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À propos de Don Juan
- Date de naissance 02/05/1955
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Sexe
Homme
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Lieu
Dans la forêt
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Intérêts
Condition humaine
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Quel niveau de complexité de l'esprit est nécessaire pour appréhender celui du monde ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
Pour appréhender la complexité mieux vaut un véritable esprit simple. Ainsi, les choses apparaîtront simplement. Amen. -
J'en dis que souvent les proverbes sont de beaux souhaits mais qu'ils ne sont que rarement confirmés par les faits. Pour le premier par exemple : on peut répondre que souvent ou presque toujours, ce qui nous appartient nous fatigue aussi, c'est le poids de la possession, qu'il soit conscient ou pas. Or l'énoncé de la devise induit dans le "non-conscient" que les choses possédées sont plus légères à porter que les autres. Le dernier en français : Demandons à tous ces profiteurs assis sur leur beaux sièges d'entreprises ou de l'assemblée si le mal acquis ne profite pas, ou encore aux pègres du monde entier. L'idée invoquée par le proverbe est à côté de la réalité.
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L'objectivité est-elle toujours illusoire ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
Merci toi, en fait, science ou pas science, lorsqu'on est dans la caverne, tout ce que l'on peut penser ou considérer comme du savoir est une erreur, ou pensée subjective. Surtout, si tu en es sorti, ne reviens pas y mettre les pieds, car tu sais ce qui t'attend. -
Utilisation d’agents IA pour le développement de processeurs vivants….
Don Juan a répondu à un(e) sujet de SpookyTheFirst dans Sciences
Un point de départ à une émergence cognitive ? -
L'objectivité est-elle toujours illusoire ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
Les illusions, en tant que phénomènes psychologiques, existent de façon régulière. On peut donc dire que l’illusion subjective repose sur un mécanisme objectif. L’illusion n’est pas le néant, elle est un fait. Ce fait (se tromper de perception) existe objectivement. Reconnaître que l’illusion est objective permet de la traiter scientifiquement (psychologie cognitive, neurosciences, phénoménologie). Alors qu'est-ce qui est objectif ou subjectif ? -
Lignes de fuites, géométrie, esthétique, plaisir et zones de confort
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
Je suppose que s'il n'y a pas de réponse, c'est parce que c'est difficile de comprendre ce que tu cherches ou attends. -
L'objectivité est-elle toujours illusoire ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
L'illusion est-elle objective ? -
La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
Ah mais alors je n'avais rien compris à ton propos tel que tu l'as exprimé, alors oui même OUI! -
La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
Veux-tu dire que les instincts de la reproduction sont une tentative pulsionnelle (donc non consciente) d'échapper à la mort ? -
La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
L'immortalité d'une espèce comme celle d'un individu c'est du jamais vu, donc une croyance, ou un blabla. -
La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
Ce sont des croyances. C'est donc indiscutable. Pas de philosophie à porter dans ses bras. -
Quand commence et quand s'arrête le pouvoir du verbe ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
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La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
Elle serait un moyen de quoi ? -
Mais indépendante elle sera idéale pour fomenter un coup d'état, ou bien d'autres choses.
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Il est grand temps de rallumer les étoiles
Don Juan a répondu à un(e) sujet de zeyas dans Inclassables
Ils étaient enfermés sur les flots, dans l’attente, À bord d’un grand vaisseau que la mer violente Secouait comme un berceau, puis réveillait soudain Dans l’ombre de la nuit, sans trêve ni matin. En silence, j’allais, caressant leur solitude, Présent sans poids, fait d’une certitude. Mais vint un soir d’orage les cieux s’élevèrent Des vents fort coléreux et les flots se soulevèrent. Je vins les visiter, discret dans mon amour, Pensant les retrouver changés par ce détour… Mais non : tout comme avant, ils œuvraient à leur tâche, L’un cisèle une bague, une autre file ou hache, D’autres parlent tout bas, tissant le lien humain Qui rend le cœur plus lourd quand l’un perd le chemin. Car nul ne meurt jamais sans laisser une faille Sa chute, en tous les cœurs, doucement se démaille. Je les écoutais vivre, étrangers à ma voix, Leurs propos ordinaires, leurs douleurs sans émoi Bouilloires, fièvres, soins… je n’en gardais mémoire, Sachant que l’essentiel n’est jamais dans l’histoire. Mais dans ce qu’ils faisaient, dans leur pas incertain, Dans le don d’un regard, dans un geste anodin. Celui-là souriait, grave, et doux à la fois Il donnait plus que lui sans savoir même quoi. Et l’autre, qui semblait rongé par l’ennui sourd, Ignorait que c’était l’absence de l’amour, Ou la crainte confuse d’un Dieu qu’il ne nomme, Et qui pourtant murmure au fond de chaque homme. Juan