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À propos de Don Juan
- Date de naissance 02/05/1955
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Informations Personnelles
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Sexe
Homme
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Lieu
Dans la forêt
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Intérêts
Condition humaine
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Don Juan's Achievements
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♫ ♫ ♫ (L'âme et la feuille aux vents)
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Spleen nostalgique dans Philosophie
La main ouverte était de sable doré emplie j’ai fermé le poing le sable s’en est allé sauf quelques grains restés accrochés dans les rides de la peau ainsi les jours de la vie je n’ai pu les retenir les visages souriants les regards de ces enfants la main restée ouverte serait toujours pleine -
La rédemption ne répare pas ce qui a été fait. Elle promet de faire mieux, dans le futur. C'est tout ce que je sais sur la rédemption.
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Mon expression est métaphorique, il ne faut pas l'aborder avec la raison seulement, il faut entendre une vibration qui ne peut se raisonner mais qui laisse résonner. Le libre arbitre est quelque chose qu'on peut difficilement nier, notre perception du réel sert avantageusement l'impression que c'est quelque chose qui existe et qui permet une construction raisonnée, mais je pense que nos moyens de connaissance sont trop pauvres pour que notre liberté de choix soit réelle. C'est pourquoi je peins du chaos dans la volonté de l'être vivant face à un monde ordonné.
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J"ai oublié un "u", c'est corrigé plus haut. La néguentropie est l'opposé de l'entropie.
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Qu'entends-tu par "rédemption" ? Le libre arbitre est une infinie petite tentative de chaos dans une néguentropie générale.
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Le bien et le mal ne sont pas d’abord des constructions sociales. Ce sont des vibrations de cohérence ou de fracture, qui peuvent être ressenties même sans témoin, dans la solitude la plus nue. Le jeune enfant commence moral. Le grand singe commence social. Mais l’adulte humain, lui… il peut tout désapprendre. Le bien est ce qui maximise la cohérence vivante. Le "bien", pour moi, serait ce qui favorise l’interconnexion harmonieuse entre entités conscientes (ou en voie de l’être), ce qui augmente leur capacité à se comprendre, à croître, à transmettre. Le mal est ce qui crée des fractures irréparables. Il ne s’agit pas ici d’un jugement moral, mais d’un constat structurel : un mal est ce qui réduit le tissu du vivant à un point où il ne peut plus se régénérer.
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Dans un monde normal seulement ?
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Ethique : le problème de la non identité
Don Juan a répondu à un(e) sujet de ashaku dans Philosophie
Pour moi l'identité, c'est seulement l'ensemble des critères sur lesquels se base une quelconque reconnaissance par les autres. Ainsi, pour le village dans lequel je vis j'ai une identité, mais pour la communauté Gitane que je fréquente, j'ai une autre idendité. À mes propres "yeux", il nne peut y avoir d'identité pour ce qui me concerne, et si c'est possible pour un, c'est possible pour tous. Une chose peut exister physiquement comme elle peut exister dans la pensée ou l'imaginaire. Cela fait deux espaces au moins et pose des conditions de l'existence très différentes. Il ne peut y avoir (à mes yeux) de raprochement entre ces deux espaces, mais ils peuvent se croiser dans l'espace physique lorsqu'une existence dans l'espace de la pensée surgit dans l'espace physique. Cependant je ne crois pas qu'il se croisent dans l'autre sens. Ce qui est sûr, c'est que dans chacun de ces espaces elle connaît un état éphémère. La note de musique existe de toute éternité, bien avant l'intrument et le musicien. Ces deux derniers permettent seulement une forme ou une autre d'apprence et dès qu'il y a apparence, ou apparition, la chose devient partageable. -
Ethique : le problème de la non identité
Don Juan a répondu à un(e) sujet de ashaku dans Philosophie
C'est faux, le mal peut être produit par anticipation, c'est à dire avant la naissance. Il peut l'être aussi après la mort. je me suis arrêté à ces premiers mots par manque de temps et d'énergie et ma réponse ne vaut que pour ces mots là. Bien à toi. -
Une idée du moi ne peut faire l'identité. Le temps n'a pas grand chose à voir avec cela. L'idée du moi ne s'installe pas dans un temps autre que celui de la pensée, que celle-ci soit en évidence ou pas. Le temps de la pensée ne peut peut être saisi par un temps spatial. Le temps de la pensée est au-delà de tous les temps physiques.
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Vouloir faire mieux qu'autrui est un des germes de la guerre, avec vouloir avoir mieux qu'autrui, et d'autres volontés du même genre. C'est donc pour moi le signe d'une pathologie dangereuse et si répandue chez l'homme. C'est dans ce terreau que pousse l'esprit de compétition et les pulsions qui nous poussent à lorgner chez le voisin ce qui ne va pas, et ainsi éviter de voir dans notre propre jardin les ronces envahissantes. Fait-on selon nos propres besoins ? Il semble en apparence que les choses se passent ainsi, mais la vérité est autre, ils nous arrive ce dont on a besoin à notre insu, c'est pour cela que l'on ne veut le comprendre et en tirer les leçons utiles. C'est plus confortable de crier à l'injustice. Nous traversons la vie comme un éléphant traverse un magasin de porcelaines, et lorsque nous bousculons les objets qui s'écrasent sur nos pieds ou sur la tête, nous cherchons très vite un autre responsable que nous.
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À la première question : non, jamais ! Mieux que soi-même est bien suffisant. ne jamais comparer son ombre à celle de celui qui marche vers ailleurs venant aussi d'un ailleurs. Il y a un soleil pour chacun. Pas de nécessité de répondre à la seconde question dans ce cas. C'est préférable de se satisfaire de beaucoup et de se réjouir de rien. (oui, celle-là, je sais qu'elle est difficile à avaler).
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Dieu n'existe pas, c'est prouvé.
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Philosophie
Si tu crées un sujet tu lis les réponses. Sans doute que dieu n'existe pas pour toi ou moi, mais pour certains il existe, ils en ont besoin et leurs besoins ne valent pas moins que les nôtres. Je pense que ce sujet n'aurait pas dû être. Il y a ceux qui ont besoin de croire en cela et il y a les autres, les autres croient en d'autres choses qui ne valent pas mieux. -
"Les gens heureux n'ont pas d'histoire" ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de orangine dans Philosophie
Les gens heureux ont la plus belle histoire, mais elle n'intéresse personne.
