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De l'utilisation du minoritarisme comme dogme politique

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Savonarol

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Puis-je me permettre de rappeler que toutes ces mesures ont été instaurées par votre République adorée? Eh oui. C'est Napoléon, et la République a perpétué ensuite, qui a fait de la femme un être mineur perpétuel.

Alors avant de conspuer les "âges sombres", rappelez-vous qui a vraiment tapé sur les femmes.

Ah oui, excusez-moi, je vais aller m'excuser auprès de Gentileschi et dire à sa tombe qu'elle était valorisée socialement. Après je brancherai une dynamo dessus parce qu'elle va se retourner tellement qu'on va pouvoir avoir de quoi éclairer la planète en énergie propre pour quelques années. (thx PT)

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Membre, Marchombre, 33ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
33ans‚ Marchombre,
Posté(e)

Disons que quand un hétéro explique aux gays qu'ils n'ont pas de soucis alors que les gays signalent que si, curieusement, il paraît logique d'écouter les gays.

De même qu'il paraît logique d'écouter les femmes quand au sexisme qu'elles subissent nettement plus que les hommes qui viennent expliquer qu'il n'existe pas.

Donc il serait aussi logique d'écouter les hommes qui disent qu'il est plus dur d'être un homme aujourd'hui? On va aller loin, avec ça.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Il est tout à fait certain qu'il est plus dur d'être un homme aujourd'hui qu'autrefois. Personne ne le nie.

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)
Or, tu ne pourra le nier, ils sont considérées comme "dégradant", "honteux". Rares sont les femmes qui acceptent simplement l'idée que les hommes puissent exprimer leur désirs ou les manifester à leur manière. ça devrait être uniquement être fait selon ce qu'elles permettent. Tout doit leur être soumis, et surtout le comportement sexué des hommes.

C'est castrateur, et la marque de la claire domination des femmes sur les hommes dans notre société.

Je le nie.

Quand je vois des hommes à l'Assemblée nationale siffler Mme Duflot en robe, je le nie.

Quand je vois dans la cité les gamines en jogging, brider leur féminité, quand je vois des femmes cadres ou d'affaire en tailleur strict pour s'imposer, je le nie.

Quand je vois des discriminations à l'embauche parce que Mme a des enfants ou est susceptible d'en avoir (on m'a demandé à plusieurs reprises dans des entretiens si je comptais en avoir, direct, ce qui n'arrive jamais aux hommes), je le nie.

Etc. Etc.

Oh, on peut trouver des situations où un homme est brimé, c'est sûr et certain, mais rien ne prouve que ce soit "totalement" (sic) de manière qualitative et quantitative.

Tu vois, je te parle des problèmes que peuvent subir les hommes, et tu les nies parce que les femmes en subissent aussi.

Or personne ne nie ce que les femmes subissent, ni que c'est répandue. Par contre, toi, tu nie en bloc ce que les hommes subissent, ou le fait que ça pourrait être important.

Allant jusqu'à nier le taux de suicide 4 fois supérieur des hommes. Qui, je suis désolé, mais est assez équivoque.

Question : Comment me considérerai tu si je niais que les problèmes des femmes liées à leur conditions soit significatif ?

Et PS : les femmes ne brident pas leur féminité aujourd'hui en mettant un jogging. Et si on parle d'adolescent, la transformation de leur corps est suffisamment impactante pour ne pas considérer que c'est une volonté des hommes sur les femmes.

Et si la question est encore posée en entretiens, ça ne signifie pas qu'elle ai un réel impact. De toute façon tout le monde sais très bien ce qu'il faut répondre pour leur plaire.

Modifié par Titsta
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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Par contre, toi, tu nie en bloc ce que les hommes subissent, ou le fait que ça pourrait être important.

MDR

Relis-moi.

Ou plutôt non, laisse tomber, c'est impossible d'avoir un débat constructif avec toi, tu planes dans un monde éthéré et surtout tu m'attribues des opinions contraires, ce post en est la preuve.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Il est tout à fait certain qu'il est plus dur d'être un homme aujourd'hui qu'autrefois. Personne ne le nie.

Il est plus compliqué d'être intègre aujourd'hui , tout sexe, race, religion confondu puisque les notions morales font " de droite" ou "réac" si tôt qu'on les prononce. En fait , tout ce qui engendre un rapport de force est taxé à priori de dogme fascisant ou réactionnaire. Donc l'honneur, l'élévation, la distinction, l'humour, l'héritage; l'intériorité, de la hiérarchie sont remplacés par le relativisme, la vulgarité, l'uniformité, la lourdeur, le reniement des origines,le patos et l'égalitarisme abstrait.

Tuer la pudeur, remplacer féminité par féminisme, attribuer la nostalgie à la ringardise, l'harmonie par la lutte de chacun pour son petit bout de steak.

Et puis garder le sens du tragique pour ne pas se laisser envahir par n'importe quel élément perturbateur autour duquel on cristalisera nos névroses et qui fera qu'on passera sa vie à "sécuriser" son espace vitale au lieu d'y vivre, ne récoltant que le regard méprisant de ceux qui n'auront plus qu'à constater notre lâcheté.

Ce scission des caractères se voit trop bien dans ce topic...

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

D'un autre côté, quand on voit comment les associations LGBT classifient les "actes homophobes"...

Le simple fait d'être choqué par des propos est, d'après eux, être victime d'homophobie.

Donc les chiffres...

Est-ce qu'on parle dans les médias d'hétérophobie ?

On peut aussi imaginer que les agressions racistes en France aussi importante que le nombre de chômeurs en spéculant sur le fait que les agressés ne se déclarent pas, mais on ne pas établir des statistiques autour d'un doute ou d'un fantasme alors qu'on établie la politique sérieuses autour de faits.

Quoiqu'il en soit, être homosexuel n'est globalement pas un problème en France , être chômeur l'est déjà beaucoup plus; et ce dans le monde entier.

Pas globalement soit, mais ce n'est pas non plus un nombre qui fait l'importance. Qu'il y ait peu de cas de tuberculose n'en fait pas moins un problème de santé publique. Un homosexuel ne doit pas être considéré comme différent d'un hétérosexuel au point d'être discriminé voire agressé, il n'est pas un danger pour la société (au moins globalement, tu peux le reconnaîtrehehe3.gifbiggrin.gif).

Allant jusqu'à nier le taux de suicide 4 fois supérieur des hommes.

Je ne le nie pas. Cependant est-ce que ce chiffre s'explique par le fait que les hommes ne sont pas des femmes (et subissent la domination fémininewhistling1.gif) ou parce qu'ils réagissent différemment à la pression ?

Le nombre de dépressions est supérieur chez les femmes (deux fois plus), si on va par là... Ton raisonnement ne mène nul part.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Un suicidaire est un dépressif qui passe à l'acte.

Le dépressif finit à l'HP et/ou sur le divan d'un psy.

Le suicidaire se pend dans sa grange pour les "rats des champs", se jette sous le métro pour "les rats des villes".

Modifié par Alain75
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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Pas globalement soit, mais ce n'est pas non plus un nombre qui fait l'importance. Qu'il y ait peu de cas de tuberculose n'en fait pas moins un problème de santé publique. Un homosexuel ne doit pas être considéré comme différent d'un hétérosexuel au point d'être discriminé voire agressé, il n'est pas un danger pour la société (au moins globalement, tu peux le reconnaîtrehehe3.gifbiggrin.gif).

Bah j'ai jamais pensé qu'un homosexuel était dangereux pour la société, je ne peux que constater au cours de ma vie que les homosexuels que j'ai rencontré n'ont jamais été mal perçus par leur entourage, et pourtant je viens d'un bon gros village bien France profonde, et je n'ai jamais entendu de remarque "homophobe" dans mon enfance, si bien que je n'ai appris la définition du mot "homophobie" qu'en 2005, de la bouche d'un gay du XVe en mal de lutte politique. Ca m'a toujours semblé grotesque, les homos que je connaissais étaient d'abord sympas et accessoirement homos, mais en aucun gars "stigmatisés", même par les pires hommes des cavernes du village. Les affaires de cul sont toujours restées personnelles et personne n'aurait osé faire des remarques désobligeantes et ancrée politiquement en public. Quand on abordait ce sujet, entre potes (les homos) on faisait bien attention à employer des mots choisis parce qu'on était justement pas des salauds d'intolérants, et que c'était clair pour tout le monde que les gens faisaient ce qu'ils voulaient.

Un problème de santé publique est un problème de santé publique, mais traiter le rhume comme si c'était le SIDA me paraît juste disproportionné et cache une bonne grosse manipulation de l'opinion publique, comme bien souvent. Pour vendre des vaccins d'un coté, ou pour rouler les gogos dans la farine en inventant de toutes pièces une lutte qui n'a aucune raison d'être.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Bah j'ai jamais pensé qu'un homosexuel était dangereux pour la société, je ne peux que constater au cours de ma vie que les homosexuels que j'ai rencontré n'ont jamais été mal perçus par leur entourage, et pourtant je viens d'un bon gros village bien France profonde, et je n'ai jamais entendu de remarque "homophobe" dans mon enfance, si bien que je n'ai appris la définition du mot "homophobie" qu'en 2005, de la bouche d'un gay du XVe en mal de lutte politique. Ca m'a toujours semblé grotesque, les homos que je connaissais étaient d'abord sympas et accessoirement homos, mais en aucun gars "stigmatisés", même par les pires hommes des cavernes du village. Les affaires de cul sont toujours restées personnelles et personne n'aurait osé faire des remarques désobligeantes et ancrée politiquement en public. Quand on abordait ce sujet, entre potes (les homos) on faisait bien attention à employer des mots choisis parce qu'on était justement pas des salauds d'intolérants, et que c'était clair pour tout le monde que les gens faisaient ce qu'ils voulaient.

Un problème de santé publique est un problème de santé publique, mais traiter le rhume comme si c'était le SIDA me paraît juste disproportionné et cache une bonne grosse manipulation de l'opinion publique, comme bien souvent. Pour vendre des vaccins d'un coté, ou pour rouler les gogos dans la farine en inventant de toutes pièces une lutte qui n'a aucune raison d'être.

Oui, mais là, tu réagis par ton expérience personnelle. Si je fais pareil, j'obtiens l'inverse. Moi j'ai un ami homo qui s'est fait tabasser à la sortie d'une boîte gay (une côte cassée, une dent perdue) en se faisant traiter de sale pédé. Je n'ai aucun ami hétéro qui s'est fait tabasser à la sortie d'une boîte en se faisant traiter de sale hétéro (ni tabasser tout court, mais je pense que ça doit arriver à d'autres). Concrètement, puisque les affaires de cul sont personnelles, nous sommes bien d'accord là-dessus, qu'un homo subisse ça, ce n'est pas quelque chose qui n'a aucune importance. Je suis d'accord avec toi que le nombre de chômeurs est plus préoccupant - on peut aussi se faire tabasser pour plein d'autres raisons - mais ce n'est pas une raison pour fermer les yeux. Parce qu'à ce moment là, il y a beaucoup de de problèmes graves peu fréquents qu'on balaierait d'un geste - et ça c'est grave.

Après, je suspecte pas mal que focaliser l'opinion sur les minorités, les petites communautés, etc. c'est détourner l'attention. Mais même si ta théorie se tient, les femmes sont nombreuses et vivent plus longtemps, les considérer comme victimes du patriarcat n'en fait pas un outil suffisant de manipulation de masse ; elles constituent une masse, et surtout elles ne sont pas majoritaires à être féministes.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Oui, mais là, tu réagis par ton expérience personnelle. Si je fais pareil, j'obtiens l'inverse. Moi j'ai un ami homo qui s'est fait tabasser à la sortie d'une boîte gay (une côte cassée, une dent perdue) en se faisant traiter de sale pédé. Je n'ai aucun ami hétéro qui s'est fait tabasser à la sortie d'une boîte en se faisant traiter de sale hétéro (ni tabasser tout court, mais je pense que ça doit arriver à d'autres). Concrètement, puisque les affaires de cul sont personnelles, nous sommes bien d'accord là-dessus, qu'un homo subisse ça, ce n'est pas quelque chose qui n'a aucune importance. Je suis d'accord avec toi que le nombre de chômeurs est plus préoccupant - on peut aussi se faire tabasser pour plein d'autres raisons - mais ce n'est pas une raison pour fermer les yeux. Parce qu'à ce moment là, il y a beaucoup de de problèmes graves peu fréquent qu'on balaierait d'un geste - et ça c'est grave.

Après, je suspecte pas mal que focaliser l'opinion sur les minorités, les petites communautés, etc. c'est détourner l'attention. Mais même si ta théorie se tient, les femmes sont nombreuses et vivent plus longtemps, les considérer comme victimes du patriarcat n'en fait pas un outil suffisant de manipulation de masse ; elles constituent une masse, et surtout elles ne sont pas majoritaires à être féministes.

Disons que j'ai grandis dans LE coin où on serait en droit de penser qu'on y trouverait le plus de racistes, le plus d'homophobes, le plus de réac. Et il y en a (des réacs) c'est certain, mais j'ai entendu parler beaucoup plus souvent "des zarabes" que des pédés. Je veux dire, que ce soit dans mon enfance, dans mon adolescence, plus tard, je n'ai jamais rencontré d'homophobe alors même que le sujet pouvait être abordé (le sujet de "tu penses quoi des pédés? " , mais de la même manière que c'est pas parce que je n'aime le type britannique que j'interdirais à quiconque d'épouser un anglais, ni moi ni les gens que j'ai connu n'ont jamais jugé un homo sur son homosexualité. Le fait d'être gay était quelque chose de complétement propre à la personne, c'était ses affaires.

J'ai souvent l'impression que c'est un mouvement de parano, un peu comme à une époque les arabes de mon lycée me disaient " quoi ? Tu refuses de me donner un bout de nuts parce que t'es raciste?" , ben non c'était parce que je faisais de l'hypoglycémie.

Y a des tas de raisons de s'embrouiller, dans la vie. réduire toute embrouille au racisme si on est noir, à l'homophobie si on est gay, à l'antisémitisme si on est juif ou au sexisme si on est une femme, c'est une erreur d'appréciation si on est pas certains de la motivation de celui qui agresse.

Le couillon de l'histoire, ça fini par être le mâle blanc qui ne peut donc QUE se faire agresser "gratuitement", peu importe par qui d'ailleurs, et qui ne sera défendu par personne puisqu'on lui prête un genre de confort de la majorité. C'est la faille de cette théorie des castes qui est le creuset du dogme libéral.

Mais même si ta théorie se tient, les femmes sont nombreuses et vivent plus longtemps, les considérer comme victimes du patriarcat n'en fait pas un outil suffisant de manipulation de masse ; elles constituent une masse, et surtout elles ne sont pas majoritaires à être féministes.

Ca j'en suis sûr, seulement les féministes prétendent parler au nom des femmes. C'est à dire de toi, de ma mère, de ma nièce, qui ne leur ont rien demandé. En ça, c'est d'un malhonnêteté pas croyable et ça frôle l'intégrisme : récupérer une communauté fantasmée, la faire sienne pour faire de la politique.

Comme si moi je disais demain " j'en ai marre, je me lance dans le nainisme" , et ça serait un genre de politique au nom des nains, pour les nains, en faveur des nains, avec des mesures dont je déciderais avec une bande de potes de la pertinence et où les nains ne seraient pas consultés. On me dirait que suis un sacré arnaqueur et on aurait raison.

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour, je dirais plus qu’on attribue plus un rôle à l’un qu’à l’autre. Par exemple, on refusera certains métiers à la femme et les hommes auront moins de droit que la femme en tant que parent en cas de divorce... Le tord surtout c’est d’avoir des clichés.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Ca j'en suis sûr, seulement les féministes prétendent parler au nom des femmes. C'est à dire de toi, de ma mère, de ma nièce, qui ne leur ont rien demandé.

Je crois que tu leur attribues bien trop de pouvoir. C'est même un adjectif honteux, de nos jours, peu se revendiquent féministes, on attribue à ce mouvement tous les maux.

Si celui-ci était si puissant à changer les moeurs, il aurait changé la vie des femmes dans le monde entier. On en est loin.

Dans les pays d'argent comme les producteurs de pétrole, est-ce le travail de la femme qui fait consommer ?

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Ben je leur accorde le pouvoir qu'on leur donne, et on leur en donne beaucoup par rapport à ce qu'elles représentent, c'est à dire pas grand chose.

Pis c'est assez symptomatique du jeunisme ambiant, des vieilles féministes, y en a très peu parce que le féminisme est un concept d'ado et que dès qu'on se met à s'intéresser à la politique sérieusement, on plante les vrais rapports de force. Le féminisme, c'est un peu comme le NPA, ça ne représente personne mais on l'invite partout pour donner l'impression du contraire.

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Membre, 30ans Posté(e)
mxx Membre 581 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Tu cites Forbes, est-ce que tu as remarqué le nombre de femmes dans le top100 fortune mondiale ? Je te donne un indice: la première est 15ème. Tu continues encore de dire qu'être une femme ça ne change rien en haut ? Le simple fait qu'il y en ait très peu devrait te mettre la puce à l'oreille. Quel que soit l'échelon de la société, être un homme vaut mieux qu'être une femme.

Donc selon toi le fait d'être un homme est directement lié à la réussite dans les affaires. A cause du sexe ? ou de leur compétence ? il n'y a pas de loi précisant qu'une femme ne peut faire du business, je prends comme exemple la femme d'affaire chinoise qui a fait fortune dans le parfum. Donc d'après ce que tu affirmes ce classement est dû à l'incompétence des femmes et non au sexe ? car aujourd'hui beaucoup de ces riches présent au classement, le sont majoritairement grâce à leurs activités, rien n'empêche une femme compétente, ayant eu un éclaire de génie de faire fortune dans un domaine.

"être une femme ça ne change rien en haut ?" pour la femme qui est 15ème, elle n'a rien a envier de ses homologues masculins à moins qu'elle soit dotée d'un grand esprit de compétition.

On parle souvent d’épanouissement des femmes par le travail, de reconnaissances sociales. Tu ne t'es jamais demandé pourquoi ce genre de discours venaient essentiellement de la bourgeoisie parisienne?

Modifié par mxx
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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

MDR

Relis-moi.

Ou plutôt non, laisse tomber, c'est impossible d'avoir un débat constructif avec toi, tu planes dans un monde éthéré et surtout tu m'attribues des opinions contraires, ce post en est la preuve.

Relis toi. Je te parles des hommes et de leur difficultés à être accepté en tant qu'homme, et donc aussi à avoir une image honorable de leur désirs et envies, et toi tu me dis que tu le nie.

Sous l'excuse que des femmes le sont.

Ou alors, apprend le français, et ce que veux dire le verbe nier. Parce que là je vois pas ce que tu nie, si ce n'est pas ce que tu as cité.

Je ne le nie pas. Cependant est-ce que ce chiffre s'explique par le fait que les hommes ne sont pas des femmes (et subissent la domination féminineImage IPB) ou parce qu'ils réagissent différemment à la pression ?

Le nombre de dépressions est supérieur chez les femmes (deux fois plus), si on va par là... Ton raisonnement ne mène nul part.

Je n'ai pas dis qu'ils subissaient la domination féminine, j'ai dis qu'ils étaient castré par la société. Autant les hommes que les femmes.

Arrête de voir les choses comme une lutte des hommes contre les femmes. La questions, c'est peuvent-ils s'épanouir librement en tant qu'homme.

Le fait est qu'aujourd'hui, la pressions et le fonctionnement de la société font que les hommes se suicident plus que les femmes. On s'en fiche que ça soit qu'ils réagissent différemment à la pression ou non. Le fait est qu'ils le font, point.

Si c'est parce que la société nie leur différence d'avec les femmes, alors la société les néglige, et l'état actuel favorise clairement les femmes, qui elles survivent mieux.

Qu'il y ai plus de femmes qui soient traitée pour dépression, oui, c'est possible. ça signifie assez clairement que les femmes sont plus soignés que les hommes, ou avec plus d'efficacité, puisque même si plus nombreuses au départ, elles sont beaucoup moins à passer à l'acte à la fin.

Ceci dis, ça ne m'étonne qu'à moitié, la psychanalyse a été créée à l'origine pour soigner les femmes. C'est possible qu'elle soit plus adapté aux hommes qu'aux femmes. C'est possible aussi que les femmes soient plus encouragée, ou plus rapidement dépistée quand elles ont un problème. Qu'elles sont plus entourée, et conduite à des soins. Alors qu'un homme qui déprime, tout le monde s'en balance et le fuie.

Hypothèse à mon avis recevable.

Je vois très bien une femme qui déprime très rapidement entourée de pas mal d'hommes qui vont essayer de profiter de la situation, et tant bien que mal l'aider et l'assister (parce que rares sont les hommes qui sont réellement des merdes.)

Alors qu'un homme qui déprime va surtout être rejeté et fuis, tant des hommes que des femmes.

Modifié par Titsta
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Donc selon toi le fait d'être un homme est directement lié à la réussite dans les affaires. A cause du sexe ? ou de leur compétence ? il n'y a pas de loi précisant qu'une femme ne peut faire du business, je prends comme exemple la femme d'affaire chinoise qui a fait fortune dans le parfum. Donc d'après ce que tu affirmes ce classement est dû à l'incompétence des femmes et non au sexe ? car aujourd'hui beaucoup de ces riches présent au classement, le sont majoritairement grâce à leurs activités, rien n'empêche une femme compétente, ayant eu un éclaire de génie de faire fortune dans un domaine.

"être une femme ça ne change rien en haut ?" pour la femme qui est 15ème, elle n'a rien a envier de ses homologues masculins à moins qu'elle soit dotée d'un grand esprit de compétition.

On parle souvent d’épanouissement des femmes par le travail, de reconnaissances sociales. Tu ne t'es jamais demandé pourquoi ce genre de discours venaient essentiellement de la bourgeoisie parisienne?

Relis moi tu n'as tellement pas compris ce que j'ai écris que je ne peux pas te répondre.

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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

Est-ce que tu connais un biai psychologique très connu des publicitaires, qui fait que tout "droit" devient un "devoir" ?

Le "droit au travail salarié", devient un devoir de travail salarié.

Et là, tu vois très bien l'instrumentalisation des femmes dans le féminisme, et leur asservissement, pour servir les intérêts des investisseurs. (et faire baisser le prix du travail, donc augmenter l'exploitation des salariés. )

Salopes de femmes indépendantes!Le chomage c'est de le faute en fait. :D

Puisqu'on parle de libération, si tu veux éviter ce biais psychologique, plutôt que de revendiquer le droit, revendique le choix.

La libération, c'est le choix.

Le féminisme a t'il milité pour que les femmes aient le choix de travailler de façon salariée, ou non ?

Question con, réponse con: oui.

Le féminisme n'a jamais eu vocation a OBLIGER les femmes à bosser.

Qu'a t'il été fait pour que les femmes puissent choisir de rester au foyer ? Et réellement défendre ce choix.

Un choix réel est-t'il possible aujourd'hui ? Quels sont les mesures politiques qui ont été prise pour permettre ce choix ?

La femme au foyer est-elle autant valorisé socialement que la femme qui travaille ? Pour laisser ce réel choix libre. Qu'a fait le féminisme pour valoriser le travail des femmes au foyer ? j'attend ta réponse...

Le féminisme à fait en sorte que la femme NE SOIT PAS CANTONNEE AU FOYER. Tu comprends ce que ça veut dire, ou pas?

Ou a t'on en réalité contraint les femmes à passer d'une position "au foyer" à une position "en entreprise", sans jamais, justement leur laisser le choix ?

La question est réthorique. Les femmes n'ont évidement pas le choix. Le féminisme n'a jamais cherché à valoriser les femmes, ni même à les libérer.

Elles n'ont pas été libérée, elles sont passé d'un asservissement à leur foyer (et non à un homme), à un asservissement à leur entreprise.

C'est à dire de l'asservissement à un milieux où elles avaient un grand pouvoir, à un milieux où elles n'en on quasiment aucun.

Libération, vraiment ?

J'ai soulignée les affirmations les plus ridicules.

n'a fait que valoriser le rôle social des hommes, et dévalorisé le rôle social des femmes.

Donc, le foyer est le seul rôle social des femmes? Le reste c'est celui des hommes? Tu sais quoi? Tu es un vrai macho.

Les femmes, avant le féminisme, étaient très valorisés socialement. C'est le féminisme qui a détruit toute forme de reconnaissance socialement féminine.

Tu la répète sans rire, celle là?

Il a été nécessaire de détruire toute forme de reconnaissance sociale non salariée. à commencer par le rôle très reconnue des femmes dans la société

:smile2: Je sens que je vais m'amuser, avec toi.

Et en faisant oublier que le travail aussi est un asservissement. Par définition, la reconnaissance sociale ne peux s'offrir que contre un sacrifice effectué au service de la société.

Toute forme de reconnaissance sociale légitime peut forcément se décrire comme un asservissement à la société.

Les hommes seuls devrait avoir le choix dans leur asservissement, donc?

Oh, parce que travailler, avoir une vie professionnelle, c'est forcément plus "épanouissant" que d'être mère au foyer?

Quant au statut social, c'est une énorme blague. Le statut de mère au foyer devrait être mille fois plus reconnu que celui de "travailleuse". Qui élève et éduque les futurs citoyens? C'est bien la mère au foyer. Elle assure par là le renouvellement des générations mais permet aussi que les retraites soient payées par ceux qu'elle éduque.

C'est quand même un peu plus utile en soi que d'être simplement une travailleuse.

Et donc ce rôle ne serait réservé qu'aux femmes?

De plus, on peut travailler et éduquer des enfants.

Modifié par Fafaluna
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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)
Relis toi. Je te parles des hommes et de leur difficultés à être accepté en tant qu'homme, et donc aussi à avoir une image honorable de leur désirs et envies, et toi tu me dis que tu le nie.

Sous l'excuse que des femmes le sont.

Ou alors, apprend le français, et ce que veux dire le verbe nier. Parce que là je vois pas ce que tu nie, si ce n'est pas ce que tu as cité.

C'est à mourir de rire. Tu veux que je parle de l'acceptation du désir de la femme par la société? Un homme qui collectionne les aventures va être valorisé, une femme une p****, une nympho.

Ceci dis, ça ne m'étonne qu'à moitié, la psychanalyse a été créée à l'origine pour soigner les femmes. C'est possible qu'elle soit plus adapté aux hommes qu'aux femmes.

C'est pas plus adapté, on estimait à l'époque que les névroses étaient uniquement féminine. "hystérie" vient de utérus. Vachement valorisant, hein?

Enfin bon....la psychanalyse....

Qu'elles sont plus entourée, et conduite à des soins. Alors qu'un homme qui déprime, tout le monde s'en balance et le fuie.

ça délire sec. Une personne homme et femme qui déprime va être fuie.

Hypothèse à mon avis recevable.

à ton avis

Je vois très bien une femme qui déprime très rapidement entourée de pas mal d'hommes

si tu le dis....

qui vont essayer de profiter de la situation,

Ah ouais, donc le femme est vraiment favorisée effectivement.

et tant bien que mal l'aider et l'assister (parce que rares sont les hommes qui sont réellement des merdes.)

Ah ouais quand même.... donc je récapitule: une femme qui déprime va être victime des hommes qui veulent en profiter. Mais finalement comme c'est quand même pas des salauds finis, la femme va être favorisée....

L'argumentation quoi!

A Savonarol: au vu de tous tes messages je dirais que le problème est le suivant:

Je me trompe peut être, mais j'ai l'impression que tu prends le prétexte de la pauvreté pour minimiser les autres discriminations.

Évidemment qu'il vaut mieux être une femme riche que pauvre. Mais dire comme tu l'as fait que à compte en banque égal, une femme, un noir etc... va être considéré de la même manière qu'un homme blanc hétéro... c'est un mensonge.

Idem quand tu dis que les agressions racistes et homophobes sont rares.

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Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
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Salopes de femmes indépendantes!Le chomage c'est de le faute en fait. :D

La faute est quand même dépendante de la volonté. Les femmes ont été instrumentalisée, puisqu'elles n'ont pas eu le choix. ;)

La faute reviens à ceux qui ont orchestré cette politique.

Mais oui. Il serait temps un jour de devenir adulte.

Si tu met deux fois plus de personnes au travail dans les entreprises, sans augmenter la consommation. Tu crée du chômage. Oui.

C'est mécanique, et c'est exactement ce qui était recherché par ceux qui ont orchestré cette politique : diminuer le coût de la main d'œuvre.

Détail économique :

Bon, par contre, je pense qu'ils ne s'imaginaient pas à quel point ça allait être efficace.

On vivait en pénurie de mains d'œuvre, je pense que les politiques à l'époque souhaitaient seulement faire baisser le coût de la main d'œuvre.

Le chômage de masse, tel qu'il est aujourd'hui, n'était pas concevable à l'époque.

D'autres facteurs se sont ajoutés aussi à ce phénomène. Les gains de productivité on été considérable, même s'ils n'ont pas été répercuté sur le niveau de vie des gens, seulement sur l'enrichissement des banques et grandes entreprises.

Ils font qu'il y a 20 ans, on devait avoir 3 actifs pour deux "inactifs", alors qu'aujourd'hui, on pourrait facilement avec 3 actif entretenir 4 ou 5 inactifs. Sans rien changer au niveau de vie de chacun.

Une grande partie de la main d'œuvre générée par la mise au travail des femmes a aussi été absorbée par le manque que ça a généré de les mettre au travail salarié.

Comme elles travaillaient réellement avant, même si ça n'était pas en entreprise, le fait qu'elle ne fournisse plus ce travail à créé un manque de mains d'œuvre dans ce domaine.

S'occuper des enfants, faire le ménage, faire le psy, aider les autres à se trouver un travail (la vie sociale des femmes entre elles)... Tout ça a dû être comblée par des emplois salariés. Exercée majoritairement par des femmes d'ailleurs.

Plutôt que de s'occuper de leur enfants et de leur ménage, elle font celui des autres et enrichissent au passage actionnaires de leur entreprise et surtout l'état. Alors qu'avant elles étaient seule bénéficiaires de leur travail.

C'était aussi une partie de ce qui était recherché dans cette politique. Pouvoir tirer un impôt du travail considérable fourni par les femmes au foyer, en les salariant et donc en les imposant, pour ce même travail.

Question con, réponse con: oui.

Le féminisme n'a jamais eu vocation a OBLIGER les femmes à bosser.

Question pas si con si tu avais creusé. Mais réponse con parce que tu as refusé de creuser.

Dans les faits, ça a été ça. Dans la réalité du "combat", les féministes ont convaincu les femmes de l'époque, qui étaient très contentes d'être au foyer, qu'elles étaient des merdes asservies au hommes si elles ne travaillaient pas et ne devenait pas "indépendante". (C'est à dire plutôt, dépendante des entreprises, et pas du foyer qu'elle construisait avec leur mari)

Le féminisme à fait en sorte que la femme NE SOIT PAS CANTONNEE AU FOYER. Tu comprends ce que ça veut dire, ou pas?

Je comprend le vœux pieux. Mais moi je te parle de la réalité.

On juge les individus sur leurs intentions. On juge les politiques sur leur résultat.

L'intention des militants n'a jamais été d'asservir les femmes au travail salarié, je suis d'accord. Le résultat de leur action, c'est que c'est exactement ça qui s'est passé.

Puisque 99% des femmes étaient au foyer, dans les faits, le féminisme n'a fait que pousser les femmes au travail.

Le résultat, aujourd'hui, c'est que les femmes au foyer sont rarissimes.

Je pense qu'on peut clairement dire que c'est le féminisme qui a changé le comportement des femmes. Et le résultat réel de ce qui a été fait, ça n'est pas qu'il leur a offert le choix.

C'est qu'il les a mis au travail, point.

À un moment, les vœux pieux, c'est bien gentil, mais il faut accepter de regarder la réalité de ce qui a été fait.

Leur excuse, c'est que tout ça a été complètement orchestré dans ce sens. Dans une politique générale de mise des femmes au travail pour faire baisser le coût de la main d'œuvre.

Ou a t'on en réalité contraint les femmes à passer d'une position "au foyer" à une position "en entreprise", sans jamais, justement leur laisser le choix ?

La question est réthorique. Les femmes n'ont évidement pas le choix. Le féminisme n'a jamais cherché à valoriser les femmes, ni même à les libérer.

Elles n'ont pas été libérée, elles sont passé d'un asservissement à leur foyer (et non à un homme), à un asservissement à leur entreprise.

C'est à dire de l'asservissement à un milieux où elles avaient un grand pouvoir, à un milieux où elles n'en on quasiment aucun.

Libération, vraiment ?

J'ai soulignée les affirmations les plus ridicules.

L'impression du ridicule provient du fait qu'il va contre tes "évidences".

Les "évidences" c'est la marque d'un conditionnement dans lequel on a été endoctriné. C'est à dire, le truc qui nous a tellement été martelé qu'on n'y réfléchi surtout pas. Et qu'on résiste même au simple fait d'y réfléchir.

Alors prend le temps d'y réfléchir vraiment. ;)

Contrairement à l'idéologie un peu machiste dans laquelle tu as été endoctrinée, les femmes n'étaient pas dénuée de tout pouvoir au sein de leur foyer.

Beaucoup d'homme se faisaient bouffer par leur femmes. Certainement au moins autant que de femmes qui se faisaient bouffer par les hommes. Et à mon avis, un peu plus car la culture allais à la servilité des hommes envers les femmes.

Puis dans le monde réel, les hommes étaient très occupés par leur travail en entreprise, à une époque où les 45h par semaine aurait été un rêve.

Et comme le dit mon père, qui adore faire les courses : "Celui qui a le pouvoir, c'est celui qui détermine ce qu'on fait avec l'argent. Pas celui qui apporte le fric à la maison".

Peut être que certains hommes étaient chiant quand ils étaient à la maison, mais c'était de rares moment.

Je t'affirme que c'était une très faible minorité, et qu'on a construit en "image" et en préjugé, pour faire peur, le cliché de la femme exploitée par un homme qui s'en foutait de sa gueule.

La politique a toujours usée de cliché et d'images pour propager des préjugés, mais avec beaucoup plus d'efficacité à l'époque qu'aujourd'hui. Puisqu'on a appris à s'en méfier.

Je t'affirme que la majeur partie des hommes aimaient leur femme et leur enfants, les respectaient et travaillaient dur pour protéger leur petite famille, et leur permettre de s'épanouir.

Loin des clichés romantique de la femme exploitée, c'était ça la réalité quotidienne de la majorité des foyers.

La réalité, c'est qu'on était beaucoup moins individualiste à l'époque. On se pensaient systématiquement en tant que membre d'un foyer, et on ne concevait s'épanouir qu'au seins d'un foyer. Tout comme, aujourd'hui, on ne conçois pas s'épanouir autrement que par le travail (salarié)... >_<

Il y avait une certaine répartition des tâches, certes sexués, entre l'homme et la femme au sein du foyer, mais pas dévalorisantes, ni asservissante de l'un sur l'autre.

Les femmes étaient dépendante de quelque chose qu'elle construisait avec leur homme, ou dans lequel elles étaient née. À savoir leur foyer.

Homme qui n'avait pas été choisi par hasard non plus. Certes c'était les parents qui choisissaient plus que les femmes elles-même. Encore que beaucoup avaient le choix quand même malgré toutes les histoires à la con dont on nous abreuve.

Les parents n'étaient pas non plus des imbéciles profonds, n'aimant pas leur enfants, et cherchant surtout à les marier par intérêt personnel. Autre cliché bidon. La culture de l'époque était très protectrices, et jamais les parents se fichaient de mal marier leur fille.

Comme tous les parents, ils aimaient leur fille, et ils voulaient que leur fille soient heureuse, et puisse s'épanouir avec quelqu'un de bien qui prendrait soin d'elle.

Je ne dis pas que c'était bien.

Mais je t'affirme que tout était fait pour que les femmes ai un pouvoir important au sein de leur foyer.

Et vu qu'elle sont passé d'un asservissement à leur foyer à un asservissement à une entreprise (ou pire, au marché du travail)

Je te pose la question : crois tu qu'elles ont beaucoup plus de pouvoir dans leur entreprise qu'elles n'en avaient dans leur foyer ?

Réfléchis sérieusement à la question.

Si tu cherches réellement à ce que les femmes ai plus de pouvoir, réfléchis sérieusement à la réalité. Est-ce qu'elles ont réellement plus de pouvoir maintenant ?

Donc, le foyer est le seul rôle social des femmes? Le reste c'est celui des hommes? Tu sais quoi? Tu es un vrai macho.

Tu la répète sans rire, celle là?

:smile2: Je sens que je vais m'amuser, avec toi.

Les hommes seuls devrait avoir le choix dans leur asservissement, donc?

Et donc ce rôle ne serait réservé qu'aux femmes?

Non je ne suis pas macho, je suis objectif, sans parler de ce qui est bien ou mal. Et je regarde la réalité en face, contrairement à toi.

Les femmes avaient un rôle à l'époque. Je ne dis pas que c'était bien, je dis la réalité : Elles avaient un rôle et était valorisée dans ce rôle.

Aujourd'hui, ce rôle est devenu méprisable et méprisé. C'est le féminisme qui a construit ça, pour des raisons politiques.

Mais à l'époque il était très valorisé.

Avoir des enfants bien élevés, avoir une maisons accueillante, un petit cocon bien entretenu pour recevoir la famille ou des amis, savoir faire une bonne cuisine c'était extrêmement valorisé et valorisant pour la femme qui en avait la charge.

Plus même qu'avoir un bon salaire aujourd'hui.

ça avait un impact même sur les hommes.

Un homme qui n'avait pas de foyer, qui n'avait pas de maison avec des enfants, une femme heureuse, une maison accueillante, était dévalorisé. Il n'était pas respectable, pas fiable, et comme la respectabilité jouaient considérablement à l'époque en matière de promotion même professionnel, je t'assure que ça avait un impact énorme sur le niveau de vie des hommes.

On ne manque pas de livre dans la littérature qui témoignent de cette nécessité pour les hommes d'être bien marié pour réussir professionnellement.

Tu peux continuer de te voiler la face, te dépêtrer dans tes mensonges, mais c'est la réalité historique. La femme avait un rôle primordiale.

Reconnaissance forcément associée à un don de soi pour la société, à un travail (libre) mais c'est toujours la condition pour obtenir une reconnaissance sociale, quelle qu'elle soit.

Et ce dont peut précisément être épanouissant, justement par cette reconnaissance qu'on acquière pour le travail qu'on a fait.

On peut juger que c'était une mauvaise chose, et vouloir un changement culturel. Je suis assez d'accord avec ça.

Mais nier que les femmes étaient valorisé dans leur rôle social, c'est un mensonge.

De plus, on peut travailler et éduquer des enfants.

Non.

À la limite, on peut travailler et payer des gens pour éduquer nos enfants. (directement ou par nos impôt qui entretiennent un service public.)

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