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sovenka

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  • Date de naissance 31/10/1982

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  • Titre
    Oiseau de nuit, pays Union européenne
  • Sexe
    Femme
  • Lieu
    Loin, dans la forêt profonde
  • Intérêts
    voyages, histoire, environnement, musique, animaux

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  1. Et puisque l'été peut être indien profitons du beau mois de novembre (mais non ce n'est pas un mois triste !)
  2. Comme le disait l'adage, tous les chemins menaient autrefois à Rome — et il se trouve que ces chemins s'étendent 50 % plus loin qu'on ne le pensait, selon un nouvel atlas numérique. Une borne romaine le long de la Via Nova Traiana en Jordanie Il faut savoir que le dernier grand atlas des réseaux routiers de la Rome antique remonte à 25 ans. Depuis, les progrès technologiques et l'accès à de nouvelles sources ont considérablement accru la capacité des chercheurs à localiser les anciennes voies de circulation. Pendant plus de cinq ans, une équipe d'archéologues a épluché les documents historiques, les journaux anciens, les emplacements des bornes milliaires et d'autres données d'archives. Ont ensuite été recherchés des indices dans l'imagerie satellite et la photographie aérienne, notamment des photos récemment numérisées prises depuis des avions pendant la Seconde Guerre mondiale. Selon des récits anciens faisant allusion à des routes disparues dans une région donnée, les chercheurs ont analysé le terrain depuis les airs pour repérer des traces subtiles — telles que de légères différences de végétation, des variations de sol ou des dénivellations, ainsi que des vestiges d'aménagements anciens comme des tertres ou des flancs de collines taillés — qui révélaient le tracé des anciennes voies romaines. Les données et une carte numérique interactive sont d'ailleurs disponibles en ligne pour les chercheurs, les professeurs d'histoire et toute personne intéressée par l'histoire de la Rome antique. Les recherches précédentes s'étaient concentrées sur les grandes voies de l'Empire romain, c'est-à-dire les axes principaux les plus souvent mentionnés dans les récits historiques. La carte mise à jour apporte des précisions sur les routes secondaires, comme les chemins de campagne qui reliaient les villas et les fermes, ainsi que sur d'autres lieux. Les chercheurs avaient précédemment estimé le réseau routier romain à environ 188 555 kilomètres. Les nouvelles données révèlent un réseau de près de 300 000 kilomètres à travers tout l'Empire romain, permettant de voyager de l'Espagne à la Syrie. L'étude a considérablement enrichi les connaissances des archéologues sur les anciennes routes d'Afrique du Nord, des plaines françaises et du Péloponnèse grec. Il n'est toutefois pas encore certain que toutes ces routes aient été ouvertes et utilisées simultanément. Visualiser les anciens itinéraires empruntés par les agriculteurs, soldats, diplomates et autres voyageurs romains permettra de mieux comprendre les grandes tendances historiques liées aux déplacements de population à l'époque romaine, notamment la diffusion du christianisme dans la région et la propagation des épidémies antiques. Les Romains ont laissé une empreinte considérable avec ce réseau routier », qui a servi de modèle à de nombreuses routes encore utilisées aujourd'hui. Les prouesses d'ingénierie romaines en matière de construction et d'entretien des routes — notamment les ponts en pierre voûtés et les tunnels à flanc de colline — continuent de façonner la géographie et l'économie de la région méditerranéenne et au-delà. SOURCE: https://apnews.com/article/ancient-rome-roads-discovered-satellite-photos-ee51c5dbc8d4912bf5b8a7895bf1d440
  3. Une immense couche brune et orange dans l'océan Atlantique inquiète la communauté scientifique. Depuis quelques années, les chercheurs observent cette large bande colorée d'un œil soucieux. Nommé la "grande ceinture de sargasses de l'Atlantique", ce phénomène océanique sans précédent est si vaste qu'il est désormais visible depuis l'espace. En mai 2025, des satellites ont enregistré des images d'environ 8 800 km de long, l'équivalent du double de la superficie du territoire continental des Etats-Unis. Deux ans plus tôt, la gigantesque ceinture ocre avait déjà fait la une des journaux car elle allait s'étendre sur 8 047 km. Cette "grande ceinture" est en réalité constituée d'algues marines flottant à la surface de l'océan et nommées "sargasses". Autrefois présentes uniquement dans la mer des Sargasses, au centre de l'Atlantique, elles se sont accumulées sur quinze années pour former une immense ligne qui traverse aujourd'hui l'Atlantique, de la côte ouest de l'Afrique au golfe du Mexique. Les satellites ont estimé leur poids à 37,5 millions de tonnes. Accumulation d'algues sargasses Ces algues ne sont pas directement engendrées par l'Homme, mais leur prolifération s'accélère avec l'activité humaine. Le principal facteur est l'augmentation des nutriments dans l'eau : entre 1980 et 2020, les niveaux d'azote dans les algues ont augmenté de 55% à cause des engrais et produits chimiques issues de l'agriculture, aux eaux usées, ainsi qu'aux dépôts atmosphériques. Autre explication : le fleuve Amazone, qui déverse pendant les saisons des pluies des eaux riches en nutriments dans l'Atlantique. Et ce phénomène n'est pas sans conséquences : les algues libèrent un gaz toxique, le sulfure d'hydrogène, lorsqu'elles pourrissent. Ce gaz peut irriter la eau et provoquer des troubles respiratoires et neurocognitifs. La grande ceinture bloque aussi la lumière du soleil, nuisant aux récifs coralliens et aux autres plantes marines. Les algues consomment de l'oxygène, créant des "zones mortes" où les poissons ne peuvent pas vivre. Enfin, elles émettent des gaz à effet de serre, aggravant ainsi la crise climatique. Chaque été, des tonnes d'algues recouvrent les plages, nuisant au tourisme et donc à l'économie locale. Les nettoyer coûte des millions de dollars chaque année aux communautés affectées et elles ont déjà provoqué une catastrophe : en 1991, une centrale nucléaire a dû fermer temporaire à cause d'une accumulation massive de sargasses en Floride, les algues ayant obstrué son système d'admission d'eau. SOURCE: https://www.linternaute.com/actualite/magazine/9104596-article/
  4. Quatre spécimens de ce petit crustacé inconnu ont été remontés depuis les abysses de l'une des zones océaniques les plus profondes du monde: la fosse d'Atacama, au large de la côte nord du Chili, soit à près de 8.000 mètres de profondeur, soit presque autant que la hauteur du mont Everest. Leurs analyses génétiques montrent qu'ils appartiennent à une espèce et un genre encore jamais décrits. Les scientifiques ont baptisé le crustacé Dulcibella camanchaca, en référence au mot désignant les «ténèbres» dans les langues des peuples andins. Sa carapace blanche lui confère une apparence fantomatique, rappelant le terrifiant facehugger du film Alien. Dulcibella camanchaca dévore ses proies en utilisant ses appendices pour piéger d'autres crustacés plus petits et peut supporter des pressions jusqu'à 800 fois supérieures à l'atmosphère terrestre. Le fait que ce petit crustacé réussisse à survivre dans un environnement aussi hostile (obscurité, pression, absence presque totale de ressources alimentaires) est rendu encore plus étonnant par le taux de salinité de la fosse d'Atacama, un des milieux marins les plus salés du Pacifique sud. Cette découverte permet de mettre en lumière de nouvelles conditions propices au développement de la vie. Seulement 20% des fonds marins de la planète ont été cartographiés, et les abysses recèlent encore de nombreux secrets. SOURCE: https://www.slate.fr/sciences/decouverte-predateur-abysses-atacama-fosse-ocean-pacifique-crustace-inconnu
  5. Née à Téhéran en 1959, Fariba Adelkhah arrive en France à 18 ans pour ses études universitaires en sciences sociales. Elle poursuit ses recherches entre l'Iran et la France pendant 35 ans, avant d'être arrêtée par le régime iranien en juin 2019, accusée d'espionnage. Son compagnon Roland Marchal est également emprisonné de juin 2019 à mars 2020. "Je ne comprenais pas, et d'ailleurs, je ne comprends toujours pas pourquoi on s'est intéressé à moi. Et je n'ai pas non plus compris pourquoi ils m'ont accusée d'être une espionne", raconte-t-elle. Car si le sociologue est libéré en mars 2020 dans le cadre d'un échange de prisonniers, Fariba Adelkhah est, elle, condamnée à cinq ans de prison pour "propagande contre le système" et "complot contre la sûreté nationale". Elle est incarcérée à deux reprises à la prison d'Evin, puis est un temps libérée sous bracelet électronique. Sa captivité prend fin en février 2023, lorsque Fariba Adelkhah est graciée sur ordre du guide de la Révolution Ali Khamenei. "Le plus important pour moi, et encore à ce jour, était mon acquittement parce que cela aurait signifié que j'étais innocente et libre en tant que chercheuse et universitaire. Ce genre d'arrestation fragilise notre position", développe l'anthropologue de 66 ans. Son expérience des geôles iraniennes, Fariba Adelkhah la narre dans "Prisonnière à Téhéran", publié en 2024. Une ode à la liberté scientifique : "J'ai voulu montrer qu'une chercheuse arrêtée reste une chercheuse, y compris dans le milieu carcéral, revendique-t-elle, assurant qu'elle devait ce livre à tous les gens qui l'ont soutenue. "C'est un terrain difficile, mais cela reste un terrain de travail et c'est ce qui m'a en partie permis de survivre", raconte Fariba Adelkhah, qui s'est attelée à décrypter les modes de gestion et de pouvoir des prisons iraniennes. "J'ai transformé mon lieu d'incarcération en un terrain anthropologique où j'essayais à la fois de comprendre et de m'imposer comme chercheuse." De retour en France, l'ethnologue poursuit sa mission : "déconstruire des situations, sortir les gens de leurs clichés, établir un dialogue" sur la société iranienne, mais aussi l'emprisonnement, qui dépasse les frontières. "Il y a des moments très intenses qu'on ne vit pas en dehors du milieu carcéral", ajoute la Franco-Iranienne, qui essaye de tirer profit de tout ce que réserve la vie. SOURCE: https://www.tf1info.fr/international/j-ai-transforme-mon-incarceration-en-terrain-anthropologique-la-chercheuse-fariba-adelkhah-raconte-sa-detention-en-iran-2405116.html
  6. Du Brésil, remontons vers le nord et respirons avec les Indiens:
  7. Mauvaise langue ! Je connais des postes où les gens font très bien leur travail. Les beaux esprits se rencontrent: j'ai pensé la même chose que toi.
  8. Une odeur de boulangerie sur les enveloppes. Oui, cette phrase a du sens. Depuis le 7 octobre dernier, La Poste vend des timbres avec un dessin et une odeur de croissant. Près de 600.000 exemplaires ont été imprimés. Le but mettre en avant cette viennoiserie qui est une des préférés des Français. On peut le trouver dans tous les départements, dont en Mayenne. Ce timbre avec l'odeur du croissant est vendu 2,10 euros en édition limitée. SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/insolite/video-c-est-tres-leger-les-mayennais-mitiges-par-le-nouveau-timbre-de-la-poste-avec-l-odeur-d-un-croissant-2281961
  9. Spéciale moustaches pour "movember"...
  10. Retrouve ton courage tranquille grâce à la cohérence cardiaque d'halloween
  11. Faites comme l'escargot: prenez votre temps
  12. J'ai mes propres recettes à l'occasion d'halloween. Que pensez-vous par exemple de ces yeux fraichement arrachés que je vais servir sur un tapis de chou rouge ?
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