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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Je suis intéressé par le sujet, mais il ne dis pas grand chose quand même dans sa vidéo.

Seulement que les personnes qui ont commit des massacres prenaient des anti-dépresseur... c'est logique, en général, avant d'en arriver là, on est suivit et on se retrouve avec un traitement.

C'est vrai, et prouvé, que les antidépresseurs enlève l'inhibition à l'action, et qu'ils sont justement prescrit pour ça.

Donc favorise les suicides et les actes violents. Mais il ne le rappelle même pas.

Puis ce qu'il raconte est quand même un peu léger, et frôle même un peu la manipulation.

Il parle de cas particuliers, des cas particuliers ne font pas une étude réelle.

Il parle à un moment d'une étude, mais ne fait que l'évoquer, alors que ça devrait être le cœur de son sujet.

Bref, je ne suis pas convaincu. :/

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Membre, 36ans Posté(e)
liloshaft78 Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

"Si c'est juste pour vous détendre, prenez un verre d'alcool ou un médicament, ça fera l'affaire" Le Dalaï Lama

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Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il y a de plus de plus de sites ou blogs de victimes des psychotropes en français et c'est une très bonne chose, même si ils sont encore trop rares.

Ces informations existaient uniquement en anglais depuis des lustres.

Merci a son auteur !!

Espérons que la population française va enfin ouvrir les yeux et les oreilles !

La France bat tout de même tous les records mondiaux en terme de nombre de victimes !

Et les prescriptions continuent, malgrè cela d'augmenter.

Les médecins qui les prescrivent en masse, sans jamais prévenir des risques, sont des dangers public et des criminels !

2 autres livres vont bientot sortir a ce sujet :

Médicaments psychotropes : confessions d'une visiteuse médicale

« Confessions of An Rx Drug Pusher » (« Confessions d’un dealer de médicaments sur ordonnance »).

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Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l'âge de vingt ans en s'immolant par le feu, mettant fin au supplice qu'était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l'industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c'est en tant qu'initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu'éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments.

Mais c'est également en tant que victime de ces derniers, qu'elle a appris à ses dépends ce qu'il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l'intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n'a de cesse aujourd'hui, à travers son site Internet et des tournées de conférences à travers les Etats-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques.

On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l'autre côté de l'Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c'est que ce qu'on appelle aujourd'hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l'anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l'intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu'il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.

la vidéo

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=kOW8LNU2hFE

"Pour ceux qui ne parlent pas anglais, voici les grandes lignes de l’intervention de Gwen Olsen, visiteuse médicale pendant 15 ans:

Son expérience est détaillée dans le livre de 2005 « Confessions of An Rx Drug Pusher » (« Confessions d’un dealer de médicaments sur ordonnance »). Au cours du temps, les firmes pharmaceutiques ont essayé de plus en plus d’occulter les informations sur les effets secondaires de leurs médicaments et de privilégier une « communication » sur les seuls aspects susceptibles d’augmenter le nombre de prescriptions. Et donc les chiffres de vente. Les visiteurs médicaux devaient se conformer, pratiquement au mot près, aux directives du service marketing/ promotion. Ils jouaient en permanence en marge de la légalité lorsqu’ils informaient les médecins.

Gwen Olsen dit la même chose que Shahram Ahari, le visiteur médical d’Eli Lilly parlant du Zyprexa, (cf. la vidéo et les commentaires dans cette note): les statistiques et les études médicales dans leur ensemble ne sont pas fiables en tant que telles ; elles sont réécrites jusqu’à ce qu’elles disent ce que le service marketing veut entendre : à savoir très grande efficacité et effets secondaires à peine existants… La visiteuse médicale explique comment il est possible de faire disparaître des effets indésirables touchant (par exemple) le système nerveux central et potentiellement sévères ou très sévères, en les divisant en sous-catégories édulcorées et banalisées qui renvoient à des états courants pouvant être causés par n’importe quoi : par le stress quotidien qui a bon dos, par exemple. Plus les effets secondaires reconnus sont vagues et non spécifiques, plus cela innocente le médicament… C’est juste un exemple de la stratégie mise en place pour désinformer et manipuler.

Et les conséquences de cette désinformation ont été des cas concrets où des patients ont subi des effets indésirables sévères allant jusqu’au décès. C’est ce qui a poussé Gwen Olsen à abandonner le métier et à dire la vérité. En épinglant aussi une agence de médicament dont la fonction ne semble plus être de protéger la santé des personnes, mais celle financière des firmes, par exemple à travers les modalités douteuses d’homologation d’un médicament (autorisation de mise sur la marché ou AMM). Olsen a entendu plus d’une fois des représentants des firmes pharmaceutiques parler de « leurs amis » ou de « leurs hommes » à la FDA (agence américaine du médicament / de sécurité sanitaire).

Une chose très intéressante qui montre le cercle vicieux dans lequel nous enferme l’industrie pharmaceutique : Gwen Olsen a vendu aussi toutes sortes de médicaments utilisés en psychiatrie, des antidépresseurs aux antipsychotiques. Et elle a dû se rendre à l’évidence : beaucoup de troubles comportementaux, d’états dits « anormaux », d’anxiété, de dépression, de tendances suicidaires, etc. étaient en fait des effets indésirables des psychotropes prescrits au départ. Et ces troubles entraînaient à leur tour la prescription d’autres psychotropes, dans une escalade perpétuelle, associée à des diagnostics de maladies de plus en plus sévères…

Quant aux patients hospitalisés et traités par des médications psychiatriques plus lourdes, Olsen se rend compte qu’elle contribue à induire et à entretenir ce qu’on appelle un « revolving door syndrome », une sorte de va-et-vient dans la récidive, avec une escalade médicamenteuse. Elle apprend l'existence du phénomène lors de son "éducation" par la firme McNeil Pharmaceuticals, c'est dire à quel point les laboratoires n'ignorent rien de ce qui se passe en réalité... Puis elle constate la réalité de ce syndrome en pratique, lors des visites médicales faites dans des établissements psychiatriques. Les patients en internement psychiatrique ne guérissent pas, ne vont pas considérablement mieux, mais reviennent souvent. Et à chaque nouvelle hospitalisation, ils sont plus diminués que lors de l’admission précédente. Et la visiteuse médicale ne se ment plus à elle-même lorsqu’elle voit ces personnes perdre de plus en plus de fonctions et de capacités neuropsychologiques : les médicaments en question endommagent les fonctions cérébrales. (On peut supposer qu'il s'agit surtout des antipsychotiques et des neuroleptiques, mais la même Gwen Olsen incrimine - dans une autre intervention - certains effets indésirables des antidépresseurs, tellement bien occultés que les médecins n'en connaissent (ou reconnaissent) pas l'existence et disent que cela ne peut pas arriver... On reviendra plus tard là-dessus.)

Gwen Olsen raconte aussi comment les firmes éduquent les visiteurs médicaux à faire du profilage : Bristol Myers Squibb lui a appris, par exemple, à dresser le profil des médecins qu’elle avait pour clients en fonction de leurs traits de personnalité. Et ce pour savoir quelle est l’approche la plus fructueuse, celle qui les amènera à prescrire les médicaments voulus. Certains veulent penser que toute idée leur appartient, d’autres attendent des flatteries, d'autres encore ont une approche plutôt "analytique" et demandent les études et les statistiques... D'autres encore veulent simplement faire plaisir et feront ce qu'on leur demandera gentiment de faire... Etc. Tous se pensent supérieurs à la visiteuse médicale et/ou indépendants dans leurs décisions. Et quasiment tous font ce qu’elle leur suggère plus ou moins directement, en employant la méthode d'influence qui correspond le mieux à leur profil.

Olsen nous confirme que l'industrie pharmaceutique discrédite toute personne et toute association ou initiative qui tentent de lever un coin du voile de désinformation concernant les psychtotropes: ainsi, les employeurs de Gwen Olsen lui répètent à chaque fois que les critiques - souvent des victimes et leurs familles et les médecins qui les soutiennent - font tous partie de la secte des scientologues qui veut détruire la psychiatrie dans son ensemble. Ou alors les critiques sont tout simplement des fous...

A dompter par une camisole chimique, peut-être? Pour créer cette "normalité artificielle" qui uniformise, met tout le monde au pas et étouffe d'emblée toute pensée critique, comme nous l'avons dit dans les notes rassemblées sous la catégorie "Normalité, contrôle social, culture psy"?"

Source :

http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/05/28/15-ans-de-visite-medicale-et-beaucoup-de-choses-a-dire-sur-l.html

Une autre de ses vidéos a été sous titrée en français :

Et :

couverture-avec-la-rose.jpg?fx=r_400_600

effet secondaire : la mort (Sans corruption pas de médicaments)

http://www.effet-secondaire.fr/

Est un livre du docteur j Virapen qui s'exprime dans cette article :

Une médecine corrompue

Les machinations illégales du cartel pharmaceutique

....

L’émission ZDF « Frontal 21 » ne mâche pas ses mots

Dans l’émission de la chaîne de télévision allemande ZDF « Frontal 21 » du 9 décembre 2008, le lobby pharmaceutique extrêmement puissant n’a pour une fois pas été ménagé. Les machinations du secteur pharmaceutique ont été démasquées et qualifiées de « méthodes mafieuses ». Tous les bas-fonds autour du magouillage ont été intitulés « réseau de la corruption ». L’émission montre un extrait du monde pharmaceutique quotidien et révèle sans fard ses méthodes de marketing sans scrupules. Dans l’émission, d’anciens managers déballent des informations internes, et on révèle comment les représentants de l’industrie pharmaceutique achètent systématiquement des médecins, politiciens, médias et même des groupes d’entraide. Tout ce qui ne va pas dans le sens de l’industrie pharmaceutique est combattu par tous les moyens afin que cela ne parvienne pas au public. Ceci tout à fait dans l’esprit des « dix commandements » de Thomas Ebeling, ancien CEO de Novartis: « Do whatever it takes: Kill to win – no prisoners » (« Fais tout ce qu’ il faut: tue pour gagner – pas de quartier! »). Il a insisté là-dessus dans des exposés et l’a écrit dans la publication interne de l’entreprise du « plan de bataille » pour les stratégies de marketing de Novartis.

(Rester) sur le marché à tout prix

L’émission montre que l’augmentation de la suicidalité suite à la prise de ZOLOFT® (un antidépresseur récent de Pfizer) a été voilée et passée sous silence pendant des années. Ensuite le cheminement du PROZAC® (un antidépresseur d’Eli Lilly) est montré, jusqu’à l’homologation en Europe. John Virapen, ancien directeur d’Eli Lilly Suède, qui était responsable de la réalisation de l’homologation de PROZAC®, s’est mis à disposition pour une interview. Il a expliqué alors comment il avait graissé la patte aux autorités d’homologation pour pouvoir faire homologuer PROZAC®, et comment il a négocié par des machinations corrompues un prix de lancement élevé pour le médicament. Il a dit franchement lors de l’interview: « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! ».

Publicité illégale pour les médicaments

le pseudo médicament VOLAZIN

La publicité directe pour les médicaments vendus sur ordonnance est encore interdite (pour le moment). Naturellement, ceci n’empêche pas les groupes pharmaceutiques de vanter aux consommateurs leurs nouveaux médicaments, par le biais d’articles bien emballés, supposément rédactionnels. Un reportage apparemment bien recherché est présenté aux consommateurs dans des revues. Ce reportagevante l’effet soi disant positif du médicament. Bien entendu, les inconvénients et les effets secondaires ne sont même pas mentionnés. Et pour couronner le tout, cette publicité cachée est encore étayée par des affirmations positives de scientifiques (achetés). L’émission « Frontal 21 » voulait savoir à quel point il est facile de corrompre les médias pour ses propres intérêts. A cet effet elle a fondé une entreprise bidon et envoyé un représentant d’un médicament fictif du nom de VOLAZIN dans différentes rédactions. Les entretiens ont été filmés par caméra cachée. Le résultat était décevant. Les maisons d’édition visitées (Apotheken-Umschau, 19 millions de lecteurs en Allemagne/ Verlag Condé Nast, revues: Vanity Fair, Vogue, GQ, Glamour, myself,.../Bauer M

edia Groupe, plus de 300 revues: Tina, Laura, Neue Post, TV-Movie, Bravo, ...)mentionnaient l’interdiction de publicité pour les médicamentsrendus sur ordonnance. Mais toutes ont offert en quelques secondes une possibilité de publier malgré tout cette publicité illégale camouflée sous forme de reportage rédactionnel (p. ex. « Gesundheitsspezial »). Des prix pour la publication ont été cités, et, très important, la liberté absolue du contenu (rédactionnelle) a été garantie. Quelques jours plus tard, les premières propositions de layout d’une des rédactions arrivaient déjà. Les revues spécialisées scientifiques sont également achetables Dans la commercialisation de médicaments, l’industrie pharmaceutique poursuit des chemins aventureux. Ainsi qu’il est ressorti récemment d’une procédure judiciaire en raison des effets secondaires importants du médicament Vioxx, le groupe pharmaceutique Merck a payé la maison d’édition médicale Elsevier pour l’édition d’une revue publicitaire camouflée en revue spécialisée indépendante. Celle-ci contenait principalement des « études » dans le sens des intérêts de commercialisation de Bayer. Le numéro 2 de cette revue contenait 29 études. Parmi celles-ci, plus de 20 traitaient des médicaments de Merck (9 d’entre elles de Vioxx). Toutes les études ne servaient qu’à présenter les médicaments

comme inoffensifs et efficaces. Il s’est avéré en outre que la maison d’édition scientifique Elsevier a fait

financer au moins 6 autres revues spécialisées par des entreprises pharmaceutiques.

Elsevier n’est pas n’importe quelle maison d’édition insignifiante, mais celle qui domine pratiquement la littérature spécialisée médicale. Elle édite entre autres « The Lancet », « The American Journal of medicine », « European Journal of Cancer », « Epidemics » et quelque 800 autres publications spécialisées médicales. Elsevier informe (ou désinforme) ainsi une grande partie du monde spécialisé médical au sujet des dernières découvertes de la médecine

Les rouages de la loi commencent lentement à tourner

Des méthodes de marketing trompeuses et illégales, la mise sous silence et la minimisation des

effets secondaires ainsi que des méthodes publicitaires trompeuses et illégales sont à l’ordre du

jour. Les groupes pharmaceutiques ont pu procéder ainsi pendant des d

écennies sans la moindre crainte de demandes de recours. Mais en raison de leur avidité croissante, leurs machinations sont parvenues toujours davantage aux oreilles du public. Quelques procès ont déjà été réalisés, et même si les groupes pharmaceutiques peuvent pour le moment encore payer les frais judiciaires de la « petite caisse », la pression sur eux augmente toujours un peu plus, même si c’est lent

Quelques exemples :

• en 2008, la filiale de Novartis, Sandoz, a été condamnée à verser environ 38 millions de francs en raison de manipulations frauduleuses sur les prix. De nombreuses procédures sont encore en suspens contre Novartis

• En 2008, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a été condamné pour manipulations frauduleuses sur les prix à la charge des caisses sociales publiques, à payer une indemnité d’environ 46 millions de francs et une amende qui s’est finalement élevée à quelque 138 millions de francs

• Bien qu’elle n’ait pas pu être condamnée juridiquement (quel que soit le pouvoir qui l’en empêchait), Bayer a payé jusqu’en 2007 environ 1,35 milliard de francs à des patients lésés et à des descendants des défunts en conséquence de leur hypocholestérolémiant Lipobay/ Baycol

• Entre 2003 et 2007, GlaxoSmithKline a été condamnée dans le cadre de plusieurs procès suite à des manipulations frauduleuses sur les prix à payer environ 370 millions de francs • Roche a été condamnée par divers tribunaux entre 1999 et 2001 pour « conspiration criminelle » et entente illégale sur des prix, à payer la contrevaleur de plus d’un milliard de francs

http://www.kiombo.com/pmes/pdf/mode_emploi_pharma_tricher_patients.pdf

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Membre, 36ans Posté(e)
liloshaft78 Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Merci Paparoines de me croire, ya trop peu de gens qui me croient aujourd'hui.

Je me répète, mais je crois surtout pas à ce genre de procédés de médicamentations.

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Membre, 36ans Posté(e)
liloshaft78 Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Disons que les médicaments c'est pour étouffer le patient.

C'est un peu une manière de cacher la Nature des gens.

Mais comme dit le dicton, "Chasser le naturel, il revient au galop."

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 287 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

C'est clair tu as raison : lorsque quelqu'un atteint d'une pathologie lourde t'aura refilé 20 coups de couteau (mais gentiment hein ?) tu reverras ta copie tu sais.

En ce qui concerne des maladies moins sévères, oui, il existe des effets secondaires. Lorsque tu prends du doliprane tu peux y perdre ton foie, bah oui, le "bénéfice-risque" du médicament, de tous les médicaments.

Je ne nie pas en revanche qu'il existe un lobby pharmaceutique puissant et que certains médecins sont idiots. Seulement, ils ont la trouille maintenant. Alors ils prescrivent. Lorsqu'ils peuvent se retrouver au tribunal parce qu'ils n'ont pas prévu et géré la crise d'un patient, on comprend qu'ils prescrivent...

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Membre, 36ans Posté(e)
liloshaft78 Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

La médecine soigne, mais ne guérira jamais

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Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est clair tu as raison : lorsque quelqu'un atteint d'une pathologie lourde t'aura refilé 20 coups de couteau (mais gentiment hein ?) tu reverras ta copie tu sais.

Sais tu que la violence, les meurtres et les suicides sont très souvent provoqués par les drogues pstchiatriques ?

Et que la plupart des victimes n'ont jamias, avant traitement eut d'antécédent, de violence.

pour les neuroleptiques :

http://neuroleptiques.sosblog.fr/victimes-b1/neuroleptiques-suicides-violences-et-morts-b1-p71.htm

Pour les antidépresseurs :

http://lespilulesquituent.sosblog.fr/Premier-blog-b1/liens-scholl-shootings-fusillades-dans-les-ecoles-violences-et-suicides-b1-p80.htm

Et que c'est le cas pour toute les drogues psychiatriques !

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

"Si c'est juste pour vous détendre, prenez un verre d'alcool ou un médicament, ça fera l'affaire" Le Dalaï Lama

Oui, nan mais là il parle de la pratique du bouddhisme :sleep: je le comprend. ^^

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Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je suis intéressé par le sujet, mais il ne dis pas grand chose quand même dans sa vidéo.

Seulement que les personnes qui ont commit des massacres prenaient des anti-dépresseur... c'est logique, en général, avant d'en arriver là, on est suivit et on se retrouve avec un traitement.

C'est vrai, et prouvé, que les antidépresseurs enlève l'inhibition à l'action, et qu'ils sont justement prescrit pour ça.

Donc favorise les suicides et les actes violents. Mais il ne le rappelle même pas.

Puis ce qu'il raconte est quand même un peu léger, et frôle même un peu la manipulation.

Il parle de cas particuliers, des cas particuliers ne font pas une étude réelle.

Il parle à un moment d'une étude, mais ne fait que l'évoquer, alors que ça devrait être le cœur de son sujet.

Bref, je ne suis pas convaincu. :/

Les antidépresseurs ont des propriété amphétaminiques.

Hors ont sait depuis très longtemps que les amphétaminiques provoquent de la violence et des suicides chez les personnes n'ayant aucun problème particulier.

Voici un site qui recense 5000 histoires et drames attribués aux drogues psychiatriques et aux antidépresseurs en particulier :

http://www.ssristories.org/

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Je le sais très bien.

Je parlais de la vidéo. Pas des anti-dépresseurs. ;)

Je dis surtout qu'il inverse les causalités, et prend des cas particulier comme s'ils montraient quelque chose.

Le fait qu'un type fasse un massacre ET qu'il prenne des anti-dépresseur ne fait pas une preuve que c'est l'anti-dépresseur qui lui a fais faire son massacre.

Pourtant, il en existe, des preuves et des études sérieuses. Il ne fait qu'à peine l'évoquer, subrepticement. Alors que son argumentaire devrait être basé dessus.

Sa façon de montrer les choses n'est pas pertinente. Et ne sert pas cette cause qui mériterai un argumentaire un peu plus sérieux, et un peu moins manipulatoire.

Dis autrement, cette vidéo ne cherche pas à convaincre ou faire connaître le problème. Elle cherche à faire plaisir à ceux qui sont déjà d'accord. Et qui connaissent déjà le problème.

Et à ces gens là, elle ne leur apporte rien de nouveau. Si ce n'est qu'il a écrit un bouquin qui en parle.

Donc bon, je ne suis pas convaincu.

Même pour acheter son bouquin. Si le type part comme ça pour expliquer le phénomène, ça ne donne pas vraiment envie de l'acheter.

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Membre, Posté(e)
paparoines Membre 293 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Dis autrement, cette vidéo ne cherche pas à convaincre ou faire connaître le problème. Elle cherche à faire plaisir à ceux qui sont déjà d'accord. Et qui connaissent déjà le problème.

Il semble en effet manifeste qu'il ne veut pas trop se "mouiller".

La peur des labos et de la profession médicale qui les prescrit est très très présente en France.

Son livre est malgrè tout une avancé en France ou il ne s'y passe quasi rien allant dans ce sens.

Ce qui n'est pas le cas chez les anglophones :

rbook_the_shooting_drugs.jpg

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Membre, 36ans Posté(e)
liloshaft78 Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Oui, nan mais là il parle de la pratique du bouddhisme :sleep: je le comprend. ^^

Aucune pilule au monde ne vous apprendra à être heureux.

On n'apprends que par l'expérience

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Membre, Zigbu, 77ans Posté(e)
Zigbu Membre 6 639 messages
77ans‚ Zigbu,
Posté(e)

Il y a une chose que j'ai relevée dans la vidéo : "90% des psychotropes sont prescrits par des généralistes". Les généralistes sont des spécialistes en tout qui ne sont spécialistes en rien. Mon père qui avait subi une grave dépression (deux ans au fond du trou) a rechuté quelques années plus tard. Suivi par un généraliste, il s'est suicidé trois semaines plus tard ! On ne rigole pas avec la dépression. Il y a des spécialistes pour cela. Des bons et des moins bons. J'ai connu les deux étant moi même dépressif (mais je me soigne).

On dira ce qu'on voudra sur les antidépresseurs, mais ils m'ont sorti d'affaire : Après plusieurs séjours en H.P je suis "tombé" sur un psy qui n'avait pas d'apriori sur les médocs. ça a duré des années mais à chaque fois que je le voyait (ou presque), si ça n'allait pas mieux, il augmentait la dose jusqu'à trouver le bon dosage qui m'a permis de refaire surface. Cela fait maintenant plusieurs années que je me porte très bien et je remercie ce psy de m'avoir sorti de là.

Pour ceux qui ne connaissent pas (heureusement pour eux), il faut savoir que la dépression, la vraie, pas le coup de blues, est extrêmement douloureuse. C'est une douleur mentale que rien ne peut soulager comme un mal de tête ou d'estomac. Elle vous ronge jour et nuit(en plus, on dort très mal). On a envie d'en finir (le suicide est notre compagne journalière) mais la nature fait qu'on "résiste" jusqu'au moment ou elle devient tellement insupportable, qu'on passe à l'acte. C'est difficilement descriptible, il faut l'avoir vécu pour comprendre combien c'est dur.

Alors, pour les gens bien intentionnés qui voudraient aider un dépressif, surtout, ne dites jamais, je dis bien JAMAIS à un dépressif : "Bouge toi, fais quelque chose...", c'est la pire chose qu'on puisse leur dire. Se bouger, faire quelque chose, quand on est dans le trou, c'est ce à quoi on aspire le plus fortement, mais c'est le principe même de la dépression, on ne peut, ni n'a envie de faire quoique ce soit.

Les psychotropes ont peut être été mis en cause dans tous ces cas évoqués dans la vidéo, mais, qu'Est-ce qui dit qu'il n'auraient pas eu lieu malgré tout ? Combien de suicide ont été évités grâce à eux ?

Aucune pilule au monde ne vous apprendra à être heureux.

On n'apprends que par l'expérience ça, c'est l'exemple type de la personne qui est bien dans sa peau et qui ne comprendra jamais ce que ressent un dépressif !

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Invité Jim69
Invités, Posté(e)
Invité Jim69
Invité Jim69 Invités 0 message
Posté(e)

tiens en parlant de dépressif \o/

De ce que je lis de zigbu, j'ai l'impression que c'est un peu héréditaire.

Ma mère dépressive, moi aussi... ça me donne vraiment cette impression.

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Membre+, 53ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 53ans‚
Posté(e)

Il y a une chose que j'ai relevée dans la vidéo : "90% des psychotropes sont prescrits par des généralistes". Les généralistes sont des spécialistes en tout qui ne sont spécialistes en rien. Mon père qui avait subi une grave dépression (deux ans au fond du trou) a rechuté quelques années plus tard. Suivi par un généraliste, il s'est suicidé trois semaines plus tard ! On ne rigole pas avec la dépression. Il y a des spécialistes pour cela. Des bons et des moins bons. J'ai connu les deux étant moi même dépressif (mais je me soigne).

On dira ce qu'on voudra sur les antidépresseurs, mais ils m'ont sorti d'affaire : Après plusieurs séjours en H.P je suis "tombé" sur un psy qui n'avait pas d'apriori sur les médocs. ça a duré des années mais à chaque fois que je le voyait (ou presque), si ça n'allait pas mieux, il augmentait la dose jusqu'à trouver le bon dosage qui m'a permis de refaire surface. Cela fait maintenant plusieurs années que je me porte très bien et je remercie ce psy de m'avoir sorti de là.

Pour ceux qui ne connaissent pas (heureusement pour eux), il faut savoir que la dépression, la vraie, pas le coup de blues, est extrêmement douloureuse. C'est une douleur mentale que rien ne peut soulager comme un mal de tête ou d'estomac. Elle vous ronge jour et nuit(en plus, on dort très mal). On a envie d'en finir (le suicide est notre compagne journalière) mais la nature fait qu'on "résiste" jusqu'au moment ou elle devient tellement insupportable, qu'on passe à l'acte. C'est difficilement descriptible, il faut l'avoir vécu pour comprendre combien c'est dur.

Alors, pour les gens bien intentionnés qui voudraient aider un dépressif, surtout, ne dites jamais, je dis bien JAMAIS à un dépressif : "Bouge toi, fais quelque chose...", c'est la pire chose qu'on puisse leur dire. Se bouger, faire quelque chose, quand on est dans le trou, c'est ce à quoi on aspire le plus fortement, mais c'est le principe même de la dépression, on ne peut, ni n'a envie de faire quoique ce soit.

Les psychotropes ont peut être été mis en cause dans tous ces cas évoqués dans la vidéo, mais, qu'Est-ce qui dit qu'il n'auraient pas eu lieu malgré tout ? Combien de suicide ont été évités grâce à eux ?

Aucune pilule au monde ne vous apprendra à être heureux.

On n'apprends que par l'expérience ça, c'est l'exemple type de la personne qui est bien dans sa peau et qui ne comprendra jamais ce que ressent un dépressif !

:plus:

Ce que beaucoup ne comprennent pas c'est que les antidépresseurs ne soignent pas la dépression, ils réduisent les symptômes de façon à rendre la vie un peu plus supportable, c'est tout. Une sorte d'antalgique.

Et d'ailleurs les psychotropes sont utilisés pour contrer les douleurs neuropathiques (dans des douleurs chroniques et beaucoup de cancers).

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Invité Out of Paprika
Invités, Posté(e)
Invité Out of Paprika
Invité Out of Paprika Invités 0 message
Posté(e)

Merci pour le témoignage, sensé et sincère.

Oui c'est une vraie maladie, et oui la chimie permet de reprendre une vie quasi normale, plutôt que tourner en rond enfermé dans une boîte crânienne qu'on n'arrive plus à gérer.

Entre accepter de vivre un peu "sous contrôle" une vie qui vaut la peine et choisir de rester la tête dans le guidon jusqu'à ce que mort s'en suive, je crois que le choix est vite fait.

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Membre, Zigbu, 77ans Posté(e)
Zigbu Membre 6 639 messages
77ans‚ Zigbu,
Posté(e)

Tu as raison out of paprika, je vis avec mes médicaments que je n'arrêterai pour rien au monde même si on me certifiait que je n'en ai plus besoin (ce qui est sans doute le cas), j'ai trop peur de replonger.

Jim69 l'hérédité a été reconnue pour cette maladie, il n'y a pas longtemps. Ce n'est pas pour cela qu'il faut te mettre à trembler en pensant que tu vas "tomber". Ceci dit, fais le nécessaire pour que cela n'arrive pas.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Les antidépresseurs ont des propriété amphétaminiques.

Hors ont sait depuis très longtemps que les amphétaminiques provoquent de la violence et des suicides chez les personnes n'ayant aucun problème particulier.

Voici un site qui recense 5000 histoires et drames attribués aux drogues psychiatriques et aux antidépresseurs en particulier :

http://www.ssristories.org/

Je suis désolé mais tout ce que ce site fait, c'est raconter des histoires de personnes sous médicaments qui ont été impliquées dans des drames.

La causalité n'est absolument pas démontrée, d'autant que le simple fait d'être sous ces médicaments implique déjà de ne pas aller bien.

C'est un peu facile de dire médicament => suicide/violence alors que le schéma dépression|merde psy => médicament et dépression|merde psy => suicide/violence paraît beaucoup plus logique.

Il est exact que les anti-dépresseurs peuvent causer des dégâts, comme une véritable zombification des personnes. De même que les thymo-régulateurs, d'ailleurs, surtout lorsqu'ils sont consommés sur de longues durées. Il est également exact que nous nous trouvons dans une société avec de nombreux abus pharmaceutique & psychiatriques. Mais tomber dans l'excès inverse et considérer qu'ils sont des causes me semble une vraie méconnaissance du sujet.

Aucune pilule au monde ne rend heureux, mais certaines pilules permettent de ne pas rendre fou.

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