possible que Luc Besson ait créé un rôle sur mesure pour Milla Jovovitch, qui était sa femme -il me semble- à l'époque, à l'instar de Guillaume Canet pour Marion Cotillard dans "Les petits mouchoirs" et on l'a vue dans beaucoup de films ensuite (Jeanne d'Arc, Ultraviolet...). Néanmoins, pour l'un tout comme pour l'autre, nous les attendons exactement -ou presque- dans ces rôles, et c'est d'autant plus marqué pour Bruce Willis, c'est tellement trop facile. Bon il y a quelques répliques sympas. Certains acteurs touchent un peu à tous les genres (Brad Pitt, Leonardo di Caprio), c'est sans doute pour cela que Bruce Willis -à mon goût- n'est pas un acteur très intéressant : manque de polyvalence. "Syndrome Schwarzy". J'aurais aimé, par exemple, le voir convaincant dans une comédie romantique. 

Je préfère de loin les seconds rôles souvent chez Besson (à l'exception de Leon peut-être), et même dans Nikita (Jean Réno, Tcheky Karyo), même si encore une fois Anne Parillaud joue admirablement bien. 

Révélation

Ce qui est intéressant chez David Lynch, c'est de pouvoir démêler continuellement le vrai du faux, la réalité du rêve/de l'univers parallèle, et ce même après le film (ou la série). Il y a un côté "casse-tête", ce serait presque ludique si ce n'était si tragique. Il sait plutôt bien entraîner le public dans un monde, de dingues. 

Pour le reste, je n'ai pas exactement le même ressenti -c'est sans doute une question de sensibilité aussi- et à la réflexion, il y a quelque chose de très masculin dans sa façon de raconter cette "romance" entre femmes. Il y a un décalage entre le rêve où tout est tout en rose bonbon, trop sucré, et la réalité brute, cruelle, moche. C'est très contrasté, et ça manque de nuances, de reliefs également. À mon goût, il est passé à côté de quelque chose en ce qui concerne les sentiments humains justement. La bande son ajoute à l'ambiance déjà lourde et oppressante : on étouffe. En outre, quel est l'espèce d'intérêt d'avoir renouvelé la scène topless ? Pas vraiment utile... et fatigant. Ça n'apporte rien. Vous parliez de la scène lesbienne pauvre dans Black Swan, là franchement, je n'ai pas trouvé cela meilleur. La différence c'est que dans Black Swan ça arrive sans crier gare, là on s'en doute trop fortement. 

Évidemment, vous choisissez pour contre-exemple ce qui se fait de mieux en matière de bourrin (Tarantino), vous auriez aussi pu choisir Robert Rodriguez, ils sont très interchangeables. Sans aller vers Norah Ephron, Jean-Pierre Jeunet (et en plus il vient de chez nous, enfin, de chez vous) me semble plutôt doué pour retranscrire les sentiments humains, il sait rendre ses acteurs réellement touchants (j'aurais pu citer Peter Jackson également, ou James Cameron, il paraît que Titanic c'est ce qui se fait de mieux). 

 

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