Nikaa

En ce qui concerne une rivalité entre l’Inde et le Pakistan il y a une vaste manipulation des agences occidentale envers ces deux pays évoquant, comme vous le faites ici, les problèmes et les accentuant avec les populations civiles par des croyances populaire. Ou alors par des actions nuisibles faites par quelques uns ou par des militaires. Il y a une machination en cours faites par nos service d’espionnage. Pourtant il y a tellement de gens pacifiste des deux côtés, tellement de personne qui se côtoient entre les deux nationalités. Tellement d’action où leurs gouvernements où leurs citoyens opèrent ensemble. Tellement de chose pacifiste fait entre eux. Mais les médias ne les voient pas ou elles sont rarement relayés. C’est toutes les propagandes hostile qui relayent des problèmes entre eux qui produiront une hostilité entre eux. Vous influencez les gens à croire cela. Simplement. Et c’est une manipulation. La cia espère un conflit armé entre eux de grande envergure dans le futur et elle crée même des rapports régulièrement pour influencer et manipuler les gouvernements, les pouvoirs et les citoyens du monde. Et moi qui fait de la pub à la théorie de ces charlatans qui font les devins. Depuis 1997, le NIC produit, tous les quatre ans, des synthèses prospectives sur l’état du monde. L’horizon des travaux du NIC est en fait de plus en plus lointain : 13 ans pour le rapport de 1997, 15 ans pour celui de 2000, 16 ans pour celui de 2004, 17 ans pour celui de 2008, 18 ans pour celui de 2012. Celui de 2017 ne comportant pas de date précise, et celui de 2021 a un horizon de 19 ans. https://www.amazon.fr/MONDE-EN-2030-PAR-CIA/dp/284990239X https://www.institutmontaigne.org/expressions/le-nouveau-rapport-de-la-cia-global-trends-2040-et-les-limites-de-la-prospective https://www.bm-vitry94.fr/Default/doc/SYRACUSE/1720407/le-monde-en-2040-vu-par-la-cia-et-le-conseil-national-du-renseignement-un-monde-plus-conteste-rappor Dans ces rapports divinatoires elle prédit une guerre entre eux.

C’est sûr. La chance d’être comblé d’amour. Je vais partir un peu à droite à gauche pour nuancer ce qui rend cet amour de nos amis, de notre famille si important et ce plaisir à être avec les autres... pour ça il faut que j’écris ce qui fait defaut. Ça va être long. Pour ceux qui ne veulent jamais lire ou ignore quand c’est long, c’est pas de votre faute je sais. La flemme de lire ça m’arrive aussi. Mais j’y reviens par après à cette chose funeste qui arrive quand on emprunte le miroir qu’est la vie. Un renouveau qui nous enchante serait satisfaisant dans les relations. Découvrir tous ensemble par la parole de chacun, même si nous sommes bien entouré avec des amis ou de la famille au quotidien, les mots font vivre un voyager dans les esprits. Le fait est que nous n’avons pas de direction commune, ou une vision simple commune qui donne du sens et qui pourrait égailler par des activités nouvelles ou autres. Faut parfois quelqu’un qui organise et réunit les assemblés. Il y a toujours du bon dans nos relations mais j’essaie de dire aussi ce qui pourrait nous aider à y voir clair. Par exemple notre humeur n’est pas toujours au beau fixe quand on rumine le passé. Accepter les choses totalement et sincèrement de bon cœur nous aide à aller mieux. Nos états d’âmes dépendent de nos psychés. Les autres peuvent aider à cela à donner de la joie. Ou au contraire rumine aussi ou accentue et donc l’esprit est emporté par du négatif. L’état d’esprit influt donc sur notre appreciation de ces moments avec les autres. Après on peut partager des moments sans trop parler mais le positif compte comme on compte l’un pour l’autre. La conversation dépend de ce qu’on pense et le fait d’apprecier les autres aussi en dépend. Les gens qui sont seuls veulent l’être mais c’est peut être un mauvais tour de l’esprit qui a engendré la critique... qui fait que par cause à effet ils ne voient plus personne. Ou c’est leur choix simplement ou une fatalité et ils n’osent pas rencontrer. Beaucoup sont fatalement influencé par les jugements des autres et peur de ne pas être apprécié ils restent seul. Nous avons pas vraiment appris à vouloir être. Être simplement agréable aux autres quoi. On apprend sans se rendre compte, l’éducation des parents est faillible et incomplète à 90%.. tout doit être fait avec envie bien sûr. Même le fait d’écrire ces lignes ou de les lire est une envie. Je ne dis pas que tout doit etre beau tout ou tout rose, tout polit tout gentil, c’est pas ça, juste qu’on peut donner de la joie ou des choses utiles sans critique constante ou d’impression negative. La sympathie est un choix personnel. Le fait d’apprecier l’un ou un autre. Même quand c’est fait inconsciemment ou spontanément, ça reste un choix. Parfois on se bloque et on se replit puis c’est difficile de sortir de sa carapace. Ça peut durer. Ça viendra de nous même avec le temps ou ça aurait pu se faire plus vite. Oser s’exprimer n’était pas facile aussi. Ou que dire à l’autre. L’esprit est plus clair à des moments plus qu’à d’autres moments. L’esprit grisaille et nous sommes insatisfait. Le rendre clair son esprit n’est pas simple et n’est pas indiqué par personne. C’était la base pour mieux discerner. Sinon un esprit embrouillé par la grisaille qui juge en mal, ou qui se moque ou se plaint, ou qui critique les autres, aura une vision aveuglé. L’esprit clair qui s’efforce à positiver a réussit à mettre à distance ou à ignorer ce qui obstruait sa réflexion. Mais l’autre verra moins d’aspect ou ressentira moins. Et par le negatif faussera son analyse ou il aura une paresse de comprendre et d’aller plus loin. Bref, on ne pense pas non plus à se voir souvent. Ou même si c’est quotidien ça devient banal. Même si l’entourage est partout, avoir le morale ça joue dans les relations. C’est là que le bonheur et la satisfaction des proches nous émerveille et qu’on aime leur présebce. Il y aussi cette habitude qu’on a tous eu à un moment en grandissant. Être tendu par les regards, ou le notre qui croit cerner des raisonnements logique avec les yeux sur ceux qui les entourent. Et donc de ceder à des jugements negatif à partir de rien. C’est par cela aussi qu’on ne serait pas alaise au premier abord. Qu’on se penserait guetté par les yeux d’autrui au lieu d’y être détaché comme les enfants le sont. Quand nous étions plus jeune on se disait pas ça, car on pouvait presque tout faire, même tourner sur nous mêmes sans que personne n’aurait vu ça bizarre. Ce qui nous rendait alaise et plus vrai que nature. Nous voulons être apprécié en grandissant forcement, dans une norme... mais ça produit un état conforme et pas vraiment un esprit libre. Après je ne dis pas que tout le monde a ça. Mais on y est souvent dedans même si ça paraît normal. Les yeux sont habitués à voir des gestes insignifiant et à penser ce qui n’existe pas. Après faut oser regarder et sourire aux proches. Ça donne du baume au cœur un sourire. Une bonne action, même si elle n’est pas obligatoire est louable. On est tout aussi vrai dans cette action que quand on se bouge pour autre chose. Cette fausse impression d’être observé, que tout le monde ou presque a, a alors que tout le monde s’en fout, ne doit pas aider à se detacher et avoir cette sponaïté qui calcule rien par le regard. Parfois bien au contraire on est alaise car ce sont des proches de longue date. Et il nous aime donc nous pardonne et on se bien. Mais chacun son developpement personnel et ces humeurs du moment. Chacun a sa part de mystère qu’on découvre ou pas. Nous même on peut faire preuve d’attention bienveillante à parler et réagir d’entamer la conversation en faisant le premier pas. Je dis ça mais j’oublie souvent voir je ne le fais pas, comme prendre des nouvelles de mes amis ou de la famille. Tout le monde dit pense et des bêtises ou négativise est frustré ou a la haine à des moments de sa vie et ça revient peut être encore et encore. Mais était ce nous ? Dans ces quelques instants éphémère ? Ou ce que l’on devient comme toute chose ? Se reprendre, admettre et se corriger, c’est aussi vous alors. Personne n’est un état d’esprit qui passe ou repasse. Des enfants cruels par bêtise enfantine ont bien évolué par la suite. Mais on s efforce à être et tendre vers. On se laisse aller facilement à en l’espace d’un moment. C’est humain et normal. Le but c’est d’apaiser positivement l’esprit de ces choses passagère. Pour résumé ce que je veux dire, c’est que c’est bien la joie qu’on éprouve qui est le moteur de toute ambiance et de toute relation qui perdure au fil du temps. C’est parce qu’on aime parler et être avec eux. Moi je me perdais dans une ou des impressions de mes yeux sans aucune logique ou j’osais pas m’exprimer... et je déprimais de façon passagère jamais vraiment longtemps. Du coup je m’isolais parce que la joie d’être ensemble n’est plus. Je trouvais satisfaction à faire des trucs solo. Comme des jeux vidéos h24 j’aimais le moment d’évasion que j’avais par rapport au reste... ça me semblait mieux. Apprendre à aimer et positiver aurait fait qu’ensuite je veux ce que j’avais plus vraiment. Puis apres les études on doit travailler, et toujours sortir les week end ou en soirée. Famille et ami, on se retire seul dans nos esprits, nos logements, nos chambres. L’amitié est là mais j’y trouve pas une constante philosophique. Ou rarement. Il est pas facile à s’exprimer sur des sujets bien précis. Ou c’est moi qui me fait croire ça. L’amitié ou les connaissances qui existent de façon passagère. Même chose pour la famille. J’y met du cœur je donne de ma personne, mais ce n’est pas vraiment réciproque.. même si je les aime tous... chacun son ego, ces expériences, son évolution. Beaucoup n’en font pas quelque chose de plus grand de l’amitié ou de la famille. Au fond notre esprit est seul et pas facile de le partager à un groupe. On est tous plus ou moins individuel et on part seul de ce monde et sans rien d’autres que notre conscience. Ou irons nous ? Allons nous nous retrouver ? Ou il y aura une séparation entre nous tous et nous seront chacun seul ? Ou on existera plus ? Mais j’aimerais croire qu’un autre monde est possible où on peut revenir... Avec nos esprits, voir notre corps. Mais il y a beaucoup aussi qui n’ont pas ce luxe de ressentir l’amour et l’amitié et même quand ils essayent, ils repartent déçu car nous sommes comme le ciel, on change. Nous pouvons être gris nuageux, ou pleins d’orage et de la pluie ou le beau temps. Et puis celui qui en dis peu quand il parle on l’écoute. Celui qui veut s’exprimer beaucoup avec son grand cœur est rejeté voir on le haït pour rien. C’est le monde à l’envers dans notre esprit même les gouvernements et la société sont bizarre. Des vieux au pouvoir qui n’améliore jamais l’enseignement et les écoles. Les enfants sont limite dans des écoles-prison ça n’évolue jamais. Pas de pouvoir d’achat pour des étudiants. Université payante. Diplome après 16 à 18 ans d,étude voir plus. C’est la folie ou le monde à l’envers. Majorité de pauvre emprisonné et on fait croire par là que c’est les étrangés les méchants. Le racisme est les extrémiste sont legal en politique et peuvent communiquer ouvertement leurs idées à la télé ou dans les journaux et écrire des livres et les publiés qu’on ne censure pas. Et ils ont des fan club et communique sont sur internet. On fait une guerre pour du pétrole en Irak en disant un mensonge devant le monde entier. Des tueurs tuent des femmes des enfants se font arrêté et vont en prison et peuvent écrire et oublier des livres de leurs idées. C’est autorisé publié et pas censuré. Nos dirigeants politiques de tous les partis recrutent au plus jeûne âge dans tout les millieux, font du trafic d’influence... controle tout les medias, les riches hommes d’entreprise, et de beaucoup de pays sont dans un club même pas secret ou se connaissent... sont financé par des banques privés. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/French-American_Foundation-France mêmê leur école privé pour l’élite à 50000 euros l’année sont une arnaque on dirait un truc de oauvre. Ça vaut pas le prix. Et le salaire moyen de la majorité sur mondiale des gens qui vivent sur cette planète est entre 1 200 $ et 5 000 $ par an. Ici on peut parler chacun notre tour, et se lire à notre aise ou quand on veut. Là on doit savoir écouter un avis. Ça doit pas être long non plus comme ce texte qui n’en finit pas. Pour que l’autre puisse réagir aussi. De l’amour qu’on éprouve de sa famille à ces amis. Certains en ont d’autres pas. Pour certains la famille est un peu délaissé et les amis compte plus. D’autres l’inverse. Si des membres de ma famille décède je ne veux pas y penser. Ni me remémorer la famille proche qui est morte ou les amis. Ceux avec qui on a énormément de souvenir. Penser positif, accepter, continuer notre route et d’autre s’en iront ou moi avant. C’est la triste règle de nos existences. Et voilà pour la question de la mort de nos proches, j’y viens enfin...je veux croire qu’un jour on va tous se revoir. Je rêve que nos père et mère et nos enfants puisse se retrouver et avec leurs amis dans un grand banuet ou ils s’appeleront et se rejoindrons simplement. On pourra peut-être les revoir dans un monde magique et magnifique. Avant ça si on doit escalader une montagne tout seul dans un jour plus long que cette vie pour aller vers le créateur de la vie. Ça va être un jour facile ou difficile ? Au moins on nous laisse à tous une seconde chance plus ou moins. J’aimerais tant en tout cas qu’on puisse tous revivre dans une éternité sans douleur voir qu’on soit modifié pour être heureux sensiblement émerveillé comme si on était ivre d’amour et excité de joie mais de façon naturel. Ce nouveau monde imaginaire plein d’inconnu et de découverte, ce rêve d’une nouvelle vie réssuscité et paradisiaque, serait une formidable aventure.

Pour l’amour et l’amitié et des découverte psychique. Ça paraît béat voir bête. Mais je ne sais pas comment réaliser davantage en amitié et en amour. J’ai envie d’en faire plus. Comme disait Amaranthe j’aimerais aussi que ça aille plus vite aussi. Et puis selon la religion tu voudras revenir sur Terre pour faire davantage de bien aux autres qui est une richesse pour cet au-delà.

Gros, gros, hug. Je comprends tellement. Tu dois être quelqu’un d’extraordinaire ♡

Ça a dû être d’une secousse mentale de dingue. Mais ça peut aider par la suite. Ce qu’on croit parfois être mauvais est peut-être une bonne chose. Et c’est peut-être voulu par notre destin. Un artiste chantait : "Vivre chaque seconde comme la dernière permet de retrouver la force de l'univers"

Quand tu fais à une perte de conscience prolongé, un malaise vagal, une syncope, un coma et que tu te réveilles ensuite... ou que tu survis à une situation de danger comme un accident de voiture brutal, tu ne seras pas motivé. Ou comme les autres opinions insouciantes que j’ai pu lire. L’angoisse sera la, forcement. Des montagnes russes ou autre sensation forte où on se jette dans le vide ou d’etre pris pour cible ou de s’être fait tirer dessus, ok, peut être que l’habitude peut entraîner une résistance mental. En sachant par avance aussi que tout ira bien ça peut aider. Bien sûr je pense qu’il doit être maitrisé. Quand on travail l’ascèse et le contrôle de soi, ça doit être une étape nécessaire. La peur est difficile à arrêter seule. Peut-être avec des mots qu’on répète genre relax relax relax. Mais face à un danger, le corps se met en alerte automatiquement. Le rythme cardiaque et la pression artérielle augmentent. L'instinct de survie ou instinct de conservation est une impulsion innée chez tout les êtres vivants.

Arrête de me taquiner t’as dû comprendre dis. Au moment où il te menace. Ça peut-être un arc à flèche. Notre instinct de survie ne peut le supporter d’être visé. Automatiquement on pense à se décaler. Mais bon ça fait beaucoup plus peur quand c’est une arme à feu. Quelqu’un qui a ça et te menace avec, tu flippes ta vie la plupart du temps. Ça peut-être un fusil d’assault pour que tu t’imagines bien le truc. Pire quand il le pointe sur toi et pire à bout portant.

Je ne sais pas s’il serait incréé. D’après mes recherches, sinon, qui peuvent paraître hors sujet, le coran possède un dos qui est le sens apparent, et un ventre, le sens caché. Ce ventre lui aussi possède à son tour un ventre, ainsi de suite jusqu'à sept ventres. Ce qui veut dire que le coran a alors un sens beaucoup plus mystérieux que son sens littéraire. Un sens ésotérique. Le lecteur qui lira au pied de la lettre restera au niveau profane. Tandis qu’un autre, ayant plus de connaissance et d’ascèse, y découvrira les autres profondeurs. Parce que tous les hommes sont prisonniers de leurs pensées habituelles. Or quand on échappe à cela on échappe au temps, à la matière, à l'endroit où nous sommes. C’est alors que l’esprit réalise une autre dimension. Notre dimension profane serait comme un rêve où nous sommes endormis. L’autre dimension réelle mais sensible et spirituelle, nous paraît être le rêve mais serait la réalité. Vivre par ascèse dans le moment présent, serait une entrée dans le monde réel de l'éternité. La patience dans "le rappel de soi", et par exercice physique régulié, permet d’atteindre l’inconnaissable qui relève alors cette dimension "divine". S’efforcer dans l’attente est un aspect. Mais il faudrait avoir l’intention d’attirer notre cœur et nos envies vers cette réalité pour se libérer. Faire le premier pas. Alors derrière une apparence de difficulté à être, se cacherait une facilité qui permettra d’accéder au sens caché.  "C’est le Secret essentiel (sirr dhātī), le Tréfonds (kunh). Pour cette raison, ce Mystère est préservé des altérités (aghyār) et reste caché aux intelligences (‘uqūl) et aux regards (abṣār)"

Il faudrait leur donner un salaire complémentaire en plus parce qu’ils sont étudiant.

Mais encore. Qui ne tremble pas des genoux (littéralement) devant quelqu’un qui le fixe avec une arme, et à fortiori ayant l’intention de tirer ? Mais ce n’est pas ça dont je parle quand j’évoque l’expérience de mort imminente.

Ou nous réveille véritablement. Des personnes qui ont eu des expériences de morts imminente ont parfois voulu être certaine d’un au-delà. Ce qui les a poussé à savoir. Penser qu’on peut mourir à tout instant... Savez-vous vraiment ce que c’est qu’une angoisse aigu ? Qui reste présente en permanence des jours et des nuits, nous empêchant de dormir ? Ce n’est pas agréable. Mais nous rend attentif aussi.

On va pas parler à rien dire. Toujours à rabaisser. Comme si tu pensais que j’étais sensible à ça. Et je serais ensuite un enfant mal élevé. Moi, moi Dis plutôt qu’il n’ y a rien que tu puisses me dire davantage. Pas grave t’inquiètes

Ca va peut-être vous paraître long. Mais ayez l’intention, je vous prie, de réussir à entamer cette lecture fabuleuse. Mais surtout faites-le avec le cœur. Lorsque notre oeil intérieur se détache et regarde avec une honnêteté implacable ce qui se passe en nous à chaque moment, le choc de ce qu'il y voit est une sensation extrêmement particulière et difficilement descriptible : elle se doit d'être vécue. La vraie conscience lucide est acquise seulement par la pratique du rappel de soi. Observer les aiguilles d'une montre peut servir de "rappel de soi" en se connectant au moment présent. L'acte de regarder l'aiguille des minutes, l'aiguille des heures et l'aiguille des secondes peut aider à ancrer l'attention et à développer la conscience de soi. Bien qu'il puisse paraître simple et facile de pratiquer ce rappel de soi, il n'en est rien. Ce simple exercice vous permettra de comprendre à quel point il nous est difficile de contrôler notre attention. Regardez fixement, déterminez un moment précis comme étant le moment de départ et portez toute votre attention, durant une pleine minute, à regarder la montre. Ne vous concentrez qu'à observer, rien d'autre. Si vous avez été attentifs, vous remarquerez rapidement que votre esprit, n'aimant pas le calme, aura tôt fait de se mettre à vagabonder dans toutes les directions, entraînant avec lui votre attention. Probablement vous êtes-vous demandé pourquoi vous faisiez cet exercice ou encore vous vous êtes mis à penser aux tâches qui vous attendent après votre lecture ou encore vous êtes-vous assoupi dans un rêve éveillé tournant autour d'un événement qui s'est déroulé plus tôt dans la journée. Peut-être avez-vous même dépassé la minute exacte car vous étiez absorbés dans vos pensées et ne pensiez même plus à vous concentrer. Le rappel de soi n'est pas un exercice facile car il demande une constante et réelle attention. Il fait référence à un état de conscience supérieure et d'éveil, pratiqué dans des traditions comme celle de Gurdjieff et Ouspensky. Il ne s'agit pas d'une simple introspection, mais d'une attention portée au moment présent qui permet d'accéder à une perception plus vaste de soi-même et du monde, dépassant alors le fonctionnement habituel. La vigilance est donc la porte qui mène à notre éveil. Nous vivons tous dans l'illusion de vivre : nous rêvons éveillés. Le rappel de soi n'est qu'une première étape vers un éveil réel et valable, mais une étape indispensable à franchir, un exercice à maîtriser. Sa pratique doit devenir constante, une pratique de chaque instant, une habitude, un automatisme, car elle nous apporte une vision, un point de vue indispensable sur nous-mêmes qu'on ne nous a jamais appris à cultiver et à développer. Et cette vision, ce point de vue est riche d'informations de la plus haute importance concernant l'un des sujets primordiaux de toute quête de Vérité : nous-mêmes. Cette conscience de Soi est le rappel de Soi. Gurdjieff disait constamment: “ Où que vous soyiez, rappellez- vous à vous-mêmes” «Tous les gens que vous voyez, tous les gens que vous connaissez, tous les gens que vous pourrez connaître, sont des machines, des machines réelles fonctionnant uniquement sous la puissance d’influences extérieures.» Est-il possible de cesser d’être une machine ? C’est possible, mais c’est difficile et cela demande beaucoup de connaissances et d’efforts. Le problème est que l’homme est endormi. Ce que nous prenons pour notre conscience de veille n’est en fait qu’une autre sorte de sommeil ; le véritable éveil est quelque chose de différent. Les raisons de ce sommeil sont nombreuses. L’une d’elles est que les êtres humains possèdent différents esprits ou « centres », chacun responsable de certaines actions et comportements. Nous avons un centre intellectuel, un centre émotionnel, un centre de mouvement et un centre instinctif, ainsi que deux « centres supérieurs » dont nous sommes coupés par notre mécanicité. Lorsque ces centres fonctionnent correctement, tout va bien, mais chez l’homme moderne, les centres sont tous confondus, l’un faisant le travail d’un autre ou volant l’énergie des autres centres pour faire son propre travail. Ce qui est important pour l’éveil, c’est que chaque centre fasse son propre travail avec sa propre énergie et que tous soient en équilibre. C’est alors que des « centres supérieurs » peuvent nous parvenir. Le but est de produire le «développement harmonieux de l’homme». Un autre obstacle à l’éveil est que, alors que nous croyons posséder un seul « moi », un ego stable et fiable, la vérité est que « nous sommes légion », comme le dit l’homme possédé par des esprits à Jésus dans Marc 5:9. Nous ne sommes pas un mais plusieurs. Nos «moi» changent au gré de nos humeurs. Nous décidons de nous lever tôt demain ; lorsque le réveil sonne, nous l’éteignons et restons au lit. Nous décidons de commencer un régime ; lorsque l’heure du dîner arrive, nous l’oublions comme par hasard. Nos « je » changent parce que nous sommes soumis à une sorte d’hypnose que Gurdjieff appelle « identification ». Nous perdons notre identité, notre « moi », en l’abandonnant à pratiquement tout ce qui nous entoure. Certains de ces « moi » disparates peuvent se fondre dans ce qu’on appelle la « fausse personnalité », une image de nous-mêmes qui nous permet d’ignorer les contradictions qui traversent notre vie mais qui sont évidentes pour les autres. La personnalité –a fortiori si elle est fausse– est elle-même un obstacle. Nous sommes constitués de deux parties, ce qu’on appelle « l’essence » et «la personnalité». L’essence nous est propre, c’est ce avec quoi nous sommes nés et c’est à travers l’essence que nous pouvons grandir. Mais autour de l’essence s’accumule notre « personnalité ». C’est ce que nous apprenons ou imitons des autres et c’est le visage que nous tournons vers la « vie ». Le problème est que la personnalité devient trop riche, obscurcissant l’essence, un peu comme une mauvaise orange dont l’écorce épaisse recouvre un petit morceau de fruit. Le but du système est de briser la personnalité, de la démanteler et, à travers la souffrance que cela implique, de permettre à l’essence de grandir. Il existe quatre états ou niveaux de conscience. Il y a d’abord le sommeil, que nous traversons chaque nuit. Ensuite, il y a ce que nous appelons normalement la « conscience de veille », mais qui est en réalité une autre couche de sommeil. C’est notre état de conscience mécanique habituel, que nous croyons faussement être la vraie conscience. La vraie conscience, la « conscience de soi », ne vient qu’au troisième niveau, ce qu’on appelle « le rappel de soi ». Normalement, notre attention est dirigée vers l’extérieur, vers le monde extérieur. Comme nous nous « identifions » habituellement aux choses extérieures, nous « oublions » notre propre monde intérieur. Nous oublions que c’est « je » – « vous » – qui est conscient et qui, en ce moment même, est engagé dans l’acte de percevoir le monde. Edmund Husserl, le fondateur de la phénoménologie, de la méthode philosophique qui a donné naissance à l’existentialisme savait que la perception est intentionnelle. Il savait aussi que moins nous sommes intentionnels et plus nous sommes passifs, plus notre oubli est profond. Se rappeler de soi, c’est avoir la conscience de son propre moi, de l’observateur et de ce que l’on observe, simultanément. Il s’agit essentiellement d’un sens aigu de votre propre existence, du fait que « vous » existez, ici et maintenant. Ça peut nous venir à l’esprit de façon inattendue, et de nombreux exemples de rappel de soi peuvent être trouvés dans la littérature. En ce sens, le philosophe existentialiste Martin Heidegger, qui pensait lui aussi que le plus grand problème de l’homme est ce qu’il appelait « l’oubli de l’être », la perte du sens de notre propre existence. Heidegger parvient au même remède à ce problème. Notre oubli ou notre sommeil face à l’être peut être brisé par une saisie vive de la réalité de notre propre finitude – notre mort – un remède prescrit par Heidegger dans Être et Temps. Il existe un quatrième état de conscience, la « conscience objective » ou « cosmique », dans lequel nous percevons la réalité telle qu’elle est vraiment, et non obscurcie par nos perspectives subjectives. C’est alors que certaines choses, parmi d’autres choses autrement incompréhensibles, semblent évidentes. Mais tout cela nous dépasse de loin à l’heure actuelle et nous est en fait inutile à moins que nous puissions maintenir le « rappel de soi » pendant plus que de brefs éclairs. Ce rappel de soi constant crée une énergie très subtile en nous. Ce que Gurdjieff appelle la cristallisation de l’Etre. Généralement, nous sommes plus “ liquide” que cristallisé, une attention liquide qui coule là où la pente s’incline, à la merci des évènements, sans choix réel. Ce simple sentiment:” Je suis” ravivé aussi souvent que possible, crée en nous un centre, un centre d’immobilité, de silence, un centre de maîtrise intérieure, de pouvoir intérieur. On commence à ressentir une nouvelle énergie en soi, une nouvelle vie. Et grâce à cette nouvelle vie, ce nouveau pouvoir, les évènements qui nous dominaient, nous manipulaient, n’ont plus d’emprise sur nous. Lorsqu’on se sent plus fort intérieurement, en contact avec une qualité de présence à soi: “JE suis”, les énergies se cristallisent, se rassemblent, s’unifient. Un centre est né. Quand les 2 centres intellectuel et moteur sont réunis, alors un troisième centre, émotionnel, s’éveille. Il arrive un moment où le mouvement coule en nous sans effort et se manifeste dans sa totalité sa beauté, sa force. D’externe, le mouvement devient interne et un nouveau sentiment de de liberté nous habite. Ce moment est important, mais aussi dangereux, car il est alors si facile pour l’ego de se l’approprier:” Oh! J’ai réussi! J’ai vaincu les difficultés! Je suis vraiment bon!” Si nous acceptons de nous retirer en tant qu’ego, alors la dimension du sacré se manifeste à travers nous, un sentiment de respect et de révérence. Nous devenons un instrument réceptif au service d’une réalité plus grande et plus élevée que nous-mêmes. Moments d’unité et d’unification de tout ce qui nous entoure, et de ce qui vit en nous Voici les meilleures sites que j’ai pu trouver concernant ce thème ô combien vital. https://www.jnana-yoga.info/text/fr/gurdjieff-les-etats-de-conscience/ https://integraal-concept.blog4ever.com/le-rappel-de-soi https://www.philo5.com/Mes lectures/Ouspensky, Fragments d'un enseignement inconnu.htm https://ggurdjieff.com/fr/ https://fr.scribd.com/document/912333174/Le-Reveil-de-la-Conscience-Selon-Aun-Weor https://fr.scribd.com/document/505798302/Se-rappeler-de-Soi https://www.revue3emillenaire.com/blog/tag/rappel-de-soi/ cliquer sur le vert pour lire gratuitement différents auteurs sur ce site. 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Encore des aboiements qui parle dans le vide. Le pays qui tue pleins d’innocents a toujours raison et n’est pas terroriste. Ce sont les autres les barbares. Les meurtres d’Israël sont légitimes. Le bilan est lourd pour les palestiniens bien plus que pour eux et ce depuis toujours. C’est fou l’hypocrisie mais la manipulation existe. Genre vous les croyez ? Tu vois pas qu’elle ou il fait exprès @de ghoul quand tu réponds il ou elle est en extase voir sous produit et te réponds indéfiniment la même chose que c’est de la pure propagande. La conversation n’apporte rien mais rien. C’est stérile. Réalise la folie. Israël a raison et les autres ont tord alors que tout le monde sait qu’Israël a tord de tuer des gens simplement parce qu’ils sont palestiniens et irresponsable de ce que fait le Hamas. Mais le Hamas fait ceci ou cela. Ca ne sert à rien de répondre, de parler. On dirait une discussion de sénile qui pollue la discussion et troll dans la même rhétorique indéfiniment. Non c’est Israël le gentil et l’autre, non c’est Israël le méchant. Depuis quand un gouvernement n’a rien à se reprocher surtout celui-ci. Il y a des injustices dans tout les gouvernements. C’est abusé de faire preuve d’autant de déni.

Ça ne contredira pas le fait que ça ne sert à rien leurs attaques aux missiles ou au drônes. Ni mes arguments que ce conflit est une mise en scène et que ce sont des fausses résistances pour l’argent, et nous manipuler soit pour Israël soit pour les palestiniens. L’intelligence artificielle était ma source. Je lui ai demandé de me citer toutes les attaques de missile des Houthis de 2025 qui ont visé Israël. Bien que j’en avais entendu parlé vite fait. Mes infos sont donc bien réel il me semble. En quoi c’est ridicule ? Pourquoi vouloir rabaisser ? Pour faire genre t’as raison ? Et ça prouverait quoi alors ? Pas grave t’inquiètes. Tu voulais que j’aille regarder sur quelle genre de source ? Sur al-manar ou al-mayadeen ? Tu devrais me donner tes infos concernant les missiles.