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Quatr

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  1. Quatr

    La lumière et les photons?

    Oui. Que l'inertie de la particule est donc un phénomène spontané.
  2. Quatr

    L'empire est-il empirique.

    Certes. Pour être précis, je ne tiens pas à changer le monde. En fait, plutôt, de réfuter ceux, de révoquer ce qui tend à le changer. Les moyens, je ne les ai pas. Mais je fais ce que je peux. Et ne cherche pas à vendre ma complaisance comme un gage de sagesse. Le pouvoir.... se confère, mais ne se prend pas. Le pouvoir conféré n'est pas une illusion.
  3. Quatr

    La lumière et les photons?

    Alors, il faut savoir qu' officiellement, le papa de la physique quantique avec son principe d'incertitude... a tout fait pour soutenir le contraire. A savoir que l'atome est la limite de la réalité, et que l'inertie de la particule est un phénomène spontané. Donc qu'il n'y aurait pas d'intrication sous-jacente, car il n'y aurait pas de sous-structure. Et qu'il serait vain, qu'il serait inutile, même que de tenter de démontrer le contraire. C'est ça, le principe d'incertitude. C'était il y a un siècle, et, aujourd'hui, on se rend bien compte que les prions sont plus qu'une simple spéculation farfelue. Il faut comprendre aussi que c'est un sujet autour duquel les conflits d'intérêts sont légion. Parce que, la contingence supposée de la réalité.... c'est un des arguments, sinon le principal argument des rhétoriques religieuses. L'existence n'a pas de sens....-> donc il faut agir de façon responsable en vertu de l'ordre et de la justice. Et donc, même en admettant qu'on démontre, qu'on observe les sous-structures de l'atome et les intrications sous-jacentes..... Il y a fort à parier que quelqu'un d'autre débarque pour remettre une couche d'entropie derrière. Encore une, pourvu quelle résiste quelques années. Moi, je suis complètement de ton avis. Tout effet suppose une cause, et il serait bien difficile d'admettre qu'une réaction ne soit pas la conséquence d'une interaction. L'intrication sous-jacente..... par élimination... est la seule explication plausible. Il faut savoir d'ailleurs que c'est un raisonnement qui ne résiste qu'à la physique quantique. En astrophysique c'est admit, en physique c'est admit, preuve mathématique à l'appui et en chimie c'est admit. Il n'y a qu'en physique quantique que le débat reste ouvert.... car l'on n'a pas encore démontré qu'il y avait des sous-structure à l'atome. Ca s'appelle la relativité restreinte. A cela près qu'on parle d'atomes plutôt que de planètes. Les phénomènes non-locaux.... On en revient encore au principe d'incertitude. Qui prétend que la particule ne peut pas être localisée.... et qu'elle est donc non-locale. Ce qui est un abus de langage. Ce n'est pas car nous sommes incapables d'appréhender la localité du phénomène.... que le phénomène est non-local. Le phénomène non-local...... c'est littéralement un sophisme. Bref... Je te rejoins. J'ai envie de te dire, à ce stade, ce n'est même plus de la physique, soit-elle quantique, mais de la rhétorique. Le principe d'incertitude.... revendique le bénéfice du doute. Et non pas d'avoir corrélé les faits. Tu peux repousser les incertitudes un peu plus loin...... quelqu'un reviendra toujours pour prétendre que le diable se cache un peu plus loin dans l'inconnu. Il en est ainsi depuis des millénaires. Les scientifiques démontrent que l'existence se justifie.... et les religieux débarquent pour dire que là, ici là -> y'a toujours pas de justification. Alors en attendant que vous en trouviez une de justification, dans le doute, on va continuer de remettre tout ce hasard dans l'ordre. Tu comprends... à qui revient le bénéfice du doute. Il ne s'agit pas de repousser les conjectures un peu plus loin. Il s'agirait plutôt de renverser cette tendance. De dire que ce n'est pas aux scientifiques de démontrer la corrélation. Mais aux religieux de démontrer qu'il n'y en a pas. Par exemple, heisenberg, concernant la localisation de la particule..... n'a pas démontré l'absence de corrélation. Il a démontré son incapacité à corréler, et a demandé à tout le monde de se complaire, de se suffire de cette incompétence. "La localisation de la particule est incertaine, je n'en ai pas la certitude, mais il serait vain, il serait inutile que de chercher à la localiser" C'est une plaidoirie.... qui dit aux scientifiques..... arrêtez de chercher à corréler les faits. Il aurait voulu démontrer la spontanéité, l'absence de corrélation, mais il n'a pas réussi. Alors il a dit aux autres d'arrêter de chercher la corrélation. Nous n'éluciderons jamais l'inconnu. Et ce petit manège peut durer, encore, une éternité. On pourra toujours continuer de prétendre que la spontanéité se cache, là, où l'on n'a pas l'équation.
  4. Ma mère m'a haï. Car elle a vu mon père en moi. Père qu'elle a abandonné en voyant le spectre de l'âge, pensant qu'elle méritait un spartacus aux normes européennes. Décision qu'elle a, les années passant, amèrement regrettée. Et, pour assumer laquelle, a dû se plonger dans un profond déni, a détourné la haine qu'elle se portait, envers lui, envers moi, pour se justifier. L'impact... J'ai attendu des femmes qu'elles me maternent. J'ai cherché de la compassion dans le désir. J'ai confondu la mère et la courtisane. Pensant que les femmes qui s’intéressaient à moi voulaient m'offrir la tendresse que je n'ai pas reçu de sa part. A noter que je ne condamne personne.
  5. Quatr

    Antisémite ??

    Si on veut vraiment jouer avec l'étymologie et l'épistémologie.... Historiquement, l'islam et le christianisme sont des branches du judaïsme. Il y a eu des juifs de l'occident, jusqu'en chine et au japon, en passant par l'afrique et l'amérique.... à une époque où la démographie mondiale s'élevait à 100 millions. Pas besoin d'aller chercher des civilisations dont personne n'a entendu parler. Jésus de nazareth parlait l'araméen, il était sémite. Et avant d'adopter le latin, les chrétiens parlaient l'araméen. Le christianisme est d'origine sémite. Soit dit en passant, la république française repose sur une base idéologique et déontologique protestante. L'antisémite... j'ai envie de dire... on peut l’appeler le misanthrope.
  6. @manupain Bon, si la conversation doit se poursuivre, autant ne pas digresser sur le topic de quelqu'un d'autre. Et puis, comme ça, on ne m'accusera pas de hors-sujet, si c'est mon propre sujet. Tu me disais, me semble-t'il, que le respect est un impératif pour qui veut interagir. Or, je ne crois pas que l'irrespectueux soit obstacle à l'interaction.... à la relation, probablement, mais pas à l'interaction. Je dirais même que celui qui constitue un frein à l'interaction, c'est plutôt celui qui a besoin de remplir des critères moraux pour s'impliquer. Pour contextualiser, j'aimerais parler de la nuance entre empathie et sympathie. Nuance que j'ai déjà survolée, mais je commence à me dire qu'elle pourrait avoir plus d'intérêt que je ne l'aurais cru. Pour moi, le respect n'est ni un vice, ni une vertu. Le respect, c'est quelque chose de tout à fait fortuit. Je ne décide pas d'avoir ou non du respect pour mon vis-à-vis. Et je ne nourris aucun idéal qui nécessiterait d'être respectueux pour être réalisé. Il y a des gens que je respecte, et d'autres pas, voilà tout. Ce qui fait que je ne "manque" jamais de respect. Le niveau de respect que je présente est toujours proportionnel à ce qui m'est inspiré par l'autre, jamais dans le manque ni dans l’excès. Tant que je ne m'en remet pas à quelqu'un d'autre pour définir mes idéaux. J'aimerais parler d'un respect empathique. Et qualifier celui que tu m'évoques de respect sympathique. C'est très vulgaire mais tout de même assez parlant. Je crois avoir été quelqu'un de très empathique. Moins aujourd'hui, avec l'âge, le tabac, et le deuil de mon innocence. Mais tout de même, je pars avec certain capital empathie. Effectivement, de ce fait, je me suis fait l'avocat du diable de façon assez récurrente. De par cette aptitude à pouvoir comprendre, autant sur un plan sensible que lucide, les monstres, les malades et autres hérétiques... ceux qui ne sont pas sympathiques. De là à dire que je suis quelqu'un de fondamentalement sympathique... non. Non, certainement pas. La sympathie, c'est tout autre chose qu'une propriété physiologique. La sympathie est dogmatique, une application déontologique. On est sciemment et délibérément sympathique, en vertu de la réalisation d'un idéal... c'est une attitude éthique. L'empathique étant sensible, ses réactions sont fortement influencées par ses émotions. Ce qui rend difficile pour lui, d'observer, d'appliquer des codes sociaux. Aillant déjà à assumer une très forte condition émotionnelle... nécéssairement... l'influence culturelle et idéologique aura moins d'impact sur lui. Le sympathique, le gentil, le vertueux, c'est quelqu'un d'autre. Qui se voudra plutôt dans l'appréhension des conséquences de ses actes que dans la réaction. Etant moins fortement stimulé émotionnellement, il est plus simple pour lui de ne pas donner cours à la tentation du diable et aux réactions fortuites. Fondamentalement, Le sympathique est quelqu'un de politisé, responsable de sa sympathie. L'empathique, quant à lui.... est beaucoup plus susceptible de ne pas l'être. Car il est beaucoup plus difficile d'exercer un conditionnement idéologique sur quelqu'un de sensible et d'intelligent, tout simplement. Alors que c'est tout de même beaucoup plus simple, de faire avaler des couleuvres à quelqu'un qui pense et ressent peu. Mais, ce dont je voudrais parler, c'est du clivage historique, et pas des moindres, qui oppose les deux. Historiquement, les sympathiques ont exterminé ceux qui n'étaient pas sympathiques. Ça pourrait ressembler à un sarcasme ce que je dis là. On pourrait croire que je me fous de vos gueules. Mais pas du tout, premier degré, dans l'histoire, les sympathiques, les vertueux, les gentils, ceux qui agissent bien, c'est ceux qui brûlent ceux qui agissent mal. Ceux qui ont refusé la sympathie, qui ont refusé d'agir en vertu des idéaux à la mode... ont été lapidés, brûlés, crucifiés, écartelés, torturés, exilés, décapités, soignés.... éradiqués Tout simplement, car quand l'on fait du respect une vertu, on fait de l'irrespect un vice. Et les vicieux, les hérétiques, au mieux on les conforme, au pire on les tue, et on les fait souffrir avant.. et pendant... même après. C'est un peu ça le clivage entre les sympathiques et les empathiques. Les vertueux et les hérétiques. Le sympathique, observant une idéologie en vertu de quoi il applique une déontologie... un religieux. L'empathique, fort d'une grande intuition, d'une grande stimulation sensorielle et intellectuelle.... n'est pas exempt de bêtise, mais est tout de même beaucoup moins sujet à l'influence dogmatique et culturelle de son environnement politique. Aussi, les irréductibles à l'idéologie indépendante n'ont survécu que dans les bandes dessinées. Nos ancêtres, s'ils ont survécu et se sont reproduit, ont sympathisé avec les autorités politiques et religieuses de leur temps. Les autres n'ont pas survécu, ou n'ont pas eu l'occasion de se reproduire. C'est pas une vérité absolue.... mais, quand même, plutôt absolue. Pour ce qui est du respect, je ne crois pas qu'il soit pré-requis à l'interaction. Pré-requis à la relation, peut-être. Mais nous ne parlons alors pas d'un respect sympathique. Plutôt du plus fortuit, du plus irresponsable, oserais-je dire du plus providentiel des respects. Le dogme, lui, n'est le pré-requis de rien.
  7. Je te dis que je n'en suis pas capable. Et ce n'est pas comme si j'étais un incapable sur le terrain de la rhétorique. Ne m'insulte pas, tu me parles de respect, respecte moi, respecte ce que je te dis. Je suis déjà très fier de pouvoir formuler ce que je te partage là. Je trouve ça très bien formulé. C'est vulgaire, mais c'est aussi concis, et précis. Et pour en arriver là, c'est pas du talent qu'il faut, c'est du travail. Ca fait 15 ans que je suis là dessus. J'ai fourni beaucoup d'efforts, beaucoup de patience, beaucoup de courage. Sans la moindre rétribution, pendant que des menteurs et des analphabètes obtiennent des prix nobels. Sans la moindre reconnaissance, parce que je fais pas ça par intérêt, et que deux personnes ont eues la présence d'esprit de me remercier au cours de ma vie. Quand je te dis que le sujet est sensible. Moi, il m'a fallu plus de trois ans pour sortir du déni face à l'indéniable. Si moi c'est trois ans, pour quelqu'un d'autre c'est 30, voir c'est pas. Ne m'insulte pas. Je fais ce que je peux, je suis déjà très content de ce que j'arrive à faire. Ce travail, j'ai pas l'intention de le bâcler. J'ai pas le droit de me bâcler, j'ai pas le droit de le bâcler. Ne me tire pas les vers du nez. Pour l'instant, j'ai ce que j'ai là, à te proposer, tu prends, tu laisses, je ne te demande rien en retour. Le reste, je te dis que je n'en suis pas capable. Respecte ça, respecte moi. Je préfère me taire que de dires des conneries, j'ai même pas la prétention de pouvoir être objectif à ce sujet, alors que je détruis mon égo depuis plus d'une décennie. Ce que j'ai, tu peux le prendre. Ce que j'ai pas, tu me le voles pas. Ca tombe pas du ciel, la science.. et je sais pas l'infuser. Moi aussi je porte mon lot de colère. Sauf que je la canalise. Parce que la mienne, le jour où elle sort, moi je reste enfermé. Or j'ai trois bricoles à écrire avant de faire une croix sur ma vie. Tu veux t'ouvrir, ouvre toi. Tu veux me dire quelque chose dis-le. Mais ne me le vends pas. Donne.
  8. interaction -> réaction ̶i̶n̶t̶e̶r̶a̶c̶t̶i̶o̶n̶ -> ̶r̶é̶a̶c̶t̶i̶o̶n̶
  9. Je créerais un autre topic dans lequel je te mentionnerai d'ici demain. Mais parler de ça..... Il y a beaucoup de contexte à poser, un gros travail de sémantique, en amont. C'est le travail de ma vie..... je suis loin d'avoir terminé... et... c'est pas quelque chose dont on peut parler dans les grandes lignes. Le sujet est sensible, complexe.... le potentiel de biais cognitifs et de conflits d'intérêts, même pour moi, est énorme. On peut en parler, mais je peux pas te lâcher ça, comme ça, entre le fromage et le dessert.
  10. Quatr

    La « délation »…

    Ouais, t'as raison. Alors... pour répondre à TON sujet. Moi, quand je marche la nuit, y'a des gens qui appellent la police, laquelle vient m'enjoindre de rentrer chez moi. Serait-ce de la délation ? Un couvre-feu ? Et je ne fais pas de la polémique, c'est un fait réel. D'ailleurs, suite à cela, je suis parti marcher loin des villages, j'ai commencé à croiser des sangliers. Crois-tu que ces délations, s'il en est, constituent une mise en danger de la vie d'autrui ?
  11. Quatr

    La « délation »…

    Oui. Moi je vois un phénomène local, qui devient un sujet d'état, et personne qui ne parle de l'état. J'aurais voulu dire que ça ne me, ne nous concerne pas, mais à fortiori, si, nous résidons sur le même sol juridique. Et puis.... cela m'inquiète, me chagrine, de voir que les débats de sociétés restent en surface, les droits les devoirs, le tort et la raison des petites gens. Quand le problème, manifestement, et très manifestement, est clairement d'ordre structurel. C'est..... gros comme une maison. On voit que ça. Et on en parle pas.
  12. Quatr

    La « délation »…

    Ca sert à quoi, un Maire, s'il n'a pas d'autorité ? C'est juste un symbole en fait, un ambassadeur, un administratif. Est-ce que c'est de la délation.... c'est pas tellement ça la question. La question c'est... pourquoi le maire a besoin d'un recours, pourquoi il ne peut pas traiter, résoudre la situation lui-même. Pourquoi il n'a pas de pouvoir.. s'il en avait, on se poserait pas la question de savoir si c'est de la délation. Parce que, oui, c'est quand même ridicule, de la part de l'autorité locale, d'avoir à appeler les flics. A ce moment là, il faudrait appeler ça un secrétaire municipal, pas un Maire. Maintenant.... qu'est-ce qui justifie une administration, une autorité unique et immuable pour 70M d'individus dans un périmètre de 5000KM... Mis à part des frontières et une langue romaine. J'imagine que la question est moins importante, moins pertinente.
  13. T'es sûr ? Moi, en lisant la façon dont tu dépeins le contexte, c'est pas l'impression que j'ai. L'amour, l'amour.... Si tu restes avec ta femme, sans que rien ne le justifie, sans que cette relation ne soit conditionnée par quelque besoin, par quelque envie.. Ca, j'appellerais ça de l'amour, de l'amour inconditionnel. De l'amour qui dépasse la justification, qui dépasse la dépendance, qui dépasse les faits. Si tu me dis que ton attirance pour cette femme est conditionné, justifié par ce que tu ressens pour elle.... alors c'est du désir. Le désir est sensible, fortuit, on ne choisit pas. -> conditionnel, nous sommes créatures du désir. L'amour est lucide, induit, on choisit d'aimer. -> inconditionnel, nous sommes créateurs de l'amour. Et, en ces termes, tu me sembles beaucoup plus sujet du désir, que faisant le sujet de l'amour.
  14. Quatr

    Un tout petit entourage

    Manque de relation ou manque d'interaction ? Aujourd'hui, l'un ne va pas sans l'autre, on ne va pas parler à quelqu'un avec qui l'on n'entretient pas de relation. Bien que ce soit plus simple sur internet. Notre culture moderne rend les interactions.. très dogmatiques. Moi, je n'ai pas d'ami, pour ainsi dire, je n'entretiens pratiquement aucune relation, sinon avec quelques membres de ma famille. Je ne peux pas dire que je le vis bien. Mais ce dont je souffre, c'est avant tout de ne pas pouvoir interagir avec des inconnus. De devoir observer des codes sociaux, une certaine déontologie, propre à chaque groupuscule. Ce n'est pas que je ne comprends pas ces codes... c'est que je refuse de les appliquer, en conséquence de quoi, l'on me refuse l'interaction. Et, à choisir, je préfère encore le silence que l'interaction dogmatique. Ceux que tu pointes comme aillant beaucoup de relations..... As-tu seulement la moindre idée de ce qui leur en coûte de dignité, pour les entretenir. Crois-tu que l'on puisse être intègre, être soi, tout en aillant un vaste cercle social, en 2025 ? Je pense que ces gens là souffrent aussi, de tous les efforts qu'il ont à fournir, pour correspondre aux prérequis sociaux. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'ils souffrent plus que ceux qui subissent le silence. Mais, assurément, ils portent leur fardeau aussi. Bien que, j'entends, l'herbe est toujours plus verte chez le voisin, surtout quand on vit dans le désert. M'enfin, il faut la passer, la tondeuse. Tu sais.... Ne serait-ce qu'avoir une personne avec qui tu peux être toi, parler sans filtres.... c'est déjà.... c'est déjà beaucoup. Nombreux sont ceux qui n'ont pas cette chance.. très nombreux.
  15. La vie tient à survivre et se reproduire, c'est un fait, en effet, même si les généticiens le nient. Préserver son intégrité, et, à défaut de le pouvoir, la perpétuer. Seulement, et quoi qu'en dise malinowski, il n'est aucun besoin de faire de la politique pour survivre et se reproduire. Et les intérêts de l'auto-fonctionnalisme humain dépassent de loin la simple question de la survie. Les enjeux politiques et religieux, depuis aussi longtemps qu'ils sont, c'est l'instauration de la paix. L'ordre, la justice, la liberté, l'égalité.... tous les idéaux qui ont servi à justifier quelque politique que ce soit.... supposent l'extinction du chaos. Supposent que nulle interaction, nulle réaction n'est légitime, et que prévaut l'appréhension, l'acte responsable, l'acte conditionné par ses conséquences supposées. On ne peut pas résumer, il faut un long dévellopement, de nombreuses digressions pour exprimer tout cela. Mais laisse moi te dire que, non, la survie et la reproduction.... c'est pratiquement déjà un acquis social. Cela fait bien longtemps que les politiques et religieux recherchent bien autre chose.
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