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Dernières lectures :

La science-fiction que j'aime. 1377 pages.

Je pense que Maxime Chattam est dérangé, dans sa tête ! Dans ce roman de 2003, il pressentait le Dark Net. Ici, la Cour des Miracles.

Pas déçu par cette histoire conçue pour les ados, malgré une historiette d'amour un peu gnan-gnan, mais des concepts intéressants, et un final réussi qui surprend.

Ma prochaine lecture :

https://images.app.goo.gl/oZXDxfvH9Ps6xqwc8

La vie de Toulouse-Lautrec par Henri Perruchot. Entre l'orage qui l'a vu naître et celui qui l'a vu mourir, un récit passionnant et émouvant de cette vie chaotique dans le Montmartre interlope de la belle époque. On croise Van Gogh, Bruant, la Goulue et bien d'autres. J'ai beaucoup apprécié.

en fait, que dalle... Le livre que j'ai trouvé, d'un auteur qui m'a bouleversée, je l'ai passé à mon compagnon. Je fais durer le plaisir

le deuxième bouquin de cette auteure que j'ai découvert cet été : et le premier, qui a eut un putain de prix, mais qui est presque introuvable

Le 22/09/2023 à 18:28, Crève a dit :

Dernières lectures :

La science-fiction que j'aime. 1377 pages.

 

Je pense que Maxime Chattam est dérangé, dans sa tête ! Dans ce roman de 2003, il pressentait le Dark Net. Ici, la Cour des Miracles.

Pas déçu par cette histoire conçue pour les ados, malgré une historiette d'amour un peu gnan-gnan, mais des concepts intéressants, et un final réussi qui surprend.

Ma prochaine lecture :

In tenebris, ce n'est pas de la SF, c'est un polar et il est bien hard... Chattam a fait pas mal de polars aussi

Le 22/09/2023 à 18:28, Crève a dit :

 

Je pense que Maxime Chattam est dérangé, dans sa tête ! Dans ce roman de 2003, il pressentait le Dark Net. Ici, la Cour des Miracles.

"In tenebris" fait partie d'une trilogie, avec "l'Âme du Mal" et "Maléfices". Maxime Chattam est un assez bon auteur de récits à suspense (pour un Français), parfois énervant car il se tient au bord du fantastique et semble hésiter à franchir le pas... 

Le 16/09/2023 à 11:24, Blaquière a dit :

J'ai un complexe...

 Et je tente d'y remédier.

En Troisième on étudiait "le père Goriot"... Et... Mais quelle honte ! je ne l'ai jamais lu ! Alors, j'ai dit STOP ! je vais le lire... je commence et vers le début je tombe sur :

"All is true" ! En anglais dans le texte. Je me dis alors : Est-il possible que Balzac cite Han Solo ? 

Enfin, non, plutôt l'inverse !

Mais non , même pas : Balzac et Han Solo Citent tous les deux Shakespeare.

C'était le tire à l'origine du "Henry VIII" de Shakespeare...

 

 

Si tu as lu "le Père Goriot", alors il faut lire "Illusions perdues" et "Splendeurs et Misères des Courtisanes", qui en sont (plus ou moins) la suite. Une trilogie qui est l'un des chefs-d'oeuvre de Balzac, et l'un des sommets de la littérature française.

Le 28/09/2023 à 20:01, Gouderien a dit :

Si tu as lu "le Père Goriot", alors il faut lire "Illusions perdues" et "Splendeurs et Misères des Courtisanes", qui en sont (plus ou moins) la suite. Une trilogie qui est l'un des chefs-d'oeuvre de Balzac, et l'un des sommets de la littérature française.

J'abonde dans votre sens, et j'ajoute que si l'on veut commencer Balzac et qu'on a un petit appétit, on peut essayer cette histoire courte : Une passion dans le désert :

C'est une très belle histoire, et qui montre tout le génie de Balzac, que je considère comme le père spirituel des romanciers français.

De plus, Balzac est un auteur original et il a aussi donné dans le fantastique, j'en veux pour preuves : La peau de chagrin, et L'élixir de longue vie.

Nul doute que si un Balzac naissait maintenant, il aurait les pieds dans les littératures de l'imaginaire.

Je me suis replongée ces dernières semaines dans la lecture d'auteurs russes.

J'ai un Tourgueniev qui m'attend "Premier amour".

Ca m'a pris soudainement, allez savoir pourquoi. Une pointe de nostalgie de mes lectures de jeunesse? allez savoir...

Il y a 1 heure, Crève a dit :

Nul doute que si un Balzac naissait maintenant, il aurait les pieds dans les littératures de l'imaginaire.

C'est pousser l'enthousiasme un peu loin.

hier, j'ai lu, "Rosine, une criminelle ordinaire"

il faut dire que j'ai flasher sur l'auteure... J'ai lu son 2ième bouquin, début septembre, du coup je voulais vraiment lire le premier

et je n'ai pas regretté. J'attends ses futurs bouquins avec impatience

Il y a 3 heures, Crève a dit :

J'abonde dans votre sens, et j'ajoute que si l'on veut commencer Balzac et qu'on a un petit appétit, on peut essayer cette histoire courte : Une passion dans le désert :

C'est une très belle histoire, et qui montre tout le génie de Balzac, que je considère comme le père spirituel des romanciers français.

De plus, Balzac est un auteur original et il a aussi donné dans le fantastique, j'en veux pour preuves : La peau de chagrin, et L'élixir de longue vie.

Nul doute que si un Balzac naissait maintenant, il aurait les pieds dans les littératures de l'imaginaire.

Et contrairement à sa réputation, Balzac n'est pas si difficile à lire.

Je lis Mr Mercedes, de Stephen King :

on m'a prêté une anthologie, 12 textes de science-fiction, sur le thème de l'écologie, collection dirigée par Gérard Klein :

Et je continue dans la série "Agatha Raisin" : n° 15 "Bal Fatal", n° 16 "Jamais deux sans trois"', n° 17 "Cache-cache à l'hôtel".

Très bons bouquins. Agatha a fini par ouvrir une agence de détectives privés, comme on le lui conseillait. Les enquêtes sont passionnantes, parfois avec des rebondissements inattendus. A la fin de "Jamais deux sans trois", une surprise (enfin une surprise... on s'y attendait quand même un peu) de taille : le retour de James Lacey. Les relations compliquées entre Agatha et James sont un des fils conducteurs de cette série. On devine comment ça se terminera, à la fin du dernier volume (34e je crois) : "Ils se marièrent, furent heureux... et eurent beaucoup d'emmerdements."

Mais comme l'auteur* ne peut pas déjà en arriver là, elle est bien obligée de louvoyer, avec plus ou moins de bonheur. C'est ainsi que les retrouvailles entre Agatha et son ex-mari (et oui, ils ont déjà été mariés) sont on ne peut plus bizarre : aucune explication de la part de James, qui avait quand même quitté Agatha pour s'exiler dans un couvent français, avant de disparaître de celui-ci pour une destination inconnue. Il a récupéré son cottage, voisin de celui d'Agatha, comme si rien ne s'était passé. On a beau être un lecteur indulgent, la "suspension provisoire d'incrédulité" sur laquelle repose toute œuvre de fiction en prend un coup. Surtout qu'en fait les relations entre Agatha et James sont toujours aussi mauvaises. C'était bien la peine de le faire revenir! Heureusement que l'enquête est très intéressante.

* Pardon l'autruche, euh je veux dire l'autrice.

(hommages à Hubert Reeves)

"La Théorie du Chaos", James Gleick, édition remaniée 2021, Flammarion

Echantillons :

La relativité a éliminé l’illusion newtonienne d’un espace et d’un temps absolus ; la théorie quantique a supprimé le rêve newtonien d’un processus de mesure contrôlable ; le chaos, lui, élimine l’utopie laplacienne d’une prédicibilité déterministe.

Et par-dessus tout, dans un univers soumis à l’entropie, inexorablement attiré vers un désordre croissant, comment l’ordre apparaît-il ?

on m'a prêté un livre de fantastique : le labyrinthe de Pan, je n'ai plus trop de souvenirs du film, si ce n'est la créature étrange à table qu'il ne fallait pas déranger :

Je continue sur ma lancée Divergent de Veronica Roth, avec le tome 2 : Insurgent.

"Maintenant" (collection complète de la revue), Arthur Cravan, édition Jean Michel Place

Echantillon :

[...] 18 h. 15. Fuitt ! en bas les escaliers ! Je sautai dans un taxi. C’était l’heure de l’apéritif : la lune immense comme un million présentait beaucoup d’analogie avec une pilule digérée pour les lumbagos bleus. J’avais 34 ans et j’étais cigare. J’avais plié mes 2 mètres dans l’auto où mes genoux avançaient deux mondes vitrés et j’apercevais sur les pavés qui répandaient leurs arcs-en-ciel les cartilages grenats croiser les biftecks verts ; les spécimens d’or frôler les arbres aux rayons irisés, les noyaux solaires des bipèdes arrêtés ; enfin, avec des franges roses et des fesses aux paysages sentimentaux, les passants du sexe adoré et, de temps à autre, je voyais encore, parmi les chieurs enflammés, apparaître des phénix resplendissants.