Existe-il des sous métiers ?

Avec un tel étalage d'hypocrisie démagogique tu devrais tenter la politique

Moi ? Démagogue ?

Cher ami, vous me flattez ! Puis-je au moins le prendre pour compliment ?

N'est-ce ainsi que le monde tourne ? Du loup ou de l'agneau, du prédateur ou de la proie, du sur-Homme ou du sous-Homme ; le choix te revient, si tant est que tu en sois pourvu, puisse l'altruisme ne t'en destitue !

Dussé-je te partager un peu de ton compliment, je t'accorde le coté hypocrite... Quelle bonté !

Un sous-métier?

Délateur sur Forum.FR

Con testeur.

Question délation, pour ceux qui n'auraient comprit le sens du mot, je ne puis que vous accorder votre sens démonstrateur...

Mais je vous en prie, ne soyez pas si dur avec vous-même...

certes mais si on commence à larmoyer sur sa vie ce qu'elle est et ce qu'on aurait voulu...on n'a pas fini de se plaindre!

...et ça ne sert à rien en plus!

Ce n'était pas un plaidoyer...

Je parlais de l'autre vilaine

Bon, pour revenir au sujet

Les riches sont toujours plus riches et possèdent toujours plus de ressources, rappelons que lesdites ressources ne sont pas illimitées

Mais bon, c'est pas grave, le système est accepté et plébiscité par ses victimes

L'humanité m'écoeure

Quelqu'un devrait enfin avoir le courage de dire ce que tout le monde pense, à savoir combien les ouvriers sont des gens dégueulasses. Je ne parle pas simplement de leurs mains caleuses et de leurs cheveux gras, ni des loques froissées desquelles ils étreignent leur bedaine et recouvrent leur peau cuivrée suintant les vapeurs de Heineken dès le petit matin, sans même évoquer cette vision d'horreur que chacun possède en tête et qui est celle de leur grosse raie s'échappant d'un jeans déguenillé (qui ne les a jamais vus, par ailleurs, s’agglutiner le dimanche midi au PMU autour d'un verre de pastis, comme un troupeau de gnous autour d'un point d'eau ?) ; non je ne parle pas seulement de cet aspect ignoble et qui rabaisse la dignité humaine, le plus insupportable se situe encore dans le caractère vulgaire imprimé sur leur âme (en ont-ils seulement une ?) par une tache grossière et quotidienne, comme si le rudiment du marteau qui tape le clou était devenu leur logiciel de pensée.

Le scandale se situe précisément du fait que l'on nous impose de croiser ces gens dans nos villes propres par la loi scélérate dite "SRU" (qui impose un minimum de 20% de logements sociaux). Comme s'il n'était déjà pas assez rabaissant de savoir que la République nous considère comme égaux, et donne à ces gens – par je ne sais quelle folie – un droit de vote semblable à celui des gens instruits.

Je ne ferai pas maintenant le portrait de l'épouse de l'ouvrier : la femme de ménage, sans quoi mon diner me resterait sur l’estomac – mais elle ne perd rien pour attendre (elle n'a de doute façon rien à perdre).

le divorce ?

Ma réponse en reste intacte et t'est toujours adressée.

Quelqu'un devrait enfin avoir le courage de dire ce que tout le monde pense, à savoir combien les ouvriers sont des gens dégueulasses. Je ne parle pas simplement de leurs mains caleuses et de leurs cheveux gras, ni des loques froissées desquelles ils étreignent leur bedaine et recouvrent leur peau cuivrée suintant les vapeurs de Heineken dès le petit matin, sans même évoquer cette vision d'horreur que chacun possède en tête et qui est celle de leur grosse raie s'échappant d'un jeans déguenillé (qui ne les a jamais vus, par ailleurs, s’agglutiner le dimanche midi au PMU autour d'un verre de pastis, comme un troupeau de gnous autour d'un point d'eau ?) ; non je ne parle pas seulement de cet aspect ignoble et qui rabaisse la dignité humaine, le plus insupportable se situe encore dans le caractère vulgaire imprimé sur leur âme (en ont-ils seulement une ?) par une tache grossière et quotidienne, comme si le rudiment du marteau qui tape le clou était devenu leur logiciel de pensée.

Le scandale se situe précisément du fait que l'on nous impose de croiser ces gens dans nos villes propres par la loi scélérate dite "SRU" (qui impose un minimum de 20% de logements sociaux). Comme s'il n'était déjà pas assez rabaissant de savoir que la République nous considère comme égaux, et donne à ces gens – par je ne sais quelle folie – un droit de vote semblable à celui des gens instruits.

Je ne ferai pas maintenant le portrait de l'épouse de l'ouvrier : la femme de ménage, sans quoi mon diner me resterait sur l’estomac – mais elle ne perd rien pour attendre (elle n'a de doute façon rien à perdre).

Ta vie fait pas envie par exemple.....

Bref, vas consulter un psy.

"Le fou dit à l'imbécile :

- Les imbéciles sont tous fous.

L'imbécile ne comprend pas."

Quelqu'un devrait enfin avoir le courage de dire ce que tout le monde pense, à savoir combien les ouvriers sont des gens dégueulasses. Je ne parle pas simplement de leurs mains caleuses et de leurs cheveux gras, ni des loques froissées desquelles ils étreignent leur bedaine et recouvrent leur peau cuivrée suintant les vapeurs de Heineken dès le petit matin, sans même évoquer cette vision d'horreur que chacun possède en tête et qui est celle de leur grosse raie s'échappant d'un jeans déguenillé (qui ne les a jamais vus, par ailleurs, s’agglutiner le dimanche midi au PMU autour d'un verre de pastis, comme un troupeau de gnous autour d'un point d'eau ?) ; non je ne parle pas seulement de cet aspect ignoble et qui rabaisse la dignité humaine, le plus insupportable se situe encore dans le caractère vulgaire imprimé sur leur âme (en ont-ils seulement une ?) par une tache grossière et quotidienne, comme si le rudiment du marteau qui tape le clou était devenu leur logiciel de pensée.

Le scandale se situe précisément du fait que l'on nous impose de croiser ces gens dans nos villes propres par la loi scélérate dite "SRU" (qui impose un minimum de 20% de logements sociaux). Comme s'il n'était déjà pas assez rabaissant de savoir que la République nous considère comme égaux, et donne à ces gens – par je ne sais quelle folie – un droit de vote semblable à celui des gens instruits.

Je ne ferai pas maintenant le portrait de l'épouse de l'ouvrier : la femme de ménage, sans quoi mon diner me resterait sur l’estomac – mais elle ne perd rien pour attendre (elle n'a de doute façon rien à perdre).

Je pense surtout qu'il faudrait collecter dans un pot commun les héritages sur chaque année et le diviser en tant que treizième mois par le nombre de français dans notre pays.

Quelqu'un devrait enfin avoir le courage de dire ce que tout le monde pense, à savoir combien les ouvriers sont des gens dégueulasses. Je ne parle pas simplement de leurs mains caleuses et de leurs cheveux gras, ni des loques froissées desquelles ils étreignent leur bedaine et recouvrent leur peau cuivrée suintant les vapeurs de Heineken dès le petit matin, sans même évoquer cette vision d'horreur que chacun possède en tête et qui est celle de leur grosse raie s'échappant d'un jeans déguenillé (qui ne les a jamais vus, par ailleurs, s’agglutiner le dimanche midi au PMU autour d'un verre de pastis, comme un troupeau de gnous autour d'un point d'eau ?) ; non je ne parle pas seulement de cet aspect ignoble et qui rabaisse la dignité humaine, le plus insupportable se situe encore dans le caractère vulgaire imprimé sur leur âme (en ont-ils seulement une ?) par une tache grossière et quotidienne, comme si le rudiment du marteau qui tape le clou était devenu leur logiciel de pensée.

Le scandale se situe précisément du fait que l'on nous impose de croiser ces gens dans nos villes propres par la loi scélérate dite "SRU" (qui impose un minimum de 20% de logements sociaux). Comme s'il n'était déjà pas assez rabaissant de savoir que la République nous considère comme égaux, et donne à ces gens – par je ne sais quelle folie – un droit de vote semblable à celui des gens instruits.

Je ne ferai pas maintenant le portrait de l'épouse de l'ouvrier : la femme de ménage, sans quoi mon diner me resterait sur l’estomac – mais elle ne perd rien pour attendre (elle n'a de doute façon rien à perdre).

Voilà le discours d'un être "supérieur",

le discours peu aristocratique d'un provocateur !

Le discours haineux de celui qui n'a même pas l'excuse

de sentir l'anis et le rire de ceux qui se rassemblent

au café !

Pas un discours, la vomissure de l'ignorance et du dédain !

L'inculture crasse et haineuse, la pauvreté intellectuelle !

L'inconscience, l'incontinence...

la bêtise qui se prend pour l'intelligence !

Quelle bassesse !

Voilà le discours d'un être "supérieur",

le discours peu aristocratique d'un provocateur !

Le discours haineux de celui qui n'a même pas l'excuse

de sentir l'anis et le rire de ceux qui se rassemblent

au café !

Pas un discours, la vomissure de l'ignorance et du dédain !

L'inculture crasse et haineuse, la pauvreté intellectuelle !

L'inconscience, l'incontinence...

la bêtise qui se prend pour l'intelligence !

Quelle bassesse !

Et cela fonctionne plutôt bien apparemment...

Le rendu de provocation contre la provocation, de celui qui croit que ladite intelligence, la vraie, ne peut être authentique que dans l'altruisme.

"Et sur ces belles paroles, le Diable fit son plaidoyer."

Quelqu'un devrait enfin avoir le courage de dire ce que tout le monde pense, à savoir combien les ouvriers sont des gens dégueulasses. Je ne parle pas simplement de leurs mains caleuses et de leurs cheveux gras, ni des loques froissées desquelles ils étreignent leur bedaine et recouvrent leur peau cuivrée suintant les vapeurs de Heineken dès le petit matin, sans même évoquer cette vision d'horreur que chacun possède en tête et qui est celle de leur grosse raie s'échappant d'un jeans déguenillé (qui ne les a jamais vus, par ailleurs, s’agglutiner le dimanche midi au PMU autour d'un verre de pastis, comme un troupeau de gnous autour d'un point d'eau ?) ; non je ne parle pas seulement de cet aspect ignoble et qui rabaisse la dignité humaine, le plus insupportable se situe encore dans le caractère vulgaire imprimé sur leur âme (en ont-ils seulement une ?) par une tache grossière et quotidienne, comme si le rudiment du marteau qui tape le clou était devenu leur logiciel de pensée.

Le scandale se situe précisément du fait que l'on nous impose de croiser ces gens dans nos villes propres par la loi scélérate dite "SRU" (qui impose un minimum de 20% de logements sociaux). Comme s'il n'était déjà pas assez rabaissant de savoir que la République nous considère comme égaux, et donne à ces gens – par je ne sais quelle folie – un droit de vote semblable à celui des gens instruits.

Je ne ferai pas maintenant le portrait de l'épouse de l'ouvrier : la femme de ménage, sans quoi mon diner me resterait sur l’estomac – mais elle ne perd rien pour attendre (elle n'a de doute façon rien à perdre).

Tu caricatures tellement mal mes positions que ça en devient risible. Ces gens ont en tout cas le mérite d'exercer un vrai métier, contrairement à toi. Dans mon échelle de valeur, les glandeurs de ta trempe sont en dessous des sous-métiers, c'est dire.

Désolée, on ne va pas parler chiffons et télé réalité juste pour susciter ton intérêt.

Pour en revenir au sujet.

Tout est question d'égo au final. C'est valable pour toutes les formes de complexes (et ici on parle bien de complexe d'infériorité).

Je ne convoite pas la place de mon boss, et je ne serais pas affectée si on qualifiait mon job de "sous métier" parce qu'il me satisfait pleinement. De plus, le regard des autres m'importent peu, puisque que contrairement à beaucoup, je puise ma valeur dans autres choses que le statut social.

Oullalla ..Il ne faut pas grand chose pour piquer Vilaine...elle raconte des bobards à tours de bras...i....

Comme l'impression Bizard que Vilaine ment et se fabrique une vie meilleure...

Je pense surtout qu'il faudrait collecter dans un pot commun les héritages sur chaque année et le diviser en tant que treizième mois par le nombre de français dans notre pays.

Les courtisans ! :smile2:

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fraycyber.pagesperso-orange.fr%2Fconseil.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fraycyber.pagesperso-orange.fr%2Fjournee_louisXIV.htm&h=768&w=1188&tbnid=jjLWGxpzXREeSM%3A&zoom=1&docid=nhg4Ahr_DXawkM&ei=BgvmVLWPLIb9ULOqhOAJ&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=1368&page=3&start=61&ndsp=36&ved=0CJICEK0DME4

les ouvriers !

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fimg.over-blog-kiwi.com%2F0%2F94%2F25%2F94%2F20140811%2Fob_c32330_10580002-499966940140583-8312390766592.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fcgt-intermarche.over-blog.com%2F2014%2F08%2Fhistoire-des-conges-payes-si-cela-peu-servir-dans-la-periode.html&h=350&w=468&tbnid=um5xWeVJPToSRM%3A&zoom=1&docid=7JsBzMGTXrBzdM&ei=tw3mVITQOoG9UfnzgLgB&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=871&page=1&start=0&ndsp=32&ved=0CHkQrQMwHA

Tu caricatures tellement mal mes positions que ça en devient risible.

Vous ramenez tellement tout à vous que c'en devient égocentrique. Du reste vos positions requièrent-elles caricature pour être risibles ?

Ces gens ont en tout cas le mérite d'exercer un vrai métier, contrairement à toi. Dans mon échelle de valeur, les glandeurs de ta trempe sont en dessous des sous-métiers, c'est dire.

Ça fait du bien d'être la gentille ? Ne me remerciez pas.

Voilà le discours d'un être "supérieur",

le discours peu aristocratique d'un provocateur !

Le discours haineux de celui qui n'a même pas l'excuse

de sentir l'anis et le rire de ceux qui se rassemblent

au café !

Pas un discours, la vomissure de l'ignorance et du dédain !

L'inculture crasse et haineuse, la pauvreté intellectuelle !

L'inconscience, l'incontinence...

la bêtise qui se prend pour l'intelligence !

Quelle bassesse !

Tout est exact. Sauf l'incontinence (pas encore).

Du reste vos positions requièrent-elles caricature pour être risibles

Bien sûr que non.^^

Pour ce qui est de se mettre à 20 contre 1, je pense qu'il s'agit d'une mauvaise lecture. Je ne crois pas qu'il y ait connivence entre les participants et ces derniers n'ont pas formé une coalition à l'encontre de Vilaine.

Je suis contre Vilaine, tout contre.

Je suis contre Vilaine, tout contre.

Voilà, tu viens d'expliquer l'origine de ta psychose.

C'est pas viliane que tu aurais du choisir comme pseudo , quoique !

Mais Moche , moche comme ta prétention , moche comme tes sentiments de bas étage , moche comme ton sentiment de supériorié , moche comme ta haine que tu baves envers les gens de peu etc etc .

Moche était déjà pris lorsqu'elle s'est inscrite. En revanche Gerinimo était alors disponible.

En faisant simple tout en restant honnête, je suis balayeur et grâce à ce métier j'ai un revenu de 5000€/mois.

Ca ne vous fait pas réfléchir ? Tant pis, c'est grâce à cela que je profite.

Je pense que c'est possible si tu travailles en Suisse et que tu fais plein d'heure sup.

Mais ça reste un sous-metier même au niveau salarial sachant que le salaire mini est de 4000.