« J’étais au mauvais endroit à la mauvaise heure »

La loi et la jurisprudence ce n'est pas pareil la jurisprudence peut évoluer selon les cas alors que la loi doit respecter la constitution. Donc si Dominique Sopo voulais incriminer la loi il n'aurait pas parlé de jurisprudence. Selon Dominique Sopo la jurisprudence joue contre le racisme anti-blanc car il y a eu peu de cas et pas parce que la loi est mal faite.

Sopo dit que la loi et sa jurisprudence sont mal adaptées au racisme antiblanc, et que ça explique le peu de procédures judiciaires comparé au nombre de signalements. La jurisprudence n'est rien d'autre que les décisions judiciaires motivées par la loi et non par le Saint Esprit, il est complétement faux de dire que Sopo "n'incrimine pas la loi mais la jurisprudence", d'abord parce-qu'il parle clairement de la loi, et ensuite car ça voudrait dire que Sopo accuse les juges de ne pas appliquer la loi, hors ce n'est pas du tout son propos. La jurisprudence est déterminée par la loi, s'il y a un problème de jurisprudence c'est qu'il y a un problème avec les lois concernées. C'est de la logique élémentaire.

oulala , c'est un peu plus compliqué que ça, hussard noir ! visiblement, vous avez séchez vos cours de droit ! la jurisprudence représente l'ensemble des décisions de justice ayant changé le cours des décisions dans un type précis d'affaire ; cette jurisprudence n'est pas motivé uniquement par la loi, car justement s'il y a jurisprudence, c'est qu'un vide, ou un espace latent, s'est créé dans la loiet a permis à un juge de prendre une décision différente de ses prédéscesseurs :

exemple : la jurispprudence perruche, qui a permis à un juge de rendre un avis permettant à un ado de gagner un procès contre le droit d'être en vie. (c'est plus compliqué, mais j'abrège)

le juge a profité d'un vide juridique, qui a été comblé ensuite par la loi du 4 mars 2002.

j'espère avoir été clair, mais j'en doute.

pour en revenir au sujet, s'il y a très peu décisions de justice concernant le racisme anti blancs, c'est tout simplement qu'il y a très peu d'affaires . Quitte à vous déplaire.....

fanfreluche m'a pris de vitesse.

Ceux qui parlent "de modifier la jurisprudence" n'ont visiblement aucune idée de ce que c'est.

La démagogie du FN exploite l'ignorance des gens sur certain sujet, pour faire accepter une loi pour le coup vraiment inégalitaire. Moi je trouve ça dangereux pour la France si la justice commence à faire la différence entre les citoyens.

Le propos ne Marine le Pen en terme de législation antiraciste est au contraire d'égaliser les luttes qu'elle trouve inégalitaires entre les différentes formes de racisme, "c'est ou tout ou rien" selon son mot.

«J’adhérerai à SOS-racisme quand ils mettront un S à racisme» Pierre Desproges.

la jurisprudence représente l'ensemble des décisions de justice ayant changé le cours des décisions dans un type précis d'affaire ; cette jurisprudence n'est pas motivé uniquement par la loi, car justement s'il y a jurisprudence, c'est qu'un vide, ou un espace latent, s'est créé dans la loiet a permis à un juge de prendre une décision différente de ses prédéscesseurs

A ceci près que Dominique Sopo ne met pas seulement en cause la jurisprudence, il met en cause la loi et la jurisprudence.

s'il y a très peu décisions de justice concernant le racisme anti blancs, c'est tout simplement qu'il y a très peu d'affaires . Quitte à vous déplaire.....

Les avocats de la Licra et des sources judiciaires confirment que des signalements ou des plaintes font état de propos anti-Blancs, malgré que les procédures judiciaires soient rares à ce sujet.

Selon une enquête de l'Ined, 18% de la population "majoritaire" a déjà été "la cible d'insultes, de propos ou d'attitudes racistes". C'est juste colossal que dans un pays, la population "majoritaire" c'est à dire de souche, soit à ce niveau victime de racisme chez elle.

"Nous ne voyons pas passer beaucoup d'affaire de ce type, ce qui ne veut pas dire qu'il y en a pas beaucoup. Simplement, la réaction d'une personne française blanche n'est pas de s'adresser à une association anti-raciste lorsqu'elle est victime de ce type de fait." assure Alain Jakubowicz, le président de la Licra, au micro d'Europe 1.

Ce que je constate surtout c'est que l'on parle beaucoup d'insécurité,de justice et tout ca, on cherche d'abord a catégoriser les agressions pour compter les points et savoir qui a la plus grosse.

En attendant rien n'est fait et au mieux c'est fait de manière injuste.

Le propos ne Marine le Pen en terme de législation antiraciste est au contraire d'égaliser les luttes qu'elle trouve inégalitaires entre les différentes formes de racisme, "c'est ou tout ou rien" selon son mot.

J'entend bien, mais ma critique concerne la solution apporté par Marine Lepen, que je trouve antidémocratique.

«J’adhérerai à SOS-racisme quand ils mettront un S à racisme» Pierre Desproges.

Pierre Desproges n'a pas dit que des bonnes chose, le racisme n'est pas dénombrable.

A ceci près que Dominique Sopo ne met pas seulement en cause la jurisprudence, il met en cause la loi et la jurisprudence.

Si c'est ce qu'il pense et j'en doute fortement car il a mis surtout l'accent sur la jurisprudence, mais si c'est le cas il se trompe, je pense qu'on a apporté suffisamment d'élément pour en être certain.

J'entend bien, mais ma critique concerne la solution apporté par Marine Lepen, que je trouve antidémocratique.

A moins qu'elle ne veuille imposer sa solution par un coup d’État, elle n'est en rien "antidémocratique".

le racisme n'est pas dénombrable.

Il faudra le dire au CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France), au CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), au CCIF (Collectif contre l'Islamophobie en France), etc...

Dans ce cas il se trompe.

Très bien. Vous avez le droit de penser que l'ex-président de SOS Racisme se trompe dans sa connaissance des lois antiracistes ; quant à moi je crois plutôt que c'est S-Nova qui se trompe à ce sujet et non SOS Racisme. Chacun en jugera.

A moins qu'elle ne veuille imposer sa solution par un coup d’État, elle n'est en rien "antidémocratique".

Je ne connais pas les intentions de Marine Lepen. Ce que je sais c'est qu'elle souhaite faire une loi antidémocratique.

Il faudra le dire au CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France), au CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), au CCIF (Collectif contre l'Islamophobie en France), etc...

Mais je le dis ça ne me pose pas de problème, le racisme concerne tout le monde.

Très bien. Vous avez le droit de penser que l'ex-président de SOS Racisme se trompe dans sa connaissance des lois antiracistes ; quant à moi je crois plutôt que c'est S-Nova qui se trompe à ce sujet et non SOS Racisme. Chacun en jugera.

J'attends leurs jugement sereinement.

Je ne connais pas les intentions de Marine Lepen. Ce que je sais c'est qu'elle souhaite faire une loi antidémocratique.

Si vous ne connaissez pas les intentions de Marine le Pen, l'accuser de vouloir faire une loi de manière "antidémocratique" est un procès d'intention.

Mais je le dis ça ne me pose pas de problème, le racisme concerne tout le monde.

Même les Français de souche se faisant traiter de "sale gaulois" quotidiennement dans certains collèges, comme le démontre le sociologue Tarik Yildiz ?

Si vous ne connaissez pas les intentions de Marine le Pen, l'accuser de vouloir faire une loi de manière "antidémocratique" est un procès d'intention.

C'est ce que je pense faire une loi pour une catégorie de personne n'est pas très démocratique.

Même les Français de souche se faisant traiter de "sale gaulois" quotidiennement dans certains collèges, comme le démontre le sociologue Tarik Yildiz ?

En parlant de procès d'intention, je trouve tes insinuations très choquantes, j'ai répondu très clairement avant.

C'est ce que je pense faire une loi pour une catégorie de personne n'est pas très démocratique.

Ce qui est démocratique et ce qui ne l'est pas ne dépend par définition que du désir de la majorité des électeurs.

En parlant de procès d'intention, je trouve tes insinuations très choquantes, j'ai répondu très clairement avant.

Quand une phrase se termine par un point d'interrogation il s'agit en fait d'une question. Pardon d'être insistant mais j'ai quelques doutes qui méritent d'être levés vous concernant ; j'ai l'impression que cela vous gêne, que de dire clairement du racisme antiblanc qu'il existe, que des gens se font traiter tous les jours en France de "sale gaulois" par des magrébins et des noirs.

Ce qui est démocratique et ce qui ne l'est pas ne dépend par définition que du désir de la majorité des électeurs.

La démocratie doit concerner tout les citoyens et en tout point.

Quand une phrase se termine par un point d'interrogation il s'agit en fait d'une question. Pardon d'être insistant mais j'ai quelques doutes qui méritent d'être levés vous concernant ; j'ai l'impression que cela vous gêne, que de dire clairement du racisme antiblanc qu'il existe, que des gens se font traiter tous les jours en France de "sale gaulois" par des magrébins et des noirs.

Explique moi car je suis surpris que tu es de tels interrogations.

Ce qui est démocratique et ce qui ne l'est pas ne dépend par définition que du désir de la majorité des électeurs.

La démocratie doit concerner tout les citoyens et en tout point.

Tous les citoyens ont le droit de vote. Si la majorité des électeurs décide une chose qui avantage ou désavantage une minorité de Français, ça n'est en rien "antidémocratique".

Explique moi car je suis surpris que tu es de tels interrogations.

Il n'y a rien d'autre à expliquer, je vous ai posé une question que vous repoussez continuellement, ce qui commence à devenir douteux. Oui ou non, reconnaissez-vous que des blancs se fassent traiter en France quotidiennement de "sales gaulois" par des magrébins et des noirs ?

Il y a déjà des sujets sur l'antiracisme, le racisme anti-blanc, etc... Merci d'avoir oublié le sujet du fil depuis toutes ces pages.