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Maïwenn

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Billets posté(e)s par Maïwenn

  1. Maïwenn
    Film culte du mois : The Doors Oliver Stone ( Film américain, 1991 )
    Avec : Val Kilmer / Kyle MacLachlan / Frank Whaley / Kevin Dillon / Meg Ryan / Kathleen Quinlan / Michael Wincott / Michael Madsen / Josh Evans / John Densmore / Gretchen Backer / Jerry Sturm / Sean Stone / Jennifer Tilly / Billy Idol.
    Introduction du film :
    « Le film va commencer dans cinq moments » annonce la voix sans âme. Tous ceux qui ne sont pas placés attendront la prochaine séance. La file s'avance lentement, mollement vers la salle, l'auditorium est vaste et silencieux. Une fois assis et envahi par l'obscurité, la voix reprend : « Le programme de la soirée est connu, ce spectacle vous l'avez vu et revu, votre naissance, votre vie, votre mort Ou peut-être d'autres souvenirs encore Avez-vous eu un bon séjour sur terre ? Assez pour en faire un film ? [...] Tout le monde est entré ? Tout le monde est entré ? La cérémonie va commencer. Laissez-moi vous parler d'un cur qui souffre d'avoir perdu Dieu, errant sans fin dans la nuit sans espoir. Ici, à la lisière, il n'y a pas d'étoiles. Ici nous sommes raides immaculés. »
    Ce mois-ci, j'ai choisi de vous parler d'un film que j'ai vu et revu (justement), entre amis ou seul, et que je ne me lasse pas de revoir. The Doors, d'Oliver Stone. Effectivement, ce biopic est un hommage à l'icône mystérieuse qu'est Jim Morrison. Rappelons que la tombe de Jim est la plus visitée du Père Lachaise, encore quarante ans après sa mort !!! Ce que j'apprécie particulièrement dans ce film ? Malgré une durée relativement longue (2h15), le film est d'une fluidité rare qui fait qu'on ne voit pas le temps passer Mais surtout, Val Kilmer, magistral dans son interprétation extrêmement fidèle du leader des Doors. Pendant le film, il chantera lui-même quelques bouts de morceaux interprétés en live, et les membres du groupe diront que parfois la voix de Val était habitée par celle de Jim et qu'eux-mêmes auraient eu du mal à les différencier. Mais surtout son attitude, sa nonchalance et les expressions typiques de son visage seront restituées à la perfection par Val Kilmer. Le film s'ouvre donc, après ce poème de Jim légèrement remanié, sur la musique Riders On The Storm, au Nouveau Mexique, en 1949 lorsque Jim, encore gamin, assiste au décès d'un vieil indien qui le marquera profondément. Il déclarera, plus tard lors d'une interview présente dans le film, qu'il pense que l'âme de cet indien qui voltigeait dans la brume sauta en lui. Le ton est donné, le mysticisme, élément fondateur de la personnalité de Jim Morrison, avec ses excès, sera donc présent tout au long du film. Puis, avec une courte transition qui montre le chanteur une fois adulte faire du stop sur cette même route, le film nous projette à Venice Beach, Californie, en 1965, sur la musique She Lives On Love Street. Vous l'aurez compris, toutes les scènes du film sont habillées de l'excellente musique des Doors.
    Ce film tourne donc autour de la vie de son leader, Jim Morrison, qui va connaître tous les excès, mais qui, en fait, est un homme torturé qui cherchera par tous les moyens à échapper à la « réalité » telle qu'on la perçoit. On apprend ainsi que le nom du groupe provient d'une expression de William Blake « entre l'inconnu et le connu il y a les portes, et il faut balayer les portes de la perception pour voir les choses apparaître telles qu'elles sont, infinies » duquel Jim décidera de ne garder que la symbolique « Les Portes » = The Doors. Jim, à la base, est un poète qui avait utilisé comme premier média le cinéma pour transmettre ses pensées, mais le club de cinéphiles dont il faisait partie le railla, et ce fut une blessure profonde qu'il garda. Malgré tout, que ce soit dans sa vie ou bien même dans les circonstances de sa mort, beaucoup de faits le concernant sont entourés de mystère et sont, encore aujourd'hui, irrésolus. Il y a donc une grande part de romance dans ce film, malgré tout considéré comme très fidèle à l'esprit des Doors, que ce soit par les fans les plus assidus ou encore même de l'avis des musiciens qui formaient le groupe. Certaines erreurs furent même détectées par les plus pinailleurs, mais l'esprit global est tout à fait là et Oliver Stone (même si ce n'est pas l'avis de tout le monde, après tout on a l'habitude avec ce réalisateur qui aime la polémique, semble-t-il) réalisa avec ce film un véritable chef-d'uvre. À part peut-être cette fameuse scène dans laquelle Jim balance une télé sur les membres du groupe, car une de ses musiques a été reprise pour une publicité, alors qu'en vérité Jim s'y opposa bien avant la diffusion de cette pub et surtout Ray Manzarek (le numéro 2 du groupe) déclara après le film que Jim n'aurait jamais fait une chose pareille (balancer une télé, être violent).
    On notera également que malgré les libertés prises par Oliver Stone, certains endroits seront reproduits à la perfection, tels que les bars Whisky A Go-Go et London Fog, l'appartement de Patricia Kennealy, Sunset Strip ou encore les rues de San Francisco des années 60. Parfaitement restituée également, l'ambiance qui régnait lors de ses concerts, parfois glauques ou surprenants, tel Jim entrant en transe ou bien insultant son public jusqu'à se faire huer et bien sûr le Live qui entra dans la légende, durant lequel le chanteur des Doors, à moitié en transe, raconte une histoire dans lequel un jeune garçon tue sa sur, puis son père, pour enfin violer sa mère, ce dernier acte étant bruité de manière obscène par Jim obligeant le responsable du concert à tout arrêter sur le champ. Le sexe, la drogue et le rock 'n roll sont présents tout au long du film de tels que tout au long de la vie de James Douglas Morrison et Oliver Stone nous propose un road movie dans lequel le moyen de locomotion n'est pas une voiture ou une moto mais les divers états, stone, drogué, d'humeur créatrice, du sujet principal.
    Une bonne partie des gens qui virent ce film la première fois, ne connaissait pas vraiment The Doors, ni surtout les musiques que le groupe produisit, à part un ou deux succès (The End, Light My Fire) mais pour beaucoup dont je fait partie ce fut une véritable révélation et cela donne envie d'aduler ce groupe majeur du rock des années 60 et même de la musique tout court. De plus, la performance de Val Kilmer est sans doute la meilleure de toute sa carrière, mais les autres acteurs, telle Meg Ryan, se surpassèrent également. On excusera alors la légèreté d'Oliver Stone par rapport aux faits, car il nous fait ressentir profondément ce qu'étaient les États-Unis des sixties et nous fait voyager littéralement avec cet hommage aux Doors. Ce film ne fait pas l'unanimité et plus le temps passe, plus Ray Manzarek le critique (alors qu'il participa à la réalisation, mais peut-être aussi parce que Oliver Stone se basa plus sur la biographie de Densmore, qui détestait Jim il faut dire que c'est ce fameux Densmore qui écrivit plusieurs des tubes des Doors et que tout le monde pensait que le génie venait de Jim - plutôt que sur la biographie de Ray qui, elle, était trop dithyrambique). Mais je m'en fiche : ce film n'a pas pour vocation d'être un fidèle témoignage de la réalité mais, à mon sens, est là pour nous faire ressentir des sensations et pour être comme un poème qu'appréciait particulièrement Jim, et là dessus le défi est relevé haut la main et pour moi c'est l'essentiel.
    Ma note : 18/20

    Tribality


  2. Maïwenn
    Le jour où le féminisme m'a frappée en plein coeur
    « Toilettes pour femmes » de Marilyn French
    Marilyn French est américaine, née à New-York le 21 novembre 1929. Elle se marie à l'âge de 21 ans, obtient un master d'anglais en 1964, puis divorce en 1967 après 17 ans d'un mariage qu'elle qualifiera de malheureux. Est-ce pour elle la découverte de la liberté ? Toujours est-il qu'elle reprend des études à Harvard et y obtient un doctorat en littérature.
    En 1977, cette militante convaincue des droits des femmes publie « Toilettes pour femmes », dont 20 millions d'exemplaires, traduits en une vingtaine de langues seront vendus.
    Ce roman profondément féministe, dur et bouleversant, m'est tombé entre les mains lorsque j'avais 20 ans. Il a changé ma vision des hommes, des femmes et de leurs relations.
    On y suit le parcours de Mira, depuis son enfance jusqu'à sa vie de femme -presque- libre, en passant par sa condition de femme au foyer dans une banlieue de l'Amérique des années 50.
    Mira est une femme comme tant d'autres, d'abord adolescente qui rêve du prince charmant, étudiante que l'on remet vite à sa place d'inférieure, femme au foyer d'abord si heureuse d'être dans la norme, mais découvrant rapidement les désillusions, les frustrations, pour finalement ouvrir les yeux et conquérir son indépendance en découvrant la solidarité et l'amitié féminines.
    Destins croisés de femmes, culpabilité inculquée à l'épouse, à la mère, femmes qui s'effacent et se nient pour des époux méprisants et des enfants indifférents, discriminations, viols... Comment croire que ces mots écrits il y a plus de 30 ans, sonnent encore si juste ?
    Elles font leur devoir, subissent, se taisent, aiment d'amour et se lient d'amitié, s'éveillent, réfléchissent, discutent, se révoltent parfois, boivent trop, espèrent, se suicident aussi, se relèvent souvent...
    La manière qu'a Marilyn French d'aborder les thèmes du couple, de la sexualité ou encore de la grossesse est totalement iconoclaste, surtout pour l'époque. Elle casse notamment le mythe de la maternité épanouie et radieuse : devenir mère, c'est d'abord souffrir puis résumer sa vie à « la merde et les haricots verts », dit-elle.
    Certains trouveront sans doute le trait outré, la peinture faite de l'homme odieuse et caricaturale. Pour ma part, j'ai été emportée dans la bourrasque violente de ces quotidiens si banals ; j'ai reconnu mes surs, partagé leur douleur, ri et pleuré avec Mira, Val, Iso, Kyla et toutes les autres, dévoré les pages et refermé le livre bouleversée, désespérée, renforcée, changée...
    Marilyn French a combattu et vaincu un cancer de l'sophage en 1992, contre le pronostic des médecins qui lui donnaient alors quelques mois à vivre. Elle est décédée le 2 mai 2009 d'une crise cardiaque à l'âge de 79 ans.
    Quelques-uns de ses ouvrages :
    •Les bons sentiments, 1982 (les difficiles relations amoureuses entre les hommes et les femmes)
    •Telle mère, telle fille, 1990 (comment le poids de l'héritage familial peut briser une vie, qu'on croyait pourtant réussie)
    •La guerre contre les femmes, 1992 (essai)
    •Notre père, 1997 (drame familial ; quatre surs que tout sépare se retrouvent au chevet de leur père mourant, se heurtent et se rapprochent autour de l'ombre d'un lourd secret...)

    Chapacha


  3. Maïwenn
    Salut !
    Alors j'ai trouvé très intéressant ce second numéro.
    L'idée de faire participer des forumeurs, je trouve ça pas mal^^
    C'est sûr que l'article ne pouvait être écrit que par Nostressssss
    Bref, j'écris pour demander si c'était possible de faire un coin littérature dans « culture », ça serait sympa.
    Voilà.
    Bonne continuation !
    Clemya
    -------------
    Bonjour chère lectrice anonyme dont nous avons néanmoins retrouvé le nom car nous sommes de vraies journalistes enquêtrices !
    Tout d'abord merci pour ton compliment qui nous va droit aux coeurs (oui, oui, on en a plusieurs chacun, de peur qu'on nous les brise (hem ) avec des commentaires malveillants), et merci d'ailleurs de ne pas avoir brisé ceux de Nostressssss (hem ), mais je m'égare je m'égare...
    L'équipe a le plaisir de t'informer que le coin littérature est bel et bien prévu et ne saurait tarder à émerger du tréfonds d'un de nos rédacteurs, qui pour l'instant est en GLA (GLA ® = « Gestation Littéraire Active ² » - © ffrmag, "²" car il met les bouchées doubles afin de satisfaire notre abondant lectorat).
    Mais comme ton courrier nous a d'autant plus touchées qu'il est tristement resté seul , tu trouveras quand même un article littéraire ce mois-ci, qui plus est rédigé par Chapacha herself.
    Voilà voilà, chère Clemya, nous nous fendons d'un gros bisou au nom de l'équipe, au plaisir de te lire... et que tu nous lises !

    Virgule.6 et Chapacha


  4. Maïwenn
    Un peu de soleil sur notre France pleine de grisaille !
    En direct live de la Réunion voici l'interview de personne^^
    Bonjour personne^^, et merci d'avoir accepté cette interview.
    Mais ce n'est rien!
    Tout d'abord, personne^^ est-tu quelqu'un ?
    Oui bien sur! ^^ Comme tout le monde ici je suppose
    Pourrais-tu te présenter en quelques mots ?
    Alors, je suis une garçon qui aime parler de tout et de n'importe quoi. Toujours partant pour de nouvelles saveurs, goûts, aventures
    J'aime le vie, et j'en profite du mieux que je peux !
    Pourquoi ce pseudo anonyme ?
    J'ai choisi ce pseudo anonyme, car sur le forum, je suis une tout autre personne. Dans la réalité, je suis timide mais je m'exprime toujours avec conviction. Je ne suis plus moi-même on va dire sur ce forum. Mais je le dis : je ne cache pas mes émotions, je suis quasiment à la normale tout en ne l'étant pas ! ^^ ( compliqué, je sais)
    Comment es-tu arrivé sur ForumFR ?
    J'avais un problème, je l'ai tapé sur google et j'ai trouvé la réponse que je voulais sur le forum.
    Et qu'est-ce qui te pousse à rester sur ForumFR ?
    C'est le fait que je puisse aider d'autres personnes à mon tour. Je veux communiquer avec les autres, et pourquoi pas, me faire des amis.
    Et qu'est-ce qui t'agace sans pour autant te faire partir ?
    Ce qui m'agace vraiment, c'est le comportement des forumeurs vis à vis des plus jeunes. Je ne dis pas que tout le monde est comme ça ici, mais il y a un réel problème avec cela.
    Quel est ton coup de cur forumien ?
    ça reste secret par contre... je suis désolé
    Et ton coup de colère ?
    Je n'en ai pas spécialement, du moins, aucun de me vient à l'esprit.
    Quelles sont tes principales occupations pendant tes loisirs ?
    Alors, j'adore jouer au football : ça retire tout le stress que j'accumule et je m'amuse beaucoup avec mes amis! ^^
    Bah, quand j'ai un peu de temps, après les révisions, je joue un peu
    Et ton univers, comment est-il ?
    ( c'est quoi ces questions?? ) On va dire que mon univers est très réel, où je ne me permets rien d'absurde ou encore bête
    Aimerais-tu rencontrer des formeurs ? Qui et pour quelles raisons ?
    Oui, j'aimerais tellement rencontrer zoumi, stormkyzn Espoir,Leo_Oroy . Car vraiment, je les apprécie beaucoup ! Des amis, virtuels certes, mais des amis quand même.
    Comment penses-tu que les formeurs te perçoivent ?
    Comme quelqu'un d'un peu zarbi ( par rapport au pseudo, surtout) mais qui aime rigoler!
    Cela correspond-t-il à l'image que tu veux donner ?
    Je ne veux pas paraitre zarbi, moi! Mais sinon, oui. Je ne pense pas faire de mal à quelqu'un ici
    Si tu devais réinventer ForumFR, qu'y apporterais-tu ? Que changerais-tu ?
    Hmm... Vraiment, je ne le changerai pas. Peut-être quelques modifications, mais sérieusement je le trouve génial le fofo ! Donc pas de problème ! ( peut-être un meilleur correcteur de fautes )
    Quelle question aurais-tu aimé que je te pose et qu'y aurais-tu répondu ?
    Non, je n'ai pas de questions ! ^^
    Un petit message à faire passer ?
    Bien sur : Les amis, faut profiter de la vie ! Quoi qu'il arrive, dîtes-vous que plein de personnes n'ont pas votre chance!
    Sauvons notre planète! Et bonne journée!
    Et le mot de la fin ?
    Je passe mon bonjour à zoumi, Stormkyz, Espoir et Leo_Oroy et Olivier!
    Merci beaucoup personne^^, ce fut sympathique !
    Merci à toi Pandore de m'avoir choisi ^^

    Personne^^ et ¤Pandore¤


  5. Maïwenn
    Juyn invente un nouveau sex toy
    Baptisé « Kit à mordre le cul de lautre », ce nouveau « joujou » pour messieurs a de quoi rendre jaloux.
    Nous avons demandé au créateur comment lui était venue cette idée et en fait cétait tout simplement pour assouvir ses « délires de mégalo sex-addict macho »
    Ne souhaitant pas mettre mal à l'aise ce jeune esprit, nous ne préciserons pas que cette chose a été inventée surtout dans le but de cacher une homosexualité refoulée et de compenser ce manque.
    Mais voilà nous ne sommes pas tout de suite arrivés à cette conclusion, il nous a fallu tout étudier
    En effet, au début nous pensions que cétait tout simplement un concept pour faire avancer le mec de devant plus rapidement dans une file dattente.
    Puis nous avons pensé que cétait un nouveau jeu à la mode dans les cours de récré : comme le jeu du docteur mais en plus hard, quoique moins gore que le jeu du violeur.
    Troisième étude : Peut être était ce le nom dorigine de la barre chocolatée « kit kat » quils ont ensuite raccourci pour un souci de place sur lemballage (ceci dit ça ne faisait plus très classe de dire « have a break, have a kit à mordre le cul de lautre »).
    Létude suivante sest portée sur les seniors et leur dentier je ne métalerai pas sur le sujet.
    Pour finir, nous avons aussi émis lhypothèse que cétait une nouvelle arme dauto-défense
    Ceci nétant quun aperçu de toutes les études que nous avons pu mener sur le sujet (euh, quand on dit « sujet » on ne parle pas du « c » de Juyn mais du « kit »).
    Depuis notre article, Juyn sest réfugié dans une forêt et élèverait des loups. Par contre, notre source ne nous précise pas sil a pris un kit avec lui (non, pas un kit de survie vous ne suivez rien du tout).

    Méloudidounou


  6. Maïwenn
    Ce mois-ci, pour ma première participation au mag, voici en exclusivité forumesque, les deniers potins du tchat :
    _Dolph, dans un souci de conservation historique, a tenté de faire l'inventaire des amantes forumesques de Kegeruniku8. Bon bien sur, les quelques 6 pseudos envisagés ne représentent qu'un échantillon minime, aussi représentatif de la réalité qu'un panel TNS/Sofres. La direction envisage un nouvel article au règlement interdisant à Kegeruniku8 de sexer les forumeuses, pour le bien du forum.
    TheHellSpawn en a assez de son statut de sex-symbol. Toutes les tchatteuses se battent pour obtenir ses faveurs. Pour remédier à ce douloureux problème, il a décidé de ne rien faire.
    Selon les statistiques, EmoTaGaDa aurait passé environ 4h par jour à se maquiller. Si nous rapportons ce temps sur l'espace dune vie, le jour de ses 120 ans, Emo aura passé 20 ans de sa vie devant le miroir.
    Dans la série Kegeruniku nous fait faire des exercices de prononciation
    Ké-gay-roux-ni-cou !
    Dans la série Kegeruniku n'a pas assez de son pseudo habituel pour nous faire faire des exercices de prononciation, voici ses derniers pseudos du tchat :
    Nigi Matama
    O Kuni Nushi
    Gui Xian
    (Rubrique déconseillée aux dyslexiques)

    Ninoche


  7. Maïwenn
    Le forumeur du mois :
    Ce mois-ci, j'ai choisi de mettre un forumeur hors du commun à l'honneur. Il promet de terroriser les plages cet été, il a une vision très personnelle de l'orthographe française, il voue un culte secret à MrBean, vous l'aurez tous reconnu, il s'agit de :
    Jojobrioche
    Ne ratez surtout pas ses conseils pour devenir paparazzi en 2 leçons. Fiez-vous à Jojo et son frère, et votre galerie photo sera bientôt pleine de photos de vedettes et de postérieurs féminins (appareil photo numérique jetable Kodak waterproof non fourni par la direction du forum).
    Le tchatteur du mois :
    Le tchatteur du mois est en fait une tchatteuse. Elle expérimente pour vous un nouveau moyen de locomotion, elle squatte son canapé assidument depuis bientôt 2 mois, elle est surtout la reine de la cascade (vous lavez peut être remarquée aux 24h du Mans), il s'agit bien sur de :
    Cricket
    Notre jeune Mancelle a développé une technique hors du commun dans le maniement des béquilles (option Kung Fu) et suite à une cascade un peu risquée (ou alcoolisée) se voit contrainte de squatter le tchat quasi non stop depuis fin avril. Heureusement pour les tchatteurs, sa bonne humeur est communicative !

    Ninoche


  8. Maïwenn
    Avis aux gourmands et gourmandes : une tablette de chocolat de 72 kg présenté à la foire d'Albi !!!!
    Un chocolatier a présenté une tablette de chocolat de 72 kg. Qui par la suite, a été brisée afin de faire déguster le chocolat aux passants.
    Michel Thomaso-Defos est chocolatier, et il lui aura fallu pas moins d'une semaine de travail pour réaliser cette tablette de chocolat. Elle a dû en faire baver plus d'un ! Selon des mesures officielles, la tablette est longue de 2,40 m pour une largeur de 1,20 m et d'un poids total de 72 kg. Et Jean Duvernet, collectionneur d'objets du quotidien hors-normes, et à l'initiative de cette tablette de chocolat, d'expliquer : « On vise le record de France dans un premier temps, et j'espère que nous pourrons aussi atteindre le record du monde. C'est un grand moment [...] Ce n'est pas tous les jours que l'on essaye d'établir un record en direct comme cela ». Dans quelques semaines, le Guinness des records validera ou non, de façon officielle, la tentative de record.
    Un enfant indonésien de deux ans fume quarante cigarettes par jour
    Une enquête a été lancée par les autorités indonésiennes sur les parents d'un petit garçon de deux ans, devenu accro à la cigarette. Et ce, après la diffusion d'une vidéo sur Internet le montrant en train de fumer une cigarette. L'enfant, prénommé Ardi, serait devenu dépendant au tabac à cause de son père, qui lui aurait donné une cigarette à l'âge de dix-huit mois, relate la presse indonésienne. Selon laquelle il en fumerait une quarantaine par jour. « Nous allons enquêter sur les parents et sur l'entourage de l'enfant. Leur comportement ne paraît pas favorable à son développement », indique un responsable du ministère de la Femme et de la Protection de l'enfance, Heru Kasidi.
    En avril, des associations de protection de l'enfance avaient déjà protesté contre la diffusion d'un court film montrant un garçon de quatre ans en train de fumer et de faire des gestes salaces, sous les encouragements d'adultes. Un avertissement avait été donné aux parents par les autorités.
    Record de vitesse pour une tondeuse à gazon
    Un Gallois a poussé une tondeuse à gazon jusqu'à 86 miles à l'heure. L'homme a battu ainsi le record du monde de vitesse pour une tondeuse à essence. Quelle idée !!!


    Tic-tac


  9. Maïwenn
    Dr House est un incompétent !


    Alors que j'étais dans ma cuisine, préparant une salade de tomates dont je tiens jalousement secret la recette de cette superbe vinaigrette de grand-mère que je venais d'apprendre il y a 10 minutes dans "Un diner presque parfait", je me taillai le doigt...
    - Aïe ! Merde ! Je me suis taillé. Il est trop pourri ce couteau ! (ou "Comment sauver sa face quand on ne sait pas couper une tomate...")
    Soudain ma femme accourt vers moi, se munit en passant d'une cuillère en bois, et m'enfonce le manche en travers, dans la bouche.
    - Vite, il ne faut pas que tu avales ta langue, j'ai vu le Dr Grey faire comme ça !
    J'aurai dû lui parler de ce qui va suivre avant...
    En effet, une étude canadienne démontre que les séries médicales américaines ont tendance à utiliser de mauvaises méthodes pour prendre en charge des patients en états de crise (Bon d'accord, se tailler le doigt n'est pas vraiment vraiment une crise, mais ça peut faire mal un peu quand même. C'est vrai, quoi...)
    Pour cette étude (dont le résultat, rendu public récemment, est disponible ici) la Dalhousie Medical School a visionné 280 heures d'émissions, soit 364 épisodes des séries Urgences, Grey's Anatomy, Dr House et Private Practice.
    Plusieurs spécialistes, notamment un épileptologue et un neurologue, ont analysé chaque scène où apparaissait un patient en état de crise et la manière dont les docteurs prenaient en charge la situation (soit 59 scènes).
    Il apparait que dans 46% des cas, la réponse est inappropriée. Elle semble juste dans seulement 29% des cas (le reste des cas étant jugé indéterminé dû à leurs brèves apparitions à l'écran).
    Le problème que soulève cette étude est celui de prendre pour argent comptant les méthodes de premiers soins qu'utilisent ces praticiens du petit écran. "Après tout, s'ils font ça dans la série, ça doit être vrai". Dans ce cas-là, pourquoi ne pas aussi essayer de mettre un collant bleu, une cape rouge et de se jeter du 8ème étage voir si on vole ?
    Quand bien même ces séries paraissent de plus en plus réalistes, elles n'en restent pas moins ce à quoi elles sont destinées à l'origine : des divertissements.
    Alors si l'envie vous prend de jouer les Dr House, n'oubliez pas avant tout de passer votre diplôme de premiers secours, seulement 27% des français sont formés aux gestes qui sauvent (chiffre Croix-Rouge française 2008)
    Et moi je vais aller m'acheter des bons couteaux !
    Naas
  10. Maïwenn
    Une sélection minutieuse des pensées de Marie-Pier Charron soigneusement choisies par Aliénor
    «Tu es toujours libre de changer didée et de choisir un avenir différent, ou un passé différent.»
    Richard Bach
    La seule façon qu'un événement passé peut nous affecter est à travers les pensées que l'on entretient maintenant. Il n'y a rien à l'extérieur, à côté, devant ou derrière ce moment... En fait et cela peut sembler étrange à première vue, car on présente rarement les choses ainsi , même les souvenirs les plus lointains sont des créatures du présent. Et ce qui est merveilleux avec le moment présent, c'est qu'on peut toujours en choisir un différent. ;-)
    «Le passé est un phare, non un port.»
    Proverbe russe
    Je le dis souvent, et je le répète encore une fois, pour vous comme pour moi: notre esprit peut difficilement concevoir un avenir très différent du passé. Il peut difficilement nous suivre en dehors de ce qui lui est familier. Ainsi, si une idée nous semble impossible, ce n'est certainement pas parce qu'elle lest vraiment, mais simplement parce que le sillon nest pas encore tracé. On na aucun point de référence dans ces territoires où on na encore jamais mis les pieds.
    Au début d'une nouvelle aventure ou dun nouveau cycle, il est tout à fait normal de se sentir un peu bizarre et de sattendre à ce que l'avion pique du nez. La clé est simplement de comprendre d'où vient notre réaction... et de l'accepter Au fil du temps, on en vient à s'y habituer. Et tôt ou tard, on commence même à aimer le sentiment d'inconfort qui nous habite avant les grands départs, car on ressent à travers lui la magie du voyage que l'on s'apprête à effectuer. Une magie qui dépassera tout ce que l'on peut imaginer.
    «La vie passe, rapide caravane! Arrête ta monture et cherche à être heureux.»
    Omar Khayyâm
    Bien sûr, personne n'aspire à être éternellement insatisfait. On se dit quon prendra le temps de respirer et dêtre en paix l'orsquon sera arrivé... Et on y croit. Mais on n'est jamais arrivé, bien sûr; où que l'on aboutisse, on cherche quelque chose de nouveau la minute quon y met le pied. Nous sommes donc nombreux à vivre continuellement en attente de quelque chose, en suspens à quelques centimètres de nos carottes du moment, mais incapables dy croquer à pleines dents. (Hmm, je devrais peut-être remplacer les carottes par un truc plus original ou appétissant... Des figues fraîches, peut-être?)
    Rappelons-nous une chose: au-delà de toutes les carottes (ou figues fraîches...) qui nous font vibrer, ce que l'on cherche par-dessus tout est le sentiment d'être profondément serein, connecté, rassasié. Voilà ce que l'on veut vraiment, en réalité. Et ce bien-être, il n'y a que le moment présent oui, CE moment présent qui peut nous le donner... Seulement en cessant de chercher pouvons-nous le trouver.
    Marie-Pier Charron
  11. Maïwenn
    Les codes de réduction des e-commerçants

    Le e-commerce ça marche !
    Les achats en ligne sont en plein boom. Selon les statistiques, 60% des internautes choisissent aujourd'hui de faire leurs achats sur la toile plutôt qu'en magasin.
    Si les e-commerçants ont choisi le bon filon, toutes les enseignes suivent désormais : électroménager, culture, mode... tout le monde s'y met.
    Je suis sûre que vous avez, vous aussi, cédé à la tentation de faire votre shopping confortablement installés dans le canapé plutôt que dans une boutique bondée !
    Le système des codes réduction
    Lorsque vous passez une commande en ligne, vous trouvez une case « code de réduction ». Ces codes sont des avantages que les e-commerçants offrent à leurs clients, pourcentage de réduction, frais de livraison gratuits, cadeaux, promotions...
    En vous inscrivant sur certains sites, vous en recevez par mail. Du marketing, certes, mais c'est parfois intéressant quand vous avez besoin de quelque chose ou envie de vous faire plaisir.
    Les sites spécialisés dans les codes réduction

    Certains sites se sont spécialisés dans la diffusion de codes de réduction, offerts par les e-commerçants, les mêmes que ceux envoyés par mail et présentés précédemment.
    Avant de passer une commande, allez donc faire un tour sur ces sites en tapant « bon de réduction + le nom du site », vous aurez un aperçu de ce qui peut vous intéresser.
    Prenons un exemple : un PC vendu 400€ + 20 € de frais de livraison sur le site X, semble moins cher qu'un PC vendu 410€ sur un site Y mais si vous obtenez la gratuité des frais de port sur le site Y...Cela change tout !
    Bien des sites jouent le jeu, de manière plus ou moins claire... À vous de trouver ceux qui le font, pour faire vos achats en ligne au meilleur prix.
    Quelques sites qui diffusent ces codes réduction

    Parmi les plus sérieux :
    www.bon-et-reduction.com
    www.ma-reduc.com
    www.mes-bons-plans.fr
    www.code-promotion.com
    www.radins.com
    CmoiC
  12. Maïwenn
    L'omelette



    Une très longue histoire d'amour
    Le mot omelette est issu du vieux français amelette qui signifie « préparation fine » (en latin lamella).
    Une longue histoire ? Et oui, car ce plat tout simple des dîners improvisés nous vient des romains. C'est à Lucullus que nous la devons, qui la faisait en version sucrée au miel.
    C'est également sucrée que Pantagruel le gourmand de François Rabelais s'en délectait en la nommant homelaicte.
    Les omelettes du monde
    Les français n'ont pas l'exclusivité de cette préparation. En effet, on trouve des omelettes dans bien d'autres pays, qui varient de noms et bien souvent de cuisson.
    Citons : la frittata en Italie, la tortilla espagnole, jusqu'au Japon où on l'appelle tamagoyaki.
    Mais qu'est ce donc en fait ?
    Une omelette est une préparation faite d'œufs battus et cuits à la poêle avec une noisette de beurre.
    Ensuite, selon les goûts, les cuisinières l'amélioreront avec du lait, de la crème fraiche ... et bien sur lardons, fromage, pommes de terre, tomates, ciboulette, oignons ... et j'en oublie beaucoup !
    Quelques conseils pour bien préparer une omelette





    On choisira les œufs de forme ovale plutôt que ronde. Ils doivent être battus à la fourchette, plutôt qu'au fouet, avec un mouvement régulier, jusqu'à la formation d'une belle mousse en surface.
    La poêle devra être bien chaude, le beurre fondu mais pas roussi.
    L'omelette doit être saisie (c'est le choc thermique entre l'omelette froide et la poêle chaude). Le feu peut ensuite être baissé, mais attention, pas trop, car la cuisson de l'omelette doit être rapide.
    Ensuite, c'est au goût du gourmand, baveuse, bien cuite, retournée ... Aussi personnel que la cuisson du steak.
    La recette du mois : l'omelette aux pommes
    Pour renouer avec la tradition qui voulait que l'omelette soit un plat sucré, voici une recette à essayer.
    Ingrédients :
    4 œufs
    3 pommes
    un peu de lait
    3 cuillères à café de sucre
    du beurre pour la poêle
    Épluchez et coupez en quartiers fins les pommes. Faites-les cuire dans le beurre. Elles doivent être tendres.
    Ensuite battez les œufs, ajoutez le lait, le sucre.
    Versez sur les œufs.



    Bon app' à tous.
    CmoiC
  13. Maïwenn
    Christian de Montaguère
    Bonjour,
    Je suis Benjamin, cuisinier à domicile à Paris mais aussi là où on me demande de faire des prestations (Montpellier, Marseille, Bordeaux, Houdan, …). Je sillonne les rues de notre belle capitale afin de trouver de nouveaux produits aux goût variés afin de concocter des plats raffinés pour ma clientèle.
    Lors de ma dernière ballade, je suis allé faire une réactualisation d’un de mes fournisseurs et ses nouveaux produits m'ont véritablement emballés. À tel point qu'il m'est impossible de résister à l'envie de vous les faire partager.
    À l’origine, avec ses 350 références, cette boutique est la plus grande cave de Rhum en France.
    Ouverte il y a environ 2 ans, ce n’est pas sans attendre que ses références ont évolué.
    À ce jour, cette maison s'est ouverte à de nouveaux horizons tels la gastronomie, les cadeaux, la décoration, le bien-être et l'art de vivre aux Caraïbes.
    Christian de Montaguère a le goût de la diversité ; sa boutique est spacieuse et vous y serez accueilli par une musique douce et traditionnelle.
    Passons maintenant à la variété de ses produits.
    Des Marinades RUB : Ail rôti, Zest de Citron, Coriandre et Piment
    (style de panure à déposer sur une viande ou un poisson avant sa cuisson)
    Des Vinaigres de Canne parfumés au Coco, Vanille, Carambole, Canne Cive, Canne Gingembre.
    Ces vinaigres sont parfaits pour le déglaçage d’un poisson et obtenir une jolie sauce.
    Des Vinaigrettes de Tamarin, de Guava, de Mangue, de Papaye, de Fruits de la Passion.
    Des Chutney surprenants :
    Mangue, Vinaigre de Cidre, gingembre
    Giraumon, Gingembre, Cannelle, Muscade
    Ananas, Vinaigre de Cannes, Cannelle
    Et surtout son Chutney de Banane (unique) au Vinaigre de Canne et Curry
    Egalement des confitures et des miels, mais là, je garde un peu de mystère concernant les parfums car je suis en train de tester mes marinades pour les barbecues/brochettes de mes clients.
    Lors du prochain numéro, je vous livrerai ces petits secrets avec grand plaisir.
    Des Chocolats aux ganaches surprenantes comme celle au Piment, au Corossol, au Letchi …
    Des Pâtes de Fruits moelleuses à la Pina Colada, à la Menthe tropicale ou encore Ananas …
    Des Fruits confits à la Pomme d’Arnocardier (fruit de la noix de cajou), Carambole, Molocca …
    Un peu en hauteur, on pourrait prendre ce flacon pour un mélange d’épices de cuisine, mais non c’est une préparation pour rhum arrangé à faire mariner pendant un mois.
    Le Cuba : Cacao, Vanille, Cannelle, Nigel, Citronnelle, Cardamome.
    Le Sexy Queen : Mangue et Citron Vert.
    Mais aussi, dans un registre totalement différent, des cosmétiques et des coquillages qui trouveront leur place dans votre salon ou salle de bain.
    Et lors du départ, si vous avez été sage avec notre hôte, il vous offrira un délicieux bonbon au rhum, dont le moelleux est à saisir.
    Une boutique surprenante qui saura titiller vos papilles et réveiller vos envies grâce à l’ouverture et au discours d’un vrai commerçant !
    Christian de Montaguère
    20, rue de l’Abbé Grégoire - 75006
    Tél : 09.5189.4055
    Mail : cdemontaguere@free.fr
    Ouvert le Lundi de 14h00 à 19h00 et du Mardi au Samedi de 11h00 à 19h00
    Métro : Sèvres Babylone (ligne 12) - Saint-Placide (ligne4)
    Benjjj
  14. Maïwenn
    Le groupe du mois : LiLiPUT




    Une comète suisse dans l'univers punk
    Dans le tiroir des classiques oubliés ou des vieux trésors enfouis, voici un groupe de filles, originaires de Zürich : LiLiPUT.
    Après la récente sortie d'un double CD/DVD live (23 mars 2010), c'est l'occasion rêvée de parler de ce groupe aujourd'hui méconnu, mais qui fut pourtant un groupe emblématique des débuts du punk rock, aux côtés des deux autres combos féminins anglais que sont The Slits et The Raincoats.



    Nous voilà donc au milieu des années 70, à l'heure où The Clash, les Sex Pistols et les Ramones (pour ne citer que ceux-là) prennent le pas sur le mouvement hippie. Le punk est né et ébouriffe toute la jeunesse de l'époque, parmi laquelle la guitariste Marlene Marder (saxophoniste à l'origine) et ses copines, qui décident de former un groupe, « pour le fun ».
    Elles se font d'abord connaître sous le nom de Kleenex, mais se voient contraintes de changer suite aux menaces de procès avec la marque du même nom. Mais bien avant d'être rebaptisé LiLiPUT, le combo féminin jouait déjà les trouble-fête depuis ses débuts en 1978, sur une scène punk essentiellement masculine.
    Bien que le public suisse, se limitant à quelques amis, reste timide, les Zürichoises savent très vite conquérir le reste de l'Europe (l'Angleterre notamment), à coups de riffs punk, de chants joyeux et vivaces, de son noisy et de paroles insensées.



    Leur premier EP (financé en partie grâce au soutien de leurs amis) tomba rapidement entre les mains d'un certain John Peel (pour ceux qui ne le connaîtraient pas, John Peel était un grand DJ et animateur radio britannique, véritable dénicheur de talents) qui fait alors tourner LiLiPUT en boucle sur BBC Radio 1.
    Repérées par le label Rough Trade, les quatre filles partent en tournée avec The Raincoats. Le succès ne se fait pas attendre et la presse britannique les surnomme déjà « The Swiss Slits » en référence au groupe punk The Slits, lui aussi entièrement féminin.
    Mais là naissent les premières difficultés pour LiLiPUT, qui voit partir sa chanteuse, puis sa bassiste et sa saxophoniste. Leurs singles cartonnent dans les charts anglais, mais le premier album intitulé « LiLiPUT », tarde à venir, essentiellement pour des raisons financières, et ne paraîtra dans les bacs qu'en 1982. S'ensuit une tournée couronnée de succès, mais le groupe est épuisé de ses incessants changements de line-up et ne publiera qu'un seul autre album, Some Songs, en 1983, année de séparation définitive des artistes de LiLiPUT.
    Pas de fin tragique pour ce groupe, les membres étant déjà fatigués de tourner, leur séparation s'est imposée comme une évidence, lorsque Astrid Spirit (chanteuse) est tombée enceinte.



    Malgré son succès incontestable, le temps a eu raison de LiLiPUT dont le nom a plus ou moins sombré dans l'oubli, sauf en Grande-Bretagne. Leur souvenir fut quelque peu ravivé en 2001, lorsque le label Kill Rock Stars a sorti un double album (voir la pochette ci-dessous) retraçant les cinq années d'existence du défunt groupe.


    Il n'en reste pas moins que LiLiPUT fut un groupe d'un autre genre, véritable pilier du post-punk. LiLiPUT ne chante pas « F*ck the system » mais « la, la, la », « di, di, di » ou « tong, tong, tong », se différenciant ainsi du punk rock au sens lourd. Le punk de LiLiPUT est joyeux, enjoué, fantaisiste et avant-gardiste, porté par des textes en semi-anglais (ou parfois en allemand ou en français) qui ne veulent pas dire grand-chose mais qu'on se plaît à entonner.


    Quelques extraits :

    http://www.youtube.com/watch?v=ueijWB74Xgs&feature=player_embedded



    http://www.youtube.com/watch?v=BB6M7kyUvnc&feature=player_embedded
  15. Maïwenn
    Film culte du mois : Trainspotting – Danny Boyle ( Film écossais, 1996 )
    Avec : Ewan McGregor / Jonny Lee Miller / Robert Carlyle / Ewen Bremner / Kevin McKidd / Kelly Macdonald / Peter Mullan / Shirley Henderson / James Cosmo / Eileen Nicholas /



    ntroduction du film :
    « Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvre-boîtes électroniques, choisir la santé, un faible taux de cholestérol et une bonne mutuelle, choisir les prêts à taux fixe, choisir son petit pavillon, choisir ses amis, choisir son survêt' et le sac qui va avec, choisir son canapé avec les deux fauteuils, le tout à crédit avec un choix de tissu de merde, choisir de bricoler le dimanche matin en s'interrogeant sur le sens de sa vie, choisir de s'affaler sur ce putain de canapé, et se lobotomiser aux jeux télé en se bourrant de McDo, choisir de pourrir à l'hospice et de finir en se pissant dessus dans la misère en réalisant qu'on fait honte aux enfants niqués de la tête qu'on a pondus pour qu'ils prennent le relais, choisir son avenir, choisir la vie.
    Pourquoi je ferais une chose pareille ? J'ai choisi de ne pas choisir la vie. J'ai choisi autre chose. Les raisons ? Y'a pas de raisons. On n'a pas besoin de raisons quand on a l'héroïne. »
    J'ai choisi, comme premier film pour étrenner cette rubrique, de vous parler de Trainspotting. Car il aura profondément marqué la plupart de ceux qui l'ont vu. Effectivement, il est difficile de sortir indemne de cette adaptation de Danny Boyle ( réalisateur entre autres de Petits meurtres entre amis, La Plage ou Slumdog Millionaire pour le plus récent ) adapté du roman éponyme de Irvine Welsch datant de 1993 ( ce dernier fait une apparition au début du film en jouant le rôle d'un dealer qui refile des suppositoires à l'opium ). Il faut savoir que ce film est le deuxième d'une trilogie traitant du manque d'argent, Bag Of Money Trilogy, et réunissant toujours la même équipe : John Hodge, scénariste, Andrew Macdonald, producteur, Ewan McGregor, acteur et donc Danny Boyle, réalisateur. Cette trilogie se compose de Petits meurtres entre amis (1994), Trainspotting (1996) donc et le moins connu, Une vie moins ordinaire (1997). Et ce tome II, deuxième plus gros succès du cinéma britannique, après Quatre mariages et un enterrement, nous plonge au cœur de l'univers glauque et tragique des drogués. D'où le nom du film ! Trainspotting désigne en anglais l'activité des amateurs de chemin de fer, collectionneurs et aficionados de locomotives et, plus généralement, est utilisé pour désigner une personne au loisir futile, coûteux, insignifiant, mais complètement obsessionnel. Dans ce cas précis : la drogue.
    Deux éléments essentiels à l'immersion totale du spectateur dans ce monde : la musique mais aussi le rythme. En effet, Danny Boyle a choisi de suivre le rythme de la conscience du monde extérieur par un drogué, commençant par une clairvoyance typique suivit d'une séquence très rapide, le reste du film alternant entre des scènes très lentes et des scènes au montage très « haché »symbolisant les moments de « descente », de « manque »ou de trip complet du personnage principal. La musique accompagnant tout cela est incontournable et, pour beaucoup, la B.O. de ce film fut acheté et écouté en C.D. (ben oui, pas trop de téléchargements encore à l'époque ^^ ) . Composée de morceaux d'Iggy Pop, tels le parfait et énergique Lust For Life ou l'envoûtant Nightclubbing, mais aussi de Blur, avec le planant Sing, Lou Reed, et son mélancolique et magistral Perfect Day ou bien encore le psychédélique Born Slippy d'Underworld, cette bande originale est, du début à la fin, totalement en adéquation avec le film et est, à mon sens, l'une des meilleures jamais composées. Pourtant tous ces morceaux existaient déjà avant.


    Les personnages de ce film sont, comme on peut dire, « haut en couleurs ». Il y a évidemment Renton, le personnage principal du film, interprété par Ewan Mac Gregor, que l'on a peine à reconnaître après Petits meurtres entre amis, et qui est une sorte d'antihéros qui à pris la décision d'arrêter de se droguer, mais qui ne peut s'empêcher de prendre sans arrêt « le dernier fix ». À noter aussi l'inénarrable Sick Boy, par Johnny Lee Miller, qui, lorsqu'il se pique, est capable de réciter par cœur la carrière de Sean Connery, Spud, joué par Ewan Bremmer, qui, lui, cumule malchance sur malchance, Begbie, magistralement interprété par Robert Carlyle, qui est un psychopathe complètement déjanté et capable de tout, et enfin la touche féminine de la bande : Alison, par Susan Wilder, mère d'un bébé alors qu'elle ne couche avec personne. Ces joyeux drilles se débattent dans le milieu hostile qu'est la banlieue d'Edimbourg avec plus ou moins de succès – le mot est faible –, de façon plus ou moins loyale, cette histoire représentant pour chacun un tournant de leur vie.
    Là où le pari du réalisateur semble avoir été gagné, malgré les nombreuses critiques acerbes qui suivront sa sortie, c'est qu'avec cette provocation outrancière qui règne tout au long de l'histoire, le film semble ne jamais prendre parti. Pas de dénonciation ou de morale bien propre, comme en sont coutumiers les films outre-Atlantique, Danny Boyle s'attache à décrire d'un œil neutre et plutôt froid les péripéties de ces drogués marginalisés. Il ne juge ni le milieu ni les personnages en eux-mêmes s'en pour autant faire un éloge à la drogue. Pour ceux qui l'ont vu, je dirais même que, d'un œil objectif, il arrive à nous montrer les ravages possibles de cette voie. J'avais lu une critique qui disait ceci : « La seule chose que l'on peut reprocher au film est son intelligence : c'est au spectateur de tirer ses propres conclusions, pas question de lui étaler une conclusion prémâchée à l'américaine... » Reprocher à un film son intelligence et son refus de céder au format américain, gageons que ce critique faisait de l'ironie !!
    En conclusion, je dirais que Trainspotting est évidemment un film culte (ce qui sera l'objet de cette rubrique, je pense que vous l'aurez compris), mais qu'il ne peut pas être visionné non plus par tout public. J'ai d'ailleurs cherché sur le net qu'elles furent les passages télé francophones de ce film et ai pu m'apercevoir que seules Arte et Canal+ l'avait diffusé. Quand on l'a vu, on comprend pourquoi !! Je conseille donc à tout les cinéphiles ayant raté le coche de se rattraper et de savourer le film-chef d'œuvre de Danny Boyle, ainsi qu'à tous ceux qui comme moi l'ont adoré de se le revisionner encore une fois (avec une bande de potes pour commenter, lorsqu'on l'a tous déjà vu, on passe encore un très bon moment !!).
    Ma note : 17/20




  16. Maïwenn
    Chapacha et Virgule.6 sont là pour répondre à toutes vos questions, sur tous les sujets!
    N'hésitez pas à leur écrire, elles feront une sélection des meilleurs courriers, ceux qui auront capté leur attention, et y répondront chaque mois sur le Webzine!
    Alors n'hésitez pas!
    Pour envoyer vos questions : ffrmag@gmail.com
    Courrier de Sagara San
    Bien le bonjour !
    D'abord, félicitations pour votre e-zine, c'est une bonne idée, j'espère qu'il vivra plus longtemps qu'un doryphore.
    Alors voila, bien que je n'attache que peu d'importance aux étoiles de mario dans Ffr, je me suis aperçu, en lisant des topics et autres, que certains forumeurs « s'amusaient » à « enlever » des étoiles par pure jalousie ; comme on sait que pour obtenir la dernière il faut trimer comme un âne à deux pattes ou subir une P.C., je trouve navrant ce genre de petit jeu. Pensez-vous qu'il soit possible, non pas d'interdire le vote négatif, mais si vote négatif il y a, qu'il soit explicite, c'est à dire que la personne laisse un commentaire expliquant son geste ?
    Merci de m'avoir lu.
    P.C. pour « Promotion canapé »
    Sagara San
    ------------------------------------------
    Bonjour !
    Tu sais Sagara, le doryphore vit quand même en moyenne deux ans, ce qui en soi est déjà pas mal !
    Le voleur d'étoiles a encore sévi !
    Qu'il se justifie !!
    Je suis assez d'accord avec toi, le vote négatif ne devrait pas être supprimé, il permet quand même au forumeur de constater sa cote de popularité !
    Mais comme tu le soulignes, ce vote négatif devrait être justifié !
    Pour ma part, j'accorde de l'importance à mon nombre d'étoiles !
    C'est un peu comme une légion d'honneur... je suis fière d'arborer mes 5 étoiles, c'est une marque de reconnaissance, d'intégration !
    Qu'en penses-tu, Chap ?
    Depuis peu, je suis orpheline d'une étoile !
    Je suis encore en plein travail de deuil !
    Je sais que le chemin sera long et tortueux pour regagner cette étoile !
    D'ailleurs, je fais appel à mes potes !!!
    Chap, c'est quand tu veux !!!
    Virgule.6
    ----------------------------------
    Cher Sagara
    Je me dois de prendre la contre-patte de Virgule. En effet, les étoiles ça se mérite. Comme dit mon idole, il faut travailler plus pour gagner plus . Les forumeurs ne sont pas tenus de justifier à qui ils attribuent ou non une prime de performance, c'est ça la démocratie.
    Je me vois donc dans l'obligation de te demander d'améliorer tes résultats. Par conséquent, si tu ne participes pas plus activement aux débats, avec liens et argumentaire solides, si tu ne cliques pas 100 fois par jour sur les pubs, nous prendrons les mesures nécessaires.
    À cet effet, un canapé neuf a été livré dans les locaux du webzine.
    Espérant t'avoir aidé...
    Chapacha
  17. Maïwenn
    En ce 21 avril; 17h31, heure où je tape ces infos, on ne sait toujours pas o en est la e-relation de Thedoors et Nana, ceux-ci on eut des hauts et beaucoup de e-bas dans leur e-amour, e-mariés uis e-infidélités, s'en est suivi un e-divorce. Dernièrement, ils auraient souhaiter re-prononcer leurs e-voeux.
    Ensuite, Tribality et Amberamber621 se sont loué un petit coin e-amoureux afin de savoir s'ils sont e-compatibles ou pas à vivre une e-relation durable...
    ~&va~
  18. Maïwenn
    L'interview
    Calme, posée, réfléchie, ses interventions sont toujours bien dosées, sans colère et sans jugement. Telle la touche meringuée d’une tarte citronnée, voyons ce qui se cache derrière les nervures à la sève sucrée de Feuille dans son interview !



    Bonjour Feuille, et merci d’avoir accepté cette interview.
    Merci à toi de me l'avoir proposée !
    Tout d’abord, pourrais-tu te présenter en quelques mots ?
    Je suis plutôt banale... Parisienne de 25 ans, maman d'un petit garçon qui aura – si tout va bien – une petite sœur ou un petit frère à la fin de l'année. J'ai arrêté de chercher du travail pour m'occuper de mon foyer. Du coup, j'ai aussi du temps pour traîner sur le forum, m'impliquer sur ma paroisse, faire du tricot et de la broderie.
    D’où te viens ce pseudo ? Feuille c’est commun et en même temps original !
    Mystère ! Il date de la première fois où je me suis inscrite sur un forum. Je voulais utiliser mon prénom, mais il était déjà pris... alors j'ai mis le premier « objet » qui m'est passé par la tête, il se trouve qu'il est en lien avec mon domaine d'études.
    Quelles sont tes passions ?
    J'aime le chant, la lecture, les travaux d'aiguille, la danse, les chapeaux et les chaussures... Je m'intéresse beaucoup à tout ce qui touche, de près ou de loin, à la science.
    Comment définirais-tu ta vie ?
    Une petite vie tranquille, routinière mais heureuse.
    Comment es-tu arrivée sur ForumFR ?
    Suite à la disparition du forum que je fréquentais – celui de laposte.net, d'où mon avatar – j'ai traîné à droite à gauche sur le net. Un des membres du forum fréquentant ForumFR, je me suis dit, après m'être posée un temps sur un forum de mamans, que j'allais voir si ça pouvait mieux me convenir.
    Te sens-tu plus libre pour t’exprimer sur un forum de discussions ?
    Plus libre qu'où ?
    Être derrière son écran, et pas en face de quelqu'un, ça rend sans doute plus décomplexé... Cela dit, ayant dans certains domaines des opinions qui sont loin de faire l'unanimité, je me sens obligée de prendre davantage de précautions que si j'étais à l'oral, pour éviter que la conversation ne s'enflamme.
    C'est peut-être aussi pour ça que j'ai l'air si « posée »: en vrai, j'aurais plutôt tendance à partir très vite...
    Et qu’est-ce qui te pousse à rester sur ForumFR ?
    La diversité des sujets abordés, la qualité des intervenants. La possibilité de discuter sur un sujet sans que cela finisse en noms d'oiseaux...
    Et qu’est-ce qui t’agace sans pour autant te faire partir?
    La mauvaise foi et le côté buté de certains membres sur certains sujets... Le fait, pour certains, de préférer la moquerie à l'argumentation. Dans ces cas là... parfois j'insiste un peu, mais en général, je préfère laisser tomber, ne plus répondre, parce que je sais que cela ne servirait qu'à m'énerver davantage, et ce n'est pas pour ça que je viens.
    D’où te viens cette patience et ce calme ?
    Le fait de passer par un clavier, de devoir passer par l'écrit, de se relire avant d'appuyer sur le bouton « ajouter mon message », oblige à se poser un minimum... à vérifier que ce que l'on a écrit n'est pas excessif, ne risque pas de faire déraper le sujet... et ce n'est pas plus mal. Le but d'un forum de discussions, c'est l'échange, le dialogue, pas le pugilat.
    Si un jour il t’arrivait de t’emporter telle une feuille ballotée par le vent, cela serait sur quel type de sujet ?
    Je crois que c'est déjà arrivé. Sans doute sur un sujet touchant, de près ou de loin, à la religion, si l'un des participants est de mauvaise foi, ou parle d'autorité en n'ayant visiblement aucune connaissance du sujet (et donc, présente des préjugés comme des faits). J'ai beau être rationnelle, je crois... et je n'aime pas qu'on tape sur ma religion pour de mauvaises raisons – quand on n'est pas d'accord, en se basant sur des faits objectifs, c'est autre chose !
    Quel est ton coup de cœur Forumien ?
    J'aurais envie de dire « tout le monde », mais ce ne serait pas vrai. Trop de monde pour que je puisse les citer tous et n'oublier personne !
    Et ton coup de colère ?
    Quelques-uns qui, sur un sujet, restent vissés sur leurs préjugés sans sembler se remettre en question – dans quelque domaine que ce soit... Cela dit, je peux être agacée par quelqu'un sur un sujet, et être en phase avec lui sur un autre. Une pensée également pour tous les élèves qui cherchent à ce qu'on fasse leurs exercices à leur place.
    Y- a-t-il certains sujets où tu t’imposes des limites ?
    Oui, ceux portant sur la religion. J'essaie d'une part de ne pas faire de prosélytisme, et d'autre part de ne pas m'enflammer.
    Un forumeur ou une forumeuse t’as-t-il déjà touchée profondément ?
    On me touche assez facilement... Il y a parfois des moments où je ne sais pas trop comment répondre à l'un ou à l'autre, et où j'ai simplement envie d'ouvrir grand les bras.
    Et s’il ne devait rester que trois rubriques sur ForumFR, lesquelles choisirais-tu ?
    Choix difficile ! D'autant plus que je navigue via le lien des « nouveaux messages » : je ne fais pas spécialement attention à la rubrique dans laquelle tel ou tel sujet se trouve...
    Quelle question aurais-tu aimé que je te pose et qu’y aurais-tu répondu ?
    Etant donné que j'avais envie de dire que, selon l'orthographe et la syntaxe des membres, je me fais une idée plus ou moins favorable d'eux, et qu'il n'y a pas de question à laquelle je peux répondre cela, peut-être : « Sur quoi te bases-tu pour te faire une idée des gens ? ». Cela dit, cela me permet juste de me faire une première idée sur la personne, au final le fond compte plus que la forme.
    Un petit message à faire passer ?
    Si on se souriait dans la rue au lieu de faire la tête en permanence, on irait certainement mieux.
    Et le mot de la fin ?
    Je peux faire un bisou à tout le monde ?
    Merci beaucoup Feuille, ce fut très enrichissant.
    Feuille et Calisthée
  19. Maïwenn
    Une nana abandonne sa burqa à poils
    Un scandale vient d’éclater dans le monde du virtuel. En effet, il semblerait qu’une nana ait abandonné sa burqa à poils...



    ..pour passer du côté bisounours en s’affichant avec des cœurs



    elon une source proche, elle serait maintenant partisante de l’association Brigitte Barjot contre le recyclage et l’exploitation des poils. La source ne nous dit pas où sont passés les poils de la boule…
    Ceci dit, nous ne savons toujours pas si c’est temporaire ou définitif, d’autant plus que lorsque l’on interroge la principale intéressée voici ce qu’elle nous répond « Un coup à gauche, un autre à droite et je change souvent de côté. » Quoique nous ne sommes plus vraiment certains de savoir de quoi elle parle à cet instant précis.
    Une enquête serait actuellement en cours et dirigée par le célèbre Inspecteur Harry afin de déterminer si Nana a été victime de chantage visant à échanger sa touffe de poils contre un passe-droit « membre + ». Malheureusement, la personne qui lui aurait fait subir le chantage (Bashi pour ne pas le citer) a disparu de la circulation emportant tout avec lui. Selon l’inspecteur, pour le moment tout ceci n’est qu’une supposition, En effet ils n’ont retrouvé que des morceaux de papier comportant les lettres O D I L (ah non ce n’est pas la même affaire, excusez-le), mais les lettres B A S H (toute une équipe a travaillé dessus).
    Poils destinés au marché noir ou bien destinés à se refaire une coupe d’été ? Il emportera à jamais son secret avec lui…
    Attention, ça va couper.
    Flashs de dernière minute :
    On nous annonce à l’instant que notre équipe de rédaction a retrouvé la boule de poils.


    On nous annonce également que Bashi serait revenu.
    Méloudidounou
  20. Maïwenn
    Le t'chatteur du mois est encore une t’chatteuse ! Inouï !
    Il s’agit d’arcanciella !
    Parce que je trouve qu'elle inspire confiance dès le premier abord...
    Elle est même attachante, et je pense qu'on peut vraiment lui parler si on a un souci...
    Elle semble être à l'écoute des autres, en somme.
    C'est, quelque part, l'arc en ciel du t'chat, j'ai envie de dire.
    Le forumeur du mois, sont en fait 4 ou même 6!
    Il s'agit tout d'abord d'Arwena et MrLau!
    Qui non sans une certaine émotion nous annoncent leur futur mariage! En juin 2011 pour être précis!
    Tout plein de bonheur aux futurs mariés, de l'amour, de la joie, et un futur petit ange (pourquoi pas) !
    Il s'agit donc aussi de Virginye (et traffic)!
    Qui nous annoncent une grossesse... double!
    En effet, le petit chat à bonnet couve en son petit bidon deux petits bébés! Jumeaux? jumelles? Suspense!
    Tout plein de bonheur aussi, si il va de soit que ce sera beaucoup de travail, ce sera aussi une immense joie multipliée par deux!
    Steph_ou
  21. Maïwenn
    Arrêté en état d'ivresse au volant d'une voiture Barbie
    Paul Hutton est un papa attentionné. Pour améliorer la tenue de route de la voiture barbie de son fils, il change les roues de son auto pour des pneus plus larges.
    Il tient absolument à tester en premier la voiture. Ce papa attentionné avait deux fois plus d'alcool dans le sang qu’autorisé par la loi anglaise.
    Le tribunal le condamne à une mise à l'épreuve de douze mois pour conduite en état d'ivresse. La voiture de Barbie a été confisquée par la police. Paul Hutton a tout de même admis, être « un idiot complet ». Ça c’est dit !!!
    Tic-tac
  22. Maïwenn
    Laissez exploser votre sensualité !
    Quelle femme ne rêve pas de se faire remarquer... par sa beauté, son charme, son intelligence ? La sensualité se retrouve dans toutes ces qualités, laissez donc exploser la vôtre !
    Aimer l'amour, la sensualité, la séduction, les caresses, le rire et séduire avec humour sans timidité communiquer avec romantisme et sensualité est la base et les fondements du bonheur.
    Mais commençons par une définition plus terre à terre.
    La sensualité est l'attachement aux plaisirs des sens. Il désigne aussi l'attribut, la qualité, l'acte, l'effet ou l'état de ce qui est sensuel. Ce dernier n'est pas obligatoirement lié à la sexualité ou à l'attirance sexuelle.
    De ce fait la sensualité signifie tout ce qui a rapport avec toutes formes de sensation causées par les cinq sens (audition, vue, odeur, goût, contact).



    « Elle joue de son regard sans se soucier de celui des autres. Ses paroles sont parcimonieuses mais font toujours mouches, sans jamais blesser ni flatter. Quoi qu'elle porte comme vêtement, c'est son corps qui l'habille réellement, et chacun de ses mouvements est une ode à la féminité. Elle n'est ni belle, ni laide, elle est, et elle le sait, c'est ce qui la rend si éblouissante et si forte, sa manière d'être femme. »
    Joliment apprêtée, un brin sophistiquée...
    En toutes circonstances, au supermarché comme en soirée, faites-vous belle ! Coiffure, bijoux, vêtements, sous vêtements, chaussures, tout doit être calculé au millimètre près. Pour les sorties le soir, pour les réunions d'affaires, n'ayez jamais peur d'en faire trop : talons hauts, décolleté, rouge à lèvres, parfum et tout le reste ! Soyez féminine et sexy sans être vulgaire, un brin sophistiquée !
    Démarche et gestes lents...
    Une femme sensuelle bouge, marche, danse... mais jamais de façon brutale ou nerveuse. Elle contrôle son corps sans que cela se voit, tout doit paraître et devenir naturel. Pensez alors à effectuer des gestes lents et harmonieux, vous devez être la grâce personnifiée. Balancez quelque peu des hanches et le tour sera joué !
    « Il faut savoir prendre son temps, ralentir, suivre ses instincts et goûter la sensualité au quotidien. C'est l'essence même de la vérité. Calvin Klein »
    Parlez, souriez, riez...
    Une femme sensuelle est une femme vivante avant tout ! Soyez positive et pas dépressive, souriez, rayonnez, illuminez... Voyez le plus souvent possible la vie du bon côté, et amusez-vous autant que vous le pouvez. N'hésitez pas non plus à sourire aux gens, un sourire entraîne généralement un autre sourire.



    Jetez des regards mystérieux mais appuyés..
    Le regard a son importance... car une femme sensuelle est souvent une femme qui apparaît comme sûre d'elle et de son pouvoir de séduction. Ainsi, n'ayez crainte de regarder les gens dans les yeux, d'insister, puis de vous détourner pour laissez planer le mystère.
    « La sensualité, c'est la mobilisation maximale des sens : on observe l'autre intensément et on écoute ses moindres bruits. Milan Kundera »
    Il faut savoir que la sensualité dépend beaucoup de la confiance en soi. La sensualité faisant appel à la mise en valeur de votre personne, il vous faut donc bien vous connaître et avoir confiance en vos atouts de femme. La sensualité, ça se travaille ! Vous pouvez, vous aussi, laisser émaner de vous ce charme incandescent qui fait chavirer les hommes ! À vous de jouer !



    Sensualité,
    Déjà, rien que le mot est une caresse, a fleur de peau,
    qui vous fait vibrer,
    Pourtant, nul besoin de toucher, c est si beau,
    Rien qu’imaginer,
    Sensualité,
    Dualité entre caresse et ivresse,
    Mais qui donc va l’emporter,
    Le besoin de caresses ou l’envie de cet échange de tendresse,
    Qu’ importe, c est l’essence même de la sensualité.
    Sensualité,
    Un souffle qui parcourt le corps,
    Une envolée de caresses,
    L envie de dire encore,
    Et de se laisser emporter par la liesse.
    Sensualité,
    Le galbe d’un sein qu’on imagine,
    Un corps que l’on fantasme, que l’on désire,
    L’excitation qui se devine,
    Avec ardeur, avec langueur, avec plaisir.
    Sensualité,
    Sentiments mitigés,
    Un besoin de se rapprocher, de se toucher,
    Mais on ne le fera pas, car sinon, envolée la sensualité,
    Ainsi que la magie de ce moment de volupté.
    Nostressssss
  23. Maïwenn
    Une sélection minutieuse des pensées de Marie-Pier Charron soigneusement choisies par Aliénor
    «Si tout le monde n’est pas beau, alors personne ne l’est.» Andy Warhol

    Personnellement, je ne suis pas intéressée à me trouver belle parce que j’ai de beaux cheveux ou de beaux yeux – tout comme je ne suis pas intéressée à trouver les gens beaux seulement parce qu’ils ont un corps bien proportionné ou des traits harmonieux. Et si je m’aime, ou si j’aime les autres, je ne veux pas que ce soit parce que je suis ou parce qu’ils sont drôles, intelligents ou généreux... Je ne suis pas intéressée à aimer «parce que», en fin de compte. C’est trop petit, trop peu ; il me semble que nous méritons mieux.
    Ce qui me fait vibrer et ce que je cherche à cultiver, c’est d’aimer pour aimer... De chérir à la fois tout et rien en particulier. Car l’amour inconditionnel, ce n’est pas d’aimer malgré les défauts... C’est d’aimer à un niveau qui transcende la notion de défauts et de qualités. C’est juste de laisser l’amour nous habiter, parce qu’il goûte ridiculement bon et parce qu’on refuse obstinément d’utiliser les circonstances extérieures comme prétexte pour se le refuser.
    Marie-Pier Charron

  24. Maïwenn
    L'artiste du mois : Daniela Edburg


    Un monde kitsch
    Un humour coloré, décalé, sucré, et empreint de féminité. Voilà ce qui qualifie principalement l’œuvre de Daniela Edburg, photographe mexicaine, née en 1975 aux Etats-Unis.
    La jeune femme possède un univers bien à elle, ultra-kitsch, drôle et haut en couleur, même si la mort, qu’elle trouve très séduisante, reste son thème de prédilection.
    Son idée de départ ? Faire des remakes de ses peintures préférées. Daniela Edburg reconnaît par exemple que c’est le célèbre tableau La Mort de Marat peint par Jacques Louis David qui lui a inspiré Death By Shampoo. <br style="mso-special-character:line-break">


    Mais ses références vont encore bien au-delà de la peinture. Ses photographies (et notamment la série Drop Dead Gorgeous) sont emplies de références cinématographiques, comme en témoignent Death by Bananas, clin d’œil évident à Hitchcock et ses oiseaux, ou bien Death by Cotton Candy dont la tornade de barbe à papa lui a été inspirée par celle du Magicien d’Oz.











    Daniela Edburg a le sens du détail et de la mise en scène. Elle prend tout ce qui lui tombe sous la main (en se basant notamment sur une palette de couleurs particulière) pour créer un univers propre à chacun de ses personnages. Personnages qui sont très majoritairement de sexe féminin, des amies pour la plupart puisque la photographe ne travaille jamais avec des modèles professionnels.
    Le shooting peut ensuite prendre place n’importe où, que ce soit dehors, chez un ami ou même chez sa grand-mère.
    Dans sa série la plus connue, Drop Dead Gorgeous, Daniela Edburg met en scène de belles jeunes femmes, tuées par... du Nutella, des biscuits Oreos, un sèche-cheveux, du café, de la barbe à papa, une boîte de Slim Fast, un grille-pain, des M&M’s, des gâteaux ou encore de la cire d’épilation, le tout dans un décor aux couleurs vives et féminines, et à l’allure parfois rétro, le but étant de donner un côté glamour et kitsch à une scène cadavérique.











    Pourtant, ce ne sont nullement la nourriture ou les produits de beauté qui sont visés mais plutôt la relation, d’abord d’amour puis de haine, que les femmes entretiennent avec ces produits. Car Daniela Edburg le sait, quelle femme serait capable de résister à l’appel désespéré d’un pot de Nutella qui ne demande qu’à être englouti à la cuillère ? (Non Mesdames, n’essayez pas de nier, le chocolat est notre péché mignon à toutes…)
    Mais il y a le revers de la médaille car une fois passé le plaisir de s’empiffrer, il reste un affreux mal de ventre et le regret d’avoir mangé telle une ogresse, le regret d’avoir cédé à la tentation offerte par tant de bonnes et belles choses.
    Cependant, la photographe refuse de considérer son travail comme une critique de la publicité ou de la société de consommation, bien que ce soit ainsi que beaucoup l’interprètent. Elle considère plutôt ses œuvres comme une exagération de sa propre réalité.
    En plus de la mort et de la consommation, Daniela Edburg s’intéresse également à la bombe atomique et au tricot dans sa série Killing Time.


    Je vous invite à aller faire un tour sur le site de cette artiste, Mon lien, où vous pouvez retrouver l’intégralité des séries Drop Dead Gorgeous et Killing Time, mais aussi une troisième série intitulée The Remains Of The Day.
    Rousskaia




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  25. Maïwenn
    CROQUE MONSIEUR CREME FRAICHE GRUYERE


    Temps de cuisson : 10min.
    Temps de préparation : 5 min.
    Les ingrédients :
    - Pain de mie
    - gruyère
    - crème fraiche
    - jambon (une tranche pour deux croques)
    Les ustensiles :
    - un plat allant au four
    - un bol
    - 1 cuillère
    C'est parti:
    - préchauffez votre four à la puissance maxi ou en mode grill
    - couper vos tranches de jambon en deux
    - dans un bol, mettre quelques cuillères de crème fraiche et mélangez le tout avec du gruyère
    - enduire la tranche de pain de mie qui sert de base à chaque croque de ce mélange crème/gruyère
    - mettre une demi tranche de jambon sur chaque tranche de pain de mie enduite
    - découpez ce qui dépasse et compléter s'il y a des trous
    - mettre un peu du mélange crème/ gruyère sur le jambon
    - mettre les tranches de pain de mie restantes pour refermer vos croques
    Vous pouvez remettre un peu de gruyère sur le dessus si vous le souhaitez.
    - Enfournez environ 10 minutes
    Servez avec une salade verte, c'est rapide et très bon.
    Meloudidounou


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