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gilonimo

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Membre, 56ans Posté(e)
Auger Membre 10 538 messages
Maitre des forums‚ 56ans‚
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Joyce Maynard - Et devant moi, le monde

Bon, je vais encore faire mon grincheux...

Pour paraphraser le texte d'un dessin de Charlie Hebdo (c'est dur d'être aimé par des cons), je dirais "C'est dur d'être amoureuse d'un sale con".

En effet, le principal intérêt du bouquin (et ce qui a fait son succès médiatique retentissant à l'époque, il y a une vingtaine d'années), c'est l'histoire d'amour de l'auteur (19 ans) avec J. D. Salinger (53 ans) et le portrait (peu flatteur) qui est fait de ce dernier.

On retombe sur l'énième histoire d'écrivain qui, s'il n'est pas pédophile juridiquement, a quand même une très forte attirance pour les très jeunes femmes (tout juste majeures donc). La façon dont il l'a attirée dans ses filets est particulièrement écœurante (à mes yeux en tout cas)

Le portrait de Salinger est effroyable : une espèce de gourou (limite pervers narcissique, comme on dit aujourd'hui) qui cherche à imposer son mode de vie extrême à Joyce Maynard, puis la jettera finalement comme un vieux mouchoir au bout de quelques mois.

Pour ce qui est de l'auteur, elle n'est pas davantage sympathique : autocentrée sur son talent et sur son corps (anorexie, boulimie), pas très propre (c'est un truc qui m'a choqué), plutôt "chiante" et envahissante, elle mélange la pudibonderie et l'impudeur ses problèmes de vaginite dont elle n'arrive pas à tirer quelque chose de plus... profond...(désolé).
Au final, je ne la plains qu'à moitié.

Reste une peinture intéressante de la vie américaine, du statut de la femme, de son émancipation et de la vie estudiantine des années 70.

 

Et devant moi, le monde - Poche - Joyce Maynard, Pascale Haas - Achat Livre  | fnac

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 906 messages
108ans‚ ©,
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il y a 6 minutes, Auger a dit :

En effet, le principal intérêt du bouquin (et ce qui a fait son succès médiatique retentissant à l'époque, il y a une vingtaine d'années), c'est l'histoire d'amour de l'auteur (19 ans) avec J. D. Salinger (53 ans) et le portrait (peu flatteur) qui est fait de ce dernier.

 

Il n'y a pas d'histoire d'amour.  Histoire d'amour ?? C'est ignoble, c'est l'histoire d'une emprise pédophile. Joyce Maynard a dit et raconté il y a des années ce que dit et raconte aujourd'hui Vanessa Springora, sauf que Joyce Maynard, elle, n'a pas eu toute latitude pour le faire 😕 l'époque, il y a 25 ans. On était sourd alors. Et bah oui, elle cherchait à comprendre ses séquelles. Qu'est ce qu'on avait comme parole à l'époque ? Quel soutien à l'époque ? Quelle compréhension des mécanismes ?  Et même aujourd'hui, Hamilton, Matzneff et compagnie, quelle compréhension du mécanisme ? C'est ça "Et devant moi le monde". C'est une des premières sinon la première à avoir libéré sa parole. Et elle était de poids la parole de Joyce Maynard, à cause bien sûr, de la célébrité de ce pourri de Salinger qui bénéficie encore d'une aura non négligeable dans les cercles littéraires.

 

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Membre, 56ans Posté(e)
Auger Membre 10 538 messages
Maitre des forums‚ 56ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, January a dit :

Il n'y a pas d'histoire d'amour.  Histoire d'amour ?? C'est ignoble, c'est l'histoire d'une emprise pédophile. Joyce Maynard a dit et raconté il y a des années ce que dit et raconte aujourd'hui Vanessa Springora, sauf que Joyce Maynard, elle, n'a pas eu toute latitude pour le faire 😕 l'époque, il y a 25 ans. On était sourd alors. Et bah oui, elle cherchait à comprendre ses séquelles. Qu'est ce qu'on avait comme parole à l'époque ? Quel soutien à l'époque ? Quelle compréhension des mécanismes ?  Et même aujourd'hui, Hamilton, Matzneff et compagnie, quelle compréhension du mécanisme ? C'est ça "Et devant moi le monde". C'est une des premières sinon la première à avoir libéré sa parole. Et elle était de poids la parole de Joyce Maynard, à cause bien sûr, de la célébrité de ce pourri de Salinger qui bénéficie encore d'une aura non négligeable dans les cercles littéraires.

 

Je comprends, mais j'ai préféré y aller avec des "pincettes" sur ce sujet.

Elle était majeure, pas 12, 13 ans comme le faisait Matzneff et tous ces pourris d'intello. gauchistes des années 70.

Salinger (oui, une ordure !) a répété ce processus avec des jeunes femmes de 18, 19, 20 ans : s'agit-il réellement de pédophilie ? d'emprise oui, de pédophilie je suis moins sûr : je ne pense pas qu'il faille "galvauder" ce terme en l'appliquant à toutes les situations.

Si tu te souviens du livre elle ne se plains pas d'ailleurs de ça, mais plutôt d'avoir été jetée par Salinger alors qu'elle se voyait avoir des enfants avec lui ! 

Au final, je ne suis pas d'accord avec toi : je n' ai pas vu de "libération de la parole", mais au contraire une vision ambiguë de la fascination de ces jeunes femmes pour des vieux bonhommes (vieux mais célèbres ?).

Modifié par Auger
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 906 messages
108ans‚ ©,
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il y a 11 minutes, Auger a dit :

au contraire une vision ambiguë de la fascination de ces jeunes femmes pour des vieux bonhommes (vieux mais célèbres ?).

T'es sérieux ? 

Ok.

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Membre, 56ans Posté(e)
Auger Membre 10 538 messages
Maitre des forums‚ 56ans‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, January a dit :

T'es sérieux ? 

Ok.

Ne m'engueule pas, mais relis le livre ?

Je suis toujours le premier à dénoncer la pédophilie, mais quand la réalité d'une situation est plus compliquée, pourquoi être dogmatique, refuser toute lucidité et voir les choses en blanc/noir ?

Quand on est adepte du "tout juridisme" (ce n'est pourtant pas mon cas), les mots ont un sens : à 19 ans le cas de Joyce Maynard ne relevait pas de la pédophilie, au sens strict et juridique, mais de la fascination dangereuse d'un côté et de la perversité mentale de l'autre.

Couple Macron, pédophilie ? Bien sûr que non  !

Etre fascinée par une ordure, être incapable de l'admettre 20 ans après ! Oui, cette femme m'a prodigieusement énervé ! Elle dessert la cause des femmes !

 

 

Modifié par Auger
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Membre, 38ans Posté(e)
.iO Membre 5 005 messages
38ans‚
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Je l'ai trouvé dans une décharge alors pourquoi pas et j'avais déjà entendu son nom.

Comment ça qu'est ce que je fichais dans une décharge...?

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Membre, 41ans Posté(e)
Crève Membre 3 516 messages
Mentor‚ 41ans‚
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Après 1Q84 - la trilogie, et Kafka sur le rivage, j'ai choisi à la Ressourcerie, un autre Murakami : L'incolore Tazaki.

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
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En moyenne, un homme décède tous les treize jours sous les coups de sa compagne. Cette réalité, souvent méprisée ou tournée en dérision, Maxime Gaget en a fait l'expérience pendant dix-sept mois. Peu après son installation avec Nadia, les insultes et les coups deviennent son quotidien. Celle qui prétend l'aimer l'éloigne de son entourage, s'accapare ses moyens de paiement, le fait dormir à même le sol et lui inflige les pires sévices (douches froides, incurie, brûlures, etc.). Réduit en esclavage et privé de toute dignité, Maxime est trop honteux pour demander de l'aide, résigné à un sort qui s'aggrave de jour en jour. Rescapé de cet enfer par miracle, il nous livre un témoignage courageux et poignant, qui lève le voile sur l'autre visage de la violence conjugale.

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Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 870 messages
40ans‚ nyctalope,
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Je viens de finir le roman Moonchild, écrit par Aleister Crowley.

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C'est étrange et très inégal. En général on connaît Crowley comme "magicien", début XXe, avec une réputation très sulfureuse mais pourtant une influence énorme sur tout ce qui touche à la magie et l'ésotérisme dans le monde anglo-saxon — beaucoup moins en France. En même temps on s'aperçoit vite que d'un côté ou de l'autre de l'Atlantique, peu de monde finalement ne l'a lu. Le plus souvent, c'est par l'une de ses productions magico-poétiques pas toujours convaincantes, aimant à s'admirer, jouant sur l'ambivalence, sans forcément que la danse hermétique ne soit suffisamment légère. J'avais lu le Book of Lies par exemple, avec une sensation de creux malgré une forme ciselée.

À côté de cela, il a écrit beaucoup de nouvelles de fiction, principalement des enquêtes parfois psychologiques et parfois psychiques, centrées sur le personnage du détective/devin/magicien génial, Simon Iff — évidemment une projection à peine voilée de lui-même. Dans ce roman, ce  même personnage est présent — cette fois non pas sous ses habits de détectives mais plutôt dépeint comme un grand sage, stoïque et taoïste à la fois, à imaginer alternant entre le smoking et la toge de magicien — et paraît même s'être dédoublé, en le "héros" magicien blanc Cyril Grey, lui aussi une projection transparente de Crowley, celle-là en plus jeune, version plus impétueuse, également gommée de ses défauts et qui pourtant reste encore souvent antipathique. Il faut passer outre des personnages pour suivre l'histoire.

L'histoire suit une sorte de lutte à distance entre un groupe de magiciens blancs (nos héros) et un groupe de magiciens noirs — ceux-là aussi des adaptations transparentes d'occultistes et de personnages de l'époque, côtoyés par Crowley, et qu'il crible de défauts et d'horreurs — une lutte se centrant sur une expérience magique : ritualiser une conception sous le signe de la Lune, tant et si bien que l'enfant ne sera pas une âme réellement humaine, mais une incarnation lunaire, une âme astrale, qu'il s'agit de "capturer" par ce biais comme s'il s'agissait d'un papillon. Le véhicule choisi étant l' "héroïne", Lisa la Giuffra, une femme qui passe tout le roman en étant manipulée par tous les autres personnages, dans une passivité étonnante, subjuguée par telle ou telle magie, et qui au final montre assez bien que Crowley ne semble pas pouvoir écrire de personnage féminin.

Le roman suit ces péripéties, depuis la rencontre entre Cyril et Lisa à Londres, des aventures à Paris mêlant spiritisme et arnaqueurs, le long rituel en Italie, les tentatives presque comiques de la Loge Noire pour contrarier celui-ci, avant de revenir en France alors que commence la Première Guerre Mondiale et que les événements contemporains rappellent chacun au monde réel — les magiciens blancs combattant pour les Alliés, et les magiciens noirs pour la Triplice. Ces passages sont très inégaux ; le style de Crowley est châtié et emploie l'humour british sans arrêt, ce qui parfois marche (par exemple au début, lors d'une fausse séance de spiritisme, ou à la fin, dans leurs aventures avec les services de renseignement) et parfois beaucoup moins. Il y a évidemment aussi de longues digressions sur la magie, principalement sur la magie sympathique et les règles de retour. On pourrait penser qu'au vu des intérêts de l'auteur, le cérémonial italien serait la force du livre ; j'ai plutôt trouvé que c'était le passage le plus long et le plus ennuyeux.

Dans l'ensemble j'ai eu une impression similaire à celle ressentie en lisant les romans de Péladan (l'humour phlegmatique et forcé en moins) : récit chaotique, inégal, une étrange alternance entre passages ennuyeux, avec des pointes de misogynie çà et là, mais avec parfois aussi quelques lignes fulgurantes qui font plaisir et/ou penser, méditer, et qui justifient ces excursions dans ces vieux romans bizarres.

Finalement il n'y a à peine quelques pages sur l' "Enfant de la Lune" résultant de l'expérience ; on apprend juste que l'enfant aurait été ramené aux Etats-Unis par la théosophe Vittoria Cremers juste avant la Guerre. Comme le roman aurait été écrit vers 1917 à New York, peut-être que Crowley pensait à quelqu'un de particulier comme étant cette âme lunaire ; ça ne m'étonnerait pas s'il s'avérait qu'il utilisait cela comme une technique de drague dans la haute société new-yorkaise de l'époque. Autre chose intéressante, quelques références à des scandales ou à des faits géopolitiques de l'époque (crise de Fachoda, affaire de Saverne, affaire Humbert, affaire Steinheil, scandale de Panama, etc.).

Verdict : moyen-bof.

 

Le 04/02/2022 à 09:27, .iO a dit :

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Je l'ai trouvé dans une décharge alors pourquoi pas et j'avais déjà entendu son nom.

Comment ça qu'est ce que je fichais dans une décharge...?

Comment c'est ? Tu recommanderais ? :)

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Membre, 38ans Posté(e)
.iO Membre 5 005 messages
38ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Criterium a dit :

Comment c'est ? Tu recommanderais ? :)

Eh bien, je viens juste de le commencer alors ce serait un peu compliqué de dire textuellement "oui", mais j'ai lu des auteurs associés qui parlait de lui, alors disons que je pars assez confiant pour m'apporter des faits historiques des liens économiques et des précisions géographiques.

Après il faudrait que j'en sache un peu plus sur ce que vous voulez pour vous répondre un peu mieux.

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Membre, 56ans Posté(e)
Auger Membre 10 538 messages
Maitre des forums‚ 56ans‚
Posté(e)
à l’instant, jimetpam a dit :

"Les enfants après eux" de Nicolas Mathieu. Là je commence "Les Thanatonautes" de Werber.

C'est comment Nicolas Mathieu ?

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Membre, 55ans Posté(e)
jimetpam Membre 8 868 messages
Maitre des forums‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, cry baby a dit :

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En moyenne, un homme décède tous les treize jours sous les coups de sa compagne. Cette réalité, souvent méprisée ou tournée en dérision, Maxime Gaget en a fait l'expérience pendant dix-sept mois. Peu après son installation avec Nadia, les insultes et les coups deviennent son quotidien. Celle qui prétend l'aimer l'éloigne de son entourage, s'accapare ses moyens de paiement, le fait dormir à même le sol et lui inflige les pires sévices (douches froides, incurie, brûlures, etc.). Réduit en esclavage et privé de toute dignité, Maxime est trop honteux pour demander de l'aide, résigné à un sort qui s'aggrave de jour en jour. Rescapé de cet enfer par miracle, il nous livre un témoignage courageux et poignant, qui lève le voile sur l'autre visage de la violence conjugale.

ET oui ça existe : y a moins d'hommes battus ou maltraités que de femmes car les hommes en général sont plus forts physiquement. Mais on a déjà  vu des hommes de 100 kg se faire maltraiter des femmes de 60.  Faut dire que si une femme lève la main en public contre un homme "tout le monde" va se dire : "il a du le chercher". SI c'est le contraire "tout le monde" va dire " c'est un salaud.

il y a 6 minutes, Auger a dit :

C'est comment Nicolas Mathieu ?

"C'est pas mal". C'est une amie qui me l'a conseillé en précisant : "Extraordinaire". Pour ma part j'ai eu depuis le début une impression de "déjà lu".

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

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Édimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter trois lois : premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais au grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu’aux portes de l’Andalousie.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Crève a dit :

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Robopocalypse.

publié en 2012.

page 100 : jusqu'ici, du vu et revu en SF.

"ROBOCALYPSE"

Ça aurait été suffisant pour le titre...

Ça doit être un coup de l’Éditeur ! Il a dû penser que les lecteurs comprendraient pas...

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Membre, 35ans Posté(e)
Virtuose_en_carnage Membre 6 699 messages
Maitre des forums‚ 35ans‚
Posté(e)

J'avais lu Herzog de Bellow qui est clairement un chef d’œuvre. Je suis en train de lire ce second livre, Henderson the Rain King, de lui et je le trouve exceptionnel car il y fait preuve d'un humour mordant et d'une imagination délirante. Une sorte de Don Quichotte de l'aire moderne.

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Membre, lycéenne, Posté(e)
Ninon06 Membre 59 messages
Forumeur activiste‚ lycéenne,
Posté(e)
Le 11/07/2006 à 22:17, Esiole La Luciole a dit :

Les malheurs de Sophie, de la Comtesse de Segur.

;)

tellement d'enfance 

Le 11/07/2006 à 22:17, Esiole La Luciole a dit :

Les malheurs de Sophie, de la Comtesse de Segur.

;)

tellement beau 

Perso , je viens de finir '' no rules '' de anita rigins un livre génial et je commence l'alchimiste de Paulo Coelho

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