Les grecs appelés à choisir leur avenir

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mais ,dans tous les cas de figure ,ils ne la rembourseront pas la dette

s'ils en paient les intérêts ce sera bien ...les cadeaux sur ces intérêts n'ont pas cessés de se succéder ....Ce n'est pas la mort du petit cheval ,2,6% de PIB pour payer les intérêts de cette dette contre 5% au Portugal ou 4,7% en Italie , et à peu près la même charge qu'en France (2,5% du PIB )

pourquoi ce qui serait supportable en France ne l'est plus en Grèce ...

on est en train de se faire balader en beauté par le grecs ,qui ne veulent pas faire l'effort de faire rentrer l'argent des impots et mettre fin à la corruption ...

Cette situation a contribué largement à l'endettement actuel du pays ,et y contribuera dans le futur ...

"La zone euro s’est montrée bonne fille avec la Grèce, contrairement à ce que veut faire croire Syriza. Ainsi, ce pays ne paye aucun intérêt sur les 141,8 milliards d’euros prêtés par le MES : en novembre 2012, la zone euro lui a accordé un moratoire de dix ans et a rallongé la durée des prêts jusqu’à 32 ans. En clair, c’est seulement à partir de 2023 qu’Athènes commencera à payer les intérêts aux taux auxquels le MES a emprunté, soit 1,5 % en moyenne, une somme à laquelle s’ajoutera les dix ans d’intérêts non payés entre 2013 et 2023. Klaus Regling, le patron du MES, estime le cadeau fait à Athènes à 8,6 milliards d’euros par an, soit 4,7% du PIB grec. Et ce n’est qu’en 2045 qu’elle devra rembourser le capital."

Depuis le début de la crise en Grèce, le salaire moyen dans le secteur privé a diminué de 20%, mais le niveau de vie a baissé dans toutes les catégories de la population en raison des mesures d'austérité drastiques.Dans le secteur privé grec, le salaire moyen est passé d'un peu plus de 1 000 euros nets par mois en 2009, avant la crise, à 817 euros en 2013, soit un recul de 20%.

Quatre salariés du privé sur dix touchent moins de 750 euros par mois et le salaire minimum réduit plusieurs fois est gelé jusqu'en 2016 à 580 euros par mois.

Avec un taux de chômage à 27% de la population active, le nombre de salariés à temps partiel a augmenté de 40% en deux ans.

Désormais, un quart des salariés n'occupent pas un emploi à plein temps.

Depuis 2010, le plan d'austérité imposé à la Grèce en contrepartie de l'aide européenne et du FMI a aussi réduit le niveau de vie des fonctionnaires, des commerçants et des retraités.

Il y a deux problèmes : la dette, et le fait de rester dans la zone euro. On peut négocier sur la dette, par contre je ne vois pas l'intérêt pour la Grèce de rester un jour de plus dans la zone euro, alors que de toute évidence cela ne profite en rien à son économie. Et de son côté l'Europe n'a pas vraiment de raison de garder la Grèce, sauf une raison psychologique : on craint que le départ de la Grèce ne donne le signal de la débâcle. Mais ça c'est le problème de l'Europe, pas celui de la Grèce.

Y a pas mal de suspens.

A mon avis, ils vont voter "oui" par crainte de la faillite.

La faillite, ils l'ont déjà! Un vote "oui" serait dicté par la frousse, mais ne servirait qu'à faire durer un peu plus une situation intenable.

mais ,dans tous les cas de figure ,ils ne la rembourseront pas la dette

personne ne payera sa "dette" même pas la France ni l'Allemagne ni personne , c'est pas le but , le but c'est de maintenir la dette et de payer les intérêt éternellement.

rien a branler de la dette , Grèce ou pas l'UE vas s'effondrer et tant mieux .

personne ne payera sa "dette" même pas la France ni l'Allemagne ni personne , c'est pas le but , le but c'est de maintenir la dette et de payer les intérêt éternellement.

rien a branler de la dette , Grèce ou pas l'UE vas s'effondrer et tant mieux .

De toute façon , on rembourse la dette, on efface les frontières. Après si c'est la chaos absolue c'est parce qu'on se sentira vite envahie.

Sa va tourner à la confrontation ce référendum comme d'habitude

De toute façon , on rembourse la dette, on efface les frontières. Après si c'est la chaos absolue c'est parce qu'on se sentira vite envahie.

Sa va tourner à la confrontation ce référendum comme d'habitude

l'argent a été créer par l'emprunt , si tu rembourse la totalité de l'emprunt l'argent disparaît , pas de dette pas de liquidité . amen .

la dette française , et au jour d'hui a plus de 97% de sont PIB , alors les français donneur de leçon au grecque , il aurais meilleur temps de se taire , on est d'accord ...

dernière nouvelle , la Grèce a signer sa mort ...

La faillite, ils l'ont déjà! Un vote "oui" serait dicté par la frousse, mais ne servirait qu'à faire durer un peu plus une situation intenable.

Je le pense aussi .

https://www.youtube.com/watch?v=27tbHlDKiko

Tu veux quoi comme solution , un système ?

il doit y avoir autorité , mais si tu veux un concept démocratie d'un point de vue national ou d'un pays (âge) ;

. y a un système simple, vous faites votre propre gouvernement + les personnes que vous nommerez (directeur de l'information, banque, laïcité.. ) la chambre haute et vous faites ( le gouvernement) vos lois

LA chambre basse, nommé par l'autorité. Et le but c'est de faire les grandes réformes

Et la chambre constitutionnel , une réunion composée pour tous les ""élus" qui servira, sous le couvert de la constitution ( les droits de l'Homme, par exemple), pour les grands débats

Vous pouvez vous même déposer une requêtepour la chambre basse et un référendum sera proposé pour invoquer... , autrement la chambre constitutionnel servira en cas de crise

Vous pouvez tous faire sauf avoir mon poste ^^ :p

À ceux qui pensent que les Grecs sont responsables de la situation qu'ils vivent, qu'ils récoltent ce qu'ils ont semés.

Qui est responsable de l'intégration de la Grèce, qui n'y était évidemment pas prête, à la zone euro ? Ce n'est pas Syriza.

Qui, alors que le gouvernement grec (et en l'occurrence ce n'était pas Syriza) truquait allègrement les comtes avec la complicité de la Banque américaine Goldman Sachs, a préféré pudiquement fermer les yeux ?

Qui en 2010, a lancé le plan de sauvetage de la Grèce (concocté par N. Sarkozy et A. Merkel) qui revenait, pour l'essentiel, à mobiliser les fonds publics pour sauver la mise des banques privées ?

Qui a imposé à la Grèce une politique si brutalement récessive que la dette, qui représentait 100% du PIB en 2008, a presque doublé en conséquence d'un recul de 25% de la production de richesse et de 24% des investissements, ce qui a provoqué plus de réduction de recettes que la politique d'austérité n'avait permis de faire des économies ? Ce n'est pas Syriza qui en est responsable. On l'a oublié, mais les responsables économiques du FMI ont reconnu, il y a trois ans, qu'ils s'étaient totalement trompés dans leurs calculs.

On dit, aujourd'hui, avec une infinie condescendance, que les Grecs n'ont pas fait les efforts qui s'imposaient. Mais, alors, pourquoi, à la veille des élections qui se sont soldées par la victoire de Syriza, la plupart des dirigeants européens ont-ils tenus à féliciter le gouvernement sortant pour l'importance des efforts qu'il avait consentis ?

Pourquoi l'ardeur que l'on met à exiger une réduction des retraites (les Grecs ont effectivement abusé des mises en préretraite) ne l'a-t-on pas dépensée pour imposer également une réduction des dépenses militaires (il est vrai que nous étions bénéficiaires des commandes) et une taxation des armateurs ainsi que de l'Église orthodoxe ?

Les Grecs avaient fini par accepter de faire payer les riches. Or, c'est la patronne du FMI Christine Lagarde, qui s'y est opposée : baisser les salaires, oui, mais ne pas augmenter la fiscalité sur les plus hauts bénéfices, a-t-elle précisé.

Aujourd'hui, on est au bord de la catastrophe et de l'expulsion de la Grèce de la zone euro.

Il est possible que la crainte d'une sortie de l'Euro aidant, le oui l'emporte. et qu'Alexis Tsipras soit contraint de démissionner pour laisser place à un gouvernent de coalition. Depuis le début, c'est en fait ce que les institutions créancières souhaitent. Mais qu'on y prenne garde : au-delà des invectives, ce que l'opinion risque de retenir, c'est qu'un peuple au sein de l'Union (de la zone euro au moins) n'a pas le droit de voter d'une façon qui s'écarte un tant soit peu de la norme instituée au sommet. Et, en l'occurrence, d'élaborer lui-même son mode de sortie de crise. Une sorte de " néodoctrine Brejnev " en somme.

Et alors, l'image de l'Europe, l'idée européenne, n'y résisteront pas.

Extrait de l'article : Qui assassine l'Europe? Marianne n°950.

Le FMI, Lagarde, Merckel, Hollande, Juncker ne sont que les larbins serviles, les putes, les marionnettes, voir les torche-culs du système bancaire.....

je souhaite, sans grand espoir, un NON catégorique des électeurs grecs....

Il faut croire, que les peuples n'ont pas le droit de donner leur avis sur les questions de souveraineté, se rappeler que les Irlandais ayant voté non en 2001 (traité de Nice), on les fit revoter en 2008 et en 2009 (traité de Lisbonne).

En France, en 2005 les français ont voté non au projet de traité constitutionnel européen, en 2008 c'est le Parlement qui ratifie le traité de Lisbonne.

Et depuis que le gouvernement grec a décidé d'organiser un référendum, pour que les Grecs donnent leur avis sur des questions les concernant, c'est le tollé général à Bruxelles et les dirigeants européens essaient de faire croire que l'enjeu de ce référendum est la sortie de la Grèce de l'euro au lieu de l'approbation ou pas des mesures réclamées par Bruxelles.

Bonjour la démocratie.

La soi-disant aide à la Grèce, c'est un hold-up. Pour la première fois dans l'Histoire, on assiste à une tentative pour transférer l'intégralité de la richesse d'un pays vers la sphère financière. Et ce avec la complicité bienveillante de l'Europe et du FMI. Alors je souhaite de tout cœur que les Grecs votent NON, NON, NON! Et après ils faudra qu'ils fassent drôlement gaffe, car leurs problèmes ne feront que commencer - mais au moins auront-ils peut-être une chance de s'en sortir. Et ils ne sont pas à l'abri d'un coup de force, Washington comme Bruxelles et Berlin goûtant fort peu l'évolution des événements.

C'est là qu'on voit qu'Hollande est quand même bien plus intelligent que Sarkozy, il a gardé ces derniers jours un silence prudent, alors que le Nabot s'est répandu en déclarations ignobles sur la Grèce.

T'as raison, méfions nous des US, des russes, des allemands, ils risquent de débarquer en masse dans le port du Pirée (avec la complicité du nouveau propriétaire, la Chine...) pour s'emparer des richesses grecques >>> des oliviers !!!

T'as raison, Hollande est plus intelligent que Sarkozy, puisqu'il ne dit rien, mais c'est certainement mieux ainsi, vu le nombre de promesses qu'Hollande a fait aux français (presque qu'autant que le premier ministre grec Aléxis Tsípras au peuple de ce pays...)!

Logique qu'entre gens de gauche on s'entre aide :smile2:

Bon, ceci dit les français attendent le retour des dizaines de milliards d'euros prêtés aux grecs, soit 615 euros par Français...

T'as raison, méfions nous des US, des russes, des allemands, ils risquent de débarquer en masse dans le port du Pirée (avec la complicité de leurs nouveaux propriétaires, les chinois..) pour s'emparer des richesses grecques >>> des oliviers !!!

T'as raison, Hollande est plus intelligent que Sarkozy, puisqu'il ne dit rien, mais c'est certainement mieux ainsi, vu le nombre de promesses qu'Hollande a fait aux français (presque qu'autant que le premier ministre grec Aléxis Tsípras au peuple de ce pays...)!

Logique qu'entre gens de gauche on s'entre aide :smile2:

Bon, ceci dit les français attendent le retour des dizaines de milliards d'euros prêtés aux grecs, soit 615 euros par Français...

Et on remercie qui pour cet argent que nous doit la Grèce ? Pas Hollande non, alors qui ? Langue au chat ?

Bon alors, je le dis : Sarkozy, Merkel.

Et les banques peuvent leur dire merci.

Bon, ceci dit les français attendent le retour des dizaines de milliards d'euros prêtés aux grecs, soit 615 euros par Français...

tu peu déjà déduire 615€ , j'en veut pas.

les rats quittent le navire :)

"Depuis l’arrivée au pouvoir d’Alexis Tsipras fin janvier, les armateurs sont confrontés à une exigence incontournable de leurs financiers : ne pas garder leur argent en Grèce. George Xiradakis en sait quelque chose : basé à Athènes, il fait lui-même du financement pour la marine marchande, à la tête de sa propre entreprise, XRTC Business Consultants. « L’ordre des banques est clair, tout l’argent doit être conservé à l’étranger, en dollars. »

Ce phénomène contribue à vider les caisses des banques grecques et remplit celles des grands établissements internationaux, en particulier à la City. « Londres est le deuxième centre pour les armateurs grecs, après le port du Pirée », rappelle M. Xiradakis.

Pas d’impôts payés en Grèce"

Si je dois donner 615 euros pour éviter un nouveau krach dont on ne mesure pas toutes les conséquences et bien cadeau.

Ils n'ont que faire de notre avis , il feront ce qu'ils veulent ...

Et on remercie qui pour cet argent que nous doit la Grèce ? Pas Hollande non, alors qui ? Langue au chat ?

Bon alors, je le dis : Sarkozy, Merkel.

Et les banques peuvent leur dire merci.

Les banques qui prêtent à l'Etat grec ont la garantie d'autres Etats, comme l'Allemagne, la France et autres pays européens...

Sinon aucune banque ne serait assez folle pour prêter à ce pays.

Autrement dit, si les grecs ne remboursent pas, ce sont ces pays qui se sont porté garants qui payeront, donc nous tous !

Ils n'ont que faire de notre avis , il feront ce qu'ils veulent ...

Sans moyen, il ne feront pas grand chose...