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Tout ce qui a été posté par CAL26
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Tant que des administrations me démontrent qu'elles pensent à moi, je me sens aimé, même si leurs phrases sont médiocres : "n'oubliez pas nos étrennes", "vous habitez chez vos parents ?" ou "vous avez une belle voiture qui roule vite et vous avez jusqu'à hier pour régler la contravention". La poste n'était pas en excès de vitesse, hélas. Evidemment, la conscience professionnelle c'est comme le lactaire des saules réticulés. On ne le dira jamais assez.
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Encore le blabla du "c'était mieux avant", les gens étaient plus consciencieux, ils disaient bonjour à la dame avant de la violer ect... Cette estimation ne repose sur rien. Il y a toujours eu des je-m'en-foutistes et des travailleurs consciencieux et il y en a encore. Comme il est impossible d'avoir des statistiques sur la répartition de ces qualités, ce blabla n'a aucune valeur.
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C'est bien le problème: tu crées un sujet sans raison. C'est donc aux participants de lui donner un sens. Il n'est pas nécessaire de développer ce que j'ai dit, je ne suis même pas le créateur du sujet. Mais disons qu'un des problèmes majeurs avec la psychanalyse c'est de distinguer le normal et le pathologique : la projection est, selon l'histoire de la théorie, un mécanisme présent très précocement dans le développement psychique humain (au stade schizo-paranoïde ), qu'il est présent dans les névroses dont souffre l'immense majorité qui se croit en bonne santé (donc avant d'avoir été psychanalysée) mais dont le fonctionnement archaïque reste envahissant dans la paranoïa. Or, en dehors du fonctionnement affectif un peu déviant (lors de la névrose), comment distinguer la projection et la subjectivité ? Pouvons-nous tout simplement être objectifs ? Et si le fonctionnement du psychisme humain ne permet pas l'objectivité, comment distinguer ce qui serait un mécanisme de défense du fonctionnement nécessaire du psychisme ? L'approche clinique plus que spéculative permet de nuancer dans cet imbroglio. Mais je ne suis pas clinicien et il y en a très peu me semble-t'il sur le forum. Donc je voudrais quand même savoir pourquoi exactement tu as créé ce sujet ?
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Apparemment @Lowy avait besoin de cette précision et je te signale que je répondais à sa réponse. Le mécanisme de projection qui a été conçu par la psychanalyse, apparemment repris et un peu modifié par la psychologie sociale est un sujet pointu, très complexe, notamment quand il s'agit de déceler ce qui relève réellement de ce mécanisme mais surtout pour distinguer ce qui dans sa présence pourrait relever du normal ou du pathologique . Or l'article est très bref et la créatrice du sujet n'en dit pas plus.
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Depuis la création du forum, il y a des créateurs de sujets, et notamment en philosophie, qui ne se contentent pas de poster un lien vers un bref article mais qui proposent des directions pour qu'ensuite chacun vienne débattre ou plus largement s'exprimer. Là je le répète tu ponds un lien sur la projection, et tu n'en dis rien. Je dois dire que ça m'énerve, notamment en philosophie, les forumeurs qui (j'ai déjà utilisé l'expression) nous lancent une baballe.
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Certes il n'y a pas d'espace consacré à la psychologie, mais ta manière de présenter le sujet (tu te contentes de pondre un article, disons de reprendre ses termes et de le mettre en lien) fait que tu aurais pu le créer dans "société". Quelle problématique proposes-tu à partir de ce mécanisme de défense? Doit-on considérer qu'on est dans une auberge espagnole et que chacun apporte ce qu'il veut et éventuellement un vécu personnel en lien avec la projection ?
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Tu était épidémiologue bénévole bien avant qu'il y ait le vaccin. Dés les premiers confinements. Au niveau du président brésilien Bolsonaro (un visionnaire) minimum . Et tu n'as jamais été rémunéré.
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La tendance est la même en dehors de Tik Tok pour l'ensemble de la médecine : les internautes ont un accès très facile à des descriptions de symptômes et de maladies et donc aux liens entre les deux. Les raccourcis sont donc dans ce cas faciles à faire mais cette tendance est seulement amplifiée par internet et les réseaux sociaux. Les informations sur les troubles mentaux se diffusent de plus en plus et ce qui se passe avec la médecine générale se passe aussi avec les troubles mentaux. Ce qu'il est essentiel de rappeler avant d'identifier un trouble ou une maladie mentale c'est l'intensité des symptômes, l'ensemble des symptômes forcément liés au dysfonctionnement sous-jacent et les diagnostics différentiels tant les maladies ou troubles mentaux peuvent se chevaucher. La première étape, comme un professionnel l'a rappelé dans un des articles mis en lien, c'est d'évaluer l'impact du ou des symptômes que l'on détecte sur notre vie quotidienne.
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Tu as pourtant été un épidémiologue bénévole de très haut niveau sur le forum dés que le coronavirus est devenu une pandémie.
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Les Japonais porteront-ils tous le même nom de famille dans 500 ans ?
CAL26 a répondu à un(e) sujet de sovenka dans International
Il est possible que cela diminue le nombre noms de famille en circulation (ou plutôt le nombre "d'occurrences"). Pour en arriver à un seul nom je ne vois pas pourquoi mais c'est pourtant clair : https://think-name.jp/assets/pdf/Sato_estimation_yoshida_hiroshi.pdf -
"pas queue" c'est un résumé ?
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Maintenant on sait lire dans les os .
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Mais en ce moment c'est pas cher. Une grosse différence de prix seulement pour une voyelle.
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Grégory, Emile... des gloires sûrement moins éphémères que celle du petit Jordy disparu de la scène médiatique. La vie est cruelle.
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Association anti-spéciste et lapin de Paques
CAL26 a répondu à un(e) sujet de SpookyTheFirst dans Société
Il ne faut pas non plus manger du poisson . -
C'est vrai y en a marre ! Au lieu des invitations à donner pour les causes, il faudrait des invitations à donner pour les conséquences. Ce serait bien que des services de nettoiement soient financés pour qu'on ne voit plus les affamés, les vieux, les enfants malades ou les pauvres.
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Je l'ai déjà écrit dans ce topic et notamment dans mon message de présentation, donc tu as dû le lire le "en quoi" je trouve "vouloir devenir la meilleure version de soi-même" intéressant. Alors je répète que je trouve l'idée bancale : "la meilleure version de soi-même", mais si on ne reste pas buté sur une première impression, on peut se dire (personnellement j'ai pu) qu'elle permet de globalement ne pas orienter sa volonté, ses envies, ou son "idéal du moi" conçu par la psychanalyse vers les modèles de vertu ou de qualités que nous impose la société, mais de se mettre en paix avec notre singularité tout en essayant de réduire ce que l'on n'aime pas en soi. Donc cette idée renvoie pour moi au libre arbitre. Alors que même les neurosciences, par le champ de leurs recherches, ne laissent plus aucune place au libre arbitre individuel, je pense que des projets de vie comme "devenir la meilleure version de soi-même" lui en laisse une dans un temps long avec comme outils l'autocritique mais aussi l'indulgence et la volonté "d'aller toujours mieux" ou de "ne pas aller plus mal". Là nous pouvons redevenir un sujet mais qui sait qu'il n'est pas tenu d'atteindre ses impossibles.
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Si vous aviez donné, à votre enfant, le nom de votre envie de grossesse..
CAL26 a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Inclassables
"Nausée" aurait été un prénom original et propice. Certes ce n'était pas une envie mais un bon résumé et un rappel permanent de ta grossesse. "Vomir" pourrait être considérée comme une envie, mais je ne sais pas si le prénom aurait été accepté à l'état civil. -
Ce serait bien triste d'être la meilleure version de soi-même et je crois d'ailleurs que soit ce n'est pas possible soit c'est absurde. Ce que je trouve intéressant c'est vouloir le devenir.
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Tu vas peut-être penser que je m'acharne contre tes blagues, mais tous les ans on a des génies qui pensent mériter le premier prix du concours Lépine en se marrant sur un air de "la fête de la procrastination je la fêterai demain" ! Vous êtes élevés en batterie ou quoi ?
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Ce n'est pas du tout ma perception de "la meilleure version de soi-même", c'est,comme je te l'ai déjà écrit, plutôt l'inverse. Il s'agit de ne pas être parfait mais d'essayer de réduire nos défauts qui nous gâchent la vie parce que nous sommes les premières victimes de certains de nos défauts (pas de tous). Cette vision du principe certes bancal "la meilleure version de soi-même", est peut-être révélatrice des subjectivités. Personnellement je suis arrivé à être plutôt en paix avec moi-même et je relativise totalement cet objectif qui n'impose rien à personne mais qui peut être une aide à se sortir des modèles de vertu qu'on a intériorisés comme idéaux. Le principe est bancal parce qu'en fait c'est aberrant "la meilleure version de soi-même". On n'est pas défini à priori sans quoi nous serions tous dans des voies sans issue. Notre évolution continue nous redéfinit sans cesse. Mais il nous permet d'envisager que notre histoire (biologique et sociale) nous a singularisés et qu'il ne sert à rien de vouloir atteindre un modèle de perfection, pour être de son mieux pour soi.
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Ou qu'est-ce que l'identité ?
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Je ne sais pas si nous "pensons mal" et je ne sais pas vraiment ce que ça signifie, mais nous sommes des animaux.
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Rien à voir avec ma réponse. J'utiliserais la formule de @Axo lotl pour rappeler qu'un trouble de la personnalité ou qu'une maladie mentale peuvent être guéries. Or et, premièrement, la personne qui guérit reste la même personne, elle conserve son identité mais elle n'est plus "psychopathe", mythomane ou pyromane, et c'est aussi l'occasion de dire qu'on n'essayerait pas seul d'être "la meilleure version de soi-même", mais aussi avec l'aide de la société. En l'occurrence, pour ceux qui souffrent d'une maladie mentale, notamment avec l'aide de la psychiatrie, mais la psychiatrie sans la volonté du patient est toujours vouée à l'échec.
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Si, nous sommes des animaux et il ne s'agit d'harmonie des pensées qu'en ce qu'elles seraient en harmonie avec le mouvement que créé ou subit notre cerveau.