Et si je n'étais pas seul sur terre?

Comment peut on se poser la question:"Et si je n'étais pas seul sur terre?"

Qu'est ce qui m'a amené à me la poser?

C'est en regardant mes contemporains  chez moi, en famille, entre amis, dans la rue, au marché, au supermarché, dans les salles d'attente etc.

Il arrive souvent que notre attention soit détournée de ce qui est important par une attitude tellement personnelle et égoïste que ça en revient à dire:"Le monde m'appartient, je suis seul au monde."

C'est devenu tellement banal de s'occuper de son smartphone en société que l'en oublie les autres.

Quand on circule à pied, en trottinette, à vélo ou e n voiture, moto etc, on n'oublie parfois de partager la route avec les autres ou d'être impatient comme si nous étions seul au monde.

Dans les files d'attente, on entend parfois des incivilités.

Dans les salles d'attente, les têtes sont baissées à lire et à envoyer des messages et à regarde des vidéos en oubliant le parent qui nous accompagne et les autres personnes.

Je me reprend régulièrement pour ne pas devenir aussi robotisé mais là, c'est moi qui parait au regard des autres seul asu monde.

Avez ressenti cette situation au moins une fois dans votre vie ou bien c'ait le vieux sénile débutant que je suis qui en fait les frais?

Moi aussi je pense que je seul sur Terre.

il y a une heure, Popy a dit :

Comment peut on se poser la question:"Et si je n'étais pas seul sur terre?"

Qu'est ce qui m'a amené à me la poser?

C'est en regardant mes contemporains  chez moi, en famille, entre amis, dans la rue, au marché, au supermarché, dans les salles d'attente etc.

Il arrive souvent que notre attention soit détournée de ce qui est important par une attitude tellement personnelle et égoïste que ça en revient à dire:"Le monde m'appartient, je suis seul au monde."

C'est devenu tellement banal de s'occuper de son smartphone en société que l'en oublie les autres.

Quand on circule à pied, en trottinette, à vélo ou e n voiture, moto etc, on n'oublie parfois de partager la route avec les autres ou d'être impatient comme si nous étions seul au monde.

Dans les files d'attente, on entend parfois des incivilités.

Dans les salles d'attente, les têtes sont baissées à lire et à envoyer des messages et à regarde des vidéos en oubliant le parent qui nous accompagne et les autres personnes.

Je me reprend régulièrement pour ne pas devenir aussi robotisé mais là, c'est moi qui parait au regard des autres seul asu monde.

Avez ressenti cette situation au moins une fois dans votre vie ou bien c'ait le vieux sénile débutant que je suis qui en fait les frais?

 

 

 

 

Bonjour @Popy, @Marc marceau Vous allez bien?

Moi j'aime bien les gens , j'aime leur parler, j'aime les voir, et sourtout les entendre.

C'est une necessité pour éviter l 'isolement moral et phycologique. Même si le monde va mal même si les gens sont méchants on leur doit malgré tout un certain respect. Des humains imparfaits nous sommes des milliards. Je crois que l'on peut changer le monde en changeant notre regard sur autrui. Tous les deux vous avez ce regard et çà c'est génial.

Il y a 1 heure, Popy a dit :

Avez ressenti cette situation au moins une fois dans votre vie ou bien c'ait le vieux sénile débutant que je suis qui en fait les frais?

Bonjour Popy,

Curieusement, je ne me suis jamais posé cette question de savoir si j’étais seul au monde ou pas ?

Lorsque je fais mes courses au supermarché, j’essaie de capter et croiser le regard des tous petits, je suis toujours admiratif du regard direct des enfants, j’essaie d’entrer en relation avec eux au moyen d’un sourire ou d’une petite grimace. Puis lorsque le courant est établi, j’adresse une petite réflexion comique à leur papa ou leur maman, j’ai souvent des grands sourire en retour.

C’est peut-être ma sénilité en pleine force de l’âge qui est à l’œuvre, va savoir ? 

Oui, nous ne sommes pas seuls au monde, j'en fais même quotidiennement l'expérience, ayant pour habitude de marcher sur les chaussures de mon voisin ...

il y a 17 minutes, Enchantant a dit :

Bonjour Popy,

Curieusement, je ne me suis jamais posé cette question de savoir si j’étais seul au monde ou pas ?

Lorsque je fais mes courses au supermarché, j’essaie de capter et croiser le regard des tous petits, je suis toujours admiratif du regard direct des enfants, j’essaie d’entrer en relation avec eux au moyen d’un sourire ou d’une petite grimace. Puis lorsque le courant est établi, j’adresse une petite réflexion comique à leur papa ou leur maman, j’ai souvent des grands sourire en retour.

C’est peut-être ma sénilité en pleine force de l’âge qui est à l’œuvre, va savoir ? 

Bonjour Enchantant,

Je fais mes courses à la première heure aussi les enfants sont soient à l'école ou au lit le mercredi ou le week-end.

Sinon, comme toi, les tous petits sont souvent, le rayon de soleil de mes journées.

Le fait de remarquer que les autres s'isolent, s'enferment voire se cachent derrière leur mobile n'implique pas notre solitude.

Il existe encore beaucoup de monde, heureusement, prêt à un contact.

Même si aux caisses de supermarché, échanger avec la caissière devient denrée rare, elles sourient lorsque cela se produit et la conversation s'engage. 

Certains visages se ferment dans la file d'attente et les impatients filent rapidement aux caisses automatiques.

Sur les routes, on a parfois l'impression que bien des conducteurs se sentent seuls et uniques tant ils se moquent des règles de conduite...

Il y a 3 heures, Popy a dit :

Comment peut on se poser la question:"Et si je n'étais pas seul sur terre?"

Qu'est ce qui m'a amené à me la poser?

C'est en regardant mes contemporains  chez moi, en famille, entre amis, dans la rue, au marché, au supermarché, dans les salles d'attente etc.

Il arrive souvent que notre attention soit détournée de ce qui est important par une attitude tellement personnelle et égoïste que ça en revient à dire:"Le monde m'appartient, je suis seul au monde."

C'est devenu tellement banal de s'occuper de son smartphone en société que l'en oublie les autres.

Quand on circule à pied, en trottinette, à vélo ou e n voiture, moto etc, on n'oublie parfois de partager la route avec les autres ou d'être impatient comme si nous étions seul au monde.

Dans les files d'attente, on entend parfois des incivilités.

Dans les salles d'attente, les têtes sont baissées à lire et à envoyer des messages et à regarde des vidéos en oubliant le parent qui nous accompagne et les autres personnes.

Je me reprend régulièrement pour ne pas devenir aussi robotisé mais là, c'est moi qui parait au regard des autres seul asu monde.

Avez ressenti cette situation au moins une fois dans votre vie ou bien c'ait le vieux sénile débutant que je suis qui en fait les frais?

 

 

 

 

La solitude fait aussi partie de la vie étant donné qu’il n’y a pas deux humains identiques, il est normal de ne pas toujours avoir quelque chose à partager, ou à échanger avec les autres...

@Plouj si tu as envie de taper un brin de causette dans une file d'attente, ouaip fais-le de préférence avec les autres clients en attendant ton tour plutôt qu'avec la personne qui travaille, avec la file qui s'allonge derrière  

Perso quand ça m'arrive, je trouve pas ça cool. Ça fait vraiment "moi j'y suis maintenant et j'ai bien l'intention de prendre tout mon temps ! Pressé ? Tant pis pour vous !"

il y a 2 minutes, Kaliste a dit :

@Plouj si tu as envie de taper un brin de causette dans une file d'attente, ouaip fais-le de préférence avec les autres clients en attendant ton tour plutôt qu'avec la personne qui travaille, avec la file qui s'allonge derrière  

Perso quand ça m'arrive, je trouve pas ça cool. Ça fait vraiment "moi j'y suis maintenant et j'ai bien l'intention de prendre tout mon temps ! Pressé ? Tant pis pour vous !"

Je tape le brin de causette avec la caissière ou le, ce qu'elles apprécient et le rendent bien .. Rarement le samedi ou hors heures de boulot, de façon à ce que les excités de la vie puissent courir dans les rayons. 

Dans toutes ou presque les grandes surfaces aujourd'hui, il existe des caisses automatiques devant les lesquelles il est inutile de parler, que les pressés s'y rendent et nous laissent prendre le temps de vivre et d'être sympathiques celles et ceux qui voient défiler des client.es qui font la "gueule" 

Il y a 2 heures, orangine a dit :

Je crois que l'on peut changer le monde en changeant notre regard sur autrui.

Perso, j’ai un mal fou à changer le mien sur certaines personnes. Et j’assume.

Il y a 1 heure, Kaliste a dit :

@Plouj si tu as envie de taper un brin de causette dans une file d'attente, ouaip fais-le de préférence avec les autres clients en attendant ton tour plutôt qu'avec la personne qui travaille, avec la file qui s'allonge derrière  

Perso quand ça m'arrive, je trouve pas ça cool. Ça fait vraiment "moi j'y suis maintenant et j'ai bien l'intention de prendre tout mon temps ! Pressé ? Tant pis pour vous !"

Mouais moi aussi je râle quand ça arrive, et je m'en veux illico de ressembler à tous ces gens pressés, on se demande souvent pourquoi. Les caissières ou autres ne sont pas des machines, pas leur faute si la file s'allonge.

Ce que je trouve comique dans l’histoire des queues au supermarché aujourd’hui, c’est le souvenir que j’ai de l’argument commercial utilisé au siècle d’avant, pour encenser et justifier le développement des grandes surfaces à l’époque, comparativement aux petits commerces de proximité.

Était vanté justement la fin des queues à cause de la multiplicité des caisses et de cette rationalité nouvelle ou les clients n’avaient plus à attendre !

Moi qui suis retraité, cela ne me gêne pas d’attendre à la queue, j’en profite pour raconter mes petites anecdotes et mes petites blagues à ceux qui veulent bien les écouter ! 

Il y a 2 heures, Out of Paprika a dit :

Mouais moi aussi je râle quand ça arrive, et je m'en veux illico de ressembler à tous ces gens pressés, on se demande souvent pourquoi. Les caissières ou autres ne sont pas des machines, pas leur faute si la file s'allonge.

Bien sûr mais tu peux être aimable sans rentrer dans une conversation de 5 mns ! Et c'est pas la caissière qui m'agace dans ces cas-là mais bien le client qui raconte sa life pendant que tu poireautes. Ça pour le coup ça fait vraiment "je suis seul au monde", @Plouj(mais c'est sympa de ta part d'éviter les heures de pointe).

C'est mon ressenti en tout cas, c'est même pas la question d'être pressé ou pas mais si tout le monde fait pareil on s'en sort plus.

il y a 8 minutes, Kaliste a dit :

Ça pour le coup ça fait vraiment "je suis seul au monde",

Ce qui fait surtout "seul au monde", ce sont ces personnes qui sont parfois devant moi, aux mêmes caisses, et passent sans un mot, ni bonjour ni merci.

Je plains les caissières de devoir endurer ce genre de personnage, bien plus nombreux que les rares qui sont polis et essaient de redonner le sourire avec quelques mots gentils qui prennent, non pas 5 mn, mais 60 secondes, le temps de passer les articles, de régler, de remercier et de dire au revoir après avoir souhaiter une bonne journée..avec le sourire.

il y a 2 minutes, Plouj a dit :

Ce qui fait surtout "seul au monde", ce sont ces personnes qui sont parfois devant moi, aux mêmes caisses, et passent sans un mot, ni bonjour ni merci.

Je plains les caissières de devoir endurer ce genre de personnage, bien plus nombreux que les rares qui sont polis et essaient de redonner le sourire avec quelques mots gentils qui prennent, non pas 5 mn, mais 60 secondes, le temps de passer les articles, de régler, de remercier et de dire au revoir après avoir souhaiter une bonne journée..avec le sourire.

Vous parlez des gens qui se comportent normalement, pas de ceux qui rentrent dans une conversation avec le professionnel, c'est complètement différent.

Oui, ne pas accorder ni un mot ni un regard à la caissière c'est nul. Mais je persiste : se lancer dans une discussion alors que des gens attendent, ça ne se fait pas, je suis désolée 

Il y a 8 heures, Popy a dit :

(...) on en oublie les autres (...)

Ce n'est pas mon cas et si parfois j'ai l'impression d'être invisible dans certains espaces publics où les gens foncent tête baissée, portable à la main, j'en suis navrée pour eux mais cela ne m'affecte pas personnellement. 

Il y a 6 heures, Plouj a dit :

Le fait de remarquer que les autres s'isolent, s'enferment voire se cachent derrière leur mobile n'implique pas notre solitude.

Il existe encore beaucoup de monde, heureusement, prêt à un contact (...)

Quand on avait un livre à la main, ou un journal, ce n’etait pas mal vu. Le problème c’est peut-être vous et votre jugement qui délire à accuser les autres alors que ce n’est pas grand chose. Peu importe les incivilités, ou le fait qu’on soit chacun dans sa bulle, je ne les jugerais pas en mal pour si peu. Je prend patience dans la file et je me plains pas... quoi que je suis ailleurs, ce ne sont pas des choses qui m’affectent.

Je préfère être en esprit dans une forme d’introspection ou je prends sur moi. Le regard qui fixe quelque chose, ou bien en retrait... et non comme un fou qui balance ces yeux partout jugeant le monde qui l’entoure... bien qu’il ne s’en rend même pas compte.

S’observer soi même, patienter, ou voir la vie en rose... ou arriver à être ailleurs... ne doit pas être si facile... ou d’une souffrance pour ces gens qui n’ont pas les yeux dans leur poche. Si tu demandes ta route à un passant qui regarde le sol tu sentiras un cœur qui veut t’aider. 

Bonjour,

Lorsque j'ai lancé cette discussion, je l'ai basée sur le ressenti individuel que l'on éprouve ou pas dans les situations que j'ai décrites.

En aucune manière, j'ai voulu imposer un"jugement"sur les personnes qui ont les habitudes décrites dans mon texte et qui sont des attitudes modernes que les personnes d'un certain âge n'ont pas"toujours"connues. 

J'apprécie votre participation à toutes est à tous.C'est une preuve que vous savez relever votre tête d'un portable ou d'un journal pour vous intéresser à ce que les autres postent sur le forum et que vous savez prendre le temps d'y répondre.

Bravo!

Nous ne pouvons pas être seuls sur terre si nous partageons du respect, tant envers des humains qu'envers la nature.

Ouvrir les yeux, regarder autour de soi, un signe de tête, un sourire et la vie continue.