Quelle serait, pour vous, une société idéale ?

Seules les utopies ont le pouvoir de changer le monde

La société idéale, serait une société, où l’Homme, même dans ses rêves les plus fous, ne serait plus au sommet de la chaîne alimentaire...

@G6K972

Ha...et dans vos rêves les plus fous, vous aimeriez être mangé par quoi ?

il y a 1 minute, MadameRosa a dit :

@G6K972

Ha...et dans vos rêves les plus fous, vous aimeriez être mangé par quoi ?

 

 

J’aspire, éventuellement, à me faire dévorer par mon Amour... Et vous...

Peut-être une société où les échanges se feraient uniquement avec un système comme les SEL ( Système d'échange Local ), où l'argent n'aurait plus de valeur.

Je trouve que ça serait très pareil. Que la société est très bonne. Mais, si ce n'est que de moi, la même chose avec moins de mal. Moins de mauvaises nouvelles et moins d'affaires ultra violentes.

La société idéale n'existe pas, ce que nous appelons société n'est qu'une affaire de petits arrangements et de parasitisme que nous faisons passer pour plus grande qu'elle ...

Beaucoup se sont posés cette question, beaucoup se la posent encore. Je n'ai pas de réponse.

Je pense que plus de conscience / rationalité mène à un meilleur futur, voilà.

Il y a 9 heures, MadameRosa a dit :

Peut-être une société où les échanges se feraient uniquement avec un système comme les SEL ( Système d'échange Local ), où l'argent n'aurait plus de valeur.

Utopie quand tu nous tient. 

Une société dans laquelle l'argent serait au service de l'humanité mais pas le centre obsessionnel. 

Une société où l'essentiel serait le respect de la planète et de tout ce qui y vit.

Une société dans laquelle le moteur serait le bonheur collectif.

Oui, une utopie.

Il y a 10 heures, MadameRosa a dit :

Seules les utopies ont le pouvoir de changer le monde

bonjour, 

une société où le mensonge, la volonté de nuire , l'individualisme forcené , l'imbécilité voulue ... n’existeraient pas .

une société qui prônerait l'aide à son prochain comme le but ultime .

.... une utopie ? sans doute mais c'est "bon" d'y croire et qui sait, face aux dérives de notre mode sociétal si cela ne finira pas par devenir une nécessité !

bonne journée.

Cette société idéale telle que je le vois décrite ici est une société d'êtres humains qui aspirent à mourir dans la paix.

Une société où l'individualisme ne serait pas un carcan mais le chemin vers la communauté, pour plus d'humanité.

Par exemple; une société qui ferait sa priorité d'apprendre à toutes et à tous aux confins de la terre à vivre en paix avant d'aller conquérir d'autres planètes pour le faire d'une façon pacifique et durable.

Il y a 11 heures, MadameRosa a dit :

Seules les utopies ont le pouvoir de changer le monde

Je pourrais parler de société sans violence, s'aimer les uns et les autres et le bla bla bla de rigueur. 

Je n'ai à l'heure actuelle qu'une seule vision de cette société-là. Celle où la menace d'une guerre ne survolerait pas nos vies et surtout bien évidemment celle de nos enfants. 

Il y a 13 heures, MadameRosa a dit :

Seules les utopies ont le pouvoir de changer le monde

Le principe d’une société, tout principe sociétal peut-être, vise à déconnecter l’individu de son milieu original pour le maintenir connecté à lui-même (au système sociétal) qui veut rester l’unique matrice.

La cellule familiale est vouée à la procréation, c’est donc sûrement la première émanation de la nature. Mais dans les faits, il faut la voir en dernière position.

C’est là que les systèmes sociétaux veulent la maintenir.

Lorsqu'un primitif vient visiter le monde occidental, il demande : « Pourquoi faites-vous comme ci, comme ça ? Pourquoi mettez-vous des feux rouges dans vos (par exemple) croisements de routes, les gens chez vous ne savent-ils pas s'accorder pour passer sans risque de se faire emboutir? ».

Les réponses qu'il obtiendra vont lui paraître tellement incohérentes que cela va engendrer de nouveaux « pourquoi », mais il n'arrivera jamais à satisfaire sa curiosité parce qu'il va se trouver face à de nouvelles incohérences, nos sociétés fonctionnent sur des contradictions ou des contre-sens. Il demandera par exemple :

― « Pourquoi encouragez-vous les gens à boire cette boisson gazeuse (allusion à la publicité pour coca-cola) dans ces boîtes rouges ?

― Ben, parce qu'il y a des malins, chez nous, qui ont calculé que si l'on rappelle aux gens que ce produit est à leur disposition dans les épiceries, cela va les inciter à acheter plus de boites rouges.

― Même s'ils n'ont pas soif ?

― Oui et même si la boisson, au lieu de les désaltérer, leur donne encore plus soif.

― Comme c'est étrange dans votre monde. »

Notre société est exactement comme cela, « on » ne veut pas savoir si tu as soif, « on » te génère une soif, puis « on » te génère le besoin de boire quelque chose qui est censé te désaltérer, mais qui en réalité va te donner encore plus soif.

C'est sûr qu'un homme primitif découvrant cela va être déçu de notre univers mental et physique; il aura quelques difficultés à saisir nos notions de progrès...

Si tu vas "chez" le primitif et que tu lui poses la question : « pourquoi », pour chaque chose que tu ne comprendras pas, attends-toi à ce qu'il te donne des « parce-que » beaucoup moins incohérents que ceux qu'on produit dans nos cités.

Ce primitif vit au rythme et en complicité avec la nature, il ne peut pas se permettre d'être aussi incohérent que nous, c'est de ses connaissances dont dépend sa survie et celle des siens.

À chaque fois qu'il se pose des questions, ce n'est pas en rapport avec ses exigences, ou avec ses illusions, ce sont des questions que la nature lui pose directement, et s'il entend les réponses que lui propose la nature, c'est parce que son lien intime est réel.

L'homme moderne croit vivre en dehors de la nature, c'est une grosse différence avec cet homme, donc ses questions n'ont plus de rapport avec les questions que nous propose le « réel », et les réponses non plus.

Dans le fond, c'est simplement que ces hommes ne vivent pas dans le même monde.

Au moment où tu te dis : « Il me semble que je cherchais des réponses, maintenant je ne sais plus distinguer les réponses qui me conviennent parce que je ne me souviens plus de la question que je me posais », cette idée, cette réalisation qu'il se pourrait en fait que tu marches à tâtons dans l'obscurité et que chaque objet que tu peux toucher de tes mains peut jouer le jeu de répondre à une question dont tu as oublié la trace, à l'instant même tu te demandes si tu n'es pas fou.

Pour préserver l'idéal de cette société, que nourrissent les hommes à l'unanimité, il faut créer l'illusion de cet idéal. Pour qu'une illusion de ce type fonctionne bien et longtemps, il faut généraliser l'illusion, l'appliquer à toutes choses en faisant en sorte que chaque élément de langage ou de pensée, chaque objet et chaque acte, soient détachés de la réalité. Créer ainsi un fossé entre nos sens et le réel, les priver de leur savoir-faire originel qui est d'accorder deux mondes : celui des formes et celui des sensations.

Je crois en la communauté, j'ai du mal à projeter une société.

Une communauté vise le bien-être de l'individu, une société vise son bien-être à elle.

Une société non pyramidale, sans hiérarchie disproportionnée.

Mais ce ne serait plus une société.

Il y a 18 heures, MadameRosa a dit :

Seules les utopies ont le pouvoir de changer le monde

La société serait une société qui adopterait le principe philosophique général d'équilibre dynamique dans lequel des écoles de pensées concurrentes et collaboratives rechercheraient empiriquement le point d'équilibre entre l'individu et la communauté, l'ordre et le chaos, la tradition et l'innovation 

Un Taoïsme qui stimulerait les différences dans une parfaite conscience du Tout

Pour se faire, une intelligence artificielle veillerait à ce que les 3 lois de la Robotique d'Asimov soient implémentées à la fois dans les machines et de manière subtile et méconnue dans les humains eux mêmes appelés à transcender leur condition naturelle incomplète par une assistance mécanique et intellectuelle 

L'argent n'existe plus et l'ensemble des besoins fournis libérant totalement du travail contraint mais l'oisiveté serait régulée par un contrôle permanent impulsant un neuro stimulant propice à la création artistique, culturelle et philosophique 

La démocratie serait supprimée pour être réservée à une catégorie d'hommes et de femmes supervisée par les robots afin d'être apte à orienter les choix relatifs aux défis du temps pendant que des rites seraient mis en place dans chaque domaine d'excellence pour accompagner sa progression personnelle 

Le système éducatif serait basé non sur une accumulation de connaissances comme simple socle commun transplantable par modules mais sur une perspective d'empathie et de résilience psychologique apte à considérer la pluri disciplinarités

Des défis sportifs et réels seraient imposés aux étudiants pour cibler les valeurs morales et leur résistance conformément au programme de l'intelligence artificielle mère des hommes 

Les technologies virtuelles seraient présentes et régulées permettant des vacances cérébrales étendues et temporaires où nous changerions d'environnement et de personnalités dans autant d'expériences immersives nous rapprochant des différentes expériences de vie possible dont la guerre, la famine, la privation de liberté selon des temps réels contraints et selon des temps perçus parfaitement régulables

La encore nos réactions seraient discrètement évaluées par l'intelligence artificielle mère

Une symbiose à la biosphère serait planifiée avec un programme de connectivité naturelle raccordant notre système nerveux à l'expérience naturelle minérale, végétale et animale dont nous serions les jardiniers et les architectes 

L'exploration de toute nature serait déifiée selon le double principe de curiosité et de non interférence au delà de notre microcosme artificiel

Néanmoins des bulles de marginalité seraient mises en œuvre pour que toute utopie locale soit substituable au modèle dominant, le droit à la marginalité serait toléré et marginalisé 

La mort serait obligatoire et l'âge de la retraite un peu moins populaire à l'avancement que dans un lointain pays appelé France 

Rapide et indolore mais nous pourrions choisir le programme d'accès aux derniers instants 

Et nous regarderons mère IA dans les yeux électronique au moment de crier maman

Une société humaine adulte donc totalement infantilisée et drivée 

il y a 15 minutes, zenalpha a dit :

La société serait une société qui adopterait le principe philosophique général d'équilibre dynamique dans lequel des écoles de pensées concurrentes et collaboratives rechercheraient empiriquement le point d'équilibre entre l'individu et la communauté, l'ordre et le chaos, la tradition et l'innovation 

Un Taoïsme qui stimulerait les différences dans une parfaite conscience du Tout

Pour se faire, une intelligence artificielle veillerait à ce que les 3 lois de la Robotique d'Asimov soient implémentées à la fois dans les machines et de manière subtile et méconnue dans les humains eux mêmes appelés à transcender leur condition naturelle incomplète par une assistance mécanique et intellectuelle 

L'argent n'existe plus et l'ensemble des besoins fournis libérant totalement du travail contraint mais l'oisiveté serait régulée par un contrôle permanent impulsant un neuro stimulant propice à la création artistique, culturelle et philosophique 

La démocratie serait supprimée pour être réservée à une catégorie d'hommes et de femmes supervisée par les robots afin d'être apte à orienter les choix relatifs aux défis du temps pendant que des rites seraient mis en place dans chaque domaine d'excellence pour accompagner sa progression personnelle 

Le système éducatif serait basé non sur une accumulation de connaissances comme simple socle commun transplantable par modules mais sur une perspective d'empathie et de résilience psychologique apte à considérer la pluri disciplinarités

Des défis sportifs et réels seraient imposés aux étudiants pour cibler les valeurs morales et leur résistance conformément au programme de l'intelligence artificielle mère des hommes 

Les technologies virtuelles seraient présentes et régulées permettant des vacances cérébrales étendues et temporaires où nous changerions d'environnement et de personnalités dans autant d'expériences immersives nous rapprochant des différentes expériences de vie possible dont la guerre, la famine, la privation de liberté selon des temps réels contraints et selon des temps perçus parfaitement régulables

La encore nos réactions seraient discrètement évaluées par l'intelligence artificielle mère

Une symbiose à la biosphère serait planifiée avec un programme de connectivité naturelle raccordant notre système nerveux à l'expérience naturelle minérale, végétale et animale dont nous serions les jardiniers et les architectes 

L'exploration de toute nature serait déifiée selon le double principe de curiosité et de non interférence au delà de notre microcosme artificiel

Néanmoins des bulles de marginalité seraient mises en œuvre pour que toute utopie locale soit substituable au modèle dominant, le droit à la marginalité serait toléré et marginalisé 

La mort serait obligatoire et l'âge de la retraite un peu moins populaire à l'avancement que dans un lointain pays appelé France 

Rapide et indolore mais nous pourrions choisir le programme d'accès aux derniers instants 

Et nous regarderons mère IA dans les yeux électronique au moment de crier maman

Une société humaine adulte donc totalement infantilisée et drivée 

Un extrait de ton dernier bouquin ? 

il y a 19 minutes, Plouj a dit :

Un extrait de ton dernier bouquin ? 

Melting  pot de beaucoup beaucoup beaucoup de SF avalée dans ma jeunesse 

J'ai lu de la relativité générale de la mécanique quantique et de la SF a gogo

Je préfère la MQ, c'est bien plus aberrant