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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Avoir besoin d'être aidé(e) à un moment ou à un autre de sa vie par un psychologue ou un psychiatre, n'indique pas forcément que l'on est quelqu'un de faible valeur (ni d'idiot bien entendu). On peut par exemple en avoir besoin temporairement pour gérer plus facilement un traumatisme ou une situation personnelle compliquée, etc... Dans bien des cas (même si pas dans tous), un tel suivi conduit justement parfois à un épanouissement personnel, auquel des personnes n'ayant, elles, pas eu vraiment besoin de consulter au cours de leur vie, n'accèderont pas forcément. Dit autrement, de tels suivis peuvent représenter une chance d'obtenir des "clés" vers un bien-être, que bien des gens n'ont pas. D'autre part "la folie" est un concept vaste, ne représentant pas forcément une anormalité. Dans une certaine mesure la folie n'est pas plus anormale que la naïveté, la fantaisie ou la bêtise. Et de même que la bêtise ne mène pas forcément à l'emprisonnement à perpétuité, la folie ne mène pas forcément à l'internement d'office ni à la camisole chimique. Elles peuvent aussi dans certains cas n'avoir que peu de conséquences néfastes, voire amuser. Et entre les deux extrêmes, il existe aussi bien d'autres échelons/degrés. Mais on dit quoi qu'il en soit que savoir correctement dissocier la folie de la raison est signe de forte conscience.
  2. sirielle

    Le doute raisonnable

    Bonjour deja-utilise, J'avais particulièrement à l'esprit les conclusions provenant de preuves circonstancielles (pas forcément lors d'affaires judiciaires mais aussi par exemple au quotidien). Lorsqu'un fait n'est pas prouvé indubitablement, mais qu'un certain nombre d'éléments tend à le laisser deviner, le doute restant peut être alors considéré comme trop improbable pour être pris en considération. Seulement, sur ce principe des erreurs de raisonnement ont parfois été commises. C'est pourquoi je me demandais sur quels critères précis se baser pour considérer une hypothèse comme trop improbable, même si la preuve de son contraire n'est pas tout à fait acquise. J'imagine donc que cela relève aussi en partie d'une question d'importante vs infime probabilité. Et que considérer une contre-hypothèse comme extrêmement improbable au point de ne pas en tenir compte favorise peut-être potentiellement dangereusement la normalisation subjective même si, en même temps cela réduit une certaine impuissance liée à l'impossibilité d'accéder à des preuves directes. En tout cas cela implique de compter sur le principe de deviner la réalité, la vérité, plus que de les connaître par confrontation.
  3. Qu'est-ce qui, à votre avis, différencie vraiment le doute raisonnable du doute déraisonnable? Au-delà de la preuve indiscutable qui n'en est plus une si subsiste un doute.
  4. sirielle

    Moi vs les autres.

    Pour ma part ça ne m'a jamais posé de souci que tu évoques parfois ta vie personnelle ou sentimentale. Au contraire, cela permet de faire davantage connaissance, et si on n'a pas tellement le temps de s'intéresser à tous les messages en détail, et que l'on se contente de survoler le sujet, c'est subjectif. Comme il est dit dans le règlement, si on n'est pas intéressé personnellement par quelque chose, il suffit de ne pas s'y consacrer. Il est vrai que le HS (ce qui n'est pas toujours le cas lorsque l'on aborde la vie personnelle) peut parfois noyer un peu les sujets, mais surtout s'il est très développé d'après moi, pas s'il est seulement léger.
  5. sirielle

    Besoin de parler

    Je réponds moi aussi éventuellement aux MP.
  6. sirielle

    Expression Française

    "Pose-toi les bonnes questions." et "Remets-toi en question." sont deux choses différentes. La première invite plutôt à approfondir, ou plus exactement à synthétiser, le questionnement, pour résoudre le problème. Par exemple: "Il est une énième fois arrivé fortement en retard sans raison importante à notre rendez-vous. à se demander s'il se soucie de la gêne occasionnée." "Pose-toi les bonnes questions, souhaites-tu vraiment tolérer davantage un tel comportement et tenter une fois de plus de te faire entendre, ou plutôt cesser de lui accorder de nouveaux rendez-vous?" Sous-entendu, peu importe finalement l'état d'esprit de la personne en tort, l'essentiel est de savoir si cette personne mérite ou non davantage de temps à lui accorder, et si oui à quelles conditions. Et "la (ou les) bonne question" est alors celle que l'on ne se serait pas forcément posée dès le départ, mais plutôt avec du recul, pour gérer le problème sans trop s'attarder sur des détails de peu d'importance.
  7. sirielle

    Expression Française

    N'hésite pas à te poser des questions pas forcément évidentes au premier abord.
  8. sirielle

    Antibiotiques

    L'abus des vasoconstricteurs est dangereux en effet. De plus un médecin prescrit parfois des médicaments facultatifs, censés n'être pris que si certains symptômes sont (encore) présents (Exemple: doliprane si maux de tête ou fièvre). D'autre part il faut évidemment être prudent avec l'automédication. Cela dit dans le cas d'un rhume par exemple il peut parfois être utile d'utiliser une pommade adaptée pour le nez si le mouchage est fréquent afin d'éviter les irritations, d'autant que les irritations causées par le mouchage sont susceptibles de s'infecter.
  9. sirielle

    Antibiotiques

    Les médecins font parfois erreur dans leur diagnostique ou les soins prescrits, mais personnellement je n'ai pas d'avis concernant la sur-prescription d'antibiotiques, car je n'ai jamais été confrontée à un tel problème, et si j'ai un doute concernant un diagnostique ou la médication qui en découle, j'en discute éventuellement avec le médecin concerné, voire je m'informe auprès d'autres professionnels/spécialistes, comme ça m'est arrivé à diverses reprises.
  10. Cette année, j'ai prévu de fêter Noël en famille (comme la majorité des fois), et cela ne me stresse pas particulièrement car l'organisation que j'y consacre (préparation des cadeaux etc...) m'est facilement gérable d'autant que je serai en vacances à ce moment-là et c'est généralement plutôt pour moi une période d'amusement et de temps libre.
  11. sirielle

    Antibiotiques

    Les bronchites peuvent être bactériennes.
  12. sirielle

    Moi vs les autres.

    Parfois ceux qui ne s'aiment pas (ou peu) auront tendance au repli sur eux-mêmes, à l'inhibition, quand d'autres chercheront à s'oublier ou se rassurer au travers de l'intérêt (bienveillant ou non) pour autrui, d'autres aussi chercheront une consolation compensatrice, ou bien feront un travail sur eux-mêmes à travers l'interaction ou sans interaction... Il existe divers cas de figure. Mais la tendance à tout ramener à soi, sur un forum ou autre, ne devient véritablement un problème que si ça produit un hs trop important (car une marge de tolérance est à prendre en considération à mon avis), ou bien plus globalement, si ça revient à négliger l'essentiel, et donc à rendre les discussions décalées en quelque sorte. Cependant le comportement "inverse", la tendance à tout ramener à quelqu(es)'un(s) d'autre(s) en particulier, à le(s) surfocaliser, ou à éviter outrancièrement de s'impliquer soi, peut être autant ennuyeux. Donc à mes yeux pour tenter de respecter suffisamment le sujet, que l'on y parle ou pas de soi, on doit le traiter en priorité dans ses messages (et parfois le sujet invite justement à témoigner de son expérience personnelle ou de ses opinions personnelles, ou pas, ou pas spécialement), et si l'on digresse un peu pour une raison ou pour une autre, au-delà d'un certain point faire l'effort d'y ajouter un commentaire plus directement lié au sujet afin de préserver le fil.
  13. sirielle

    Moi vs les autres.

    On dit aussi que pour pouvoir aimer les autres il faut savoir s'aimer soi-même. D'ailleurs ce n'est alors pas seulement une question d'avoir tendance à discerner les qualités d'un individu (autrui et soi), c'est aussi être disponibilisé grâce au bien-être que l'on ressent en soi, car être dans un mal-être c'est aussi devoir gérer ses propres difficultés, or l'une des responsabilités prioritaires d'un individu adulte est de veiller sur son propre bien-être afin de pouvoir assumer optimalement ses responsabilités. D'autre part non seulement il y a une juste mesure à trouver entre l'extrospection et l'introspection, juste mesure qui n'est pas la même pour chacun car elle dépend des spécialisations respectives (par exemple certains métiers ou centres d'intérêt nécessitent davantage de réflexion personnelle, et d'autres d'observation du terrain ou d'interactions...), mais aussi être tourné vers autrui, (son contact, la critique que l'on en fait, etc...) n'est pas en soi une vertu, ça ne le devient que lorsque c'est approprié (Et dans certains cas, c'est loin de l'être.). Mais quoi qu'il en soit être égocentré n'est pas forcément être narcissique, il est possible d'être à la fois égocentré et complexé par exemple. De plus il est possible d'être narcissique et beaucoup dans l'interaction... Ceci dit parler de soi et s'aimer soi sont donc deux choses différentes (De même que parler d'un autre ou à l'autre, et aimer l'autre.). Et utiliser le "je" peut aussi éventuellement convenir dans l'expression de l'intérêt pour autrui. "J'aimerais savoir ce que d'autres pensent de ce sujet, ce que d'autres ressentent à ce sujet." "Moi, je suis disposée à participer à cette activité humanitaire si ma participation peut être bienvenue." "Moi je pense qu'il faut être particulièrement attentif aux autres dans ces circonstances." D'autant que le "moi je" faisant la distinction entre soi et les autres, il prend justement en compte l'autre et sa différence. Exemple: "La peine de mort est une sanction barbare." Je ne prends alors pas en compte l'avis des autres. "Moi je pense que la peine de mort est une sanction barbare." Je tiens compte du fait que d'autres avis divergent en précisant que cet avis m'appartient.
  14. sirielle

    Le suicide

    Bonjour Salim97, Estimer qu'il s'agit d'un "choix libéral", revient à considérer le suicide comme une liberté, et la liberté étant censée être défendue par le droit, elle est gage d'innocence, contrairement à l'abus, à la faute, etc... Le suicide représente généralement en résumé la volonté soit de mettre un terme à une souffrance intolérable, soit de s'épargner (soi ou autrui) d'une souffrance intolérable antipée. Pourquoi l'action solidaire ainsi que la prévention peuvent-elle donc être nécessaires dans ces circonstances malgré la volonté du suicidaire? Parce que la gestion de cette souffrance présente ou anticipée dépend parfois d'une intervention extérieure. Ainsi la cause du suicide trouve parfois des solutions inaccessibles sans cette solidarité. D'autre part, si l'on prend par exemple le cas d'un adolescent suicidé à la suite d'un harcèlement scolaire (qu'il ne pouvait faire cesser seul), il pourrait donc me paraître naïf d'estimer qu'un tel acte constituait un choix libre, plutôt que de considérer qu'il a été plus ou moins poussé à bout et que les individus, soit ayant alimenté ce harcèlement, soit ayant négligé leur responsabilité à le contrer, en sont en partie responsables. Ce n'est pas la liberté que d'être maltraité au point de vouloir mourir, et il serait irresponsable de balayer un tel drame d'un revers de main par un "Chacun son choix." Et concernant la responsabilité, chacun est censé être responsable de ses actes, et des conséquences qu'ils induisent. Un suicide peut éventuellement représenter une culpabilité (morale) de la part du suicidé par rapport aux possibles dégâts colatéraux (mise en danger d'autrui par l'acte, etc...), mais aussi par rapport à l'auto-nuisance, sachant que la culpabilité morale revient à causer un tort injustifié, même s'il s'agit de soi-même, donc son innocence ou culpabilité morales vis-à-vis de soi aussi dépend de la justifiabilité ou injustifiabilité objective de l'acte suicidaire.
  15. sirielle

    Deuxième chance

    Pour ma part, s'il est question de couple (ou d'amitié par exemple), il m'est souvent arrivé d'accorder de nouvelles chances, pas seulement deux, bien davantage, parce qu'à mes yeux, être en couple, c'est souvent se retrouver opposés, et finalement trouver un terrain d'entente, qui n'était pas acquis d'avance. Bien sûr j'ai aussi mes limites, mais il me paraît normal dans une relation de longue durée de pardonner à l'autre s'il nous a un peu blessé(e) ou mis(e) à mal, du moins jusqu'à un certain point évidemment, s'il fait un effort suffisant pour ça. Et moi-même on m'a pardonnée aussi bien souvent mes erreurs, parce que la vie est aussi faite de tolérance et que l'on peut parfois arranger les choses.
  16. sirielle

    Deuxième chance

    C'est selon l'opportunité en question, parfois certains essais ne valent pas la peine d'être réitérés, d'autres le méritent toute la vie, d'autres encore cinq ou six fois, etc... Et s'il est question de pardonner à soi-même ses torts ou ses défauts, normalement le pardon est censé dépendre d'une certaine correction (et distribuer équitablement les responsabilités). Donc je m'efforce de retenir et comprendre assez bien les leçons de mes expériences, bonnes ou mauvaises, afin d'éviter de me ridiculiser bêtement, et progresser suffisamment. Ainsi que de modérer les risques que je prends. Pour moi veiller à avoir autant que possible "la conscience tranquille" est essentiel à la réussite personnelle. Et à mon avis elle ne demande pas forcément d'avoir toujours été irréprochable, mais de s'efforcer au mieux de l'être au fil du temps, quitte à "se racheter parfois", ne serait-ce qu'à ses propres yeux, sans manque ni excès de sévérité. Mais aussi d'être assez fier de soi lorsque c'est mérité, conscient de ses propres qualités. Sachant aussi que l'objectif reste d'aller bien, même si à cette fin il faut pouvoir se juger, et se remettre en question parfois.
  17. sirielle

    L'intuition

    Il peut être nécessaire de s'écouter oui, mais il faut aussi à mon avis être prudent avec l'interprétation que l'on fait de ses pressentiments, et parfois prendre du recul, ne pas réagir trop impulsivement. Personnellement lorsque j'ai diverses impressions spontanées sur des personnes par exemple, j'ai tendance à chercher à comprendre au moins un minimum ce qui les cause si du moins la personne a une certaine importance pour moi, et à éviter de tirer des conclusions hâtives, ou trop radicales, car je ne veux pas me faire de fausses idées. En effet même si je crois profondément que ces impressions peuvent être utiles ou instructives, seulement à condition d'être correctement gérées. C'est pourquoi si leur sens est incertain ou ambigu, je peux les mettre de côté. D'autre part je crois aussi que l'intuition peut être invasive, et qu'il peut falloir tenter de la mettre à distance comme on évite de trop penser à certaines choses pour ménager son esprit.
  18. Dans ton premier message tu te demandais si tu aimais vraiment cet homme. Mais je comprends que tu veuilles être prudente, lorsqu'une relation fonctionne bien elle se solidifie au fil du temps, et la confiance aussi. Vers le début on est davantage dans l'incertitude de l'avenir, et en effet il vaut mieux alors ne pas brûler les étapes car un engagement sentimental peut avoir des conséquences importantes. Quoi qu'il en soit en amour rien n'est jamais tout à fait acquis, car la qualité de la relation dépend beaucoup de ce que chacun en fait jour après jour, c'est le jeu de la séduction. Je te souhaite en tout cas de vivre une belle histoire.
  19. Il ne faut pas s'aimer à tout prix à mon avis. Il faut pouvoir s'affirmer suffisamment en ne s'aveuglant pas par amour, ou par laxisme, en restant donc assez critique. Voire en sachant couper court si nécessaire. Concernant les clichés cités par l'article, personnellement je ne me sens pas tellement concernée, aucun homme ne me les a jamais vraiment reprochés (si ce n'est anecdotiquement le temps passé à me préparer par exemple, mais quoi qu'il en soit ce n'était pas à lui d'en décider, je n'étais pas en retard, et même si j'ai tenté d'accélérer je l'ai aussi invité à être plus patient). Ils m'ont même parfois reproché le contraire, comme de ne pas vouloir parler ou d'être trop distante par exemple...
  20. La souffrance a justement aussi pour principe de rappeler la valeur des choses et des êtres. Personnellement pour garder l'espoir malgré l'adversité je m'accroche à mes principes, mes connaissances. Or mes connaissances m'ont appris que la nature est bien faite et que si elle est malmenée, elle reste quand-même le chef d'orchestre. Je veille sur ma santé, sur ma réussite personnelle, mes responsabilités, sur mon amour-propre, je tente de profiter des chances que j'ai, dont la présence de personnes que j'aime, je me réserve des temps de fête et d'amusement, et je me consacre de temps en temps à mes passions. Je m'efforce d'apporter ma pierre à l'édifice commun en conscience, même si ce n'est qu'une pierre parmi des milliards d'autres, et même si elle n'est pas le remède à tout.
  21. Pour moi, le fait de douter de ses sentiments est mauvais signe, même si ça ne signifie pas forcément qu'ils sont inexistants, en tout cas ça laisse supposer qu'ils sont peu intenses. En même temps parfois dans les liaisons il y a des hauts et des bas, donc ce n'est pas pour autant à mes yeux radicalement significatif. Effectivement avoir directement quelqu'un d'autre lors d'une séparation, temporairement ou plus, peut contribuer à gérer plus facilement la rupture. Une fois la rupture passée, cette utilité de la nouvelle liaison disparaît, mais d'autres peuvent ou non perdurer ou apparaître. Cependant il faut quand-même que ça en vaille la peine, ne pas trop se forcer non plus. Parfois un break (et sans forcément le présenter ouvertement comme tel à son partenaire), une prise de distance temporaire, possiblement brève, aident à mettre de l'ordre dans ses idées.
  22. Je ne pourrais tomber amoureuse que d'un homme, donc dès le départ ça dépend aussi de son physique (et plus globalement de notre complémentarité sexuelle), et non pas exclusivement de sa mentalité. Et je pourrais me confier à une IA, les réponses de l'IA sont parfois intéressantes à mes yeux effectivement. Quant à être jugée ou à être dans une relation de jeu, pour moi c'est naturel, du moment que ça reste assez correct, qu'"on ne dépasse pas les bornes".
  23. sirielle

    Prise de poids

    Personnellement, pour rester mince entre autres, je favorise principalement les fruits et légumes lors des repas ou lors d'encas, et je pratique une activité sportive quotidienne en plus de l'activité physique liée à mes obligations diverses. Ainsi, même s'il m'arrive parfois de faire des repas "copieux" et de boire du vin de temps en temps, je reste facilement mince.
  24. sirielle

    La sélection naturelle

    Le principe de sélection naturelle est plus vaste que la seule question de l'ampleur de la reproductivité de l'espèce, bien que cette dernière y soit directement liée. Elle représente surtout l'évolution des caractéristiques héréditaires propres ou non à favoriser l'optimisation des individus par adaptation au milieu. En effet la sélection naturelle est censée, non pas favoriser la multiplication maximum des individus ou de certains d'entre eux, mais plutôt l'évolution optimale des individus et filtrer leur reproductivité, en fonction de critères d'adaptation au milieu.
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