Les grecs appelés à choisir leur avenir

La moto, le sac à dos, pas de cravate, rien dans les mains, sourire à se pâmer, bon, on verra.

C'est peut-être le seul pays qui n'a plus de dettes de fonctionnement, ses recettes couvrent ses dépenses alors l'Allemagne et la France donneurs de leçons, bof !

Que la Grèce sorte de la zone euro, et vite! Le plus tôt sera le mieux. De toute façon ce pays n'a rien à attendre du tas d'idiots qui règnent à Bruxelles.

Ce qui panique les eurocrates, ce n'est pas que le Grèce sorte de la zone euro (ils se sont faits à l'idée) : c'est que la Grèce sorte de la zone euro, et s'en trouve mieux!

Pour ce qui est des pseudos-réformes que l'on exige d'Athènes, il faut d'abord préciser que "réforme" est le mot ultra-libéral qui signifie "régression". Et de toute façon, on ne réforme pas avec un pistolet braqué sur la tempe.

Cela ne veut pas dire qu'il n'y ait pas des changements à opérer en Grèce : bien sûr (j'en ai déjà parlé). Mais ce ne sont peut-être pas les réformes qu'attend Mme Merkel - qui confirme de plus en plus ces temps-ci que le vrai problème de l'Europe, c'est elle.

https://www.youtube.com/watch?v=nYGOWUrHcI0

C'est pourtant simple, on ne peu régler un problème si on ne s'attaque pas au vrais causes, est ce que la gestion du système bancaire est remise en cause, non et faut surtout pas en parler, la réalité c'est que aucunes dettes n'est remboursable par aucuns des pays de l'UE et même hors UE.

Alors ces bourriques s'acharne sur un pays et une fois que le pays aura fini d'être plombé et privatisé les Grecques exproprié, ces bourriques s’acharneront sur un autre pays et ainsi de suite jusqu’à plomber l’Europe entière .

Pour au bout du compte annuler toute les dettes car ça ne pourra pas être autrement, mais avant de les annuler ils vont tous vous voler.

Alors soit on met chaos le système bancaire et ces fous dangereux , soit on se dirige vers une guerre.

Il serrais bien de se rappeler de la dernière guerre et comment le nazisme est arriver au pouvoir…

c'est ça que l'UE veut ? la guerre ou règne le fascisme ?

un nouveau Hitler au pouvoir pour s’amuser ?

on détruit tous, on cache le monstre et dans 100 ans on recommence , couper lui la tête ça serra plus simple.

je précise que ceux qui manigance ça , on des noms et des adresses, que le pardon existe mais qu'on ne peu pas oublié.

mais vue que la peuplade préfère rester aveugle, tous serra détruit, et si demain Hitler se présente je vote pour lui ... voila...

votre avenir ? vous n'en aurez pas et vos enfants non plus . amen.

Selon cette logique, il aurait été donc acceptable qu'on laisse alors prospérer le crime sous ses différentes formes, comme par exemple sur la côte d'Azur, au prétexte que ça fait partie de la culture locale. Tant pis si ça coûte aux gens, si ça casse l'efficacité administrative, si ça peut même induire de profondes injustices et affecter durement la vie des gens. C'est culturel. Alors laissons faire.

Ce qui est intéressant dans ce paragraphe c'est la dernière phrase "laissons faire". Qui est donc ce "on" qui décide ?

En démocratie, c'est le peuple bien entendu. Le peuple décide de son mode de vie. Or dans votre vision des choses le "on" est extra-populaire, il est la loi qui se justifie elle-même d'être.

Et elle n'a aucune légitimité populaire. D'ou tire-t-elle donc sa légitimité ?

Lorsque vous citez la criminalité de type mafieux, il est évident que c'est accepté dans de nombreux pays et bien souvent que ça dirige le pays. La mafia est illégale mais populaire. En France c'est régional mais la loi est nationale, ainsi donc l'état et la mafia Corse ont trouvé un terrain d'entente : pas de parrains sur le continent.

Et bien sur que l'état laisse faire, l'état est la mafia en France, ce qui fait qu'il est légal et n'a donc pas à se cacher, ni a faire de petits rackets de rue avec des types planqués dans des porches, il y a déjà toute une somme de fonctionnaires et de machines.

Dans le genre raisonnement débile à souhait, justifier des pratiques qui sont de véritables poisons pour une société sous prétexte de tradition, de culture, c'est de l'ordre de la stupidité la plus absolue qu'on puisse imaginer. Y a bien que quelques crétins dans votre style pour croire que c'est acceptable quand c'est en partie ça qui cause les malheurs d'un peuple.

Il y a bien d'autres choses qui causent le malheur des peuples, et que vous soutenez pourtant. Mais ce n'est pas le problème vous avez de nouveau manqué le coche. Il ne s'agit pas de savoir si je justifie ou ne justifie pas la fraude fiscale mais d'adopter le point de vue subjectif du peuple pour comprendre que vous, en tant que dépourvu de toute légitimité à légiférer, vous avez décidé de réformer le peuple. Par définition il ne va pas être d'accord qui plus est après 10 ans d'incitation et d'organisation de la fraude par l'état mais aussi par l'UE, la BCE, Mario Draghi. On leur fait payer "la crise" des subprime, n'oubliez pas. Made In USA.

Tous ces types qui ont décidé, fabriqué, mis en œuvre toute cette fraude osent aujourd'hui réclamer des comptes au peuple qui soulignons le n'écrit ni les lois ni les traités, et qui se voit désavoué lorsqu'il vote mal au référendum.

La question est donc de savoir ce qui est légitime. La loi ne l'est pas les traités ne le sont pas, les dettes non plus.

Est-ce que les grecs en ont profité ? Oui 114% de hausse du pouvoir d'achat à ce qu'on dit (même si on dit aussi que les français ont eu 36% de hausse ce que personne ne peut prendre au sérieux).

Donc ce qui est légitime c'est que les spéculateurs renoncent à leur créances en échange de quoi on les laisse en vie et en liberté. Et que les Grecs remboursent les créances contractées sur des investissements réels, des frais de fonctionnement et autres dépenses réelles.

Et bien sur qu'ils reprennent le contrôle de leur monnaie pour pouvoir la dévaluer.

La classe le nouveau ministre de l'économie Grec : il s'appelle Euclide

Une Tribune de M. De Villepin sur mediapart au sujet de la Grèce:

http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/070715/villepin-notre-devoir-pour-leurope

C'est pourtant simple, on ne peu régler un problème si on ne s'attaque pas au vrais causes, est ce que la gestion du système bancaire est remise en cause, non et faut surtout pas en parler, la réalité c'est que aucunes dettes n'est remboursable par aucuns des pays de l'UE et même hors UE.

Alors ces bourriques s'acharne sur un pays et une fois que le pays aura fini d'être plombé et privatisé les Grecques exproprié, ces bourriques s’acharneront sur un autre pays et ainsi de suite jusqu’à plomber l’Europe entière .

Pour au bout du compte annuler toute les dettes car ça ne pourra pas être autrement, mais avant de les annuler ils vont tous vous voler.

Alors soit on met chaos le système bancaire et ces fous dangereux , soit on se dirige vers une guerre.

Il serrais bien de se rappeler de la dernière guerre et comment le nazisme est arriver au pouvoir…

c'est ça que l'UE veut ? la guerre ou règne le fascisme ?

un nouveau Hitler au pouvoir pour s’amuser ?

on détruit tous, on cache le monstre et dans 100 ans on recommence , couper lui la tête ça serra plus simple.

je précise que ceux qui manigance ça , on des noms et des adresses, que le pardon existe mais qu'on ne peu pas oublié.

mais vue que la peuplade préfère rester aveugle, tous serra détruit, et si demain Hitler se présente je vote pour lui ... voila...

votre avenir ? vous n'en aurez pas et vos enfants non plus . amen.

Ce sont les Etats européens qui prêtent à la Grèce par l'intermédiaire des banques, cela fait une différence avec ce que vous dites.

Aujourd'hui, la gauche radicale au pouvoir en Grèce, pourtant si anti banques et anti finance, vient de demander de nouveaux prêts...

Ca en dit long !

J'adore : Pierre Jovanovic à propos de l'Union européenne : "On ne réforme pas un asile de fous, on le ferme."

Ce sont les Etats européens qui prêtent à la Grèce par l'intermédiaire des banques, cela fait une différence avec ce que vous dites.

Aujourd'hui, la gauche radicale au pouvoir en Grèce, pourtant si anti banques et anti finance, vient de demander de nouveaux prêts...

Ca en dit long !

Pour moi Tsipras se montre beaucoup trop conciliant, parce que c'est pas un nouveau prêt qui changera quoi que ce soit à la situation de la Grèce. Mais peut-être veut-il que la rupture vienne de l'autre camp?

La position de la France dans tout ce foutoir n'est guère reluisante. Quand on voit des archinuls comme Pierre Moscovici ou Michel Sapin donner des leçons de bonne gestion aux Grecs, y a de quoi pleurer.

Pour moi Tsipras se montre beaucoup trop conciliant, parce que c'est pas un nouveau prêt qui changera quoi que ce soit à la situation de la Grèce. Mais peut-être veut-il que la rupture vienne de l'autre camp?

C'est aussi ce qu'il me semble, il veut que la rupture vienne des eurocrates pour qu'ils prononcent sa mise à mort à lui et à la Grèce. Pour les obliger à assumer leurs responsabilités dans l'affaire du point de vue le plus crucial pour eux : le médiatique.

La position de la France dans tout ce foutoir n'est guère reluisante. Quand on voit des archinuls comme Pierre Moscovici ou Michel Sapin donner des leçons de bonne gestion aux Grecs, y a de quoi pleurer.

Je vous en prie, Michel Sapin cet individu qui lorsqu'un chomeur s'immole devant le pole emploi va assurer aux employés devant les caméras qu'aucune faute n'a été commise ?

"Si les gens s'immolent c'est que vous avez fait du bon boulot".

Ce que je ferais à la place de Tsipras :

1) Chantage maximum du genre "On garde l'euro si vous annulez la dette grecque" (bien sûr ça ne marcherait pas, mais pourquoi le plaisir de se foutre de la gueule du monde devrait-il être réservé aux banquiers et à leurs séides?).

2) Sortie de la zone euro, et éventuellement de l'Union européenne .

3) Expulsion du territoire grec de tous les agents de la Troïka.

4) Institution de l'État d'urgence. La Grèce possède une importante (et très coûteuse) armée, c'est le moment de la mobiliser pour parer à un éventuel coup de force américain ou autre.

5) Et on fait marcher la planche à billets...

6) On réforme, mais dans le bon sens, c'est-à-dire dans l'intérêt du peuple grec.

Après, on verra bien.

Tsipras va sûrement pas faire ça. Cette crise va sans doute se terminer par un mauvais accord... Et dans six mois on en sera au même point. Pas sûr quand même, parce que Tsipras est légèrement imprévisible (ce qui pour un homme politique n'est pas forcément une qualité.) La mère Merkel a l'air aussi très énervée.

Ce que je ferais à la place de Tsipras :

1) Chantage maximum du genre "On reste dans l'euro si vous annulez la dette grecque" (bien sûr ça ne marcherait pas, mais pourquoi le plaisir de se foutre de la gueule du monde devrait-il être réservé aux banquiers et à leurs séides?).

2) Sortie de la zone euro, et éventuellement de l'Union européenne .

3) Expulsion du territoire grecque de tous les agents de la Troïka.

4) Institution de l'État d'urgence.

5) Et on fait marcher la planche à billets...

Après, on verra bien.

Ils peuvent sortir , ils s'en foutent complétement. Au contraire , ils pourront piller sans problème puis qu'ils sont en faillite total. Total... c fort en pollution

Toute cette histoire pue de plus en plus. On dit que sur les conseils de l'ineffable duo Hollande/Valls, les Grecs s'apprêteraient à présenter des propositions allant dans le sens des exigences européennes. Autant dire que Tsipras va se présenter devant les Européens, en chemise et la corde au cou, suppliant qu'on lui pardonne ses errements passés. Pas sûr que ça suffise malgré tout.

Pour les amateurs de GOT, ça fait penser à Eddard Stark avouant ses fautes (imaginaires) devant Joffrey Barathéon, et connaissant malgré tout le sort que l'on sait.

Faire le gentil devant des salauds, ça ne sert à rien.

Plus y a de dette, plus on les enrichie et comme on peut qu' emprunter qu'au marché financier.

Qu'il y aille voir Poutine juste pour les faire mouiller un bon coup

Ce que je ferais à la place de Tsipras :

1) Chantage maximum du genre "On garde l'euro si vous annulez la dette grecque" (bien sûr ça ne marcherait pas, mais pourquoi le plaisir de se foutre de la gueule du monde devrait-il être réservé aux banquiers et à leurs séides?).

2) Sortie de la zone euro, et éventuellement de l'Union européenne .

3) Expulsion du territoire grec de tous les agents de la Troïka.

4) Institution de l'État d'urgence. La Grèce possède une importante (et très coûteuse) armée, c'est le moment de la mobiliser pour parer à un éventuel coup de force américain ou autre.

5) Et on fait marcher la planche à billets...

6) On réforme, mais dans le bon sens, c'est-à-dire dans l'intérêt du peuple grec.

Après, on verra bien.

Tsipras va sûrement pas faire ça. Cette crise va sans doute se terminer par un mauvais accord... Et dans six mois on en sera au même point. Pas sûr quand même, parce que Tsipras est légèrement imprévisible (ce qui pour un homme politique n'est pas forcément une qualité.) La mère Merkel a l'air aussi très énervée.

L'armée, il vaudrait mieux la tenir à l'écart, petit rappel de 1967 à 1974 la Grèce a vécu sous la dictature des colonels, et on ne peut pas dire que ça leur ait réussi.

Un peu d'histoire pour bien comprendre la crise grecque:

https://www.youtube.com/watch?v=dKucm43_Esk

L'armée, il vaudrait mieux la tenir à l'écart, petit rappel de 1967 à 1974 la Grèce a vécu sous la dictature des colonels, et on ne peut pas dire que ça leur ait réussi.

En tous cas l'armée grecque existe, et il vaut mieux bien la tenir en main. La dictature des colonels n'est pas arrivée comme par enchantement, mais suite au coup d'État du 21 avril 1967, exécuté avec le soutien de la CIA.

« Avec tous les milliards que l’on a refilé aux Grecs…

moi j’en ai assez de payer pour les Grecs, en plus ils

ne respectent pas le Rêêêêglement de copropriété… »

Mais il faudra vous le dire combien de fois ?

Les Grecs n’ont pas reçu un euro de votre argent ni de celui

des Européens…

Ce sont les BANQUES commerciales qui avaient pour 300 milliards

de dettes grecques dans leurs comptes,

ce qui était suffisant pour « consommer » tous leur fonds propres

ou presque et donc faire faire faillite au système bancaire européen.