Auger

Il n'a rien reconstruit du tout, il a mis le paquet de (notre) fric pour que ça se refasse vite. Ce type, avec son égo et son orgueil démesurés, me fait honte.

Tu as raison : qu'est-ce qu'on ne ferait pas (parfois) pour ne pas être seul(e)...

ça (me) fait froid dans le dos. L'impact que ce genre de chansons a eu sur les femmes de cette époque (et le reflet de la société que cela renvoie)

Non, effectivement : je ne me sens pas obligé d'être solidaire avec mes congénères du même sexe. Et je plains sincèrement beaucoup de femmes d'avoir à supporter et subir autant de choses... mais je comprends moins quand il y a de l'attirance pour ce genre de types : "il me fait ci ou ça....mais je l'aiiiiiiiiimmmmmmeeee !"...un mystère pour moi.

Un peu de provoc (encore que...) : c'est fou comme beaucoup de femmes sont attirées par les gros cons, à croire qu'il n'y a principalement que ça sur le "marché".

Tout à fait d'accord. Je m'en tiens à ce que je lis, à ce que je ressens. Et puisqu'on me demande mon avis sur ces éléments fragmentaires, subjectivement, je le donne.

L'enfant-roi devenu adulte : on lui doit tout, mais lui ne doit rien à personne.

Il me fichait vraiment la trouille : le Robert de Niro Français !

...et pas de chocolat !

Tant d'emphase après une vague "formation de fonctionnaire" qui évoque le cerveau reptilien... Trop drôle !

Je vais essayer de suivre les préceptes de notre bon Dalaï Lama et résister à l'immense frustration existentielle de ne pas être d'accord avec @Mite_Railleuseet toi ! Mais, sachez-le, mon cœur saigne !

Je ne comprends même pas que l'on puisse sérieusement envisager ne pas partager ma vision éclairée et universelle de l'existence.

Oui. Mais l'ambition était de mettre une "citation sympa", donc je pense n'avoir visiblement pas compris "l'essence" du sujet : réduire, simplifier, vulgariser, une façon d'envisager l'existence de l'être humain, au plan de sa liberté individuelle. Mea culpa

1) dans mon propos initial, j'ai précisé "...parfois" : évidemment, il y a moult situations où on n'a que peu de prises sur le "réel" (maladies, guerres, drames dont il est impossible de s'extraire,...) 2) mais, je l'avoue, j'ai voulu réagir de manière caricaturale à une interprétation qui me semblait tout aussi caricaturale du propos du Dalaï-Lama. On peut effectivement penser qu'on a une bonne partie de sa vie en mains, et c'est une bonne nouvelle, il ne s'agit pas de culpabiliser les gens en prétendant que tout est de leur faute (c'est là où je vois de la caricature) mais de prétendre qu'ils ont aussi la liberté (parfois grande, parfois infime, parfois nulle) de faire évoluer les choses, ou leur façon de les voir (et ça aussi, ça peut être beaucoup), par eux-mêmes. Je ne comprends pas pourquoi on réduit souvent la liberté individuelle d'agir sur sa vie (je suis d'accord que ça peut s'avérer extrêmement compliqué) à de la culpabilisation. Sinon, tout est réducteur, simpliste, débile ? "Aimez-vous les uns les autres" aussi ? (par exemple)

As-tu lu la deuxième partie de ma phrase : "...et il suffit parfois..." Mais peut-être as-tu raison : on n'a pas les rênes de sa vie en mains, tout dépend des autres, de la destinée, de la malchance...Comme on n'y peut strictement rien à titre personnel, je me demande s'il ne vaut pas mieux attendre et se laisser crever... Toujours prêt à élever le débat, hein ?

Oui, mais c'est aussi une chance : ton destin est entre tes mains et il suffit parfois de voir les évènements différemment pour en modifier le cours. Des trucs sympas ? C'est une sommité religieuse et spirituelle (qu'on adhère ou pas), pas un entrepreneur à la Elon Musk ou Xavier Niel, avec leur morale libertarienne à 2 balles...

Quand on dit "la pluie, ça mouille" (oui, un exemple d'évidence, volontairement bébête), je ne vois pas trop l'intérêt de prétendre le contraire, au nom de je-ne-sais-quel principe...

C'est pour ça qu'il faut - en tant qu'hommes (masculin, je veux dire) - se désolidariser de toute cette bande d'ordures, de queutards, de dominateurs, de prédateurs... qui ne pensent qu'à exprimer leur supériorité supposée avec leur petite quéquette. Tout comme j'aurais voulu qu'une certaine communauté se désolidarise d'actes terroristes proférés en son nom : mais cette communauté ne l'a (majoritairement) pas fait : elle s'en est lavé les mains. Et bien nous, en tant qu'hommes, faisons-le, justement (et pas que pour ça) pour ne pas être amalgamés collectivement. Il faut surexposer cette horreur, de mon point de vue.

Ah ? Je ne comprends pas ! Il fallait quoi pour que tout le monde s'unisse autour de cette femme ? Qu'elle soit torturée ? Qu'elle ferme sa gueule ? Qu'elle se rende compte que du sperme lui coule le long des jambes en se levant le matin (sinon, c'est qu'elle est complice, consentante !) ? Sérieux ?

Je vous lis et ça me rend bien triste : s'il y a un sujet sur lequel on devrait tous et toutes se rassembler, quelles que soient nos opinions politiques, nos sensibilités, nos valeurs, c'est bien celui-là !

D'ailleurs, Yuval Noah Harari lui-même est une IA...

Je n'avais pas pensé à ça, mais ça a du sens...

Je ne partage pas ce point de vue : ce que je constate vient de ma vie réelle, de la rue, des magasins, des salles d'attente, du métro... pas des réseaux sociaux.

La malveillance ne vient pas d'être découverte : c'est juste qu'elle semble aujourd'hui se propager à grande vitesse, se libérer, comme une pulsion mauvaise jusqu'à présent refoulée... Ce n'est que mon opinion, mon ressenti, évidemment.