Apator

Il faudrait penser à les châtier sévèrement.

C'est un faux raisonnement. Quand c'est négligeable... c'est négligeable. En fait ça veut dire que comparé à une autre activité NON négligeable, s'attaquer à cette activité négligeable ne produit pas d'effet même mesurable. Par exemple : https://www.tf1info.fr/environnement-ecologie/sobriete-energetique-supprimer-ses-mails-spams-est-il-reellement-un-geste-ecologique-2231811.html

Et d'ailleurs si on a une canicule; qui est un phénomène MÉTÉO, ce n'est pas à cause d'une élévation de la température globale, mais à cause des paramètres MÉTÉO. Donc par exemple diminution de la couverture nuageuse le jour et présence de nuages la nuit. Quand on dit il fait beau on a du soleil aujourd'hui, il n'y a aucun rapport avec le Soleil en fait. . Non, ON VOIT le Soleil ou pas, du fait de la couverture NUAGEUSE. La météo, c'est une question de nuages à la base. Qu'une augmentation de la température globale puisse avoir un effet sur l'intensité locale de phénomènes météo, certes, mais je crois qu'on a tendance à oublier que c'est de l'oscillation dont il est question. C'est à dire que s'il y a plus d'énergie (vu une petite augmentation de température), on va avoir des oscillations MÉTÉO, plus importantes.... dans un sens COMME DANS L'AUTRE. Ce n'est pas juste une histoire de chaleur, c'est aussi plus d'épisodes de froid, de cyclones, de tempêtes, etc. Un cyclone contrairement aux canicules... ça rafraichit les idées. On notera également que l'effet dû à l'absence de couverture végétale et l'absence d'irrigation, joue localement beaucoup plus sur cet effet caniculaire qu'une éventuelle variation globale de température et même météo. Donc au lieu de se plaindre bêtement, on devrait faire le nécessaire de ce côté, et non pas faire comme dans les pays du tiers monde où on attend passivement que la nature s'occupe de notre bien-être.

Et d'ailleurs la signification de canicule c'est pas petit canular des fois ?

Faut être con aussi pour laisser des animaux en liberté autours d'une plaque de cuisson. Même verrouillée le hasard peut faire des miracles. Perso, avec un animal dans la cuisine, je débranche toujours l'engin. En tous cas, je trouve le titre injuste, c'est plus probablement un coup en bande désorganisée.

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J'attends de voir.

Mais si la Terre s'éloigne du Soleil dans le même temps... ? On ne sait pas en fait. https://www.tf1info.fr/sciences-et-innovation/espace-une-planete-courant-vers-sa-perte-donne-un-apercu-possible-de-la-fin-de-la-terre-2242485.html

Non puisque la perte d'un être cher produit une douleur psychique, mais n'est pas en rapport avec une douleur physique pouvant survenir. En fait, pour ce que je comprends de la douleur, la douleur est la manifestation d'un changement physiologique "trop rapide" (selon certains critères et ces critères peuvent être changés) pour être compensé ou impossible à compenser (le mental étant d'ordre physiologique selon cette conception) La première respiration du nouveau-né est une douleur. https://www.geneve.ch/themes/culture/bibliotheques/interroge/reponses/un-bebe-pleure-t-il-et-crie-t-il-la-naissance

Sur ce, je vous souhaite une masturbation intellectuelle.

C'est le genre de speech qui fait bien marrer. Je vous le traduit pour ceux qui n'ont pas encore acheté le dico mytho/français : "Au début on avait peur qu'on ait à baisser notre production pétrolière, mais on a vite compris que le discours ne s'adressait qu'aux gogos, qu'on n'aurait rien à changer, et que personne ne poserait de questions concernant nos petites affaires. Jamais on n'a produit autant de pétrole que depuis la découverte du fameux réchauffement climatique." Pour ceux qui en doutent, voir le graphique ici : https://www.challenges.fr/entreprise/energie/energie-pourquoi-le-petrole-bon-marche-n-est-pas-pour-demain_593007

Mais rassurez vous, c'est comme le marathonien ou le leveur de poids, tout le monde n'est pas fait pour penser.

Je ne sais pas ce qu'est une douleur "morale". Par contre la douleur psychique, est une douleur qui part du système nerveux central et même plus précisément du cerveau. C'est toujours physique, d'une certaine manière, mais ce n'est pas lié à une atteinte sur "des capteurs spécialisés dans la douleur" (les nocicepteurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Nocicepteur ) Par exemple un alcoolique pourra ressentir une véritable douleur psychique lorsqu'il se retrouve en manque. Il n'y a pas véritablement de capteurs spécialisé dans le manque, c'est diffus, généralisé. Cette douleur est d'ailleurs le premier signe de la maladie alcoolique. Cette "peine" que l'on peut ressentir alors qu'il n'y aurait aucune raison à cela. Si la personne a de bonnes raisons (sociales) pour éprouver de la peine, elle ne se rendra pas compte de l'incongruité de cette "douleur" et si elle consomme de l'alcool à ce moment précis.... Couic c'est le renforcement ! Comme mon père (qui a été alcoolique et plus tard alcoologue) me l'avait fait comprendre "le piège à loup se referme sans qu'on ne s'en rende compte".

M'en fout, je ne bois pas d'eau distillée.

La convention qui consiste à associer des critères est une interprétation. Cette interprétation étant (mais les critères, peut-être l'avez-vous déjà remarqué...sont en train de changer dans la société) considérée comment étant celle qui doit être mise en œuvre, pour des raisons tout autant arbitraires qu'historiques, on peut parler "de fait". Mais justement, puisque vous abordez le sujet de cette manière (je trouve la convention "du fait" des couleurs plus simple, mais soit) quels sont finalement vos critères indubitables permettant d'acter le fait "il s'agit d'une femme" ?

Vu que c'est ce que je m'échine à essayer de faire comprendre... TOUT n'est qu'interprétation et ce qu'on considère comme un fait n'est qu'une convention... je ne vois pas en quoi vos propos contrediraient les miens.

D'accord mais à part la blague vous avez compris votre erreur ou pas ?

Vous voulez dire que si on n'est pas humain on est "affecté" par un "trouble" des couleurs ? Donc "on" ne serait pas objectif ? Pauvres de nous, oiseaux, poissons et tous les autres avec leurs misérables 4,5, 100... types de cônes. Pas explicitement, mais vous l'avez dit.

Ah d'accord. Il y a des gens normaux et des gens pas normaux... c'est un autre fait j'imagine. Après, on passera sous silence l'ensemble des êtres vivants, connus ou inconnus, ayant chacun leur propre perception des couleurs, tous anormaux évidemment.

En fait si on prend juste 1 et 2 sans se poser de questions linguistique, on voit que la conclusion de 1 sert de prémisse permettant de dire l'inverse de la prémisse initiale (plus il y a de gruyère), donc forcément erreur.

Moi ce que j'ai toujours trouvé énervant avec les énoncés mathématiques, par exemple un ensemble d'équations ou d'équivalences et même au sein d'une expression algébrique, c'est qu'on donne l'impression qu'on fait les choses de manière séquentielle alors qu'il faut tout considérer comme se réalisant d'un seul tenant, "en même temps". Du coup je ne suis même pas sûr que beaucoup de personne aient jamais compris la manière dont il faut considérer les suites.

"Qui" ne peut pas le contester ? Le daltonien ?

Apparemment les tourtereaux sont partis en voyage de noce.

Sans être spécialiste, il me semble, et on me reprendra si nécessaire, que ceux qui croient écouter du vinyle "pur" se font avoir aussi. Il fut une époque ... oui ça date, où le disque vinyle était gravé "à l'écoute", cad AU MOMENT où les sons censés se retrouver sur le support étaient émis, sur un disque en cire je crois, à vérifier. Mais évidemment, c'est fastidieux. Est ensuite venu la bande magnétique, qui a permis d'enregistrer plus facilement le son. ... et c'est depuis ce support que l'on grave le disque... en fait. Donc : son --> bande magnétique --> disque vinyle Je pense que la qualité de la bande magnétique (question d'inertie mécanique etc) est meilleure que la qualité du disque vinyle "ancestral" (elle vieillit moins bien par contre, mais c'est un autre sujet)

Il n'y a aucun ennui. Un fait est un fait, mais on peut se compliquer la vie en croyant qu'un fait serait différent d'une interprétation.