Elisa*

On se sépare aujourd’hui plus souvent, surtout car on ne sent plus obligé, coincé dans une relation insatisfaisante mais répondant à une norme sociale, particulièrement héritée du patriarcat durant lequel la femme n’avait aucune indépendance notamment financière, ni sentimentale, pas trop le droit de s’exprimer… quant à exprimer ses ressentis et particulièrement ses envies, ses désirs, n’en parlons même pas, femme de mauvaise réputation va !

Idem… en même temps c’est un peu une forme de personnalisation puisque nous n’avons ni l’expression du visage, ni une voix pour se référer.

@Elisa* @Elisa*@Elisa* Il n’y a aucun souci pour me citer… surtout si tu procèdes comme j’ai pu te l’indiquer plus haut, bref. Qu’est que le drapeau vient faire là ?!

Ça n’a pas grande importance, juste une orientation éventuelle. Pour citer un pseudo… il faut aller sur le @, un espace, et tu mets la/les lettres correspondant au pseudo. Une sorte de menu déroulant s’affiche ac divers pseudos dont celui que tu souhaites nommer : tu n’as plus qu’à cliquer. Il va apparaître en bleu et du coup, la personne concernée aura une notification lui indiquant être mentionnée. Sinon elle ne le sait que par pur hasard, en retournant sur le topic ou pas du tout.

Tu peux aussi le déposer en rubrique « Littérature »…

Oui… un choc, un vrai choc ! Un film bouleversant d’une beauté et d’une laideur absolues. Son souvenir est tellement marquant, cela m’a fait souffrir jusque dans les entrailles au point de ne pas me sentir en capacité de le voir une nouvelle fois. Et cette musique en leitmotiv, saisissante que l’on reconnaît dès les premières notes…

Dans le cas présent, abominable… la décision de justice est exemplaire mais je doute grandement que cela puisse réellement apaiser la souffrance de cette mère qui a tout perdu, à la suite du crime sordide de son enfant, aussi bien au niveau familial que professionnel, et même son logement, tout.

Quelle chance de pouvoir autant voyager !

Perso, je n’aurais qu’une seule réticence quel que soit le bouquin, le sujet s’y trouvant développé… l’absence éventuelle d’esprit critique. Si l’on peut pratiquer diverses interprétations, analyses, exprimer ses désaccords, ses réflexions sans être bridé, voire censuré et/ou jugé : alors banco, pas d’souci !

La Corse est dans ma Wish-list… on verra quand précisément !

Vivre chaque jour comme si c’était… le premier ! Une découverte, un émerveillement, un enthousiasme de tous les instants.

Eh bien… voilà à quoi devrait servir nos impôts ! Il devrait y avoir un système social/une caisse spéciale pour pallier à l’impossibilité de certains parents de payer la cantine de leurs enfants. Bien évidemment, il est honteux d’humilier ainsi un enfant qui n’est en rien responsable du/des déficits de ses parents : c’est un problème d’adulte, pas d’enfant.

La bande-son totalement anachronique : parfois, ça peut matcher, être réussi mais là, perso -j’étais rincée quand je l’ai visionnée- ça m’a cassé les oreilles… j’ai laissé tomber. Les goûts, les couleurs… c’est pas ma came.

Je reviens par contre sur « Task » que j’ai vraiment bien appréciée. Cette critique correspond -en nettement mieux dit que je n’aurais pu le formuler- à ce que j’ai pu ressentir : « L'intérêt ne réside pas dans le crime ni dans les rebondissements, mais dans les personnages qui l'entourent : des personnages rongés par la culpabilité, les blessures et les faibles espoirs qui se frayent un chemin à travers l'obscurité. Dans les derniers épisodes, tout s'assemble avec une force émotionnelle qui vous colle à l'écran. Mark Ruffalo livre une performance superbe, sobre et sincère. On sent la lassitude dans son regard, mais aussi la rédemption. Autour de lui, un casting solide qui ne semble pas être un ajout secondaire : chacun compte, chacun porte quelque chose en lui. Le décor de Pennsylvanie, avec sa lumière grise et mélancolique, enveloppe le récit d'un réalisme profondément émouvant. Brad Ingelsby, le créateur de Mare of Easttown, revient à ce qu'il connaît le mieux : les gens ordinaires et leurs combats silencieux. Sa narration a quelque chose de presque poétique, sans grands discours, mais avec une empathie qui imprègne chaque scène. »

J’ai trouvé cette série rasoir… Déçue aussi. Même pas… incomparable à Peaky Blinders que je trouve excellente, culte pour moi en tout cas !

Euh… ce sont plus des pistes permettant de s’orienter si le doc se base uniquement sur les réponses du patient. Les examens complémentaires ont pour but justement d’être plus précis et donc d’apporter un réel diagnostic en confirmant ou pas l’idée de base. Le médical, c’est pas non plus de la magie même s’il existe une infime part d’aléatoire, et donc hélas, parfois des erreurs.

Je préférerais surtout que « l’humour » que tu défends, se trouve dans la rubrique « Asile »… bref.

Ah ouais pardon… c’est hautement philosophique !

J’admire cette distance… moi, ils me désolent !

C’est surtout un non-sujet et donc un non-topic…

Je pensais qu’elle s’intéressait plus aux dérives sectaires ?

Attention ! l'acte d'acupuncture est considéré par la jurisprudence comme un acte médical. En conséquence, seuls les membres des professions médicales peuvent le pratiquer : médecins, chirurgiens-dentistes pour les actes en lien avec la chirurgie dentaire et sages-femmes pour les actes en lien avec l'obstétrique. https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_acupuncture.pdf Donc ceux/celles exerçant sans diplôme ne sont pas, à mon sens, recommandables, voire pour certains, des charlatans puisque non reconnus.

Le Covid a vu éclore toute sorte de théories plus ou moins fantasques, ac des mouvances à contre-courant du système et particulièrement de la médecine « conventionnelle ». Le problème majeur étant de mettre en danger des personnes atteintes d’une pathologie en les détournant de leurs médicaments. C’est effectivement ultra-toxique, en plus d’être nocif, destructeur. Je ne suis pas procédurière mais je me demande si l’on ne peut pas porter plainte contre ce type de praticienne pour mise en danger d’autrui ou un truc du genre.

Tu as raison de la préférer… j’avoue avoir fait ma pestouille, mea culpa !

Merci pour la précision que je n’avais pas.