CAL26

Ce n'est pas le lieu pour jouer aux devinettes. Le point de départ c'est ta réponse "le choix des autres c'est un autre au bout de la seringue". Or si celui qui est euthanasié a choisi de l'être il n'engage avec lui qu'un médecin qui a choisi également de pratiquer l'euthanasie. Tout le monde étant consentant, on est bien dans le choix qui est actuellement empêché en France notamment par ceux qui sont contre l'euthanasie et qui imposent leur diktat. Alors arrête 2 secondes tes messages mystérieux et part clairement de ce que je dis si tu veux me répondre en argumentant si tu peux le faire.

Mon message était pourtant simple et très clair. Vu que tu as dit :"Le choix des autres c'est un autre au bout de la seringue..", j'ai rappelé que celui qui est au bout de la seringue (le médecin pour une euthanasie) est volontaire pour y être. Par ailleurs le suicide assisté n'inclus pas un geste euthanasique d'un médecin. Il n'y a pas de place à l'interprétation, juste l'effort de lire et de comprendre mais que tu ne fais jamais.

Quand tous les colocataires jouent du piano debout.

Non, je les utilise. Ils me semblent indispensables pour un débat.

Un autre qui a choisi (personne ne peut être obligé à faire un geste euthanasique). Et concernant le suicide assisté personne d'autre n'est au bout de la seringue.

Globalement sur la question de l'euthanasie ou du suicide assisté personne ne peut avoir raison ou tort. Mais que ceux qui sont contre l'euthanasie ou le suicide assisté n'aient pas raison dans les faits en empêchant le choix des autres.

Tu es vraiment IDE ? Si la réponse et oui et si je ne me base que sur tes messages que j'ai cités, j'en frémis pour les patients que tu traites. Donc je ne ferai pas le même effort que @Mite_Railleuse pour entrer en discussion avec toi, ça me semble inutile.

C'est de la pure mauvaise foi ou de la pure bêtise. Mais ce message, c'est de la pure.

Je ne sais pas si tu me fais un "procès d'intention" (désolè j'ai pas trouvé moins ronflant comme expression), mais tu es totalement à côté de la plaque. D'ailleurs je ne sais pas vraiment ce que sont des "phrases ou mots ronflants", j'ai juste répondu à ton message qui venait nous apporter la vérité, le bon sens ("la morale c'est ça") en méprisant le travail des philosophies de la morale. C'est également très orgueilleux et suffisant de mettre en avant "ce qu'on a compris soi-même" au détriment de "ce qu'on semble avoir compris des autres". Très souvent d'ailleurs les deux se mélangent parce que ce qu'on croit avoir compris seul est très largement influencé par notre culture (le simple fait d'utiliser le langage pour penser fait un lien avec l'histoire de la culture dans laquelle on a vieilli) et on fait forcément une interprétation de la pensée des autres quand on fait l'effort de la comprendre. Au final cette discussion dans le sujet n'a aucun intérêt.

"la morale tient en quelques mots" ? Je ne vois pas en quoi la maxime que tu cites arrive à définir la morale. Elle me semble d'ailleurs source de beaucoup de chaos si on l'applique : partant d'elle la morale du masochiste qui aime qu'on lui fasse du mal gratuitement pourrait ne pas plaire à tout le monde. Pensons aussi aux valeurs d'intégristes religieux et kamikazes qui veulent bien mourir en martyr, ta conception de la morale leur donne raison d'avoir tué parce qu'il n'ont pas fait ce qu'ils ne voulaient pas qu'on leur fasse. Ton approche simpliste pourrait plus convenir à une définition de l'empathie (je ne fais pas souffrir un semblable parce que j'ai déjà ressenti la souffrance et je ne veux pas être l'auteur de cette sensation désagréable). Or l'empathie n'est pas la morale, elle est juste une base psychique qui permet d'assimiler des règles morales. Les règles morales quant à elles nécessitent un consensus très complexe à obtenir. Tu considères peut être ça comme du baratin mais cette complexité, cette recherche du sens, les philosophes ont consacré leur vie à les travailler. Si tu veux contester leur légitimité commence par bien les lire et faire un travail équivalent au leur. Après tu pourras nous pondre de meilleures assertions méprisantes.

La majorité de ceux qui se disent antisionistes ne font pas partie du Hamas (dans mon message que tu as cité je parlais de la plupart des antisionistes pas de tous). La connotation nouvelle qu'a prise le terme est politiquement essentiellement même si tu considères que ce n'est que du politiquement correct (peu importe le signifiant il n'existe que par le sens qu'on lui donne).

Le sionisme est une question de politique internationale, de géopolitique. C'est totalement à distinguer de l'antisémitisme qui A comme seule motivation la haine vis à vis d'une culture et de l'histoire d'un peuple. Je ne pense pas que la plupart des antisionistes, maintenant qu'Israël est un état souverain, en appellent à sa disparition mais plutôt la restitution de territoires annexés : le sens du terme antisionisme a évolué.

La cause que j'évoque ne revient pas à perturber des convictions même quand elles sont opposées aux miennes mais qu'elles soient rationnellement défendues, argumentées. Avec @Morfou et tant d'autres il semble impossible d'avoir un débat ou une discussion un peu rationnels.

Tu fais un bel effort et c'est courageux de ta part. Mais certaines causes sont désespérées.

La lobotomie peut-être.

Il y a un antisémitisme d'extrême droite (c'est celui qui était en vigueur dans les années 30 et jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale et perpétué notamment par le front national aujourd'hui appelé rassemblement national) mais aussi d'extrême gauche (ou tout simplement de gauche) qui lie le judaïsme et la finance internationale, le capitalisme et leurs dérives et maintenant qui amalgame aussi sémitisme et sionisme. D'ailleurs, Soral et Dieudonné ont été politiquement à gauche puis se sont rapprochés de l'extrême droite mais en conservant leur idéologie antisémite.

Encore une fois tu dis n'importe quoi. @Pheldwyn ne cesse de répéter qu'il combat l'islamophobie et tu continues à assimiler ça à la défense de l'islam ce qui est totalement différent. Et contrairement à la communication que fait LFI, il est aberrant politiquement et philosophiquement de participer à la manifestation de soutien au peuple palestinien et de refuser de participer à celui contre l'antisémitisme (ils font le même type d'amalgame que toi : combattre l'antisémitisme = sionisme).

Ouaf Ouaf, c'est ton vrai prénom ? !

Tu nous as créé un nouveau brouillard dans un débat d'actualité. A priori il me semble surtout cynique de régulariser des immigrés clandestins pour la seule raison qu'ils occupent un métier en tension. Pourtant ça ressemble à l'histoire de l'immigration contrôlée par la France : faire venir des immigrés (il ne s'agit pas dans cette occurrence d'immigrés clandestins)uniquement pour occuper des emplois dont les français ne veulent pas. Ensuite il s'agissait de dire aux immigrés ainsi arrivés qu'ils venaient manger le pain des français (mais c'est une autre histoire). Outre la question politique et les principes bafoués, se pose la question économique : est-ce qu'augmenter la population pour occuper des emplois non occupés fait réellement baisser le PIB par habitant ou la productivité de l'économie d'un Etat ? Bien sûr si on oblige des chômeurs français à occuper ces emplois il n'est pas nécessaire d'en appeler à l'immigration (directement ou indirectement). Mais comme on ne peut pas obliger des citoyens à occuper un emploi dont ils ne veulent pas ou qu'ils ne peuvent pas occuper, convient-il de laisser ces emplois vacants ? Les emplois vacants ont un impact plus néfaste sur un système économique que d'ajouter un habitant pour l'occuper. Et si le PIB ainsi produit est suffisamment investi pour le moyen ou long terme, il finit par profiter à l'IDH.

Il serait tôt que tu ne m'appelles plus @VladB! Toute une vie pour en arriver là, merde quand même.

Oui un document historique en atteste : " Il était une fois un roi qui avait deux filles. La fille ainée était très laide et très méchante, elle s'appelait Jennifer et elle avait un cœur de fer. La cadette était belle et gentille. Elle s'appelait Camomille... "

Mais je ne pense pas que ça concerne tous les malades (il me semble que toutes les personnes ayant Parkinson n'ont pas un trouble de la marche). Je croyais que l'âge moyen du diagnostic était plus précoce que ça (plutôt 50-60).

L'implant corrige un symptôme qui est résiduel mais effectivement très invalidant. Il ne s'agit pas loin de là de soigner la maladie de Parkinson mais d'ouvrir une piste supplémentaire pour mieux traiter les troubles psychomoteurs liés à la maladie. Oui, rien à voir avec Alzheimer.

Ma réponse n'avait rien de politique, c'était juste une taquinerie car la question de lancement est "Comment chacun à notre niveau pouvons-nous contribuer à la défense de la langue française ? ". Et la bonne cause c'est la défense de la langue française pas spécialement la cité inaugurée.

Personnellement je ne peux pas injecter 210 millions d'euros dans l'école et même si c'est pour une bonne cause.