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CAL26

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Tout ce qui a été posté par CAL26

  1. Oui mais ce n'est pas un qcm avec "oui-non". Le titre c'était juste une première présentation. Maintenant si tu veux en rester au "oui/non", tu t'es exprimé, merci.
  2. J'aurai peut-être dû préciser qu'il s'agissait surtout de se comparer avec qui on était quand on était jeune adulte (ne partons pas de l'état embryonnaire ou du bébé à 4 pattes, du gamin qui apprend à dire bonjour à la dame...) Et ma présentation précisait bien "si oui, dans quelle mesure, quel en a été le ou les moteurs". L'idée c'est de se demander ce que chacun a appris de ses expériences.
  3. Si chacun a une constante c'est d'être lui toute sa vie, on n'a pas d'autre choix (disons on n'a aucun choix là dessus). Mais avec l'âge, les épreuves ou les expériences de vie, on peut parfois estimer que tout en étant le même, on est un peu différent de qui l'on était. Pensez-vous avoir changé et dans quelle mesure ? Si oui, quel en a été le ou les moteurs ? Et avoir changé certes, mais en mieux ou en moins bien ?
  4. C'est parce que le mot sagesse a beaucoup de connotations : le terme peut signifier attitude modérée (être sage comme une image) ; la sagesse peut également être un idéal, telle la sagesse bouddhiste ; on peut utiliser le terme pour qualifier un jugement, une pensée très rationnelle ; mais il est aussi utilisé pour désigner un savoir et savoir-faire : le métier de sage-femme désigne bien un savoir et savoir-faire de la grossesse et de l'accouchement. Socrate d'ailleurs a utilisé le terme maïeutique synonyme d'accouchement pour désigner sa méthode de questionnement philosophique. Il y a dans toutes ces utilisations une notion de prudence (jusqu'à la maïeutique de Socrate qui repose sur le doute) jusqu'à une sorte de pureté dans le terme sagesse utilisé comme idéal. Mais pour que cette prudence ne devienne pas de l'immobilité, elle doit être associée à de la réflexion et du savoir.
  5. Présomption d'honnêteté à cette heure. Mais outre l'invraisemblance d'une telle aventure, ce qui étonne encore c'est que cette histoire aurait son aboutissement en 1956. Alors comment se fait-il qu'on en n'ait jamais entendu parler, tant ce serait édifiant ? Un enfant de 6 ans et l'autre de 4 ans, isolés de la civilisation, qui parviendraient à survivre pendant 7 ans en France, ce serait l'équivalent de "l'enfant sauvage" et donc un questionnement fondamental.
  6. C'est pas mal, il risque de faire beau. C'est mieux de finir au printemps ou en début d'été.
  7. Un forum généraliste a un large panel et c'est ce que j'aime. Un sujet profond, c'est donc un sujet qui n'est pas à la surface, qui ne propose pas de traiter de ce qui saute aux yeux (les faits divers, la météo, le collyre...) Les sujets les plus profonds sont ceux qui surprennent, nous secouent dans notre vision du monde par l'angle qu'ils proposent. C'est donc une vocation essentielle d'un forum comme celui ci. Pas nécessaire de se baser sur une grande érudition, mais simplement un questionnement qui nous apparaît nouveau suffit.
  8. Le bonheur ressenti par notre altruisme est une conséquence, pas un moteur ou un but. Quand on on a soulagé la souffrance ou sauvé une vie, on ressent une plénitude (je généralise mais je pense que c'est assez partagé) simplement parce qu'on a été très utile et actif.
  9. Pourtant, j'en rêve : Môman, tu devineras jamais ce que je suis entrain de faire !
  10. Non la couture n'est pas réservé au femmes et l'entretien d'un terrain réservé aux hommes. Là ce sont des stéréotypes sans valeur pratique.
  11. Oui elle peut-être exceptionnellement dans l'autre sens mais je parlais de majorité : majoritairement, globalement, généralement les hommes ont plus de force physique que les femmes. Mais je n'ai pas connaissance de métiers majoritairement féminins qui ne pourraient pas devenir majoritairement masculins.
  12. Encore une fois, t'as rien capté au film! @Pratika en guise de manifeste avertit que les femmes pourraient arrêter de faire des enfants mais @izbrizan a rappelé que faire des enfants nécessitait la contribution des hommes et des femmes. N'étant pas un monopole féminin, chacun pourra décider de stopper la survie de l'humanité.
  13. Concernant les métiers, aucun de ceux très majoritairement féminins ne pourraient être majoritairement masculins. L'inverse n'est pas vrai pour les métiers qui demandent beaucoup de force physique, différence incontestable entre les hommes et les femmes.
  14. Non tu n'es pas voyant parce ce que je ne me déteste pas et ce sûrement grâce à mes parents, mais j'ai découvert par les circonstances que rien ne m'épanouissait plus que d'aider les proches (dans mon cas) les plus en détresse. Et je dis ça en parfait égoïste, ne me remerciez pas et n'allez pas non plus me balancer aux autorités.
  15. Je n'ai jamais dit et le sujet ne le dit pas non plus que le bonheur pouvait se décréter, n'importe quoi. Et j'ai déjà dit dans ce topic que je considérais la sagesse comme une quête perpétuelle, pas un point de vue. Par ailleurs si tu penses que la sagesse n'est rien, qu'est-ce que tu viens faire en philosophie qui ne recherche que cela, que ce soit dans le sens originel de savoir, de vérité ou dans un sens plus contemporain ?
  16. Tu restes bloqué sur les associations ou chaque bénévole n'a qu'un petit rôle, certes utile, mais qui n'a pas grand chose de vraiment gratifiant. L'altruisme est plus large que ça et accompagner des personnes en grande détresse peut être épanouissant. C'est ce que personnellement je ressens alors est-ce seulement un trait de ma personnalité ou peut-on un peu généraliser ce fonctionnement, je ne sais pas mais je ne me censure pas non plus.
  17. Non je ne parle pas du bonheur apporté aux autres mais de son propre bonheur parce que je pense que l'altruisme, le véritable altruisme, peut apporter du bonheur à celui qui donne, qui aide.
  18. Non, je ne pense pas que les apparences de l'altruisme contribuent à son propre bonheur parce que dans ce cas, intimement, on est seul. Une bonne image en société est très éphémère et rejoint en cela le drame intime des gens célèbres par le seul divertissement.
  19. On peut-être malheureux en étant sage (en supposant que ce serait un état) si par exemple on a de graves problèmes de santé ou sociaux. Mais il s'agit de se demander si la sagesse facilite son propre bonheur, donc disons toutes choses égales par ailleurs. Pour reformuler la question, est-ce que la sagesse contribue au bonheur ?
  20. Mais en fait celui qui est dans une association d'aides pour se délecter de voir les autres dans la merde, il est dans son coin, il ne bénéficie pas de l'altruisme qu'il n'a pas, mes bien chers frères, mes bien chères soeurs.
  21. J'ai eu peur en lisant le titre, j'ai cru qu'en quelque chose la femme pouvait réellement être supérieure à l'homme. En fait c'est la supériorité de la tortue géante sur l'élégante gazelle ou du baobab sur la rose ou le lys (et j'oubliais, la supériorité du caniche au comportement d'epilepsie permanente sur le labrador).
  22. Oui je n'ai pas dit le contraire et c'est pourquoi j'ai lié plus de sagesse avec plus de bonheur, ce qui serait incompatible avec du tout ou rien. Mais ce que je disais c'est que ni la sagesse ni le bonheur ne sont des acquis. Je n'ai pas non plus dit que vouloir être utile aux autres c'était vouloir leur apporter du bonheur, mais c'est se procurer à soi-même du bonheur d'être utile aux autres, c'est quelque part une forme d'égoïsme, un égoïsme altruiste (gagnant-gagnant mais en gagnant plus nous-même). J'ai proposé un développement qui essayait d'être cohérent alors ce serait sympa de ne pas le découper en tranche pour en faire une suite de citations ce qui engendre du contresens.
  23. La sagesse implique de voir loin et sur le long terme, de mettre en perspective et donc de relativiser. Elle est donc très liée à la prise de distance mais qui ne signifie pas l'indifférence, bien au contraire. Le bonheur au quotidien ne peut pas être permanent mais il va de pair avec une constance qui nécessite une maîtrise. Or cette maîtrise (dans sa relation personnelle au monde) est l'autre face de la sagesse. Donc si la sagesse ou plutôt sa quête (c'est toujours une quête) est aussi une quête du bonheur. Le but n'est évidemment jamais atteint notamment parce qu'il se poursuit durant toute notre vie. Mais plus de sagesse c'est forcément plus de bonheur toutes choses égales par ailleurs. Et c'est aussi une forme de sagesse de vouloir être utile aux autres même si pour cela il faut faire face à leurs malheurs et c'est une autre source d'épanouissement. Le bonheur seul dans son coin, en égoïste n'en n'est en fait pas parce qu'il ne dure pas et qu'il n'a pas non plus de distance.
  24. CAL26

    En vouloir à un mort

    Oui le sujet n'était pas le suicide. Allez savoir pourquoi, j'ai trouvé ces messages dès la première page du topic. Désolé d'être tellement hors sujet. Je vous laisse participer au sujet sans parler de suicide et sans citer un seul grand auteur (il y a des sujets pour cela, les autres l'interdisent).
  25. CAL26

    En vouloir à un mort

    Non l'auteur ne m'a pas demandé de revenir au sujet, que j'ai abordé, elle m'a dit de le relire alors qu'elle même a notamment évoqué le cas du suicide comme source de rancoeur. J'ai toujours abordé le suicide (réussi) en lien avec la rancoeur qu'il pouvait engendrer chez les proches alors je ne vois pas quand j'ai manqué de respect à l'auteur.
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