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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Cet argument pourrait être interprété pour faire interdire bien d'autres partis. Trop dangereux Si on le fait, demain on pourra interdire n'importe quel parti... un grand pas vers la dictature.
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le PCF est religieux ?? Où avez-vous vu qu'ils veulent revenir sur la loi de 1905 ? Interdire un parti au motif qu'il veuille revenir sur une loi ne vous parait pas dangereux ? source?
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Deux questions. 1) N'y a-t-il pas d'autres partis à interdire dans ce cas ? 2) Sur quel fondement peut-on interdire ces listes sans prendre le risque d'ouvrir la boite de Pandore ? Heureusement de mon point de vue.
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Des voix s'élèvent pour viser l'interdiction pour deux partis musulmans de se présenter aux élections. Qu'en pensez-vous ? Je trouve très dangereux de vouloir interdire à un parti de se présenter. Je crains qu'on ouvre là une boîte de Pandore, qu'on ouvre la porte à quelque chose d'incontrôlable. Qu'est-ce qui peut justifier qu'on interdise un parti ? Peut-être trouverez-vous des clauses qui me feront changer d'avis, mais je crains que si un pouvoir autoritaire et despotique arrivait, il n'utilise ce cas comme "jurisprudence". Et pourtant, je suis très mal à l'aise à l'idée qu'un parti s'adresse à une partie très précise de la population. Que nous disent-ils à nous qui ne sommes pas musulmans ? Et aux musulmans qui ne veulent pas qu'on fasse de la politique spécifiquement pour eux ? Maintenant, ces deux partis sont-ils dangereux ? En termes de poids électoral, non. En termes de programmes non plus, d'après la cellule de vérification de l'info de radio France. En termes de liens avec des groupes extrémistes ? C'est possible, mais je n'en ai pas la preuve. Je m'interroge aussi sur ce qui pousse Xavier Bertrand et consort à viser spécifiquement ces listes, alors que d'autres ont des projets autrement plus dangereux, et ouvertement contraires aux valeurs de la République.
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- municipales
- communautarisme
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Si. Je crois que souverainisme et libéralisme sont deux directions opposées d'un axe sur lequel chacun se positionne. Si je tend vers le souverainisme, je m'éloigne du libéralisme et réciproquement. A moins que vous n'ayez un contre-exemple, et j'admettrais que je me trompe.
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Si je me trompe, donner moi un exemple de personnalité qui promeut à la fois la mondialisation, l'ouverture des frontières et les droits de douanes.
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Politiquement, pas économiquement.
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Poreux, pas pour tout le monde. Sur certains sujets, je me prends à me ranger avec des libéraux contre les nationalistes. Le PCF, ce parti du XXème est en train de disparaitre, et pourtant il conserve quelques bastions ici et là. Je parlais de l'échelle locale, je pense que ce qui arrive au PCF arrivera à LR : une lente disparition de la politique nationale et une résistance à l'échelle locale. Les élus ne sont responsables que de façon intermittente, il faudrait une démocratie continue. Ai-je dit le contraire ?
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Je n'en suis pas certain. Je pense que la vie politique locale mue à un rythme différent de la vie politique nationale. A l'échelle nationale, vous avez principalement trois orientations qui se démarquent : le libéralisme, le nationalisme et l'éco-socialisme (si ceux qui se rapprochent de cette troisième voie voulait bien se rassembler). A l'échelle locale, je pense que LR est loin d'avoir disparue et même le PCF résiste. Je pense que les régionales donneront un aperçu déjà plus parlant. Et je crois surtout que comme dans toutes les précédentes campagnes, on verra de multiples rebondissements dans les neuf derniers mois. Puis quand l'échéance approche, l'électeur ne raisonne pas de la même façon. Moins de trois ans, mais on est même pas encore à mi-mandat. Que savons-nous de ce qui se produira d'ici-là?- L'enseignement que j'en tire, c'est qu'un nombre très important de Français (grandissant?) ne croient plus en la politique, et cela devrait interpeller les acteurs de la vie politique, à commencer par le pouvoir en place qui devrait réfléchir à des réformes plus profondes que ce qu'il a annoncé pour redonner la parole et les moyens d'exister au Peuple. Le référendum d'initiative citoyenne par exemple, ou la création de sections ou encore établir le principe selon lequel tout élu est responsable devant ses mandants.
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J'en pense qu'à trois ans de l'échéance, une telle enquête n'est intéressante que pour les commentateurs politiques.
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Donner du temps d'antenne à un polémiste qui ne représente que sa personne alors qu'il a été condamné plusieurs fois est déjà contestable, mais le salarier pour lui permettre de répandre son discours d'appel à la guerre civile est une provocation, une complicité à cela. Enfin, tant que ça rapporte du pognon, il n'y a aucune moralité à avoir. Le cynisme à l'état pur.
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Le Conseil d'Etat a tranché : elles interviennent comme usagers, et sont dans leur droit. Il faut savoir aussi accepter que les uns et les autres usent de leurs droits. La laïcité ne consiste pas à cacher sa religion.
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J'entends par assimilation, l'idée de renier son origine, sa culture, et tout ce qu'on est, tout ce dans quoi on a grandi, pour se conformer à ce que voudrait une minorité (la droite radicale) dans la majorité (les Français "de souche"). Peut-être qu'il n'y a que sur le vocabulaire que nous sommes en désaccord. J'ai expliqué quelque part ce que j'entendais par intégration, qui est la voie que je préfère.
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Le problème étant que ce bout de tissu est utilisé pour accuser à tord un grand nombre de personnes de communautarisme. Communautarisme dont font d'ailleurs preuve beaucoup de ceux qui prétendent lutter contre.
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Pour vivre sur un territoire historiquement breton, je peux t'assurer que non. En témoignent le nombre d'écoles où on enseigne le breton dès le plus jeune âge, le nombre de plaques d'immatriculation et d'autocollants Breizh 44, le nombre de crêperies qu'on peut trouver sur Nantes, la popularité des festivals tels que celui de Lorient. Et il y a de cela 60 ans, on trouvait encore des gens qui ne parlaient pas français, seulement le breton. Et encore, le 44 n'est pas 29, et la Bretagne n'est pas la Corse. Imaginez la réaction des gens si en 2015 le gouvernement était allé au bout de sa logique et avait fusionné la Bretagne avec les Pays de Loire et la Corse avec PACA comme ils l'avaient envisagé. Non, les Bretons se sont intégrés, pas assimilés. Je ne veux pas parler au nom de cheuwing, mais comme il semble qu'on pense à peu près de la même façon, je m'autorise à me positionner à son côté. Au hasard, le fait de parler, polémiquer même, s'invectiver comme on le fait ici, et sur toutes les télés et radios qui font (ou prétendent faire) de l'information pendant des heures, tous les jours, au sujet de quoi ? D'un bout de tissu !
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Deux choses : 1) j'ignore qui rejette la faute les Français, je crois ne jamais les avoir lu ni entendu. 2) quel est le rapport entre le fait qu'on ait des problèmes intérieurs et le fait qu'on accueille ?
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Si vous voulez que j'écrive qu'incendier des voitures, c'est mal... et bien c'est fait.
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J'ai 28 piges. Je vous laisse faire le calcul. Ou simplistes ? Je l'ignore, je ne suis jamais allé en Algérie. Mais je suis allé en Tunisie, et ce n'est pas très comparable. Un bot aurait mieux formulé la question. Je m'abstiendrai de répondre, seuls les identitaires inexplicablement apeurés se la posent Encore une fois vous vous positionnez comme si la question était binaire. Ne faites pas semblant d'être un imbécile, vous avez parfaitement compris ce qu'il voulait dire.
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Je me pose une question, je n'y trouve pas de réponse. Ou plutôt, je suis partagé, je n'arrive pas à trancher. Peut-être pourrais-tu m'éclairer de tes lumières. A quoi bon te répondre ? Le pour : _ je refuse de laisser les forums et réseaux sociaux aux seuls réactionnaires qui y sont très largement sur-représentés _ j'ai mon orgueil _ on ne sait jamais, peut-être vais-je au moins parvenir à te faire douter de tes convictions _ le travail n'est pas si difficile en soi, il suffit de mettre tes arguments à l'épreuve des faits _ si une âme hésitante se promène ici, il faut qu'elle voit que tes avis bien tranchés et sans nuance ne reposent que sur de la fumée. Le contre : _ être exposé à des discours haineux, c'est comme travailler au milieu de l'amiante : c'est nocif _ je sais pertinemment que je ne te convaincrais pas, quant bien même j'appuierais mon argumentation sur des études sérieuses et toi sur des témoignages, voire sur des intox récupérées sur des sites identitaires. _ c'est fastidieux _ et quand ça dégénère en raccourcis et provocations, il faut faire attention à ne pas tomber dans le piège consistant à s'abaisser au même niveau _ j'ai fini par éprouver une certaine révulsion pour ton émoticône papy. Du coup je fais une pause, et je saurais peut-être comment réagir après.
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Alors proposons un contre-argumentaire plus pertinent, moins agressif et plus étoffé que ma réponse précédente. A votre décharge, la question formulée par le sujet est totalement binaire, n'offre aucune possibilité de nuance, et donc si on veut y répondre strictement, effectivement ça donne cela. De mon côté je suis un partisan de l'intégration. Ce qui signifie que chacun peut vivre au quotidien comme il l'entend, avec comme conditions d'apprendre la langue s'ils ne la connaisse pas, s'adapter à nos codes sociaux, respecter la loi et nos valeurs. Cela signifie également que la société a le devoir d'accompagner les immigrés à s'intégrer, en offrant des cours de langue de française, en construisant des logements, en proposant des formations, en distribuant le minimum vital à ceux qui sont hors d'état de travailler ou qui sont privés de travail temporairement pour des raisons conjoncture (ou de discrimination à l'embauche). Je ne reprocherais pas à un immigré qui de vouloir conserver ses habitudes et modes de vie, de continuer à aimer son pays d'origine, et donc de ne pas vouloir s'assimiler. Et je lui adresserais tout mon soutien moral lorsqu'il est victime de discrimination, si le fait d'être vu comme un étranger en arrive là. Ceci est parfaitement vrai, nous sommes bien d'accord. A vrai dire, je ne suis pas spécialement calé en ce qui concerne Nietzsche (pour ainsi dire, je ne le connais que de nom), je vous fais confiance le temps d'approfondir le sujet. Et il serait nécessaire d'approfondir le sujet pour pouvoir soit reconnaitre la pertinence de votre propos, soit contre-argumenter. En attendant, je dois reconnaître que le combat anti-raciste a trop fermé les yeux sur des choses inacceptables. J'ai le droit de critiquer l'islam comme j'ai le droit de critiquer toute croyance ou non-croyance. J'ai même le devoir, en tant qu'humaniste et féministe de condamner l'image rétrograde de la femme que proposent les plus radicaux, ainsi que les pratiques barbares telles que l'excision. Lorsque l'antiracisme s'hystérise autant que ses adversaires, il en vient à défendre l'indéfendable, à aller même contre son idéal. Ceci dit, le racisme reste une pourriture, un fléau qui gangrène notre société, et le combat anti-raciste doit continuer tant que le racisme sera présent. La bienveillance l'emportera sur la bête immonde. Voulez-vous dire par votre propos qu'une minorité dévoie la cause anti-raciste pour formuler des revendications illégitimes s'arroger des droits indus ? C'est bien probable, qu'elle y parvienne, j'en doute fort. Il s'agirait donc beaucoup plus d'une malhonnêteté intellectuelle de ces gens-là pour tenter de dominer. Là encore, je vais me permettre de faire un pas de côté. Avant cela (peut-être ai-je mal compris votre raisonnement), mais vous reconnaîtrez peut-être que dans ce cas, cela signifie que la majorité d'aujourd'hui est la minorité d'hier, et à ce moment là, nous pouvons en conclure que ses privilèges sont aussi illégitimes que certaines revendications de la minorité. Mais plutôt que de se positionner de cette façon, où on devrait à tout prix choisir un camp, et donc choisir d'affronter l'autre, ne peut-on pas envisager le vivre-ensemble ? Affirmer des "non" fermes aux revendications illégitimes de la minorités et défendre ses droits naturels dans le même temps. C'est ce que je tente de faire : je suis et j'étais favorable à la loi de 2010 portant sur l'interdiction du voile intégral, je refuse qu'on serve de la viande hallal dans les cantines scolaires publiques, je ne veux pas de prières de rues, je condamne l'excision, je ne veux pas qu'un musulman (ou qui que ce soit du reste) m'interpelle et cherche avec insistance à me convaincre que sa croyance est une vérité. Dans le même temps, je vomis le discours zemmourien qui n'a qu'un petit pas à faire pour appeler à la guerre civile, je vomis l'attitude du conseiller régional RN de Bourgogne-Franche-Comté qui humilie une femme voilée en pleine séance devant des enfants, je suis choqué qu'un ministre explique qu'un appel à la tolérance religieuse est un encouragement à l'islam politique. Encore une fois, je suis incompétent pour l'heure pour répondre sur Nietzsche, cependant, ce que vous formulez là, c'est la théorie du grand remplacement, qui ne repose que sur des cas isolés extrapolés en phénomène de société. Cette théorie, à laquelle Zemmour est acquis n'a donc rien de sérieux, et c'est pour cela que j'ai répondu de façon expéditive précédemment, et, je le reconnais, de façon assez agressive. Si la pertinence me manque parfois (comme à chacun d'ailleurs), je vous avoue que je ne peux m'empêcher de sourire face à ce manque de modestie.
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Ou au café du commerce en écoutant Eric Zemmour
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Et moi un usurpateur démasqué qui se débat péniblement pour ne pas couler.
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J'ai failli m'abaisser à vous répondre avec un commentaire du même acabit, mais j'ai été saisi d'un vertige qui m'a retenu, tant la profondeur du gouffre est abyssale. Vous méprisez la liberté de circulation des personnes, et quelque chose me dit que vous ne seriez pas hostile aux propositions ultra-sécuritaires et liberticides de politiciens tels qu'Eric Ciotti. Vous méprisez la notion d'égalité car vous voudriez réserver des droits à ceux qui vous ressemblent et les retirer à ceux que vous regardez de travers pour ce qu'ils sont. Vous refusez même cette idée car on lit dans votre discours qu'il existerait un gène vicieux chez les arabo-musulmans. Vous méprisez la notion de fraternité car vous voyez l'humain issu d'un autre peuple a priori comme un ennemi plutôt que comme un semblable. Vous méprisez la notion de laïcité car c'est en réalité aux seuls musulmans que vous voudriez ordonner de dissimuler leur appartenance religieuse, vous abritant d'abord derrière une vision anticléricale de la laïcité, puis en la voulant ouverte lorsqu'il s'agit du christianisme. Et par votre discours, comme beaucoup de nationalistes, vous pratiquez le funambulisme légal, où vous vous arrangez pour que tout le monde comprenne ce que vous voulez dire sans oser le formuler, car vous tomberiez sous le coup de la modération et de la loi. Et alors que vous méprisez, piétinez et bafouez les valeurs de la République, vous commettez la malhonnêteté de les usurper en prétendant les défendre. Va regarder juste au dessus, là C'est bizarre, c'est dans les coins de la France où on croise deux noirs et un arabe par an qu'on vote le plus à droite. Visiblement ce n'est pas dans les quartiers dont vous parlez ni à proximité qu'on est le plus hostile à l'immigration.
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Je parle de liberté, égalité, fraternité, laïcité. Ce sont les nationalistes et non les immigrés qui les méprisent.
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C'est drôle de voir que les nationalistes sont les premiers à bafouer la devise française. La réalité, c'est que l'immense majorité de ceux sur qui vous jetez l'opprobre vivent en harmonie avec la loi et nos valeurs.