Mite_Railleuse

Je suis une femme, c’est un fait. Quelle est la convention qui induirait une interprétation ? Et réciproquement.

Non. C’est ton interprétation de ce qu’a écrit @maddy. Et ça, oui, c’est un fait…

C’est moi, ou c’est nul à iech ??

Ce n’est toujours pas le sujet. Mais bon, on va pas y passer la soirée non plus...

Juger de l’engagement et de l’implication des médecins dans l’exercice de leur profession non plus...

Si c'était si simple. Fin bref...

Pourtant, savoir les intentions, les motivations, c’est primordial. Ce devrait être la moelle épinière d’une loi juste, et sans concession pour d’éventuelles dérives.

Si ça entraîne des dégradations, j’imagine que si.

Je demandais parce que ça avait l’air de partir en crucifiction des médecins, leur manque de professionnalisme et d’implication dans l’exercice de leur profession. Sinon il y a aussi eu des affaires de violences sexuelles chez les pompiers....

C’est un sujet sur les violences sexuelles dans le milieu médical, non ?

Dieu merci, il n’était pas question de papouilles...

Et si on s’en fout ?

Moi, j’veux bien ! Nan, j’déconne, j’ai arrêté le SAV…

La forme, parce qu’elle est terrible, prend le pas et rend le fond presque anecdotique. Je n’ose même pas tenter d’imaginer les souffrances, la fin de ce pauvre homme, et j’avoue avoir du mal, beaucoup, avec le geste de cette jeune femme…

Le corporatisme, rien de bien nouveau…

Le grossisseur / allongeur de pénis me semble plus judicieux, qu’une paire de lentilles. Va à l’essentiel…

Ce sujet vire au grotesque indécent...

Comme écrit plus haut, je ne me suis pas renseignée, je n’ai donc aucun avis sur ce qui se passe au Canada. La seule chose dont je sois sûre, c’est d’être "pour" l’euthanasie.

Je ne sais pas, je ne me suis pas renseignée sur le sujet.

Je suis d’accord sur une loi bétonnée, qui autorise mais qui protège aussi.

Il y a des dérives pour tout. C’est inévitable. Doit-on pour cela ne pas faire les choses ? Une surveillance accrue, un encadrement drastique, bien sûr. Mais remettre en cause quelque chose d’aussi important que l’aide à mourir, non.

A 33 ans, on est plus vraiment une enfant…

On peut débattre, disserter pendant des pages, ça n’effacera et ne changera pas qu’il est question d’une décision qui ne devrait concerner que les principaux intéressés. Et que toute aliénation, interdiction d’avoir recours à un avortement n’est pas acceptable. Pour moi c’est ça LE cœur du débat, et pas autre chose.

J’ai lu les 6 pages et les avis de chacun. Mais j’ai l’impression que l’on a un peu perdu de vue le fond du problème : le diktat des anti- avortement qui décident de tout, à la place des principaux concernés. Qui ne dérogent à rien, qui n’entendent rien, qui ordonnent et qui font…