Aller au contenu

Noter ce sujet


paparoines

Messages recommandés

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Non, je ne fais pas de généralité, au contraire.

Désolée mais s'opposer catégoriquement à des articles et des études en construisant son argumentaire sur son expérience personnelle ("moi, moi j'ai pris, moi j'ai pas eu ces effets, moi j'étais très bien, moi moi moi" ), c'est faire de son cas une généralité.

Justement, tu parles du pouvoir de persuasion de la blouse blanche, moi je parlerais de responsabilité de chacun...

Comparaison foireuse, mais quant tu tombes en panne et que tu vas chez un garagiste... Les gens ont tendance à faire confiance au professionnel, alors qu'on sait qu'il y a des mecs véreux qui vont te trouver dix pannes au lieu d'une...

Ben c'est la même chose... Les gens ont aussi une certaine responsabilité, la responsabilité de toujours se poser la question de s'ils se sentent écoutés, compris etc etc...

C'est vraiment méconnaitre la dépression et l'anxiété que d'imaginer qu'un individu qui en souffre serait capable de ce genre de discernement.

J'ajoute que lorsqu'on est suffisamment apte à cette conscience responsable dont tu parles, alors c'est qu'on est aussi en état de se passer de ces traitements et d'opter pour d'autres méthodes plus longues mais plus douces.

Physiquement, non. Psychologiquement, oui.

Sauf que ce que tu dis là n'a aucun sens. puisqu'il est impossible de faire une telle distinction quand il s'agit de psychotropes.

Je n'ai rien catégorisé du tout.Tu n'as qu'à relire mes différents posts.

Je les ai lus. Et tu catégorises dès lors que tu affirmes qu'il suffit de respecter des doses et des périodes pour que soient minimisés, voire inexistants, les risques et les effets de ces traitements (tu le fais encore dans ce présent post).

Bon, là c'est visiblement toi qui ne comprends rien à ce que je dis.wacko.gif

Tu m'excuses Théia, mais quand je lis un truc pareil:

(...)

Oui, je dis qu'il a tort, et qu'encore une fois, il généralise.

Je pense qu'il a voulu dire que ces traitement dénaturent le sommeil (et pour cause, il est artificiel). Donc il a raison. Sous traitement, même tes rêves ne t'appartiennent plus totalement, ils sont en partie le produit d'une action chimique artificielle.

.

Modifié par Théia
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Interdire ces traitements n'est évidemment pas la solution.

Il ne faut, dans tout les cas, surtout pas les interdire pour les victimes en sevrage !!!

Par contre, sais tu que, d'après cet article :

"Les somnifères tuent 500 000 personnes par an"

http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/&prev=/search%3Fq%3Dsleeping%2Bpills%2Bkills%26start%3D10%26client%3Dfirefox-a%26hs%3Dbrm%26sa%3DN%26rls%3Dorg.mozilla:en-US:official%26biw%3D1024%26bih%3D675

Alors...quand on sait que le médiator n'a tué "que" 3 à 5000 personnes en quelques dizaines d'années...

Je pense qu'il faudrait revoir le problème !

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non mais paparoine a raison, c'est beau une grosse dose, 30 gouttes.

Sachant que la posologie pour le trouble anxieux débute à 3 gouttes, ça fait une méga dose.

bin...oui...

Et dire que ce sont ceux sensés savoir, ou qui se ventent de savoir, qui n'y connaissent absolument rien.... :)

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

bin...oui...

Et dire que ce sont ceux sensés savoir, ou qui se vente de savoir, qui n'y connaissent absolument rien.... :)

La paille et la poutre...

Faut être habitué aux calculs de dose aussi...lazy.gif

Sur le Vidal, la posologie minimum est de 0,1mg/kg/ jour. Soit pour un individu de 70kg, une dose de 7 mg/jour. Un flacon étant dosé à 2,5mg pour 1ml (20ml donnant 500 gouttes), ça fait 70 gouttes par jour. No panic !

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

On ne t'avait diagnostiqué que des troubles du sommeil ?

Les troubles du sommeil sont plus un symptôme qu'un problème de santé en soi.

Oui bien sûr, mais c'est sans doute le symptôme le plus compliqué à vivre. Qui ne dort pas ne vit pas.

Le problème des benzodiazépines hypnotiques n'est pas le médicament en soi, mais son mésusage : on ne devrait en prendre que quelques semaines maximum, au lieu de cela les gens en prennent des mois, des années. Certaines personnes âgées ont l'habitude de leur petit cachet le soir, c'est leur doudou, jusqu'à la fin de leur vie, au lieu d'admettre qu'elles pourraient dormir moins ou faire une sieste l'après-midi, qui ca dérange ?

À une époque dans mes études j'étais épuisée physiquement et nerveusement, je dormais mal. J'ai eu une semaine de vacances avec révision de partiels. J'ai pris du Havlane. J'ai pu dormir et récupérer physiquement. J'ai arrêté au bout de la semaine. Pas d'effets secondaires. Nickel. J'en avais pris selon pour quoi c'est fait : la notice limite l'utilisation à un mois.

Depuis des mois je m'endors difficilement ou j'ai des insomnies, je suis claquée en journée. Mais je ne prends aucun hypnotique car je sais que la cause profonde est très longue à traiter. Pas question de prendre des cachets pendant des mois jusqu'à l'accoutumance pour un simple symptôme. Je soigne le problème de fond, je fais du sport (ça va un peu mieux ces nuits-là) et je prends mon mal en patience.

Sur la prescription des psychotropes, c'est vrai que la formation des médecins traitants est mal faite. Mais ce n'est pas leur faute, ça l'est à la limite s'ils n'ont pas de curiosité intellectuelle pour s'auto-former, s'informer, s'interroger sur leur pratique.

Tu as raison, mais le yaka ne fonctionne pas tu sais.

En général quand t'es mal, t'as envie de dormir ne serait-ce que pour avoir les nerfs qui te permettront de réfléchir à la solution de te passer à terme de psychotropes, et pareil, le déménagement est salutaire ... mais onéreux...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Désolée mais s'opposer catégoriquement à des articles et des études en construisant son argumentaire sur son expérience personnelle ("moi, moi j'ai pris, moi j'ai pas eu ces effets, moi j'étais très bien, moi moi moi" ), c'est faire de son cas une généralité.

Je m'oppose catégoriquement à la généralité pondue par Paparoine en s'appuyant sur cet article, et non pas au contenu de l'article en lui-même.

Grosse, énorme nuance.

Les exceptions confirment la règle, je ne suis pas la seule au monde à ne pas être un zombie défoncé h24 en prenant des benzos... Des gens dans mon cas, y'en a à la pelle.

C'est vraiment méconnaitre la dépression et l'anxiété que d'imaginer qu'un individu qui en souffre serait capable de ce genre de discernement.

Ma pote 40 balais, diagnostiquée bipolaire (nouvelle appellation de la maniaco-dépression donc trouble sévère) y'a 15 ans car enfance et adolescence teintée d'abus et de violences familiales, ancienne alcoolique sobre depuis 10 ans, a passé les dernières 5 années dans un état lamentable sous traitement très lourd que des gens lambdas n'auraient probablement pas supporté (mais pas le choix, c'était ça ou plusieurs TS par semaine)... Et pourtant, c'est elle même qui a décidé plusieurs fois de changer de médecin et/ou de psychiatre pour pouvoir trouver un traitement moins lourd mais tout aussi efficace... Ben depuis un an, elle va mieux... Elle recommence à conduire, à bouger, à vivre...

Ce n'est encore une fois qu'une expérience personnelle, mais ça montre tout simplement que ça existe, que c'est possible.

Ma tante était dépressive (pas une déprime passagère, une bonne vieille vraie dépression) elle s'est tirée une cartouche de fusil de chasse dans la tête, si bien qu'il n'en restait rien.

Et l'anxiété, merci, je anxieuse de nature, mais j'ai toujours su gérer ça, jusqu'à une certaine année durant laquelle j'ai du faire face à trois décès, dont deux à un mois d'intervalle (celui de ma tante en faisait partie) à partir de là ça c'est tellement amplifié, ça en est presque devenu handicapant sur certains points, donc je sais ce que c'est.

Heureusement qu'à côté de ça je suis une personne très active, je ne tiens pas en place... ça m'a pas mal aidé aussi.

Ce qui ne m'empêche pas de très bien gérer mon truc, de savoir où je vais, de ne pas me faire prendre dans la spirale du tout médicamenteux... Puisque je m'en tiens aux mêmes doses depuis un long moment, en les diminuant même.

M'enfin côté dépression et anxiété, ça va je commence à savoir à quoi j'ai affaire...

Et quelqu'un qui souffre vraiment de dépression c'est pas un généraliste qu'il doit aller voir, c'est un psychiatre...

J'ajoute que lorsqu'on est suffisamment apte à cette conscience responsable dont tu parles, alors c'est qu'on est aussi en état de se passer de ces traitements et d'opter pour d'autres méthodes plus longues mais plus douces.

Ce que tu ajoutes est bien gentil, mais sans ces traitements ma pote serait morte des dizaines de fois. Son truc préféré était de se tailler les veines.

Des méthodes plus longues mais plus douces... Il n'y a pas de meilleure méthode que la psychothérapie, et le fait d'aller au fond des choses.

Le traitement médicamenteux permet d'apaiser rapidement certaines tensions et blocages, ce qui facilite l'ouverture du dialogue en vue d'un suivi psychologique efficace rapidement...

Les médicaments ne sont pas la solution à tout, je n'i jamais dit ça, et je ne le dirai jamais car ce n'est pas vrai, mais dans certains cas ils ont une réelle utilité. C'est un fait indéniable...

Sauf que ce que tu dis là n'a aucun sens. puisqu'il est impossible de faire une telle distinction quand il s'agit de psychotropes.

Si c'est possible. Car quand tu as des troubles digestifs et des sueurs froides, c'est là que tu sais que tu somatises pas, mais que c'est réellement physique.

De toute manière, quelle que soit la durée du traitement, qu'il soit de 3 mois ou plus, il faut toujours le diminuer de manière progressive, ne serait-ce que pour l'impact psychologique du à l'arrêt... Donc si les gens suivent les conseils de leur médecin (m'enfin d'après vous les bons médecins sont très rares, donc encore faut-il qu'ils aient de la chance) de même que c'est écrit sur la notice d'utilisation de la plupart des psychotropes, le sevrage se fait en douceur..

Je les ai lus. Et tu catégorises dès lors que tu affirmes qu'il suffit de respecter des doses et des périodes pour que soient minimisés, voire inexistants, les risques et les effets de ces traitements (tu le fais encore dans ce présent post).

Ben non, je n'ai jamais minimisé les risques et les effets de ces traitements...

J'ai dit que s'ils étaient administrés de manière adaptée, et avec un suivi régulier, dans beaucoup de cas ils amélioraient le quotidien.

J'ai également dit que dans le cas de certains troubles, même concernant la majorité des troubles, ils devaient être couplés à un suivi psy, afin de ne pas traiter que le symptôme.

Tu comprends mieux là ou toujours pas?

Je pense qu'il a voulu dire que ces traitement dénaturent le sommeil (et pour cause, il est artificiel). Donc il a raison. Sous traitement, même tes rêves ne t'appartiennent plus totalement, ils sont en partie le produit d'une action chimique artificielle.

Je précise à quoi je faisais allusion:

Elles n'ont d'autres par jamais fait dormir, les victimes sont juste totalement défoncé.

Une généralisation de plus... De la connerie... Et là, il parle bien de cas lourds.

A part ma pote bipolaire qui a passé une très mauvaise période, je n'ai pas de zombie défoncé dans les personnes de mon entourage qui consomment des somnifères ou anxiolytiques. Je n'en connais pas des masses, juste trois ou quatre, mais ce sont au moins trois ou quatre exemples qui permettent de ne pas faire des généralités grossières comme celles que fait Paparoine.

Mon sommeil dénaturé et ma prise de somnifères me rendaient plus en forme et plus productive en journée que le fait de ne pas en prendre....

Quand tu bosses en horaires décalés, plus particulièrement quand tu bosses la nuit, ton sommeil est dénaturé quoi qu'il en soit. En te couchant au petit matin et en dormant une partie de la journée, certaines phases du sommeil sont quasi-inexistantes, comme le sommeil paradoxal (celui durant lequel on rêve et dont on se souvient parfois au réveil).

D'ailleurs, les études faites sur les travailleurs de nuit montrent que les troubles du sommeil qu'ils développent de par leur décalage horaire diminue d'une dizaine d'années leur espérance de vie, et favorise l'apparition de troubles dépressifs à très long terme.

La prise de somnifères permet de réguler le sommeil, de faire de beaux rêves, de ne pas se réveiller 3 fois dans la matinée, et surtout d'être en forme au réveil..

Dans certains cas, les somnifères peuvent donc s'avérer utiles, et améliorer le quotidien sur les plans physique et psychologique.

Mon but n'est pas de défendre à tout prix ces traitements.

Mais quand j'entends Paparoine dire que c'est dans tous les cas de la merde, que tous les consommateurs sont des victimes défoncées manipulées par leur medecin, que de toute manière on devrait interdire ces traitements, ben je dis NON.

Mon discours depuis le début, c'est juste ça. NON.

Tout n'est pas comme le dit paparoine, il y a d'autres cas de figures, tout n'est pas noir, et tout n'est pas blanc non plus.

Ces traitements ont de réelles utilités dans certains cas, c'est un fait.

Et dans d'autres, il y a des abus, c'est une réalité aussi.

Mais au moins, moi je nuance mes propos, parce que j'ai eu l'occasion d'observer les deux côtés de la chose...

Modifié par -SyntaxError-
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La paille et la poutre...

Faut être habitué aux calculs de dose aussi...lazy.gif

Sur le Vidal, la posologie minimum est de 0,1mg/kg/ jour. Soit pour un individu de 70kg, une dose de 7 mg/jour. Un flacon étant dosé à 2,5mg pour 1ml (20ml donnant 500 gouttes), ça fait 70 gouttes par jour. No panic !

Comme quoi....avoir le vidal, ne suffit pas, il faut un cerveau en plus... :)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

@Syntax error, tant que tu ne fais pas la promo des benzodiazépines et des somnifères et que tu ne les présentes pas comme des traitements inoffensifs si les posologies sont respectées, alors tout va bien. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, d’autant qu’on ne ferait que discuter dans le vide puisque tu me reproches de ne pas comprendre tes propos, alors qu’ils se contredisent eux-même et que tu me sembles plus être dans le monologue que la discussion.

Exemple :

Ce que tu ajoutes est bien gentil, mais sans ces traitements ma pote serait morte des dizaines de fois. Son truc préféré était de se tailler les veines.

On parlait de somnifères et de benzodiazépines... Si le truc préféré de ta copine était de se tailler les veines, son cas ne fait pas partie des "simples" troubles du sommeil et n’a donc pas à être présenté comme exemple dans ce topic.

C’est comme si je te disais "On ne fait pas de chimiothérapie quand on n’a pas de cancer" et que tu me répondais "C’est bien gentil mais ma copine qui a un cancer..."

La suite :

Des méthodes plus longues mais plus douces... Il n'y a pas de meilleure méthode que la psychothérapie, et le fait d'aller au fond des choses.

On parlait de somnifères et de benzodiazépines... ce qui fait de la psychothérapie une méthode plus douce, effectivement. Alors je ne vois ni où est le problème ni ce que tu contestes.

Je passe pour le reste, mais il y a plusieurs exemples comme celui-là dans ta réponse.

En fait tu me donnes l’impression de me contredire par principe (c’est un peu la même impression que j’ai eue envers Paparoines), ce qui te mène toute seule à des incohérences. Mais quand on décortique un peu, j’ai aussi l’impression qu’on est d’accord sur l’essentiel.

Tout ce qui agit sur le système nerveux central n’est pas anodin ni inoffensif et je m’oppose à tout discours et tout comportement tendant à banaliser ces traitements. Quand je vois qu’aujourd’hui même les gamins sont de plus en plus facilement mis sous psychotropes parce que trop agités ou présentant des troubles du sommeil, je me dis que des topics alarmistes tels que celui-ci ne doivent pas être contestés "par principe" ou parce qu’on connait des cas où ces traitements étaient indispensables (on en connaît tous!)

Tu parlais toi-même de responsabilité Syntax-Error, tu ne crois pas que la tienne est engagée dans ce topic aussi ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

diagnostiquée bipolaire (nouvelle appellation de la maniaco-dépression donc trouble sévère) y'a 15 ans car enfance et adolescence teintée d'abus et de violences

Bien que la bipolarité ne soit pas le sujet de la discussion, je me permet de dire que c'est, dans une très large majorité des cas, une vaste escroquerie médicale de plus :

http://bipolaireinfo.sosblog.fr

J'ajouterai également que la bipolarité est très souvent iatrogène (provoquée par le médecin) !

Et que les médecins "oublient" de le dire.

Cela a une relation direct dans le sens ou très souvent les symptomes de sevrage aux benzodiazépines sont interprétés par les médecins comme des troubles bipolaires.

Ce qui leurs permet de nier les syndromes de sevrage, en particulier les syndrome prolongé de sevrage et de vendre de nouveaux poisons psychiatriques le plus souvent totalement inutiles.

C'est un des principes essentiels de la médecine moderne :

"Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.

Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !"

http://translate.google.fr/translate?u=http://www.worstpills.org/includes/page.cfm%3Fop_id%3D65&sl=en&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8

Et de la psychiatrie :

Principes des addictions psychiatriques

...

11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.

Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »

La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].

http://survivantdespsy.sosblog.fr/survivants-psy-b1/Principes-des-addictions-psychiatriques-Toxic-psychiatry-b1-p89.htm

...

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

@Syntax error, tant que tu ne fais pas la promo des benzodiazépines et des somnifères et que tu ne les présentes pas comme des traitements inoffensifs si les posologies sont respectées, alors tout va bien. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, d’autant qu’on ne ferait que discuter dans le vide puisque tu me reproches de ne pas comprendre tes propos, alors qu’ils se contredisent eux-même et que tu me sembles plus être dans le monologue que la discussion.

Je ne fais que répondre point par point à ce que visiblement tu n'as pas compris.

Si t'appelles ça faire un monologue merci bien.

On parlait de somnifères et de benzodiazépines... Si le truc préféré de ta copine était de se tailler les veines, son cas ne fait pas partie des "simples" troubles du sommeil et n’a donc pas à être présenté comme exemple dans ce topic.

C’est comme si je te disais "On ne fait pas de chimiothérapie quand on n’a pas de cancer" et que tu me répondais "C’est bien gentil mais ma copine qui a un cancer..."

Tu sais ce que sont les benzodiazépines?

Les anxiolytiques en font partie, les benzodiazépines sont le traitement de base des troubles bipolaire, et dans le traitement des dépressions.

Donc je suis pile poil dans le sujet. Interdire les benzos, c'est signer quelques milliers de suicides en plus.

On parlait de somnifères et de benzodiazépines... ce qui fait de la psychothérapie une méthode plus douce, effectivement. Alors je ne vois ni où est le problème ni ce que tu contestes.

Je conteste les généralisations abusives de Paparoine, pour la cinquantième fois.

Va falloir que je le répète combien de fois?

En fait tu me donnes l’impression de me contredire par principe (c’est un peu la même impression que j’ai eue envers Paparoines), ce qui te mène toute seule à des incohérences. Mais quand on décortique un peu, j’ai aussi l’impression qu’on est d’accord sur l’essentiel.

Mes propos ne sont pas incohérents, ils sont nuancés, c'est très différent.

Tout ce qui agit sur le système nerveux central n’est pas anodin ni inoffensif et je m’oppose à tout discours et tout comportement tendant à banaliser ces traitements. Quand je vois qu’aujourd’hui même les gamins sont de plus en plus facilement mis sous psychotropes parce que trop agités ou présentant des troubles du sommeil, je me dis que des topics alarmistes tels que celui-ci ne doivent pas être contestés "par principe" ou parce qu’on connait des cas où ces traitements étaient indispensables (on en connaît tous!)

Tu parlais toi-même de responsabilité Syntax-Error, tu ne crois pas que la tienne est engagée dans ce topic aussi ?

Je ne conteste rien par principe, tu n'as encore pas compris mes propos, pourtant je parle bien français...

Ce topic, et son auteur parlent d'interdiction des benzodiazépines.

D'ailleurs Paparoine passe son temps à généraliser, à diaboliser les médecins, et les traitements, et d'après ses propos il est clair qu'il est favorable à leur interdiction.

Mes propos depuis le début consistent simplement à essayer de lui faire comprendre que malgré certaines dérives, ces traitements s'avèrent utiles dans certains cas.

C'est pourtant pas compliqué à comprendre non?

Où ai-je dis que les médocs étaient la solution à tout? Où ai-je dit qu'il n'y avait pas de risques? Où ai-je dit qu'un tel traitement était anodin?

Nulle part. Je NUANCE mes propos.

Toi tu y vois une confrontation, je dirais presque que c'est de la parano...

Interdire ces traitements n'est pas la solution, c'est tout de même pas compliqué à comprendre non?

Bon ça me gonfle de toute manière tu vois dans mon discours une apologie aux médocs, ce qui est du grand n'importe quoi. Mes propos sont tout à fait cohérents, je tiens la même ligne depuis le début, j'en ai marre des interprétations foireuses.

Alors peut-être que c'est la manière dont je m'adresse à Paparoine qui te laisse penser ça, mais quand je lis des âneries comme celle là, entre autres, "il faut tout interdire tous les patients sont des victimes et ils sont complètement défoncés"...Y'a de quoi s'énerver oui.

Je te laisse donc débattre avec Paparoine, mr "il faut tout interdire tous les patients sont des victimes et ils sont complètement défoncés" puisque visiblement tu es de son avis.

Je ne vais donc pas perdre mon temps à expliquer à des gens qui me considèrent comme une victime complètement défoncée que je ne le suis pas....

Désolée mais s'opposer catégoriquement à des articles et des études en construisant son argumentaire sur son expérience personnelle ("moi, moi j'ai pris, moi j'ai pas eu ces effets, moi j'étais très bien, moi moi moi" ), c'est faire de son cas une généralité.

Et ça, ça ne s'appelle pas faire de son cas une généralité, mais au contraire montrer que les généralités de Paparoines sont foireuses, et qu'il existe bien d'autres cas de figure.

Car je ne pense pas être la seule personne dans ce cas.

Après je n'ai pas de statistique ni de chiffres à présenter à ce sujet, mais si vous en avez je suis preneuse.

Modifié par -SyntaxError-
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tu sais ce que sont les benzodiazépines?

Les anxiolytiques en font partie, les benzodiazépines sont le traitement de base des troubles bipolaire, et dans le traitement des dépressions.

Sais tu que :

"La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine."

professeur Ashton

http://translate.google.com/translate?u=http://www.benzo.org.uk/pha-1.htm&langpair=en|fr&hl=fr&ie=UTF-8&oe=UTF-8&prev=/language_tools

Et que les dépresseurs du système nerveux central sont évident déconseillés en cas de dépression ?

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

[quote name='-SyntaxError-' timestamp='1401617415' post='9036387

Je ne conteste rien par principe, tu n'as encore pas compris mes propos, pourtant je parle bien français...

Ce topic, et son auteur parlent d'interdiction des benzodiazépines.

D'ailleurs Paparoine passe son temps à généraliser, à diaboliser les médecins, et les traitements, et d'après ses propos il est clair qu'il est favorable à leur interdiction.

En même temps Paparoine n'a aucun pouvoir de décision, alors qu'il soit favorable à leur interdiction n'a pas grande importance, tu ne crois pas ?

Mes propos depuis le début consistent simplement à essayer de lui faire comprendre que malgré certaines dérives, ces traitements s'avèrent utiles dans certains cas. C'est pourtant pas compliqué à comprendre non?

Non, dit comme ça, c'est pas compliqué à comprendre. Et je suis d'accord avec toi.

Toi tu y vois une confrontation, je dirais presque que c'est de la parano.

Allons bon, de la parano maintenant... Alors il faudra m'expliquer en quoi je serais personnellement concernée par tes propos pour que tu penses à de la paranoïa de ma part. Tu confirmes ce que je pense. A savoir que tu manques de distance sur le sujet. Au point que tu imagines que tous ceux qui y interviennent en manque autant que toi.

Je ne vais donc pas perdre mon temps à expliquer à des gens qui me considèrent comme une victime complètement défoncée que je ne le suis pas....

Voilà. Le problème est là. Si les gens pouvaient un peu s'oublier dans les débats et ne pas les réduire à leur cas personnel, on trouverait bien plus souvent moyen de s'entendre.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
fanfreluche Membre 821 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La paille et la poutre...

Faut être habitué aux calculs de dose aussi...lazy.gif

Sur le Vidal, la posologie minimum est de 0,1mg/kg/ jour. Soit pour un individu de 70kg, une dose de 7 mg/jour. Un flacon étant dosé à 2,5mg pour 1ml (20ml donnant 500 gouttes), ça fait 70 gouttes par jour. No panic !

Une bonne fois pour toutes : PAPAROINES EST UN DANGEREUX EXTREMISTES QUI N'Y CONNAIT ABSOLUMENT RIEN EN MEDECINE ET EN PHARMACO !!!!!!!!!!!!!

Depuis déjà plusieurs mois, il pollue ce forum avec ses thèses extrémistes, fondées sur quelques documentations (surtout sur le net) basées sur le complot des vilains médecins et des dangereux labos.

Encore une fois, il ne s'agit pas de dire qu'il n'existe pas d'abus, mais paparoine mélange tout, et surtout, pourrait inciter des gens qui en on t assez de leur traitement à l’arrêter, ce qui pourrait avoir de graves conséquences

Je pèse mes mots quand je dis qu'il est dangereux.

Il nous a déjà expliquer, sur d'autres topics, que le VIH n'existait pas, que les chimios étaient inutiles et dangereuses (on attends toujours qu'il nous donne SON traitement miracle contre le cancer), etc... et maintenant il nous explique que les troubles bipolaires n’existent pas !

Quand à ses délires sur les benzos, je vous propose de tout jeter de ce qu'il dit, et de s'en référer aux effets secondaires (assez nombreux et parfois graves, c'est vrais) répertoriés par les personnes compétentes.

Ce ne sont pas des traitements à prendre à la légère, mais ça on l'ai déjà dit et l'article du monde expose plutôt bien la problématique (sans doute le seul lien crédible que paparoine ait mis sur ce forum...)

Quant aux "30 gouttes de rivotril", on dit depuis le début, avec ocytocine, que ce n'est pas si énorme que ça, mais que ça dépend du poids, de l'indication, etc....

mais Mr paparoine a sans doute plus de connaissances que le VIDAL

D'ailleurs, paparoine, je vous ai posé plein de questions dont j'aimerais avoir les réponses.....j'attendrais longtemps ????

Modifié par fanfreluche
  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il y avait déjà eu un article sur le sujet en octobre 2012 :

benzodiazépines et somnifères : ces médicaments qui favorisent Alzheimer

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20110928.OBS1248/exclusif-ces-medicaments-qui-favorisent-alzheimer.html

"...

Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ?

Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer

Les politiques se doivent-ils de réagir ?

Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…

A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?

Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […] Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.

..."

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Et hop ! Le raccourci les benzos augmentent le risque de l'Alhzeimer = les benzos sont là cause de l'Alzheimer. :clapping:

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
fanfreluche Membre 821 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il y avait déjà eu un article sur le sujet en octobre 2012 :

benzodiazépines et somnifères : ces médicaments qui favorisent Alzheimer

http://www.sciencese...-alzheimer.html

"...

Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ?

Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer

Les politiques se doivent-ils de réagir ?

Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…

A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?

Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […] Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.

..."

encore une fois, rien de nouveau....et ça fait partie des nombreuses pistes de recherches sur Alzheimer....et devine quoi? tu sais qui mène ces études??? les vilains labos pas beaux !!!!!!!!!!:mur:

alors , au lieu d'enfoncer les portes ouvertes, essaie plutôt de répondre aux questions qu'on te pose....

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Sais tu que :

"La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine."

professeur Ashton

http://translate.goo.../language_tools

Et que les dépresseurs du système nerveux central sont évident déconseillés en cas de dépression ?

Le sevrage doit être fait en douceur et surtout le médecin doit l'adapter à la personne et au trouble afin justement d'en minimiser l'impact et d'éviter le syndrôme post-traumatique.

Ce que tu ne comprends pas, c'est que tu ne peux pas généraliser, mais c'est ce que tu passes ton temps à faire.

Les antidépresseurs déconseillés en cas de dépression?

Sachant que les dépressions réelles (pas les dépressions passagères) ou encore la maniaco-dépression sont très souvent dues à un problème au niveau du système nerveux, et qu'il est dans la plupart des cas impossible de les guérir, ni même de les soigner correctement avec une simple psychothérapie, sais-tu que les anti-dépresseurs sont dans ces cas la seule solution de réguler l'humeur et les émotions des gens maniaco-dépressifs?

Sans anti-dépresseurs, le taux de suicides augmentera indéniablement, c'est une réalité.

Allons bon, de la parano maintenant... Alors il faudra m'expliquer en quoi je serais personnellement concernée par tes propos pour que tu penses à de la paranoïa de ma part. Tu confirmes ce que je pense. A savoir que tu manques de distance sur le sujet. Au point que tu imagines que tous ceux qui y interviennent en manque autant que toi.

Oui, j'ai volontairement utilisé ce mot dans ce topic sur les psychotropes, je trouvais ça assez cocasse mais visiblement ma "cocasserie" est mal vue.

Euh je ne vise personne personnellement ici, mais si tu veux quand je répète la même chose 15 fois clairement, et qu'on interprète mal mes propos en me faisant dire ce que je n'ai pas dit, ça m'agace... Alors ok tu n'as pas volontairement déformé ce que j'ai dit, on ne s'est pas comprises, mais à la longue c'est énervant, t'en conviens..

Surtout quand je vois les âneries que Paparoïne est capable de sortir. (je ne parle pas de ses articles, mais des conclusions qu'il en tire)

Voilà. Le problème est là. Si les gens pouvaient un peu s'oublier dans les débats et ne pas les réduire à leur cas personnel, on trouverait bien plus souvent moyen de s'entendre.

Non justement, le problème n'est pas là.

C'est justement par des cas de proches, ou dans le cadre professionnels qu'on peut montrer l'absurdité des généralités du genre de celles de Paparoïne.

Le problème, c'est quand un type qui n 'y connaît strictement rien si ce n'est ce qu'il trouve sur le web traite tous les médecins de charlatans incompétents, et tous les "consommateurs" de zombies défoncés menés par le bout du nez.

C'est quand il dit que les benzos devraient être interdits car ils ne servent à rien et représentent seulement un danger...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les antidépresseurs déconseillés en cas de dépression?

Tu as mal lu, je pense.

J'ai écris, : les dépresseurs et non les antidépresseurs, ce qui est complétement a l'opposé.

Les benzodiazépines sont des dépresseurs du SNC, tout comme l'alcool, l'héroïne...

Les antidépresseurs, ont eux, surtout, mais pas seulement des propriétés amphétaminiques et on donc des effets totalement inverses aux dépresseurs.

Le sevrage doit être fait en douceur et surtout le médecin doit l'adapter à la personne et au trouble afin justement d'en minimiser l'impact et d'éviter le syndrôme post-traumatique.

Les médecins sont des dangers public en matière de sevrage aux benzodiazépines !!! :

"Le sevrage proposé par le corps médical en France : des méthodes inadaptées qui favorisent la rechute

Que ce soit en ambulatoire ou en milieu hospitalier (y compris dans les services spécialisés), les méthodes de sevrage que les médecins français proposent à leurs patients ne sont pas du tout adaptées à la réalité de la dépendance aux benzodiazépines. Les protocoles de sevrage sont beaucoup trop courts (sevrage en six à dix semaines maximum) et les médecins ont trop souvent tendance à prescrir d'autres psychotropes (antidépresseurs, neuroleptiques, ou une autre classe d'anxiolytiques) qui, loin de compenser le sevrage aux benzodiazépines, peuvent en aggraver à la fois les manifestations et la durée. En outre, le soutien moral, indispensable pendant cette phase difficile, est bien souvent inexistant, voire contre-productif, dans la mesure où il consiste en une psychologisation à outrance du syndrome de sevrage, dont l'origine est pourtant essentiellement physique. Les souffrances physiques du patient sont niées, ou minimisées, et ses souffrances mentales attribuées à un trouble psychique préexistant - qui, bien souvent, dans les cas où celui-ci est effectivement présent avant le sevrage, s'avère être une constellation d'effets secondaires du traitement aux benzodiazépines.

En effet, lorsque le patient en arrive à vouloir se sevrer, il est souvent dans un état de souffrance psychique qu'il confond avec un état qui lui serait propre, et qui n'est en fait que la conséquence de la prise chronique de benzodiazépines, que ce soit en raison d'effets secondaires ou paradoxaux, de l'émergence de la tolérance et donc de symptômes de sevrage avant toute tentative de sevrage, ou encore de symptômes de manque entre les doses dans le cas de traitement par benzodiazépines à demi-vie courte. -voir la section "les méfaits des benzodiazépines".

Il est donc enclin à prendre au pied de la lettre l'interprétation que le médecin fait de son état, et à en tirer des conséquences inadaptées pour le traitement de sa dépendance (sevrage trop rapide, consultations chez le psychiatre, prise de psychotropes additionnels, puisque les symptômes seraient d'origine psychosomatique).

Les implications de l'interprétation psychologisante du syndrome de sevrage par les professionnels de santé en France sont très importantes, dans la mesure où elles affectent négativement la prise en charge de la dépendance aux benzodiazépines. Le rythme trop rapide du sevrage, l'adjonction de psychotropes inutiles et dangereux en période de sevrage, la méconnaissance absolue de la réalité physique du syndrome de sevrage concourent à rendre ces méthodes impraticables. Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, que les taux de rechute après un sevrage "à la française" soient extrêmement importants.

Pourtant, il existe une méthode de sevrage simple, qui permet de minimiser les symptômes de sevrage et maximiser les chances de réussite. Il semble très surprenant que nos médecins ne soient pas formés à ces méthodes pourtant basées sur le simple bon sens. Ceci découle du fait que ni les autorités de santé, ni les médecins ne sont enclins à reconnaître la sévérité et la durabilité potentielle du syndrome de sevrage, dans la mesure où ceci les amènerait inévitablement à remettre en question des pratiques de prescription dangereuses, et pourtant inchangées depuis des décennies...."

http://benzodiazepines.onlc.fr/7-Methodes-de-sevrage.html

Modifié par paparoines
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×