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Témoudjine

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Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. Témoudjine

    Judas

    C’est ton droit le plus strict. Chacun prend ses arguments où il peut les trouver. Mais tu n’as toujours par répondu à la question. Tu parles de VRAI judaïsme que le Christ voulait rectifier. Donc il y avait également un FAUX judaïsme. Je me suis contenté de te demander lequel, et où tu l’as trouvé. Mais si tu trouves que c’est indécent de demander à quelqu’un de justifier ses dires, alors je me ferai un plaisir de ne pas recommencer.
  2. Le véritable problème est que cette situation est strictement la même pour dix autres régions africaines. Et souvent elle est encore bien pire et plus étendue, et depuis des années. Mais je présume que c’est sans importance. Sinon l’Onu et la multitude de prétendues organisations humanitaires qui chaque jour reprennent les descriptions apocalyptiques des marchés aux légumes de la bande de Gaza, nous en informeraient en permanence. Et les rigolos qui vont libérer les peuples opprimés en jouant aux marins d’opérette, changeraient de mer et iraient se tremper les pieds dans l’eau sur l’Océan Atlantique. Il est vraisemblable qu’au Congo ou au Soudan, sans même parler de la corne de l’Afrique et d’ailleurs, il est mort ces dernières années plus d’un million de personnes par an dans chacun de ces pays. Mais c’est évidemment faux. Sinon jamais l’Onu ne laisserait faire une chose semblable sans ameuter toute la planète. .
  3. Témoudjine

    Judas

    Tu écris à propos de Jésus : - « Son projet était de restaurer le VRAI judaïsme.. » Ce qui sous-entendrait qu’il y avait un FAUX judaïsme. Perspective intéressante. Mais qu’est-ce qui différencie le Vrai du Faux ? Et inversement. Et où as-tu trouvé ce scoop ? C’est une stupidité, d’accord. Mais tu confonds la Bible, les cinq Livres de la Torah, avec les Évangiles. Mais rassure-toi, tu n’es pas le seul.
  4. Tu écris : - - « Je pense que tout adulte à le droit de faire de la politique » → Qui lui conteste ce droit ? - - « Pour prendre de la force et commencer à faire beaucoup en politique, je pense que des preuves doivent être fait ». → Que des preuves doivent être faites, oui, s’il s’agit de renouveler son mandat. Mais s’il s’agit d’un premier mandat, comment veux-tu prouver quoi que ce soit en dehors de tes bonnes intentions ? « Prouver être bon pour le pays » → Tu as raison, ou du moins tu devrais. Mais quoi que tu puises faire ou entreprendre, ou simplement annoncer que tu vas l’entreprendre en sachant fort bien que tu n’en feras rien, et de quoi que ce soit qu’il s’agisse, tu auras toujours des gens pour applaudir et d’autres pour protester. Mais c’est l’une des vertus de la Démocratie. - « Prouver que vous êtes constructif ». → bis repetita placent. Au temps pour les crosses. L’électeur moyen ne voit pas si loin. S’il est du parti du politicien concerné, il sera d’office convaincu. S’il est d’un autre parti, c’est plus délicat. En matière électorale ce n’est pas forcément tes réalisations qui emporteront le morceau. La plupart des élus condamnés pour malversations sont brillamment réélus. Qui est le plus con dans l’histoire ? L’électeur stupide ou l’élu arnaqueur ?
  5. Tu parles d’un phénomène qui existe depuis toujours. La participation des femmes à des découvertes majeures, suivie d’une « invisibilité » organisée de cette participation, est une constante au moins depuis le Moyen-âge. Tous les enfants de France, et au-delà, ont vu dans leurs livres d’Histoire, ou auraient dû voir, les enluminures exceptionnelles du parchemin « Les Très Riches Heures du Duc du Berry ». Mais l’on ne leur a probablement pas indiqué que la majeure partie des enluminures célèbres qui font que l’on ne peut qu’admirer ces œuvres ont, dans la majorité des cas, été réalisées par des femmes. Le moine copiste dessinant les enluminures de parchemins médiévaux dans une bibliothèque d’abbaye est entré dans l’inconscient populaire de l’Europe de l’Ouest. Mais dans la majorité des cas, ce sont des nonnes de monastères qui les ont dessinées. Des femmes. Mais bien qu’il y a eu dc grands progrès dans ce domaine, cette approche de la question est toujours en vigueur. La moitié des romans policiers, majoritairement policiers mais pas que, qui sont écrits par des femmes, sont signés de pseudonymes masculins. Ou, si le nom de famille est conservé, le prénom mentionné de l’auteur est un prénom qui peut âtre aussi bien masculin que féminin.
  6. Tu dis que Poutine « peut récupérer le territoire de L'Ukraine en 1 mois s'il le veut ». C’est certainement exact, il a une puissance de feu qui le lui permettrait. Mais ce serait avec la destruction d’une bonne partie de l’Ukraine. Et il ne veut pas d’une Ukraine rasée, mais d’une Ukraine exploitable sans attendre dix ans pour cela. Tu dis : - « Cela fera un trou dans L'Ukraine, ce qu'il ne veut pas ». Quel trou dans l’Ukraine ? Parce qu’il veut lancer une campagne minière ? S’il récupère l’ensemble de l’Ukraine, il fera tous les trous qu’il veut. Même dans le fromage de vache s’il veut imiter le Gruyère. Tu écris : - « cela fera un trou dans sa défense puisque épuisera une quantité remarquable de réserves. Tu te trompes. S’il veut réduire l’Ukraine il dispose d’une quantité de missiles et fusées de toutes sortes qui le lui permettrait, sans avoir à faire intervenir le moindre fantassin. Au lieu d’en envoyer 3 ou 4 par nuit, et de faire quelques morts par nuit, il lui suffirait d’en envoyer quelques centaines sur toutes les villes ukrainiennes. Et ce sont les ukrainiens qui demanderaient à Poutine d’accepter qu’ils lui donnent le pays. Ce sont les fantassins de qualité pour occuper le terrain sans trop de troupes, qui manquent à Poutine. Pas les missiles. Ni les bombes de toutes sortes pour ses avions. Et ce n’est pas avec ce que les européens sont prêts à donner à l’Ukraine comme armement que l’Ukraine l’empêcherait. Tu dis que Poutine veut : - « supprimer la menace qu'est L'OTAN pour la puissance mondiale qu'est la Russie ». Poutine ne veut surtout pas de conflit avec l’Otan. Il sait qu’il ne tiendrait pas une semaine en face de l’Otan. Il ne veut pas de l’Otan sur ses frontières, et l’offensive contre l’Ukraine est faite pour dissuader les américains d’accepter que l’Ukraine adhère à l’Otan. Mais Poutine sait fort bien que l’Europe, l’Otan et les américains ne le laisseraient pas faire s’il attaquait un autre pays de l’Otan ou de la sphère occidentale.
  7. Erreur camarade. Ce que Poutine peut s’accaparer en Afrique n’est pas au détriment de la France. La Françafrique c’est pratiquement terminé, ou presque. C’est au détriment des pays africains concernés. L’uranium africain n’appartient pas plus à la France qu’à la Russie. Il appartient aux pays africains concernés.
  8. Tu écris : - « Quand nous parlons d'amour, nous sommes dans l'hypothèse , et non pas dans la connaissance » , Qu’est-ce que cela signifie ? Si amour il y a, il s’exprime de différentes manières selon les cas, mais il correspond toujours à l’attirance forte entre deux personnes. Dire : « j’éprouve un véritable amour pour le clafoutis », c’est un dévoiement du sens du mot, du moins de son sens habituel. Et de toute manière dire à ce sujet à propos du mot « amour », quand nous l’utilisons : - « nous sommes dans l'hypothèse , et non pas dans la connaissance », est une erreur à la fois de sémantique et de syntaxe. L’amour, quel qu’en soit l’objet et de quelque nature qu’il soit, ne peut pas être une hypothèse. Il est ou il n’est pas. Tu écris à propos de l’amour : - « nous ne pouvons être que dans l'hypothèse , l'observation, l'analyse , mais pas la connaissance » Ce qui signifie alors que celui qui croit aimer est dans l’expectative et qu’il ne sait pas s’il aime ou pas. Dis cela aux gens amoureux. Tu dis : - « … l'amour est un état , et je fais la différence entre l'amour et aimer ». Problème de sémantique. L’amour est un état qui fait que celui qui l’éprouve est amoureux. Celui qui éprouve de l’amour aime. L’un ne peut pas aller sans l’autre. Tu écris : - « Est ce que je les aime pour eux ou est ce que je les aime pour moi ? » Excellente question. Si l’on part du principe, dont aucun spécialiste ne doute, qu’il n’y a pas d’acte gratuit, la réponse est forcément pour les deux. Mais l’on déborde largement la signification du verbe aimer tel qu’il est discuté là. Tu continues : - « Quand tu aimes les choses pour ce qu'elles te rapportent, tu peux les remplacer facilement ». Non. La majeure partie de ce qu’elles te rapportent est de l’ordre de l’inconscient. Pour les remplacer il faudrait d’abord déterminer pourquoi et comment je pense telle chose, et comment pourrais-je remplacer le désir correspondant et la manière de l’assouvir. Désir pour un succédané ? Peut-être mais pourquoi ? Pulsion d’une nature indéterminée, mais qui ne pourra pas possiblement être assouvie sans retrouver au préalable le trauma initial ? Dans ce cas il convient de débuter par un bon psychanalyste. Dans trois ans, il te dira, peut-être, si tu as trouvé la réponse à ta question. Tu dis : - « … la femme n'est jamais responsable de la haine que l'homme éprouve pour elle . Ils et elles sont toujours les boucs émissaires . Où as-tu vu que la femme n’est jamais responsable de la haine qu’un homme éprouve pour elle ? Elle a autant de chances de l’être que l’homme envers la femme. Chaque cas est un cas particulier et il faut commencer par distinguer les raisons réelles qui expliquent cette haine. Jusqu’à ces dernières décennies, et souvent encore de nos pours, le mode de vie occidental, l’homme au travail à l’extérieur et la femme au foyer, enchaînait souvent les femmes dans un rôle de dépendance financière. Rôle qui pouvait les amener à haïr, parce qu’l finissait par leur peser. Mais dans lequel elles étaient souvent enfermées pour de simples raisons financières.
  9. Ton Raisonnement, parfaitement fouillé et qui fait bien le tour de la question, du moins dans le cadre que tu as choisi de l’évoquer, confond en réalité différentes notions qui n’ont rien à faire ensemble. Il conviendrait d’abord de déterminer ce que signifie le mot « amour ». Le plus souvent, en langage vernaculaire, il concerne un attachement très fort auquel se mêle une imprégnation sexuelle. Mais pas que, et c’est là qu’est le problème. Tu écris : - « est ce que tout le monde réagi de la même façon à la colère ou à la frustration ? Pourquoi cela ne serait-il pas pareil pour l'amour ? Pour une raison très simple. L’on pourrait réagir à un fait de manière semblable, si ce mot « amour » avait la même signification pour tout le monde. Si les mêmes causes généraient les mêmes conséquences chez tous les individus. Les mêmes effets, de la même intensité. Ce qui évidemment, n’est pas le cas. Il n’y a pas d’échelle universelle permettant de déterminer l’intensité de l’amour qu’éprouve un individu pour un autre. Et le mot a des connotations très différentes selon les individus. Ce n’est pas à la même aune que l’on doit apprécier « j’aime les bébés phoques », et « j’aime ma voisine de palier ». Tu écris : - « …/… dans une société organisée sur le commerce, l'amour n'est pas le bienvenu , il est beaucoup plus intéressant de vendre plus d'essence, de l'huile et plein de pièces détachées que 3 fois rien à des moteurs qui tournent bien ». C’est certainement vrai, mais où est le rapport avec le sujet en cause et avec l‘amour ? Tu dis : - « Nous entrons dans une discussion ou nous parlons de notre croyance ». Qu’est ce que l’amour, du moins au sens vernaculaire, a à voir avec une croyance ? À moins de ne fréquenter pour ses galipettes que des compagnes ou compagnons de plumard d’une religion déterminée. Mais perdre des occasions de se rouler dans l’herbe tendre ou dans le foin pour des raisons de cette nature serait une connerie. Si les dames peuvent avoir une religion, leurs vagins n’en a pas. Ou ils se cachent bien. Mais dans ce cas, c’est que l’on a mal cherché. Recommence ! L’amour que l’on peut porter à un D.ieu peut-il être comparable à celui que l’on éprouve pour un être humain ? Dans certaines situations, par exemple pour des religieuses ne rencontrant jamais d’hommes, elles peuvent se prétendre, et sincèrement de leur part, amoureuse de leur D.ieu. Ou de son fils, ce qui est plus logique Mais c’est seulement parce que les femmes, au contraire des hommes, n’ont pas besoin d’hommes pour parvenir à une satisfaction sexuelle quasiment totale. Le transfert de l’objet de leur amour, homme / christ, leur est facilité grâce à un organe spécifique qui leur a été donné par l’évolution et l’adaptation, à la suite d’une anomalie génétique. Et pour vérifier l’affirmation que la nécessité créait l’organe. Tant que l’arthrose de l’articulation des phalanges ne les touchera pas trop, elles pourront sans problème continuer à aimer leur D.ieu. Ou se mettre en quête de piles électriques. Mais chez ces religieuses qui sont convaincues de leur amour sincère, évanescent ou non, pour un D.ieu que personnalise pour elles un crucifix, elles peuvent parfaitement être très heureuses comme cela. Tu dis : - « Si comme je le crois, l'amour est l'état de fonctionnement normal de l'être humain … ». Irréaliste ! Cela voudrait dire qu’il n’y a plus de vice, de méchanceté et de malheurs sur cette terre. de Cela voudrait dire que dans la majorité des cas nos contemporains ne seraient qu’amour pour leurs semblables. Si l’on considère l’état de nos sociétés, il ne semble pas que ce soit vraiment le cas. Tu écris : - « Dès lors qu'on est pas dans l'état d'amour, nous sommes dans la souffrance ». Dans leur très grande majorité nos contemporains ne vivent pas dans « l’état d’amour ». Pour de multiples raisons. Donc que la plupart des gens, dis-tu, vivent en souffrant de l’absence d’amour dans leur vie. Mais des quantités de gens vivent cela sans souffrance. Heureux de leur statut social, par exemple de célibataires heureux de l’être. L’attachement spécifique à une personne que l’on « aime » n’est pas une condition obligatoire pour vivre une vie heureuse. Tu dis : - « … pour moi, le sexe est une illusion ». Pourquoi pas ! Tout dépend de ce qu’est le sexe pour l’individu. Mais le sexe n’est pas une constatation philosophique. L’activité sexuelle nous est non seulement donnée, mais imposée pour de simples raisons de reproduction de l’espèce. Depuis les bébés jusqu’aux personnes très âgées, le sexe fait partie des activités physiques et cérébrales inconscientes, mais indispensables à l’individu. Et si, quel que soit son âge, l’on ne demeure pas inconsciemment lié à cette notion, alors cela relève du trouble de la personnalité et de l’inconscient. Il faut consulter. Nous ne sommes que des primates tropicaux qui ont eu la chance, grâce à quelques mutations génétiques successives, de devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Mais pour l’essentiel nous gardons dans nos gènes les caractéristiques de nos lointains ancêtres. Et du bébé au vieillard, notre inconscient reste imprégné de ce qui touche au sexe. Mais au sens sémantique, et comme tu le dis, si le sexe est une illusion, alors toutes les filles demeurent vierges tout au long de leur existence. L’on ne pratique pas le coït avec une illusion. Et toutes les dames tapineuses travaillent gratuitement dans les bobinards. Dans les maisons de tolérance, ainsi que l’on disait jadis. Mais je crains que le premier de nos contemporains qui dira à une « dame de petite vertu », l’amour n’est qu’une illusion et l’on ne peut pas payer pour une illusion, donc qui par définition n’existe pas davantage », ait quelques problèmes avec le « protecteur » de la dame ou la gérante du bobinard. Ce n’est pas dans ce sens que tu évoques cette illusion ? Évidemment ! Mais reprenons au commencement. Que signifie « amour » et pour quel type d’individus, et quels types d’amour ?
  10. La Genèse nous a expliqué il y a plus de trois mille ans qu’une chose n’existait que si elle était nommée. Mais tout le contenu de ton post montre que tu tournes autour de ce qui est ta pensée sous-jacente, sans oser utiliser le, ou les, noms et notions auxquels tu penses. Prends tes responsabilités, camarade, et dis-le ! Tu écris : - « est-ce similaire pour l'humain qui serait 100% création d'une autre entité ? » ou : - « je ne pense pas qu'elle soit la seule dans l'histoire car notre intelligence, elle vient bien de quelque part aussi... » - Quelle est cette « autre entité » qui aurait créé l’humain ? » Et si notre intelligence vient de quelque part, d’ailleurs, d’où vient-elle ? Et quel en est l’architecte ? Ce à quoi l’on se devrait ajouter : « et d’où vient cet architecte ? ». D’une autre entité ? Où situes-tu ton architecte ? Et comment l’appelles-tu ? Et l’on pourra continuer sur ce schéma jusqu’à la fin des temps
  11. Le besoin de l’humain n’est pas « d’aimer ». Du moins au sens commun du terme. Il est de se reproduire et sa volonté personnelle n’y est pour rien. C’est dans ses gènes et son inconscient. L’amour, au sens habituel du mot, résulte en réalité d’accords inconscients de notre part entre les hormones sexuelles de deux partenaires de sexes opposés. Le besoin de l’humain, inconscient mais indispensable à sa bonne santé mentale, qu’il s’agisse d’un mâle ou d’une femelle, est de copuler. Le reste n’est que « littérature », au mauvais sens du terme. D’autant que l’amour tel que nous employons le terme, n’existe pas « naturellement » au-delà de la recherche du coït. Tous les sentiments que nous avons bâtis autour de l’amour habituel, sont de nature culturelle. S’ils étaient d’origine « naturelle » en dehors du coït lui-même, ils seraient les mêmes pour tous les humains. Mais il n’en est rien. Tous les humains, quelle que soit la partie du monde dans laquelle ils vivent devraient être sensibles à la même forme « d’amour ». Mais il n’en est rien. Et pas seulement entre personnes éprouvant d’abord une pulsion sexuelle qui efface tout apport « naturel » et biologique, et qui inconsciemment régit nos comportements. Françoise Chandernagor, dans son remarquable ouvrage « L’Allée de Roi », (de mémoire, mais si c’est un autre de ses ouvrages ce n’est pas grave) explique parfaitement pourquoi l’amour maternel n’existe pas. Jusqu’à la fin du XVIII° siècle, et parfois au-delà, les mères n’élevaient pas leurs enfants. Dès la naissance ils étaient confiés à une nourrice, le plus souvent vivant en milieu rural et/ou agricole. Et les enfants ne rejoignaient le foyer familial rural de leur mère, qu’une fois passée leur pré-adolescence. C’était vrai dans toute l’Europe de l’Ouest, tous milieux confondus. Que la mère soit ouvrière d’usine ou épouse d’un notable. Où se situe l’amour maternel là-dedans ? Et il en est de même pour toutes les formes d’amour. Au-delà de l’envie physiologique et inconsciente du rapport sexuel, tous les sentiments qui y concourent ne sont qu’habillages culturels. La haine n’est pas un succédané ou un ersatz. Elle est un produit de remplacement. Elle est un sentiment relevant d’un trouble sous-jacent de la personnalité d’une personne dont l’inconscient a besoin de manifester une réaction psychique excessive. Et qui, sous cette haine, dissimule un mobile ignoré de l’individu mais qui en cache un autre.
  12. Il s’agit de deux choses totalement différentes. D’une part une question d’élections. Poutine a réussi à créer une classe moyenne débutante qui est majoritaire dans les milieux urbains. Et qui l’élirait parce qu’il a permis aux membres de cette classe d’améliorer réellement leurs conditions de vie. Tous les politologues non partisans pensent que Poutine serait élu même sans avoir besoin de bourrer les urnes. Les anomalies inacceptables, tel empêcher des opposants de parvenir à se faire élire, voire même à se présenter, est une manière de faire de dictateur. Mais pas suffisamment pour éliminer le risque pour lui de ne pas être élu ou réélu. Quant au redressement de la Russie, je ne suis pas du tout septique à son sujet. il est dû directement aux pays occidentaux. Après la fin du communiste, plus exactement la fin du stalinisme, parce que le communisme soviétique est mort en même temps que Lénine et Trotski, la nouvelle Russie a été l’objet de multiples sanctions de la part du monde occidental. Par exemple, la production de légumes et de fruits en Russie avait été saccagée par les circonstances, les restrictions à l’importation, et la mort lente du collectivisme. Poutine a su amener le monde agricole à des activités plus intenses qui ont vite permis aux russes de ne plus trop souffrir des sanctions occidentales. Et de remplacer les produits importés par des produits élaborés sur le sol russe. Et il en a té de même de différents autres domaines dans l’industrie, civile ou de matériel militaire, dans les activités minières, et dans tous les secteurs où cela a été possible. Et comme le pétrole est très abondant sur le marché et certains pays très demandeurs, par exemple la Chine et pas que, le commerce extérieur russe est pratiquement arrivé au-delà de ce qu’il était avant les sanctions occidentales.
  13. En langage vernaculaire, qu’est-ce que tu veux dire par : - « … / … un domaine complexe particulièrement exotique » ? Particulièrement « touffu » pourquoi pas ? Mais exotique ? En outre la suite de ta phrase dit : - « … / … ce territoire de la psychanalyse véritable Jung de la psyché .. » Le nom de Jung utilisé en nom commun est déjà une étrangeté. Mais que’ signifie : « véritable Jung de la psyché » ? Jung, je vois à peu près. La psyché aussi. Mais en quoi la psychanalyse peut-elle être « un véritable Jung de la psyché » ?
  14. La haine n’est pas la volonté de détruire l’objet de cette haine. Si on la détruit, l’on ne pourra plus la haïr. L’on ne hait pas ponctuellement, par moment ou parfois. La haine est un sentiment qui s’exerce contre quelqu’un en permanence. Mais l’objet de cette haine est nécessaire à celui qui hait. Souhaiter ou faire du mal à quelqu’un, d’accord. Mais si celui qui hait détruit l’objet de la haine, alors il n’aura pas accompli ce à quoi en réalité il aspirait. Non pas la disparition ou la destruction de l’objet de cette haine, mais la nécessité de haïr. Haïr est un sentiment tel que celui qui hait a besoin de haïr. Sinon, il ne haïrait pas.
  15. Témoudjine

    L'empire est-il empirique.

    Tu plaisantes camarade ! Tu écris : « Le pouvoir.... se confère, mais ne se prend pas ». Tu oublie l’enseignement de nos grands anciens. C’est Mao, Mao Zedong pour les intimes, qui a écrit que : - « Le pouvoir est au bout du fusil ». Si, le pouvoir se prend. Si l’on attend qu’il nous soit conféré, les poules auront des dents et les escargots des bretelles, avant que cela ne se passe ! Vive la Révolution ! Graissez les culasses de vos carabines. Cela risque de swinguer!
  16. Témoudjine

    L'empire est-il empirique.

    Dis plutôt que tu ne les comprends pas, ce serait plus près de la vérité. Mais cela ce n'est pas de ma faute. Je ne suis nullement tenu de compenser le niveau de compréhension de mes contemporains
  17. Si vous commenciez d'abord par définir ce que veut dire le mot "haine ?"
  18. Ce que tu réponds à un mec qui va se faire hospitaliser en établissement psychiatrique, et qui le redoute, est une stupidité. Il est déjà extrêmement anxieux, et toi, tu lui en rajoutes une couche. En outre, c’est pour dire des bêtises. Tu n’as pas compris qu’en matière de médecine, il y a deux filières nettement distinctes. Les hôpitaux, qui font de la médecine, et les cliniques privées qui elles, font de l’argent. Quelle que soit la pathologie, si tu te fais hospitaliser en établissement privé et que ton cas s’aggrave et devienne sérieux que va faire la clinique privée ? Elle va directement t’envoyer te faire véritablement soigner à l’hôpital. Ou au CHU le plus proche si le cas est sévère. Autre bêtise ; tu trouveras encore plus de possibilité de places disponibles en hospitalisation libre dans les hôpitaux psychiatriques, que dans le secteur privé. Et tu y seras mieux soigné. En outre, l’on ne te présenteras pas une nouvelle facture chaque jour sous n’importe quel prétexte. Mais si tu as suffisamment d'argent pour le balancer par la fenêtre, pour être plus mal soigné, ne te gênes pas.
  19. Il ne faut pas t’inquiéter outre mesure. Un hôpital psychiatrique est d’abord un hôpital. Et nos établissements, quels qu’ils soient, sont gérés par des personnels compétents et qui se préoccupent réellement de la qualité du séjour des patients. C’est un mauvais moment à passer, mais cela ira beaucoup mieux bientôt. Leur intérêt est que tu les quittes bientôt. Ils courent après les places disponibles. Pour ne pas te faire trop de mouron, prends l’habitude de te conformer aux règles du service dans lequel tu vas être hébergé. Et à son personnel. Dans un hôpital, pour être tranquille, il suffit de se conformer aux codes de l’hôpital et du service. Et ne t’inquiète pas ! Tout va bien se passer.
  20. Témoudjine

    L'empire est-il empirique.

    Phylou l’a écrit en termes plus diplomatiques que les miens, mais le sens en est le même. Ton texte pour l’essentiel est bâti sur des erreurs grossières de sémantique et de nombreuses contradictions. Au hasard, parce qu’il y a le choix. Tu dis : - « J'aimerais parler d'un respect empathique ». Le respect, s’il n’est pas hypocrite, est un est un sentiment inconscient qui amène un individu à en traiter un autre avec des égards. L’empathie c’est un sentiment tout aussi inconscient, mais qui, lui, amène une personne à se mettre à la place d’une autre et de ressentir ce qu’il ressent. Le respect est lié à ce que l’on sait de son interlocuteur. L’empathie à être atteint si l’autre l’est. Ce n’est pas la même chose. Comment un respect pourrait-il être empathique ? Ou l’inverse ? Cela ne veut rien dire. Une autre assez plaisante : Tu dis : - « Mais tout de même, je pars avec certain capital empathie ». Ce qui signifierai que ton empathie est étalonnée. Que tu en éprouves tant que la barre est à un niveau déterminé. Mais que tu n’en as plus en dessous, ou en dessus, de ce niveau. En fonction de quels critères estimes-tu que tu es au niveau auquel ton empathie s’exerce ou ne s’exerce pas ? En dessous, ou au- dessus, de quel niveau ? Comment choisis-tu ? En fonction de quels éléments ? Tu continues la même phrase par : - « Effectivement, de ce fait, je me suis fait l'avocat du diable de façon assez récurrente » Se faire l’avocat du diable a un sens très précis qui ne convient pas du tout ici. Il induit un comportement de l’individu qui est exactement le contraire du sens que tu lui donnes là. Se faire l’avocat du diable ne peut pas s’accorder avec une empathie éprouvée envers l’individu qui est censé être concerne par le fait. Parce qu’elle l’amène à répondre à des questions, ou à le supposer coupable d’un fait, en présumant et supposant qu’il est coupable. Même si l’expression est exprimée dans un sens louable d‘aider éventuellement un individu à préparer sa défense. Une petite dernière sinon l’on passerait la plupart des phrases. Tu dis : - « La sympathie, c'est tout autre chose qu'une propriété physiologique ». Pas du tout. Elle est précisément une propriété physiologique. Elle est un mouvement naturel et instinctif qui porte vers l’autre. Elle dépend donc d’une réaction tout à naturelle et donc physiologique. Tu continues par : - « La sympathie est dogmatique, une application déontologique. Tu devrais sans doute commencer par chercher le sens du mot « dogmatique » et celui du mot « déontologique ». Dans le cas présent cela ne veut rien. La sympathie ne peut pas être dogmatique puisqu’elle est un mouvement naturel et instinctif vers autrui. Elle ne peut pas résulter d’un dogme. Ou encore et après j’arrête : - « On est sciemment et délibérément sympathique, en vertu de la réalisation d'un idéal... c'est une attitude éthique » Avec mes excuses, camarade, mais ici cela ne veut absolument rien dire. L’on ne peut être sympathique qu’aux yeux d’un autre. C’est donc la réaction physiologique de l’autre qui déterminera si tu es sympathique ou non à ses yeux. Et pas sciemment et délibérément de ta part. Quant à l’attitude éthique qui intervient là, l’on se demande pourquoi. L’éthique est ce qui concerne les considérations morales, instinctives ou codifiées, d’un acte ou d’une attitude. Qu’à à voir l’éthique avec l’empathie et la sympathie ? Si le texte de ton intervention vient réellement de toi, tu as dû y consacrer du temps et de la réflexion. C’est excellent pour les neurones, quel qu’en soit le résultat. Le problème étant que tu confonds des notions très différentes les unes des autres Mais cela c’est perfectible. Continues ! Mais S’il ressort d’extraits d’IA remaniés par toi, change d’IA.
  21. Témoudjine

    Femmes US et KKK????

    Sans blague ! Qu’avons-nous payé aux américains en échange de leur intervention durant la WW 2 ? Renseigne-toi un peu sur les conditions économiques dans lesquelles vivaient la France à la sortie de la guerre. Ne n’est que grâce à l’aide économique, industrielle et financière des USA que nous avons pu redresser et restaurer l’économie du pays. Les américains nous ont-ils demandé de rembourser le plan Marshall de 1947 ? Sans lui il est vraisemblable que les agriculteurs français n’auraient pas encore de tracteurs pour empoisonner nos campagnes. Ils en seraient encore aux cheveaux de trait. Sans les subsides américains, la France d’aujourd’hui serait un pays du Tiers Monde. l Et je n’évoque même pas les sommes fabuleuses que les américains ont dépensées pour que les bébés français ne parlent pas l’allemand dans les crèches.
  22. En bref tu dis strictement n’importe quoi, sans être capable même d’expliquer ce que tu as dit ou voulu dire. D’ailleurs il est évident que tu ne voulais rien dire, mais simplement aligner des mots en t’imaginant que les lecteurs potentiels trouveraient que c’est profond parce qu’ils n’y comprendraient rien. En bref, tu nous prends pour des débiles et pour des cons.
  23. Je ne suis sans doute pas très intelligent. Mais pour que je comprenne, explique-moi ce que tu veux dire par : - « Tout se paiera par les étoiles ». Par la même occasion explique moi également ce que signifie : - « Dommage que vos préjugés vous empêchent de palper ». Que devrais-je palper ? En argot du siècle dernier cela aurait signifié toucher de l’argent. Mais je n’en attends pas d’un « niveau de conscience », quel qu’il soit. Ou si tu évoques une jolie femme. Même d’ailleurs une pas jolie. Une fois la lumière éteinte, la différence entre les deux est très relative. Dans ce cas, je me ferai effectivement un plaisir de palper. Je crois, humblement, n’être pas trop maladroit dans cette activité « palpeuse ». Voire linguale. J’ai entendu dire qu’il y a des dames qui ne dédaignent pas cet aspect des activités buccales pratiquées par des coquinous. Voire même par des coquinettes. Ce qui est plus logique. Je me demande si tu crois réellement que ce que tu écris a un sens. Ou si tu alignes des mots en feignant de croire que tes phrases ont un sens ésotérique. Ou parce qu’ils satisfont ton sens « poétique » et que leur alignement est intéressant. Ou parce que tu penses que nous sommes suffisamment cons pour nous esbaudir devant des phrases qui ne satisfont rien, sinon tes phantasmes ésotériques et « poétiques ». Si tu prends cela pour de la poésie, dis-le carrément. Tu ne serais pas le premier à t’illustrer de cette manière.
  24. À la question posée : « qui étaient vraiment les druides », la réponse sur le plan historique est simple : - « Nous n’en savons strictement rien » ! Que la revue « Le Monde des Religions » tienne pourtant à délayer le peu que nous en connaissions est normal. Certains, dont les gens qui réalisent cette revue, ont fait de cette question leur fond de commerce. C’est devenu un marronnier pour les revues pseudo-historiques et les sites fantaisistes de la même eau. Les druides étaient présents dans le monde gaulois, peuple composé d’un mélange de rescapés d’Hallstatt et de la Tène, mêlés à des peuples étrangers venus d’Europe Centrale. Ni les Celtes ni les Gaulois ne bâtissaient en pierres, mais seulement en bois et en terre. En outre, ils ne pratiquaient pas l’écriture, à des périodes où différentes écritures existaient depuis au moins, en gros, quatre mille ans. D’où la particularité de n’avoir laissé aucune trace matérielle de leur passage. Et à part César et sa « Guerre des Gaules », l’on ne sait strictement rien des celtes et des gaulois, part quelques armes et bijoux, ou le Cratère de Vix. Et la Guerre des Gaules a été écrite dans des conditions telles que sur le plan de la vérité historique, les historiens émettent quelques réserves sur nombre de points. En réalité l’on ne sait rien de ce qu’étaient réellement les Druides. Pas davantage de leur religion. Ce sont des archéologues et des chercheurs principalement allemands, qui ont imaginé ce que l’on croit être leurs caractéristiques ethniques au XIX° siècle. Mais qui ne provient pour l’essentiel que de leur imagination. Les Celtes de l’époque, les gaulois, n’avaient pas de religion spécifique. Chaque groupe, chaque peuple, avait son ou ses propres dieux. Et les romains qui ont dirigé la Gaule durant les cinq siècles suivants, n’y ont jamais touché. Comment les gauloiis auraient-ils pu avoir une classe sacerdotale s’intéressant aux sciences, les druides, alors qu’ils n’avaient pas de religion commune ? Mais une myriade de dieux ? Que les druides aient existé par endroit et par moment, est une certitude. Qu’ils aient généré une caste sacerdotale, n’est que la déduction qu’en on tirés, il y a plus d’un siècle, des archéologues dont les moyens de travail étaient de leur époque. Mais les historiens d’aujourd’hui commencent à avoir une idée plus « historique » ce qu’il en est. Les druides d’aujourd’hui ne sont que des personnes rémunérées par des associations touristiques surfant sur la mode du retour à la nature. Ou des petits futés qui s’amusent à se déguiser en druides d’opérette. Mais chacun prend son plaisir où il le trouve. Bis repetita placent : que sait-on des druides ? Rien !
  25. Le « niveau de conscience », c’est le cache sexe de toutes les sectes et églises fantaisistes dont l’activité majeure est d’entuber les semi-débiles qui les écoutent.
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