CAL26

C'est pour cela qu'il y a des corrélations.

Elle est présente à tous les niveaux de la société mais elle n'est pas également répartie.

Pas forcément et c'est pourquoi je parles de corrélation. Mais globalement l'indifférence à la souffrance animale, tout comme la violence, ont tendance à être plus présentes chez ceux qui manquent de culture ou dont le QI est faible.

Il manque la présentation d'une problématique ou une vraie présentation qu'aurait faite la créatrice du sujet, un début d'analyse pas simplement des points d'interrogation, ne fait pas le malin. Si j'ai dit que le sujet avait été créé sans raison, c'est en partant de la réponse de @Lowyà mes premières remarques. Si tu lisais un peu, tu verrais que j'ai en fait répondu au préalable à la "mauvaise foi" dont tu fais preuve ici.

Après la seconde guerre mondiale, en France, il y avait déjà une mode "le passé c'est le passé" et au 17ème siècle une querelle opposait les anciens et les modernes ces derniers, notamment auteurs de théâtre et intellectuels avant l'heure, voulant s'affranchir de la tutelle de auteurs antiques. Comment peut-on réellement rendre concret ce laïus récurrent sur la perte de culture générale ? La culture générale évolue et rien ne permet de dire sérieusement qu'il y a une perte dans ce domaine tant la notion est polymorphe et insaisissable. Tout comme "les niveaux qui baissent " (!), il faudrait d'abord avoir une précision sur les dits niveaux, savoir comment on a mesuré cette baisse s'opposant notamment à la seule mesure du niveau scolaire en primaire et secondaire de 1960 à 2020 et qui montre une hausse constante jusqu'en 2010 puis une légère baisse depuis 2010. Rien ne me semble donc sûr mais il s'agit pourtant de certitudes "voulues, programmées", tant Jean-Paul Brighelli, entre autres mais des plus célèbres, ne cesse de le dire et de l'écrire pourtant assez maladroitement sauf la syntaxe qu'il maîtrise parfaitement.

Oui Socrate n'avait pas lu tout Socrate avant de ne pas écrire. Mais la philosophie a émergé assez tardivement dans l'histoire des civilisations, alors qu'on peut supposer que les sujets qu'elle a abordés questionnaient déjà les humains depuis des millénaires. C'est donc une démarche intellectuelle spécifique qui demande une initiation.

Je pense qu'il faut avoir quelques références philosophiques pour philosopher. Une base est indispensable pour mener ce travail assez spécifique. Mais il y a également les bases du raisonnement verbal à intégrer : argumenter, nuancer et faire preuve de flexibilité mentale. Alors s'il n'est pas nécessaire d'être diplômé en philosophie pour philosopher, posséder certains repères me paraît essentiel.

Un réseau social comme ce forum serait très adapté pour des échanges philosophiques et il existe encore des forums spécialisés de philosophie. Mais effectivement peu d'effort est fait ici ne serait-ce que pour sortir des affichages d'opinions, d'acceptation de la controverse, du débat...alors la philosophie y a très peu de place.

Je pense que la philosophie a perdu une partie de la place qu'elle avait par les progrès considérables qu'a fait la science. Les philosophes de l'Antiquité étaient des savants qui par le raisonnement verbal abordaient tout autant le "comment" (qui est maintenant plutôt le domaine réservé de la science) que le "pourquoi". Si je ne me trompe pas le "logos" proposait une autre approche du monde que le "mythos", tous deux expliquant et donnant du sens mais le logos utilisait le raisonnement et le mythos s'appuyait sur des récits. Or, le triomphe de la science est très récent : il débute vers le 18éme siècle. Donc la philosophie à laquelle on se réfère généralement quand on veut suivre le développement de la pensée, c'est forcément celle de son âge d'or qui s'impose.

Pas du tout. Mais le manque de conscience de la souffrance animal ou la négligence de celle-ci est corrélée (sans désigner un lien de cause à effet) à la pauvreté intellectuelle.

Une réflexion profonde pourrait montrer que la lutte contre la maltraitance animale et contre la maltraitance animale sont au minimum corrélées.

Le recteur de la grande mosquée dit n'importe quoi. J'espère que l'association L214 obtiendra gain de cause. Marre des dérogations pour la corrida ou pour l'Aïd : priorité absolue à la lutte contre la maltraitance animale.

Sois poli ! Tu aurais pu dire un gros boul! Et t'as même pas dit que les attaques terroristes c'était pas bien : tu vas encore te faire virer.

Pourtant tu te caches derrière ton gros D.

Moi je croyais qu'on aurait affaire à des pros des blagues de Toto. Soyons sérieux.

Tu t'es encore fait virer, Jackk ? Apparté furtif car je ne voudrais pas perturber le topic; Je relance le débat "c'est l'histoire de Toto qui passe son permis..." (ça recommence très bien, j'ai hâte de voir la suite).

Oui.

Participer à un massacre fait au nom de la défense de sa communauté n'est pas une fatalité. Ce que tu appelles l'universel, je l'appelle l'humanisme et les humanistes voient l'appartenance à une communauté moins essentielle que l'évidence d'être un individu ayant son identité faite de multiples identités. Et la France n'est pas qu'un peuple colon. Il a aussi dans son histoire Montaigne, les philosophes des Lumières et Camus. C'est sûrement plus en lien avec l'humanisme que d'avoir été colonisateur.

Où ai-je dit que c'était un drame ou qu'il y avait du mal à ça ? Ce serait d'ailleurs absurde de le dire. Mais c'est un divertissement, un embellissement si tu préfères. Et c'est effectivement considérable.

Je ne sais pas à quel point ce pouvoir peut être considéré mais il n'empêche pas que l'on meure. Et les musiciens du Titanic aussi ont choisi la façon de mourir. Notre position de sujet est un divertissement et c'est considérable, effectivement.

Bon, on est peut-être l'équivalent des musiciens du Titanic qui jouaient encore.

Comme Michel Petrucciani qui n'a jamais fait de sport à cause du décathlon.

Il serait donc transcendant, inaccessible à tous nos sens (dans tous les sens du mot). On peut donc simplement l'imaginer et attendu qu'il n'y a de sens que ceux que nous pouvons avoir et donner, disons que la vie n'a pas de sens. La vie nous oblige à être agnostiques.

Il faudrait d'abord se demander ce que signifie "avoir de la valeur". Cette notion est très humaine et sociale, elle n'existe pas en dehors de nos sociétés. Ce qui a de la valeur ne relève pas des besoins fondamentaux (respirer, boire, manger ne sont pas des valeurs) mais de ce qui est contingent et devient nécessaire pour le bien vivre ensemble. Cependant c'est bien la vie qui impose ses règles dans les besoins fondamentaux (respirer,boire,manger sont vitaux). En cela la vie ne peut pas être considérée comme une valeur. Mais si on consent que ce qui a de la valeur est ce qui est réellement important pour l'ensemble des humains, au-delà du superflu, la vie étant nécessairement une matrice, la base et le réel objectif de nos sociétés, elle est la valeur capitale. Donc la vie n'est pas une valeur tant elle nous impose ses besoins. Mais elle est la valeur suprême tant elle est l'objectif à atteindre au delà des apparences. C'est ainsi que je considère qu'elle englobe toutes les valeurs mais qu'elle constitue un cercle qui n'a donc pas de sens.

"Une ville : Agglomération relativement importante et dont les habitants ont des activités professionnelles diversifiées. Le village rassemble une population généralement agreste. Les dimensions ne font rien à l’affaire puisqu’il existe de petites villes bien moins importantes que certains gros villages. Ce n’est donc pas la quantité d’habitations ni le nombre d’indigènes qui qualifient l’agglomération. " Donc pas tout à fait les activités professionnelles diversifiées sont actuellement aussi dans les villages qui ont maintenant, généralement très peu d'agriculteurs. Les dimensions ou population d'une agglomération ont généralement un rapport pour le nom" ville" vs "village", le seuil de 2 mille habitants étant généralement applicable pour une commune, à quelques exceptions prés de villages très étendus dépassant mais sûrement de peu ce seuil. Et le plus important c'est que ce seuil permet aux communes d'obtenir des services auxquels ils n'auraient pas droit en dessous de 2mille habitants. Bon, évidemment on ne parle que de la France. Les 2.