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Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique

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alexandreW

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Salut Gallium!

Ce serait vraiment super s'il acceptait de nous faire rêver sur ce domaine.

A bientôt

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

La notion de spin est d'utilisation courante dans la vie de tous les jours puisque l'irm est basé sur ce principe.

En Irm, on met un individu dans un champs magnétique intense, le champs B0 qui magnétise le patient pendant à peu près 6 minutes ou moins actuellement.

Ce champs met en rotation les protons à une vitesse rotatoire W proportionnelle au champs magnétique.

Il existe un décalage de rotation entre la rotation du champs magnétique et la rotation physique du proton, ceci entraîne une rotation circulaire du moment gyromagnétique du proton à l'origine de ce qu'on appelle le cercle de precession en IRM.

Un champs perpendiculaire B1 à B0 est mise en place pour dévier les champs magnétiques des protons c'est le T1, quand on arrête B1 les champs magnétiques se réaxent c'est la relaxation c'est le T2.

Chaque tissu du corps a une densité, un T1 et un T2 caractéristique.

Le spin est une notion étrange de rotation lié au fait que les particules se comportent comme des dipôles qu'on peut mettre en rotation avec un champs magnétique.

Penser que l'irm a été inventé fin des années 60, il a fallu 15 ans pour que l'informatique permettent de faire des images...

Gallium va nous parler prochainement de la notion de spin.

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)

Oui j'essayerai de faire ça demain ... autant dire après. En ce moment je me couche de plus en plus tôt.

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Membre, 37ans Posté(e)
Ozmaestro Membre 413 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
Posté(e)

éa m'intéresse et d'un autre côté je sais pas si c'est du flan ou...alors comme Gallium est sur le coup j'me dis "Ok, ça doit être un peu sérieux."

Du coup j'attends la méga-synthèse de la théorie et sa vulgarisation pour les lecteurs lambdas :cray:

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Du coup j'attends la méga-synthèse de la théorie et sa vulgarisation pour les lecteurs lambdas

Ah mais dans ce cas là ce n'est pas moi qui la ferais. Je laisse le soin à AlexandreW de résumer sa théorie. Mon rôle était ici de critiquer, positivement ou négativement certains éléments, comme la notion de superfluide ou d'additivité des vitesses afin que ce soit plus clair.

____________________

Concernant le spin.

Le spin est une propriété fondamentale de toute particule élémentaire. Comme propriétés, on connaît la charge, on connaît la masse, il faut y en ajouter une autre : c'est le spin. On parle de caractéristique intrinsèque à chaque particule.

Cette notion est cependant à prendre avec des précautions, n'oublions pas que nous nous situons désormais en physique quantique/physique des particules lorsqu'on parle de spin. Le spin est une quantité de mouvement angulaire, c'est une cinétique, ce qui nous impose d'user du principe d'incertitude d'Heisenberg.

A quoi correspond cette quantité de mouvement angulaire précisément ? Prenons le cas d'un électron, voici une représentation de la particule et de son spin :

spin_03.jpg

"On a [...] découvert que les électrons se comportaient un peu comme s'ils étaient des toupies avec un moment cinétique de rotation ou spin. Comme ils sont chargés, tout se passe comme s'il y avait un courant électrique générant ce qu'on appelle un moment magnétique. Sous l'action d'un champ magnétique l'électron s'oriente alors et c'est gràce à cela que l'on peut le manipuler. En fait, la mécanique quantique impose que cette orientation ne puisse se faire que parallèlement ou anti-parallèlement au champ magnétique.

Toutefois, cette représentation de l'électron comme une toupie magnétique, même si elle aide à comprendre et à se représenter les choses, ne doit pas être prise au pied de la lettre, sans quoi elle conduit à de graves contradictions. L'électron devrait, par exemple, tourner sur lui-même plus vite que la lumière."

On peut difficilement faire une analogie du spin qui appartient purement à la mécanique quantique, avec un élément ou phénomène du monde macroscopique.

Toute particule est donc dotée d'un spin caractéristique. Le photon possède un spin 1, il est de 1/2 pour l'électron, de 0 pour le boson de Higgs, le spin doit être compris (non strictement) dans un intervalle [0;2]. Le spin 3, par exemple, ne peut exister.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Je te remercie pour ce superbe exposé compréhensible par tous et très didactique.

Le spin peut il être considéré comme étant la conséquence d'une répartition irrégulière des charges dans une particule?

En IRM, les spins des protons (donc des hydrogènes) sont avant magnétisation aléatoires et réparties dans toutes les directions.

La magnétisation du champs B0 fait que les spins se dirigent soit dans le sens de B0 (1000 000 dans ce sens )pour presque la moitié dans l'autre sens (999999 dans l'autre sens) cette petite différence est à l'origine de l'IRM.

On considère en IRM que le proton est un dipole mais dans ce cas tous les spins devraient être orientés dans le sens de B0.

La différence en l'axe de rotation physique et l'axe gyromagnétique est à l'origine de multiples cercles très rapides de rotation de l'axe gyromagnétique (comme la terre avec son axe magnétique décalé de son axe de rotation) ces mouvements sont à l'origine des ondes de réémission par les protons qui sont captés par des antennes en IRM

Le proton se comporte comme la terre!!

Comment expliquer ça?

La notion de charge en quoi consiste t elle vraiment et intuitivement à ton avis?

éa m'intéresse et d'un autre côté je sais pas si c'est du flan ou...alors comme Gallium est sur le coup j'me dis "Ok, ça doit être un peu sérieux."

Du coup j'attends la méga-synthèse de la théorie et sa vulgarisation pour les lecteurs lambdas :cray:

Tu as raison, à un moment donné on fera avec qui veut participer une mégasynthèse de cette théorie compréhensible par tous.

Modifié par alexandreW
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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Permettez que je rende homage à votre intelligence. Cela m'a donné envie de vous faire part d'un vieux projet qui n'a pas été mené à terme faute de compétences mathématiques :

"

2/ La structure de l'univers logique

Je définis l'univers comme étant la totalité des choses existantes et ce de telle sorte que les faits associés soient la réalité telle que je l'ai déjà définie.

Ainsi il n'existe rien en dehors de l'univers et donc, en l'absence de référence externe, il est impossible de l'étudier dans sa globalité. Par contre, on peut analyser les interactions entre les différents fragments qui le compose.

Appartenance

Une chose existe par rapport à une autre que si elle influence celle-ci. Le contraire est absurde : En effet, si une chose n'avait aucune influence sur une autre alors celle-ci n'aurait aucun moyen de le « sentir ». Donc pour exister, un fragment de l'univers doit influencer au moins un autre fragment.

Distinction

Une chose existe par rapport à une autre que si elle s'en distingue.

Influence

Ainsi une chose est caractérisée par l'influence qu'elle exerce.

Sont appelés dans ce texte « paramètres » ces paramètres d'influence caractéristique.

Evolution

Or dire qu'une chose subit une influence implique qu'elle évolue. Et puisqu'une chose est définie par l'influence qu'elle exerce alors c'est la dite influence qui évolue.

Relativité

Par ailleurs, puisqu'il n'existe pas de référence extérieure à l'univers, les éléments sont leurs propres références, les valeurs de leurs paramètres sont donc relatives.

Similarité

Chaque fragment de l'univers est l'évolution respective de tout autre fragment selon l'influence subjective de la totalité de l'univers.

Destinée

L'influence doit être telle que l'évolution en soit la conséquence.

Ponctualité

Toutes choses sont ponctuelles car toutes formes éventuelles peuvent être assimilées à une série de paramètres.

Transparence

De même tout élément contextuel peut être intégré sous forme de série de paramètre.

Axialité

Une chose étant l'évolution d'une autre on peu considérer qu'il existe un axe d'évolution reliant ces deux choses.

Une position sur cet axe est caractéristique et déterminable.

Par l'existence d'un tel axe nous établissons la réalité d'une dimension de l'univers.

Le paramètre d'influence, qui évolue selon cet axe, est une deuxième dimension.

Proportionnalité

Altérer la totalité des paramètres par multiplication revient, du fait de la relativité, à la division des distances par le même facteur.

Puisque l'évolution est inversement proportionnelle à la distance alors, d'après la destinée, l'influence l'est également.

Paramétrage

Chaque paramètre ou groupe de paramètres est un fragment de l'univers et donc obéit aux lois sur les fragments.

Attendu qu'un paramètre d'influence multiple peut être fragmenté en plusieurs paramètres d'influence unique ;

Attendu qu'un paramètre influençant son propre type de paramètre, du fait de l'appartenance, s'exclus de l'univers ;

Je définis tout paramètre comme ayant une influence exclusive sur un seul autre type de paramètre.

Orthogonalité

Si on considère que chaque paramètre décrit une position, alors les vecteurs directeurs de ces axes sont orthogonaux.

Aconstance

Une influence constante ou proportionnelle sur l'univers serait "imperceptible" du fait de la relativité.

(ce serait assimilable à un changement de référentiel)

En considération de la destinée, de l'aconstance et de la proportionnalité il apparaît que l'évolution est complexe, ce qui implique l'existence d'une 3° dimension.

Un système d'influence bidimensionnel ne permet pas une évolution aconstante.

Finitude

Aucun paramètre ne peut être raisonnablement infini car l'influence ainsi induite serait infinie, donc constante, ce qui s'oppose à l'aconstance. De même une position n'est pas infinie mais, à la limite, certaines peuvent tendrent vers l'infini (approximation).

L'univers doit donc être étudié comme un ensemble fini.

Continuité

L'évolution ne peut pas être discontinue car cela impliquerait une influence infinie.

Approximation

Une fraction de l'univers peu être étudiée comme étant isolée du reste de l'univers si on considère le résidu du défaut d'isolation. Ainsi une influence constante ou proportionnelle sur cette fraction sera négligeable.

Modélisation

L'ensemble de ces propriétés nous permet de modéliser l'univers en un espace dimensionnel où chaque point d'influence est déterminé par ses paramètres.

Minimum

Le nombre minimal de dimensions est subordonné à la nécessité que les contraintes à la fonction d'influence ont à être satisfaites.

Optimum

Du fait qu'il s'agit d'une modélisation, toute dimension supplémentaire au minimum est superflue.

Ce minimum est donc également l'optimum.

Une analyse mathématique doit déterminer le nombre minimal de dimensions pour avoir une évolution aconstante.

"

J'espère que cette approche ontologique vous a été de quelque intérêt.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Je pense que ça peut bien sur avoir un intérêt.

Moi, je m'étais fixé comme règle: on doit toujours pouvoir expliquer en quoi est faite la particule la plus petite, d'où cette théorie fractale.

On part de règle et on arrive à un raisonnement qui tient.

Einstein disait: la vitesse de la lumière est la même quelque soit le référentiel... et le pire c'est que ça marche.

La mécanique quantique dit: l'incertitude sur l'impulsion x incertitude sur la position=h constante de planck.

Les statisticiens disent la vie biologique est gaussienne et ça marche.

Alors pourquoi pas ces règles que tu énumères...

Bonne nuit... :cray:

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  • 3 semaines après...
Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Mathématisation du PHOTON

Rappel de cette théorie :

Cette théorie dit que nous vivons dans un espace galiléen dont la particule la plus petite à l'origine de toutes les interactions est l'univers U de la dimension du dessous.

Ainsi les quarks, les électrons, les lignes de champs (gravitationnels, électriques) sont constituées de cordes faites de U qui sont liés par les cordes gravitationnelles (faites de U de la dimension du niveau encore inférieur).

Il s'agit donc d'une théorie fractale, ou il n'existe en fait dans l'absolu pas de plus petite particule (la plus petite est infiniment petite) ni d'univers le plus grand, le plus grand est infiniment grand.

L'ETHER OU HYPERFLUIDE

On a vu dans le forum comment l'espace était rempli de lignes de champs électriques fabriquées en permanence par toutes les masses.

Ces lignes forment ce que nous appelions anciennement l'éther et que nous appellerons hyperfluide pour ne pas faire allusion à la substance chimique bien connu.

Ces lignes vont à la vitesse des masses environnantes et ont des trajets aléatoires, d'un point de vue quantique, nous pouvons dire qu'elles ont tous les trajets possibles d'un point de vue statistique.

Les cordes d'hyperfluide ont une tension très faible mécaniquement, ce qui a entraîné un passage un big crunch partiel des univers qui la composent, ils sont donc constitués d'univers très compacts de type quasars.

Je pense que les quasars sont des univers comme le notre d'un point de vue massique mais avec un trou noir central pouvant représenter plus de 99% de la masse d'un univers comme le notre (hors incrustation de quasars et prébigbangs¿.)

Un quasar pèse d'un point de vue inertiel autant que notre univers ! mais un trou noir perd son pouvoir gravitationnel au fur et à mesure qu'il augmente de masse (l'antigravitation augmente plus vite que la gravitation quand le trou noir augmente de masse de manière parallèle à sa capacité à fabriquer des électrons et donc des lignes d'hyperfluide, au maximum un trou noir qui a la masse de notre univers est devenu prébigbang et n'a pas de pouvoir gravitationnel, ne produit pas d'électrons)

Tout ça pour dire que le support de transmission du photon sera ces cordes de quasars reliés entre eux par de faibles interactions gravitationnelles (faites de lignes de U des la dimension encore inférieure).

LE PHOTON

Un photon est donc une oscillation d'un ou plusieurs quasars (les Uq).

Plus la fréquence du photon sera importante, plus le nombre de Uq mis en oscillation sera faible et plus l'amplitude de l'oscillation sera importante.

Il ne s'agit pas d'oscillations forcées, mais d'oscillations sans ou avec un amortissement très faible.

L'énergie du photon sera proportionnelle à la fréquence selon une formule admise par tous : E=(h μ)/2π ou µ est la fréquence ondulatoire de l'onde lumineuse observée. Nous verrons plus tard que cette fréquence ne correspond pas du tout à la fréquence réelle d'oscillation du Uq qui peut être de plusieurs facteurs de 10 plus élevé quand la tension du support varie rapidement, mais encore une fois c'est une vue moyenne statistique.

Nous appelons H1 et H2 les lignes d'hyperfluide 1 et 2 dans les shémas, α est la tolérance angulaire maximale pour que l'impulsion puisse se transmettre à la ligne d'hyperfluide.

La transmission se fait par mise en résonnance d'un Uq en oscillation avec un Uq d'une autre ligne en position adéquat.

Un Uq de la ligne 2 est en position adéquat quand sa ligne est dans la zone angulaire de tolérance α, quand sa vitesse interne est identique à une tolérance près.

Il existe une probabilité dans un temps t fixe petit très faible pour que l'impulsion soit transmise à la corde H2, ceci explique que dans cette théorie un photon avance en zig zag fig 4 ( ce qui donne l'explication de la composante verticale de l'impulsion dans l'expérience de diffraction de Feynman) et la vitesse observée macroscopiquement de la lumière est une moyenne c.

A l'échelle microscopique la lumière avance à des vitesses très variables mais dont la moyenne est c , les vitesses données en figure 4 sont donnés à titre d'exemple.

Les oscillations rotatoires perpendiculaires aux oscillations transversales s'appellent polarisation du photon (il pourrait jouer un grand rôle dans les technologies de l'information du futur, cf science 07/10).

Les vitesses en jeu dans ces échelles sont très nettement supraluminiques, il faudra vous y habituer (cf Feynman et théorie M¿)

A quoi correspond la fréquence µ ?

A un tout autre type d'oscillation que l'oscillation de l'impulsion du photon qui n'arrête pas de varier :

-les lignes d'hyperfluide ont des vitesses qui varient très rapidement dans un sens ou dans l'autre dans l'axe liés à leur longueur et aux turbulences de l'espace (la température est un bon reflet, le zéro absolu est impossible à atteindre, je me suis fait déjà disputé pour ça mea culpa¿).

Tout se passe comme si au niveau quantique on tirait les cordes d'hyerperfluide dans un sens ou dans l'autre (au grès des autres photons transmis par cette ligne plus loin, ces lignes pouvant mesurer plusieurs années lumières¿(ce sont les flèches dans les dessins) (on voit venir l'explication intuitivement de l'expérience des électrons avec les photons de Feynman présenté dans ce forum).

Δv²=constante x température ( puisque l'énergie calorifique est proportionnelle à la température et l'énergie cinétique à v²

Tout se passe comme si ,cette petite zone d'oscillation de grande amplitude qu'est le photon voyait son support qu'est la corde varier de tension mécanique brutalement d'un côté ou de l'autre avec des variations extrêmement rapides, si on tire brutalement H1 vers la droite, la tension sera alors asymétrique au niveau du photon, l'amplitude du photon va varier et la fréquence va brutalement augmenter et le photon va se déplacer vers la zone de moindre tension vers la gauche.

L'énergie cinétique d'un Uq d'une oscillation à grande fréquence étant plus importante le déplacement de la zone d'oscillation sera moindre, quand l'énergie augmente la zone d'incertitude de présence diminue.

On voit donc que la fréquence du photon à énergie égale n'arrête pas de varier à l'échelle microscopique, cette vision est bien sur statistique et dépend de l'énergie du milieu hyperfluide donc de la température.

Si la température diminue, la zone de balayage du photon va diminuer et l'amplitude du photon va augmenter, sa fréquence va diminuer.

On pourrait expliquer l'amas de Bose Einstein du photon par ce mécanisme, les photons étant immobiles et au même endroit, ils se mettent tous en résonance entre eux donnant l'impression de ne former plus qu'un seul photon.

MATHEMATISATION DU PHENOMENE PHOTONIQUE

1)RAPPELS

Il fait bien sur appel à la physique ondulatoire et aux statistiques étant donné que nous sommes dans une physique chaotique à cette échelle.

Rappel sur les nombres complexes :

Tout est basé sur la solution de l'équation x²=-1 par définition la solution =i comme imaginaire.

C'est comme un jeu, on joue à ce qu'il y ait une solution (les mathématiciens des ensembles, n'aiment pas quand il manque des propriétés à leurs ensembles, ils aiment imaginer un monde idéal ou il y a des solutions à toutes les équations¿des grands gamins ¿)

Si le signe de i est changé partout dans une équation complexe, l'équation reste vraie, c'est ce qui s'appelle prendre son conjugué.

Multiplication de deux complexes : (r+is)(p+iq)=(rp-sq)+i(rq+sp) pas évident de multiplier des complexes¿

Une puissance d'un nombre complexe : 〖10〗^((r+is))=〖10〗^r 〖10〗^is=x+iy connaissant r et s on peut trouver x et y toutes les machines à calculer font ça. x²+y²=1

On peut représenter s comme un angle et x et y comme des coordonnées d'un espace euclidien métrique :

e^is=cos⁡〖t+i sin⁡t 〗

x+iy=re^iθ , un vecteur peut être représenté par ses coordonnées x, y ou par son module r (longueur) et par l'angle qu'il fait par rapport à l'axe des x, pratique non ?

Par exemple la formule d'une oscillation forcée peut s'écrire :F=F0 cos ωt

On peut l'écrire comme la partie réelle du nombre complexe :F0 e^iωt=F0 cos⁡ωt+F0 i sin⁡ωt

pratique non ?

Les parties imaginaires ont un chapeau par exemple :F ̂=i F0 sin⁡ωt

On nous demande plus de savoir manuellement résoudre les équations différentielles avec des solutions complexes, une bonne nspire ou autre le fait en un clin d'¿il !!! (je vais demander un pourcentage à texas instrument !!!)

LES STATISTIQUES

La fonction la plus souvent utilisée est la fonction de GAUSS, p densité de probabilité en x, σ l'écart type, pour calculer une probabilité il faut calculer un écart entre deux densités de probabilités :

p(x)=1/(σ√2π) e^((-x²)/2σ²)

On a des tableaux ou on rentre t=x/2σ c'est ce qu'on appelle la loi centrée réduite

2) ALLONS Y !!!

a) PRINCIPE

Le photon a des propriétés particulières comme nous avons vu précédemment, il se comporte macroscopiquement comme une onde et microscopiquement comme un impact (bomper de flipper) quasi ponctuel. Il peut interagir avec lui-même dans l'expérience de la double fente même si on envoie un photon toutes les 10 secondes, il peut faire un amas de bose Einstein.

On sait que E=h/2πµ ou h est la constante de planck et µ la fréquence.

b) Pour simplifier nous allons prendre un photon de haute énergie :

Le photon est donc une oscillation d'un Uq de la dimension du dessous, il va se comporter comme un oscillateur harmonique non amorti avec une raideur du système k qui dépend nous l'avons vu de la température, ce n'est donc pas une constante, le photon à l'endroit de sa naissance, a créé sa propre raideur locale du ressort k en tractant la ligne d'hyperfluide de part et d'autre progressivement par augmentation progressive de l'amplitude locale de l'onde :

eq1) ω=√(k/m_Uq ) =2π μ

On peut en déduire k :

eq2) k=4〖π²m〗_Uq μ²

Soit l'amplitude de l'onde A , on peut écrire l'énergie contenue dans cette oscillation :

eq3) E=1/8 k A²= hμ/2π

de l'équation 1 on en déduit A

eq4) A=√(h/〖µ m〗_(Uq ) )/π

On constate que l'amplitude de l'onde diminue avec l'augmentation de la fréquence de l'onde, la raideur augmente avec la fréquence du photon donc avec son énergie.

Ceci explique l'expérience de Feynman avec les électrons, quand on éclaire, les photons vont tendre les cordes d'hyperfluide en augmentant la raideur de celui ¿ci et vont donc réduire la probabilité de présence de l'électron en réduisant la taille de celle-ci, l'électron ne peut plus passer dans les deux fentes en même temps.

Maintenant nous allons parler de la probabilité de présence du photon en fonction de la fréquence du photon.

En imaginant que le photon va se comporter comme un gyroscope, s'il a un mouvement circulaire de fréquence µ :

Le moment cinétique L est égale pour un mouvement circulaire de rayon r et de vitesse v de quantité de mouvement p :

L ⃗=r ⃗ X p ⃗

On sait que :

p ⃗=m_Uq v ⃗

Dans une vitesse circulaire : v=ωr

On peut écrire que :

L=m_Uq ωr² sin⁡θ

Ici θ vaut 90° donc sin θ=1

Eq5) L=m_Uq ωr²

L'énergie cinétique de rotation est :

Ec=1/2 L ω=1/2 m_Uq ω²r²= h/2πµ (d'après max Planck) le but de ceci est de pouvoir déterminer un jour m_Uq, si on connait r du photon en rotation circulaire ou A d'un photon en mouvement vertical ( photon polarisé)

L'équivalence masse énergie nous dit que la masse inertielle du photon sera dans cette théorie :

Mi=h/2πµ+m_Uq

Le photon alourdit une partie de la ligne d'hyperfluide.

L'inertie des lignes augmente avec la température.

La densité de probabilité de présence de Mi va voir son écart type varier inversement proportionnellement à Mi et proportionnellement à la température.

Si x est la position du photon :

Eq6) σ=σ_(0 m_Uq/((h/2π μ+m_Uq))) X constante X T

La densité de probabilité de présence va s'écrire :

Eq(7) p(x)=1/(σ_(0 m_Uq/((h/2π μ+m_Uq))) X constante X T√2π) e^((-x²)/(2(σ_(0 m_Uq/((h/2π μ+m_Uq ) )) X constante X T)²))

Nous allons nous amuser à voir les effets de la température sur la probabilité de présence, toutes les autres constantes étant fixes, on voit σ diminuer jusqu'à proche du 0° absolu une probabilité de présence en un endroit précis, à l'origine des amas de bose-einstein, le seuil tenant également compte d'un autre phénomène qu'est la mise en résonance de tous les photons entre eux la tension des cordes d'hyperfluide étant minimale.

On peut lire beaucoup mieux les formules dans le fichier doc attaché.

phtonjpg.zip

photon.zip

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Membre, Posté(e)
trtb92 Membre 5 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Attention , le signe "vecteur" ne passe pas dans ce forum : on voit un carré !

Pour les formules , il vaut mieux ouvrir le fichier "Photon" qui est un fichier Word.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Merci bruno, j'ai vu que les flèches ne passaient pas en format TXT du forum.

A bientôt

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Invité Mad_World
Invités, Posté(e)
Invité Mad_World
Invité Mad_World Invités 0 message
Posté(e)
C'est en rapport avec la chromodynamique quantique et les spin. Je peux tenter de développer ce que je pense si tu veux.

Néanmoins Mad_World serait très compétent pour te répondre là-dessus.

Tien ^^

Salut Ga :p

Pour la "transformation du photon en particule avec masse"... Disons que c'est mal exprimé, mais pas faux...

En réalité, il s'agit de l'interaction Photon-Matière.

Selon un modèle de la matière, la structure electronique des niveaux d'énergies se trouvent être des "bandes". Il y a des niveau pleins (niveau de valence) des niveau en partie pleins (niveau de conduction) et des niveaux "interdits", où les petits électrons n'ont pas le droit de circuler, sous peine de mort u_u ...

Ces niveau, ces bandes, ne sont pas "droit". Ils ont, en fonction de la configuration de la matière, des creux et des bosses.

Lorsqu'un photon assez énergétique arrive, il "donne" son énergie à un electrons qui va sauter sur une nouvelle bande plus haute en énergie, mais en passant par le chemin "le plus court", c'est à dire, qu'il saute d'une bosse à un creux. Et là, il y a deux cas possible :

- bosse et creux sont en face, et dans ce cas, en "retombant" il va y avoir rémission d'un photon de même énergie que le premier.

- bosse et creux ne sont pas en face, dans ce cas, en retombant, il va y avoir génération d'un photon légèrement moins énergétique + génération d'une particule : "phonon" qui a une impulsion (grossièrement parlant, c'est la particule associée à une onde mécanique... C'est à dire au son et ultrason...). Le fait que cette particule ai une impulsion signifie qu'elle a une masse...

Vala...

entrer dans les détails serait long et complexe. Je conseil la lecture de Kittel "physique de l'état solide" (chapitre interaction photon matière) qui bien plus exhaustif ... et compliqué :p

A bientôt ^^

(et désolé de déterrer :cray::o)

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Tien ^^

Salut Ga :o

Pour la "transformation du photon en particule avec masse"... Disons que c'est mal exprimé, mais pas faux...

En réalité, il s'agit de l'interaction Photon-Matière.

Je pensais en fait au boson vectoriel intermédiaire (de spin 1 comme le photon), ce dernier pouvant changer une particule massive.

L'absorption d'un photon modifie la phase d'onde de Broglie, mais ne change rien à la particule en elle-même, de même l'absorption d'un gluon modifie la couleur d'un quark, sans changer la particule en elle-même. D'où mon petit délire de spin et chromodynamique, plutôt vrai dans le cas de force électrofaible.

Mais l'effet photoélectrique était bien mieux pensé ! :cray:

Modifié par Gallium
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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

je viens vous apporter ma petite note personnelle....j'adore le sujet... :p

http://www.dailymotion.com/video/x4rnra_le..._fun#from=embed

a ne pas manquer pour les couleurs, les gluons racistes... :o

Merci caupine, grâce à toi, je sais ce qu'est un gluon

:cray:

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)
Tien ^^

Salut Ga :p

Pour la "transformation du photon en particule avec masse"... Disons que c'est mal exprimé, mais pas faux...

En réalité, il s'agit de l'interaction Photon-Matière.

Selon un modèle de la matière, la structure electronique des niveaux d'énergies se trouvent être des "bandes". Il y a des niveau pleins (niveau de valence) des niveau en partie pleins (niveau de conduction) et des niveaux "interdits", où les petits électrons n'ont pas le droit de circuler, sous peine de mort u_u ...

Ces niveau, ces bandes, ne sont pas "droit". Ils ont, en fonction de la configuration de la matière, des creux et des bosses.

Lorsqu'un photon assez énergétique arrive, il "donne" son énergie à un electrons qui va sauter sur une nouvelle bande plus haute en énergie, mais en passant par le chemin "le plus court", c'est à dire, qu'il saute d'une bosse à un creux. Et là, il y a deux cas possible :

- bosse et creux sont en face, et dans ce cas, en "retombant" il va y avoir rémission d'un photon de même énergie que le premier.

- bosse et creux ne sont pas en face, dans ce cas, en retombant, il va y avoir génération d'un photon légèrement moins énergétique + génération d'une particule : "phonon" qui a une impulsion (grossièrement parlant, c'est la particule associée à une onde mécanique... C'est à dire au son et ultrason...). Le fait que cette particule ai une impulsion signifie qu'elle a une masse...

Vala...

entrer dans les détails serait long et complexe. Je conseil la lecture de Kittel "physique de l'état solide" (chapitre interaction photon matière) qui bien plus exhaustif ... et compliqué :p

A bientôt ^^

(et désolé de déterrer :o :p)

Merci pour ta réponse mad world,

Comment expliquer les impulsions qui sont des vibrations localisées de quoi?

Si c'est la trame espace-temps, elle est faite de quoi cette trame physiquement?

Les modèles mathématiques nous donnent pas l'intuition de ce que sont ces niveaux d'énergie ni ce que sont ces particules.

Je vais acheter le livre que tu nous conseilles.

Les phonons se comportent comme du son donc pas comme une particule?

J'adore discuter avec des gens aussi passionnés que vous... :cray:

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  • 2 mois après...
Nouveau, Posté(e)
mimiw Nouveau 1 message
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Citation (Mad_World @ mardi 08 février 2011 à 16h54) Tien ^^

Salut Ga tongue.gif

Pour la "transformation du photon en particule avec masse"... Disons que c'est mal exprimé, mais pas faux...

En réalité, il s'agit de l'interaction Photon-Matière.

Selon un modèle de la matière, la structure electronique des niveaux d'énergies se trouvent être des "bandes". Il y a des niveau pleins (niveau de valence) des niveau en partie pleins (niveau de conduction) et des niveaux "interdits", où les petits électrons n'ont pas le droit de circuler, sous peine de mort u_u ...

Ces niveau, ces bandes, ne sont pas "droit". Ils ont, en fonction de la configuration de la matière, des creux et des bosses.

Lorsqu'un photon assez énergétique arrive, il "donne" son énergie à un electrons qui va sauter sur une nouvelle bande plus haute en énergie, mais en passant par le chemin "le plus court", c'est à dire, qu'il saute d'une bosse à un creux. Et là, il y a deux cas possible :

- bosse et creux sont en face, et dans ce cas, en "retombant" il va y avoir rémission d'un photon de même énergie que le premier.

- bosse et creux ne sont pas en face, dans ce cas, en retombant, il va y avoir génération d'un photon légèrement moins énergétique + génération d'une particule : "phonon" qui a une impulsion (grossièrement parlant, c'est la particule associée à une onde mécanique... C'est à dire au son et ultrason...). Le fait que cette particule ai une impulsion signifie qu'elle a une masse...

Vala...

entrer dans les détails serait long et complexe. Je conseil la lecture de Kittel "physique de l'état solide" (chapitre interaction photon matière) qui bien plus exhaustif ... et compliqué tongue.gif

A bientôt ^^

(et désolé de déterrer biggrin.gifbiggrin.gif)

Merci pour ta réponse mad world,

Comment expliquer les impulsions qui sont des vibrations localisées de quoi?

Si c'est la trame espace-temps, elle est faite de quoi cette trame physiquement?

Les modèles mathématiques nous donnent pas l'intuition de ce que sont ces niveaux d'énergie ni ce que sont ces particules.

Je vais acheter le livre que tu nous conseilles.

Les phonons se comportent comme du son donc pas comme une particule?

J'adore discuter avec des gens aussi passionnés que vous... drinks.gif

La derniere particule decouverte par le Fermilab est peut etre la particule U?

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

C'est probablement effectivement la particule U de la théorie constituant de toutes les corde de notre univers et des quarks des la théorie à particule unique...

Celles-ci libres devraient avoir des propriétés anti-gravitationnelles...

On va bientôt fabriquer des soucoupes volantes :smile2:

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Dans cette théorie, la particule élémentaire à l'origine de toutes les particules et de toutes les interactions est l'univers de la dimension du dessous.

Pour vous donner les ordres de grandeurs: si l'atome était de la taille de notre univers un quark serait de la taille d'un arbre et une particule U à peu près de la taille d'un ballon...

Il faut imaginer qu'un quark est une boucle de corde faite de U, le niveau de tension de cette boucle dépend de son diamètre, plus la boucle est petite plus il y a de tension et moins il y a de U dans une boucle.

Ceci explique pourquoi les boucles ont des niveaux d'énergie dont chaque cran correspond à un électron volt dans le cas d'une orbitale d'électron.

Les crans ont un niveau d'énergie très différents pour ce qui concerne les quarks.

L'ensemble de ces boucles vibre à une vitesse très largement supraluminique (on rejoint la notion de mousse quantique) et occupe un volume de probabilité de présence ( comme un objet très rapide pris avec un appareil photo à vitesse d'obturation très lente, semble occuper un espace...)

Modifié par alexandreW
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  • 3 mois après...
Membre, Posté(e)
amlesas Membre 7 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour,

Je n'ai pas encore tout lu (intéressant), j'en suis à la 16ième page mais je me suis inscrite pour lire les attachements... Il n'y a pas de suite ?

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