

Témoudjine
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Tout ce qui a été posté par Témoudjine
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Ce que tu réponds à un mec qui va se faire hospitaliser en établissement psychiatrique, et qui le redoute, est une stupidité. Il est déjà extrêmement anxieux, et toi, tu lui en rajoutes une couche. En outre, c’est pour dire des bêtises. Tu n’as pas compris qu’en matière de médecine, il y a deux filières nettement distinctes. Les hôpitaux, qui font de la médecine, et les cliniques privées qui elles, font de l’argent. Quelle que soit la pathologie, si tu te fais hospitaliser en établissement privé et que ton cas s’aggrave et devienne sérieux que va faire la clinique privée ? Elle va directement t’envoyer te faire véritablement soigner à l’hôpital. Ou au CHU le plus proche si le cas est sévère. Autre bêtise ; tu trouveras encore plus de possibilité de places disponibles en hospitalisation libre dans les hôpitaux psychiatriques, que dans le secteur privé. Et tu y seras mieux soigné. En outre, l’on ne te présenteras pas une nouvelle facture chaque jour sous n’importe quel prétexte. Mais si tu as suffisamment d'argent pour le balancer par la fenêtre, pour être plus mal soigné, ne te gênes pas.
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Il ne faut pas t’inquiéter outre mesure. Un hôpital psychiatrique est d’abord un hôpital. Et nos établissements, quels qu’ils soient, sont gérés par des personnels compétents et qui se préoccupent réellement de la qualité du séjour des patients. C’est un mauvais moment à passer, mais cela ira beaucoup mieux bientôt. Leur intérêt est que tu les quittes bientôt. Ils courent après les places disponibles. Pour ne pas te faire trop de mouron, prends l’habitude de te conformer aux règles du service dans lequel tu vas être hébergé. Et à son personnel. Dans un hôpital, pour être tranquille, il suffit de se conformer aux codes de l’hôpital et du service. Et ne t’inquiète pas ! Tout va bien se passer.
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Phylou l’a écrit en termes plus diplomatiques que les miens, mais le sens en est le même. Ton texte pour l’essentiel est bâti sur des erreurs grossières de sémantique et de nombreuses contradictions. Au hasard, parce qu’il y a le choix. Tu dis : - « J'aimerais parler d'un respect empathique ». Le respect, s’il n’est pas hypocrite, est un est un sentiment inconscient qui amène un individu à en traiter un autre avec des égards. L’empathie c’est un sentiment tout aussi inconscient, mais qui, lui, amène une personne à se mettre à la place d’une autre et de ressentir ce qu’il ressent. Le respect est lié à ce que l’on sait de son interlocuteur. L’empathie à être atteint si l’autre l’est. Ce n’est pas la même chose. Comment un respect pourrait-il être empathique ? Ou l’inverse ? Cela ne veut rien dire. Une autre assez plaisante : Tu dis : - « Mais tout de même, je pars avec certain capital empathie ». Ce qui signifierai que ton empathie est étalonnée. Que tu en éprouves tant que la barre est à un niveau déterminé. Mais que tu n’en as plus en dessous, ou en dessus, de ce niveau. En fonction de quels critères estimes-tu que tu es au niveau auquel ton empathie s’exerce ou ne s’exerce pas ? En dessous, ou au- dessus, de quel niveau ? Comment choisis-tu ? En fonction de quels éléments ? Tu continues la même phrase par : - « Effectivement, de ce fait, je me suis fait l'avocat du diable de façon assez récurrente » Se faire l’avocat du diable a un sens très précis qui ne convient pas du tout ici. Il induit un comportement de l’individu qui est exactement le contraire du sens que tu lui donnes là. Se faire l’avocat du diable ne peut pas s’accorder avec une empathie éprouvée envers l’individu qui est censé être concerne par le fait. Parce qu’elle l’amène à répondre à des questions, ou à le supposer coupable d’un fait, en présumant et supposant qu’il est coupable. Même si l’expression est exprimée dans un sens louable d‘aider éventuellement un individu à préparer sa défense. Une petite dernière sinon l’on passerait la plupart des phrases. Tu dis : - « La sympathie, c'est tout autre chose qu'une propriété physiologique ». Pas du tout. Elle est précisément une propriété physiologique. Elle est un mouvement naturel et instinctif qui porte vers l’autre. Elle dépend donc d’une réaction tout à naturelle et donc physiologique. Tu continues par : - « La sympathie est dogmatique, une application déontologique. Tu devrais sans doute commencer par chercher le sens du mot « dogmatique » et celui du mot « déontologique ». Dans le cas présent cela ne veut rien. La sympathie ne peut pas être dogmatique puisqu’elle est un mouvement naturel et instinctif vers autrui. Elle ne peut pas résulter d’un dogme. Ou encore et après j’arrête : - « On est sciemment et délibérément sympathique, en vertu de la réalisation d'un idéal... c'est une attitude éthique » Avec mes excuses, camarade, mais ici cela ne veut absolument rien dire. L’on ne peut être sympathique qu’aux yeux d’un autre. C’est donc la réaction physiologique de l’autre qui déterminera si tu es sympathique ou non à ses yeux. Et pas sciemment et délibérément de ta part. Quant à l’attitude éthique qui intervient là, l’on se demande pourquoi. L’éthique est ce qui concerne les considérations morales, instinctives ou codifiées, d’un acte ou d’une attitude. Qu’à à voir l’éthique avec l’empathie et la sympathie ? Si le texte de ton intervention vient réellement de toi, tu as dû y consacrer du temps et de la réflexion. C’est excellent pour les neurones, quel qu’en soit le résultat. Le problème étant que tu confonds des notions très différentes les unes des autres Mais cela c’est perfectible. Continues ! Mais S’il ressort d’extraits d’IA remaniés par toi, change d’IA.
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Sans blague ! Qu’avons-nous payé aux américains en échange de leur intervention durant la WW 2 ? Renseigne-toi un peu sur les conditions économiques dans lesquelles vivaient la France à la sortie de la guerre. Ne n’est que grâce à l’aide économique, industrielle et financière des USA que nous avons pu redresser et restaurer l’économie du pays. Les américains nous ont-ils demandé de rembourser le plan Marshall de 1947 ? Sans lui il est vraisemblable que les agriculteurs français n’auraient pas encore de tracteurs pour empoisonner nos campagnes. Ils en seraient encore aux cheveaux de trait. Sans les subsides américains, la France d’aujourd’hui serait un pays du Tiers Monde. l Et je n’évoque même pas les sommes fabuleuses que les américains ont dépensées pour que les bébés français ne parlent pas l’allemand dans les crèches.
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En bref tu dis strictement n’importe quoi, sans être capable même d’expliquer ce que tu as dit ou voulu dire. D’ailleurs il est évident que tu ne voulais rien dire, mais simplement aligner des mots en t’imaginant que les lecteurs potentiels trouveraient que c’est profond parce qu’ils n’y comprendraient rien. En bref, tu nous prends pour des débiles et pour des cons.
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Je ne suis sans doute pas très intelligent. Mais pour que je comprenne, explique-moi ce que tu veux dire par : - « Tout se paiera par les étoiles ». Par la même occasion explique moi également ce que signifie : - « Dommage que vos préjugés vous empêchent de palper ». Que devrais-je palper ? En argot du siècle dernier cela aurait signifié toucher de l’argent. Mais je n’en attends pas d’un « niveau de conscience », quel qu’il soit. Ou si tu évoques une jolie femme. Même d’ailleurs une pas jolie. Une fois la lumière éteinte, la différence entre les deux est très relative. Dans ce cas, je me ferai effectivement un plaisir de palper. Je crois, humblement, n’être pas trop maladroit dans cette activité « palpeuse ». Voire linguale. J’ai entendu dire qu’il y a des dames qui ne dédaignent pas cet aspect des activités buccales pratiquées par des coquinous. Voire même par des coquinettes. Ce qui est plus logique. Je me demande si tu crois réellement que ce que tu écris a un sens. Ou si tu alignes des mots en feignant de croire que tes phrases ont un sens ésotérique. Ou parce qu’ils satisfont ton sens « poétique » et que leur alignement est intéressant. Ou parce que tu penses que nous sommes suffisamment cons pour nous esbaudir devant des phrases qui ne satisfont rien, sinon tes phantasmes ésotériques et « poétiques ». Si tu prends cela pour de la poésie, dis-le carrément. Tu ne serais pas le premier à t’illustrer de cette manière.
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À la question posée : « qui étaient vraiment les druides », la réponse sur le plan historique est simple : - « Nous n’en savons strictement rien » ! Que la revue « Le Monde des Religions » tienne pourtant à délayer le peu que nous en connaissions est normal. Certains, dont les gens qui réalisent cette revue, ont fait de cette question leur fond de commerce. C’est devenu un marronnier pour les revues pseudo-historiques et les sites fantaisistes de la même eau. Les druides étaient présents dans le monde gaulois, peuple composé d’un mélange de rescapés d’Hallstatt et de la Tène, mêlés à des peuples étrangers venus d’Europe Centrale. Ni les Celtes ni les Gaulois ne bâtissaient en pierres, mais seulement en bois et en terre. En outre, ils ne pratiquaient pas l’écriture, à des périodes où différentes écritures existaient depuis au moins, en gros, quatre mille ans. D’où la particularité de n’avoir laissé aucune trace matérielle de leur passage. Et à part César et sa « Guerre des Gaules », l’on ne sait strictement rien des celtes et des gaulois, part quelques armes et bijoux, ou le Cratère de Vix. Et la Guerre des Gaules a été écrite dans des conditions telles que sur le plan de la vérité historique, les historiens émettent quelques réserves sur nombre de points. En réalité l’on ne sait rien de ce qu’étaient réellement les Druides. Pas davantage de leur religion. Ce sont des archéologues et des chercheurs principalement allemands, qui ont imaginé ce que l’on croit être leurs caractéristiques ethniques au XIX° siècle. Mais qui ne provient pour l’essentiel que de leur imagination. Les Celtes de l’époque, les gaulois, n’avaient pas de religion spécifique. Chaque groupe, chaque peuple, avait son ou ses propres dieux. Et les romains qui ont dirigé la Gaule durant les cinq siècles suivants, n’y ont jamais touché. Comment les gauloiis auraient-ils pu avoir une classe sacerdotale s’intéressant aux sciences, les druides, alors qu’ils n’avaient pas de religion commune ? Mais une myriade de dieux ? Que les druides aient existé par endroit et par moment, est une certitude. Qu’ils aient généré une caste sacerdotale, n’est que la déduction qu’en on tirés, il y a plus d’un siècle, des archéologues dont les moyens de travail étaient de leur époque. Mais les historiens d’aujourd’hui commencent à avoir une idée plus « historique » ce qu’il en est. Les druides d’aujourd’hui ne sont que des personnes rémunérées par des associations touristiques surfant sur la mode du retour à la nature. Ou des petits futés qui s’amusent à se déguiser en druides d’opérette. Mais chacun prend son plaisir où il le trouve. Bis repetita placent : que sait-on des druides ? Rien !
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Le « niveau de conscience », c’est le cache sexe de toutes les sectes et églises fantaisistes dont l’activité majeure est d’entuber les semi-débiles qui les écoutent.
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Il n’y a pas que « auteure » ou « autrice ». Il y a également tout simplement « auteur », ainsi que le veut la tradition éditoriale depuis la nuit des temps. Mais ces mots, même s’ils se rapportent à un même ouvrage, ou au même auteur, n’ont pas le même sens psychique pour le lecteur potentiel. Et pour son choix, guidé forcément par son inconscient. C’est une question que depuis des décennies, du moins depuis les années 70, connaissent et taraudent les éditeurs. À de rares exceptions près, la production littéraire a été généralement réalisée par des hommes. Même si, dans quelques cas célèbres, les femmes ne signaient pas une œuvre écrite par elles d’un prénom féminin. Mais empruntaient un pseudonyme masculin, ou masculinisaient leur prénom. Surtout dans certaines catégories d’ouvrages. Ceux qui, par exemple, sont des romans policiers. Voire historiques, s’ils ne sont pas réputés suffisamment sentimentaux Tous les éditeurs vous confirmeront qu’un ouvrage de type policier signé par un nom d’auteur dont le prénom est féminin, tirera plusieurs fois moins que le même roman mais signé d’un prénom masculinisé. Depuis en gros deux décennies, les mouvements féministes ont un peu modifié l’approche de ce sujet. Mais c’est surtout par militantisme féministe. Et dépassent rarement les militantes féministes. C’est le psychisme du lecteur qui va automatiquement réagir différemment selon les cas. Beaucoup de lecteurs, de toutes natures, commencent par aller jeter un coup d’œil à la quatrième de couverture. Si cela leur confirme que le nom d’auteur est Jeanne Sargon, le lecteur potentiel, et tout à fait inconsciemment de sa part, se posera une question quant à savoir s’il doit choisir cet ouvrage qui aura forcément pour son inconscient un caractère féminin. Quel qu’en soit le sujet traité. Si ce lecteur potentiel ne penche pas vers le roman sentimental, il passera outre. Et pour lui l’utilisation du mot « auteure » au lieu « d’autrice », n’aura aucune importance. Dans les deux cas son avis instinctif sera négatif. Et il ne choisira pas ce livre. C’est la qualité de la page de couverture qui le plus souvent l’amènera à choisir, ou non, cet ouvrage. Tous les éditeurs vous confirmeront que la page de couverture, sauf pour les gens déjà célèbres, et encore, compte pour moitié dans le succès d’un ouvrage. Mais si ce roman est signé Jean Sargon, au lieu de Jeanne Sargon, et tout à fait inconsciemment de sa part, le lecteur potentiel ne se posera pas de questions préalables quant à la qualité du texte qu’il va choisir. Et lui, préfèrera d’emblée Jean à Jeanne. Et l’utilisation du mot « auteur ». Il se fiera instinctivement au prénom masculin. Qui emportera son réflexe positif. Il préfèrera de loin le simple mais préférable pour son inconscient, mot « auteur ». Et à l’inverse aura inconsciemment un réflexe négatif quant à l’emploi de « auteur » ou « autrice ». Donc envers l’ouvrage concerné. Ma réponse est trop longue ? Certes, mais Panda, celui qui la pose, demandait de justifier sa réponse.
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Cancer du sein, messieurs attention !
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Santé
Absolument Kaliste ! Le jus de citron est l’indispensable composant du cocktail préféré de James Bond, le célèbre « Guilmet ». C’était aussi le cocktail préféré de feue la Reine d’Angleterre Élisabeth II. Et de sa mère. Surtout de sa mère. La rubrique dit que la Reine Mère était fréquemment pompette. Au Gilmet. La rubrique dit même d’Élisabeth qu’à l’instar de feue sa mère, il lui arrivait fréquemment de dépasser largement la dose prescrite. La véritable recette du Guilmet est simple : gin et jus de citron vert. C‘est excellent et au bout de quelques-uns, vous vous sentirez vraiment devenir James Bond. -
Cancer du sein, messieurs attention !
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Santé
Excellente réflexion bien dans l’air du temps. Mais tu peux être certain que cela ne saurait tarder. Il est même vraisemblable que certains ont déjà commencé à se manifester en ce sens. L’on ne va pas tarder à voir cela dans les revendications des zozos qui rêvent de se maquiller comme des vieilles tapineuses de bar à matelots, revêtues de robes courtes et fendues largement. Et portant des inévitables bas à résilles. Souvenirs de chez Madame Arthur ? J’ai vu deux personnes hier, déguisées de cette manière, dans un supermarché. Je ne crois pas que ce soit de cette façon et avec ces provocations, qu’ils feront progresser leur cause. Mais est-il souhaitable qu'elle progresse ? -
Comment peut-on ne pas intervenir ??
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Mite_Railleuse dans International
Je crains que tu n’aies pas exactement pris en compte le contexte qui entoure la réalisation de ce daguerréotype. D’une part les choses se passaient au fin fond de la Mongolie il y a plus d’un siècle. Depuis beaucoup de neige est passée sur les gens en cause. Et sur leurs mœurs. Ne serait-ce que le Régime Soviétique qui a notablement modifié la condition de la femme. Y compris des femmes mongoles. D’autre part ce cliché est attribué à Stéphane Passet. Mais en réalité il fait partie d’une énorme quantité d’autres clichés. Albert Kahn, qui avait fait fortune dans les mines de diamant et d’or d’Afrique du Sud, avait envoyé de nombreuses équipes à travers le monde. Il a consacré une partie de sa fortune dans des œuvres humanitaires et l’autre partie à constituer une énorme quantité de photos appelée « Les Archives de la Planète ». Pendant plus d’un demi- siècle, ces Archives ont pratiquement été les seuls témoignages de ce qui se passait sur la planète. Une équipe de deux douzaines de personnes, dont des photographes, s’est risqué à aller explorer, et photographier, les fins fonds de la Mongolie. Dans des secteurs où ils étaient les premiers occidentaux à aller. Les mongols de ces contrées vivaient encore comme leurs ancêtres le faisaient deux mille ans plus tôt. Tu dis : - « Comment peut-on partir en abandonnant une victime à un tel sort ??? » Il est évident qu’avec notre sensibilité occidentale d’aujourd’hui, nous considérons, avec raison, que c’est une chose abominable. Mais que ces photographes pouvaient-ils y faire ? Ils ne parlaient pas la langue mongole, que d’ailleurs personne ne parlait en dehors de la Mongolie. Et surtout la Mongolie n’était pas un véritable état, avec ses règles, sa police ou son armée. Tout cela n’existait pas en Mongolie, qui vivait comme à l’époque de Gengis Kahn. Ils se trouvaient seuls en face d’une tribu d’autochtones, et les téléphones portables, ni les autres parce qu’il n’y en avait pas, ne couvraient pas la zone. Comment auraient-ils pu intervenir ? Par contre, l’an dernier, dans une ville de 200 000 habitants du Centre de la France, à quatre heures de l’après-midi une fille s’est faite violer par 2 racailles, sous les boîtes aux lettres de la Poste Centrale. Elle hurlait. La Police a établi qu’au moins une douzaine de personnes sont passées à ce moment-là. Tous et toutes ont changé de trottoir, et personne n’est intervenu. Plus d’un siècle après les actes en Mongolie que tu évoques, avons-nous fait quelques progrès ? -
C'est très aimable de ta part. Merci !
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Et à quelle heure on dîne ?
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Bravo les gars ! Que votre D.ieu vous aie en sa sainte garde. Et bonne continuation.
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Voici d’où viennent les capacités incroyables des IA!
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de SpookyTheFirst dans Sciences
L’expression elle-même « d’intelligence artificielle » est une tromperie. Les installations et systèmes informatiques utilisées dans ce cadre ne sont en aucun cas de l’Intelligence, artificielle ou pas. L’intelligence est la faculté de comprendre une chose. Aucune des IA existantes, n’est en mesure de comprendre quoi que ce soit. Elle est simplement capable de stocker, puis de restituer sous la forme d’un résumé, tout ce qui est passé par le Data Center auquel cette IA est branchée. C’est-à-dire tout ce que les utilisateurs ont placé un jour ou l’autre sur leur ordinateur, et donc automatiquement sur Internet, par l’intermédiaire de leur IA, qui a envoyé cela à son Data Center. L’IA va automatiquement chercher toutes les occurrences qui citaient ce qui se rapporte à la question posée. Et en faire un résumé. Et la qualité de ce travail est évidemment proportionnel à son prix. Chat GPT a popularisé le système, et est gratuit. Mais il est déjà très largement dépassé par d’autres IA, payantes généralement, mais dont les résultats sont nettement meilleurs. Ce qui est logique. La qualité des réponses que donne une IA est proportionnelle à la qualité des questions posées par les utilisateurs et au contenu des stocks du Data Center qu’ils ont eux-mêmes approvisionnés. Aux informations transmises par cette IA à son Data Center. Et ces informations sont évidemment différentes selon les activités de l’utilisateur. Une IA qui dans ses pratiquants est utilisée majoritairement par des cadres supérieurs plus, donnera à une question précise une réponse très différente que si elle est majoritairement fréquentée par des chômeurs de longe durée. Ce qui ici n’est nullement péjoratif envers les chômeurs, mais une simple constatation d’évidence. Mais les petits filous malintentionnés ont déjà trouvé comment avoir une influence sur les résultats donnés par une IA. Et bien que cela n’ait rien à voir en dehors du principe, l’IA type GPT souffre déjà des défauts dont souffrent les plateformes type Wikipédia. C’est à dire que si l’on veut avoir une influence sur les résultats qui seront donnés par cette IA, c’est très simple. L’on peut amener très facilement une IA à truquer elle-même ses résultats. Et contrairement à la l’interrogation de Spooky, une IA ne peut pas apprendre à jouer aux échecs. Du moins tant que les utilisateurs n’auront pas amené jusqu’au Data Center tous les mouvements possibles, et leurs résultats, des pièces qui seront arrivés à son Data Center. D’ailleurs « l’implémentation sous-jacente de réseaux de neurones artificiels » qu’il évoque, est une parfaite explication du sujet. L’IA n’est pas une machine intelligente. Elle est une bibliothèque de données dans laquelle l’on a fourni aux composants la possibilité de travailler à une vitesse quasiment inconcevable, et d’en fournir instantanément un résumé. La seule intelligence dans cette histoire, c’est celle, remarquable, des personnes qui sont parvenues à inventer et faire fonctionner tout cela. -
Si je pensais réellement être un envoyé D.ieu sur terre, je commencerais par me réserver une chambre capitonnée dans la clinique psychiatrique la plus proche. L’on dispose maintenant d’excellents médicaments qui peuvent aider à régler le problème. Ou alors, et il n’y a pas besoin de se croire « élu » pour cela, je marcherais vingt mètres sur les eaux de la Seine, et j’appellerais tous les gogos en mal d’irrationnel et de de superstitions stupides, et ils ne manquent pas, à venir cotiser pour mes bonnes œuvres. Et je deviendrais riches. D’autres y ont pensé avant moi. Du « sorcier » du clan du temps de nos arrières grands-parents, il y a quelques millions d’années, jusqu’aux plus récents, les mormons pour le monde occidental, les raisons de création de religions ont toujours été les mêmes. C’est ce qu’ont fait avec bonheurs quelques types futés, qui en sont devenus célèbres. Tu écris : - « … Les miracles sont omniprésents ». C’est une blague. Le seul miracle qui soit jamais advenu sur cette planète, c’est l’apparition de la Vie. Et aucun des dieux inventés par les hommes n’a quoi que soit à y voir. Le reste n’est qu’épisodes des conséquences de cette apparition.
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Rappeler la promesse de D.ieu est une excellente chose. Mais qu’est-ce qu’il a promis, à toi ou à moi, ou aux autres ? Et ce qu’il a promis, c’était à quelle occasion ? , et qui peut en témoigner ? « Promesse garantie par son amour » dis-tu. Question bête et méchante : comment se traduit cet amour ? Par les guerres, la mort d’enfants martyrisés, la misère et les souffrances dans lesquelles survivent difficilement un grand nombre d’habitants de cette planète ? Promesse, dis-tu : - « garantie par son amour, et réalisée par sa science dans sa gloire transformante ». Traduit nous cela en français vernaculaire. En français compréhensible, qu’est-ce que cela veut dire ? D.ieu est donc féru de sciences. Quelle est la science qu’il met en jeu quand il regarde les enfants martyrisés dont des milliers d’entre eux meurent en permanence d’atrocités dans notre monde ? Sa science, c’est donc d’avoir inventé les enfants pour que les salopards puissent les traiter d’une manière infâme ? Et en français compréhensible, que signifie « sa gloire transformante » ? Elle transforme quoi ? Les salopards en gens fréquentables ? Si l’on juge aux résultats c’est loin d’être évident. Mais tant que sa gloire ne nous transforme pas, nous, en gargouilles ou en omelettes au fromage, c’est le plus important. Je sais qu’il a fait le coup de transformer des panières vides en panières pleines de poissons ou de pitas. Ou le vin en sang. Voire un mélange de farine et d’eau en son propre corps. L’on peut s’attendre à tout. Comme tu le dis : « c’est « une gloire transformante ». Mais elle transforme quoi ? - « dans sa gloire transformante », qu’est-ce que cela veut dire en bon français ? Que sa gloire transforme la misère du monde en activité dignes du Jardin d’Eden ? Ou transforme les croyants en croyantes, et inversement ? Ce qui serait bien dans l’air du temps. [PB1]t quand ?
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Bénévolement ? Formidable ! J’espère au moins qu’à chaque Noël il t’envoie une carte de bons vœux en guise de remerciements. Le jour où il t’enverra un mot, pense à garder le timbre qui sera sur l’enveloppe. Dans quelques milliers d’années, il aura certainement de la valeur.
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Tu écris : - « Je sers le Christ de mon mieux dans ma vie de tous les jours ». Est-ce que tu le fais « au noir » ou avec des feuilles de paye ? Parce que si c’est au noir, tu seras perdant lors du calcul de ta retraite.
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Toi et tes copains, Quatr, Manupain et Senon, vous roulez pour quelle maison ?
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Ce que je sous-entendais n’est pas que les OQTF soient plus dangereux que les autres. Encore que, mais pour des raisons facilement explicables. Mais qu’en France, pays de Droit, un million de personnes, ce qui n’est pas rien, se fichent éperdument de transgresser les jugements les concernant, dans l’indifférence totale des Pouvoirs Publics. Il est évident que les personnes les plus démunies se trouvent plus fréquemment que les autres dans des situations matérielles pouvant les inciter à commettre un délit. Ce qui explique par ailleurs que pratiquement la moitié des détenus, en France, proviennent de milieux musulmans très défavorisés. Quant à être ou pas dans la nuance, c’est d’abord une question de conviction personnelle. Ou l’on sait de quoi l’on parle, et si le fait en cause est une erreur, autant le dire carrément, plutôt que de chercher des formules douces qui permettent de ne pas se mouiller. Ou dire carrément les choses, en affirmant ses convictions. Certes, sans vaseline, c’est plus douloureux. Mais c’est plus sincère. Je crois bien avoir lu quelque part que « Dieu vomit les tièdes ». C'est toujours vrai ?
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Belle , jolie, attirante ,sexy, top modèle
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de G2LLOQ dans Quotidien
De toute manière, vu la façon dont l’on compte l’utiliser, qu’est-ce que ça peut faire ? -
Statistiques officielles du Ministère de l’Intérieur, confirmées par le Ministère de la Justice. Il y a actuellement en France, en toute liberté, 1 million de personnes frappées d’OQTF. D’Obligation de Quitter le Territoire Français. Pratiquement tous musulmans. Mais ce point est encore une autre affaire. C’est grave, Docteur ?
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Excellent ! Tout à fait cela.