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tison2feu

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Tout ce qui a été posté par tison2feu

  1. Moi aussi, il y a quelques mois, j'ai rêvé - pour de bon - que je venais d'être élu Président de la République ! Rien que ça ! Et dans le rêve, je n'avais de cesse de dire que je n'y étais pour rien, que je n'avais rien fait pour le devenir... et puis que c'était impossible car je place l'humilité au-dessus de tout... Malgré tout, je me sentais flatté dans mon ego, reconnu pour mes qualités... C'était un bon rêve avec de bonnes sensations : après tout, c'est pas donné à tout le monde d'avoir été au moins une fois dans sa vie Président de la République, ne serait-ce qu'en rêve ! Qui d'autre a déjà fait ce rêve ?
  2. Comme quoi, il convient de toujours aller aux sources et d'opérer un minimum de vérifications avant d'émettre des doutes infondés qui font le lit à des délires généralisés (fausse revue scientifique > faux article > incompétence des revues de vulgarisation > incompétence des journalistes).
  3. Le problème, c'est qu'il n'y a pas qu'un seul auteur de l'article (travail en équipe, répartition des tâches), ni par surcroît qu'un seul relecteur de l'article... Donc gros problème de coordination. En l'ocurrence, 3 chercheurs chinois, dont un qui était sûrement chargé des illustrations et dont le nom rique bien d'être rayé lors d'une republication de cet article. Parmi les membres chargés de la relecture de l'article, l'un d'eux dit qu'il était chargé de relire le contenu mais n'était pas responsable de tout ce qui concernait les illustrations. En cas de travail en équipe, je suppose qu'il y a des chefs d'équipe qui engagent à leur tour leur responsabilité en cas de faute.
  4. Désolé, mais cette revue scientifique est mentionnée sur QOAM, à condition bien sûr d'en écrire le titre exact : https://www.qoam.eu/journals/16999?returnUrl=%2Fjournals%3FOpenAccess%3D%26InstitutionalDiscounts%3D%26NoFee%3D%26PlanS%3D%26Title%3Dfrontiers%2Bin%2Bcell%2Band%2Bdevelopment%26Issn%3D%26Publisher%3D Quant à l'article en question publié dans cette revue scientifique, il a été retiré depuis à cause de l'image du rat, sans que le contenu de l'article soit remis en cause. Ci-dessous l'article complet tel qu'il avait été publié : https://venturebeat.com/wp-content/uploads/2024/02/fcell-11-1339390.pdf
  5. Tu auras eu malgré tout quelques réponses à tes questions initiales: "1000 questions fusent : le roman est-il interdit aux U.S.A. ? Est-ce vraiment Douglas Kennedy qu'il l'a écrit, ou un écrivain fantôme français, auquel les éditeurs ont mis un nom connu d'Américain pour mieux le vendre, et qu'en fait il n'existe pas en anglais ?"
  6. Voilà ! Lorsqu'on est passionné, il ne faut pas hésiter ! Pour avoir une réponse éventuelle, cela peut prendre plusieurs jours, donc patience à toi !
  7. Et surtout toujours la petite moralité finale (comme dans une fable de La Fontaine) qui vient chaque fois montrer la fragilité des réponses apportées, surtout lorsque la question de départ est assez douteuse: "Enfin, il convient de noter que ces observations sont basées sur des généralisations et des perceptions sociales qui ne capturent pas la diversité des expériences individuelles. Il est essentiel de reconnaître que chaque relation et chaque expérience sexuelle est unique, et que la satisfaction sexuelle dépend de nombreux facteurs, y compris la communication, le respect mutuel et la compréhension des besoins et des désirs de chaque partenaire". En clair, des observations basées sur un biais de généralisation hâtive ne valent pas grand-chose. (Je n'ai toujours pas chatGPT, mais c'est ce que j'ai retenu des réponses données par chatGPT à certains forumeurs).
  8. Eh bien pourquoi ne pas envoyer un mail à Chloé Royer afin d'en savoir plus ?
  9. Bonjour, J'ai cherché qui a traduit Fly over; il s'agit de la traductrice Chloé Royer (qui a traduit également les 3 tomes de La Symphonie du hasard). Tu pourrais éventuellement la contacter par mail afin de savoir comment se procurer le manuscrit en anglais. https://atlf.org/repertoire-des-traducteurs/royer/ Ou en contactant la maison d'édition : Belfond. Ou encore en contactant directement Douglas Kennedy afin d'en savoir plus sur les raisons de la non publication, en anglais, de Fly over.
  10. Je partage votre émerveillement quant au degré parfois extrêmement sophistiqué de ces relations langagières (dont on peut retrouver d'ailleurs certains aspects dans certaines langues humaines), mais malgré cet indéniable continuum langagier entre animal non-humain et animal humain, un fossé s'est creusé avec l'apparition de la double articulation. Je vous accorde bien volontiers que l'utilisation des premières langues humaines - qui n'auront de cesse d'évoluer -, loin de faciliter l'intercompréhension en toutes circonstances, a fini par produire des effets inverses. Sans parler de la multiplication des langues (plus de 8 000 actuellement) et des barrières conséquentes.
  11. Je précise aussi que le savoir technologique, accumulé et transmis par nos langues, a totalement assujetti l'homme au point de mettre en danger l'avenir de l'humanité toute entière... Et je constate qu'il y a un fossé entre le langage doublement articulé (le propre de l'animal humain) et les autres langages (des animaux non-humains).
  12. Comme exemple de transmission orale d'un savoir cumulé, prenons la découverte et l'usage du feu. Les techniques mises au point pour faire du feu sont transmises une fois pour toute de génération en génération. Il en va de même pour une nuée de nouvelles techniques dont les usages sont transmis: coudre , tisser, etc. Grâce à la parole , l'homme n'a pas à réinventer toutes ces nouvelles techniques, contrairement aux autres animaux (par exemple pierre à feu, allumette, briquet, etc.). Il se produit un effet boule de neige, le savoir se transmet par des mots - et une syntaxe, etc. - et s'accumule de génération en génération. C'est la langue elle-même, transmise de génération en génération, qui est le grand accélérateur du savoir technologique - savoir tellement puissant que l'homme est devenu l'esclave de la technologie. Et cette langue a la particularité d'être doublement articulée (https://fr.wikipedia.org/wiki/Double_articulation), comme rappelé par @Talon 1. Cette « double articulation » est absente de toute communication chez les autres animaux.
  13. Bonjour jacky29, Comme je l'avais indiqué supra, le langage articulé a cela d'unique qu'il permet la transmission d'un savoir cumulatif. Grâce à la langue, l'homme n'a plus besoin de réinventer chaque nouvelle technique, il lui suffira de transmettre oralement son savoir accumulé de génération en génération. L'ultime révolution, toute récente dans l'histoire de l'humanité, sera l'invention d'une nouvelle technique révulutionnaire : l'écriture, permettant à nouveau la transmission de techniques toujours plus élaborées.
  14. Oui, et comme ce biais consiste à trouver ou rechercher des preuves qui valident ce en quoi on croit déjà, c'est intéressant de noter quelles sont les croyances de ceux qui réagissent positivement à ce genre de vidéos. Parmi les 575 réactions, les principales croyances tournent autour de l'idée qur B. Le Maire et G. Attal sont des hommes politiques sans scrupules, sans vergogne, éhontés et des incompétents, incapables de rédiger leur propre discours. Quelques rares croyances, très anecdotiques, liées à la sexualité (à noter une seule intervention homophobe visant G. Attal tout à la fin des réactions en question). A ce biais de confirmation peut s'ajouter le biais de généralisation hâtive (dit de « représentativité ») : nous avons tendance à porter un jugement ou à identifier des schémas à partir de quelques éléments qui ne sont pas nécessairement représentatifs. Ce sera la croyance que tous les hommes politiques sont pourris et incompétents. Par exemple, c'est exact que les cabinets de conseil jouent un rôle de plus en plus important sur les politiques publiques, pourtant rien ne prouve, sauf preuve du contraire, que ce soit un cabinet de conseil qui ait rédigé le discours de G. Attal. Il y a même un intervenant qui va jusqu'à évaluer le prix des deux discours en question (car dans son esprit il y a deux discours ) au total 800 000 euros. Formidable !
  15. Si l'auteur de la vidéo ne connaissait pas cette tradition, ce qui est toujours possible, cela en dit long sur le degré d'amateurisme de son travail consistant à informer (cette vidéo est signée Civicio, média autonome prônant un "journalisme de la Vérité").
  16. Tu as raison sur ce point, je ne devrais pas t'insulter. Et c'est à ton honneur de reconnaître que tu ne connaissais pas cette tradition. En revanche, cela confirme ce que je disais plus haut: l'auteur de cette vidéo ne cherche pas à informer, en faisant connaître le contexte dans lequel a lieu cette lecture simultanée au Parlement et au Sénat. Tout cela est tronqué en vue de manipuler l'émotion de celui qui va visionner la vidéo; cette émotion (indignation, rire, etc.) vient se substituer à tout débât de fond. Il n'est qu'à lire la majorité des réactions suscitées par cette vidéo ! Par surcroît, il ne s'agit pas de n'importe quel discours, mais bien d'une déclaration de politique générale, c'est-à-dire d'un texte qui exclut toute improvisation puisque Gabriel Attal doit trouver la bonne distance pour afficher sa propre identité politique.
  17. Aucune argumentation.
  18. Pour une explication rationnelle du tabou de l'inceste, dans la bouche d'un Arapesh (peuple de Nouvelle-Guinée): « Tu voudrais épouser ta sœur ? commentent les Arapesh à l'ethnologue Margaret Mead qui les interroge. Mais qu'est-ce qui te prend ? Tu ne veux pas avoir de beau-frère ? Tu ne comprends donc pas que si tu épouses la sœur d'un autre homme, et qu'un autre homme épouse ta sœur, tu auras au moins deux beaux-frères, et que si tu épouses ta propre sœur tu n'en auras pas du tout ? Et avec qui iras-tu chasser ? Avec qui feras-tu les plantations ? Qui auras-tu à visiter ? (Margaret Mead : Sex and Temperament in Three Primitive Societies).
  19. Tout à fait, ignorance crasse, et j'ajouterai: assujettissement au "biais de confirmation" et malhonnêté intellectuelle. Sans oublier une bonne dose de grégarisme de la part de tous ceux qui, comme l'auteur du topic, font circuler ce genre de daube. Le titre de la vidéo ne dit pas pourquoi "ils prononcent le même discours". Cela permet d'accréditer l'idée que tous les hommes politiques sont incapables de préparer leur discours et qu'ils se copient entre eux. Ceux qui pensent ainsi vont donc trouver dans cette vidéo la confirmation de leur opinion: c'est ce qui s'appelle un biais de confirmation: biais cognitif qui fait que nous allons davantage écouter ou rechercher des preuves qui valident ce en quoi nous croyons déjà, sans prendre le temps de vérifier la validité de l’information donnée. Il se trouve que ces gens-là ignorent une règle qui régit nos institutions, à savoir qu'au moment où le Premier ministre expose sa déclaration de politique générale devant l'Assemblée nationale, celle-ci soit lue en même temps à la tribune du Sénat par un autre membre du Gouvernement. En clair B. Le Maire ne fait que lire la déclaration de G. Attal au Sénat - ce qui conduit à un comique de situation lorsque B. Le Maire lit "Je suis né en 1989", puisque c'est la date de naissance de G. Attal et non la sienne.
  20. tison2feu

    Cas de conscience...

    Pas compris. Pourquoi as-tu choisi "To die, to sleep, no more but in that sleep of death what dreams may come ?" plutôt que "To sleep, perchance to dream, ay there's the rub, For in that sleep of death what dreams may come..." ?
  21. tison2feu

    Cas de conscience...

    Salut Blaquière, On peut se demander quelle était la ponctuation du texte original. Ci-dessous l'édition The New Shakespeare (ed. John Dover Wilson, Cambridge University Press, 1978) suivie de toutes les traductions françaises proposées, depuis Voltaire jusqu'à Jean-Michel Déprats: 1 To be, or not to be, that is the question, Whether 'tis nobler in the mind to suffer The slings and arrows of outrageous fortune, Or to take arms against the sea of troubles, 5 And by opposing, end them. To die, to sleep— No more, and by a sleep to say we end The heart-ache, and the thousand natural shocks That flesh is heir to; 'tis a consummation Devoutly to be wished to die to sleep ! https://journals.openedition.org/palimpsestes/425?file=1
  22. Salut D-U J’avoue être parfois beaucoup trop long à la détente. Cela a l’inconvénient de m’empêcher de voir venir les dangers aussi vite que toi ou @FROD à la seule vue de cette matrice. Alors oui, en y regardant de plus près, je suis bien obligé de reconnaître qu’il y a un réel problème lié à la contextualisation (ou plutôt à sa quasi absence), et aussi par le fait de recourir à des valeurs de vérité pour décrire des phénomènes aussi subjectifs que les principes comportementaux et moraux. D’où l’aspect forcément réducteur d’une telle approche philosophique dite « analytique ». De toute façon, ce recours au formalisme logique et mathématique me donne le vertige et je me sens aux antipodes d’une telle tournure d’esprit philosophique. Mais comme il en faut pour tous les goûts, je laisse le dernier mot à Paul Franceschi : « Pour ma part, j’ai découvert pour la première fois les problèmes de la philosophie analytique à travers les articles de Jean-Paul Delahaye publiés dans la revue Pour la Science. Je me souviens encore avec quel émerveillement j’ai découvert alors une façon d’appréhender la philosophie jusque-là ignorée, qui correspondait à la tournure d’esprit qui, de manière naturelle, était la mienne ». Bien à toi, Tison
  23. Bonsoir D U, Je te réponds à chaud tant il me semble nécessaire d'apporter bon nombre de rectificatifs et de précisions. Mon intention était en effet de te couper l'herbe sous le pied, humblement, parce que mon daïmon m'a rappelé à l'ordre au sujet de la mission que je me suis fixé, comme tu sais, dans un tout autre domaine que la philosophie - là où je me sens plus à l'aise (l’important dans la vie, c’est de trouver ce pour quoi l’on est doué !). Et puis je ne voulais pas plomber le topic d’Ambre. C’est réussi ! Lorsque je parle d'antinomie, c'est seulement à propos de la relation entre deux concepts tels que courage + et lâcheté - , ou encore prudence + et témérité -. La présence de ces exemples montre que la relation antinomique dont je parle n’a donc rien à voir avec ce qui, à tes yeux, est antinomique, à savoir la dimension théorique d'une telle approche et son éloignement supposé de tout contexte. Et lorsque j’ai signalé l’existence de « problèmes » que pouvait soulever cette théorie, ce n’est pas mon avis personnel que je donne mais celui de P. Franceschi en personne, lequel recense à plusieurs reprises des questions de logique formelle. Sinon, en effet, dans l'élaboration de cette matrice, l'intuition joue un très grand rôle. L'intuition de départ de P. Franceschi, c'est que les discussions relatives aux contraires polarisés ont porté jusqu'à présent sur des concepts usuels, lexicalisés, c'est-à-dire pour lesquels il existe un mot correspondant dans le langage propre à une langue donnée; cette manière de procéder n’est pas sans engendrer de nombreux inconvénients: ces concepts peuvent varier d'une langue à une autre, ils peuvent être connotés avec des degrés de nuances difficiles à apprécier, etc.; il y a même des concepts qui, dans une langue, ne sont pas lexicalisés du tout (nous n’avons pas de mot en français pour dire « temps relatif au climat », contrairement à l’anglais qui a weather). Si bien que P. Franceschi s'est proposé de construire des concepts de manière abstraite, sans considération du fait que ces concepts soient lexicalisés ou non. Et je comprends que cela puisse te chagriner, cher D U. Mais poursuivons. A noter d’abord qu’il est question de « matrice de concepts », et j'attire ton attention sur le mot "concepts" qui est bien plus large que celui de vertus/vices. Le travail de P. Franceschi porte en effet sur des classes de concepts philosophiques/ scientifiques, aussi bien abstraits que concrets, même s'il donne de nombreux exemples relatifs aux principes comportementaux. On peut concevoir cette matrice de concepts comme une alternative au paradigme actuel de la philosophie enseignée en France aux élèves de première et terminale (plan dialectique du type thèse-antithèse-synthèse). Si l’élève est convié à disserter sur le courage en suivant le paradigme traditionnel, cela ne signifie en rien qu’il doive porter sa réflexion sur des abstractions hors contexte sans jamais se référer à des expériences concrètes et personnelles. Eh bien avec la matrice de P. Franceschi, conçue comme un plan dialectique, il en va exactement de même. Cette matrice de concepts n’est rien d’autre qu’une sorte de plan de travail, et tu peux apporter tous les exemples concrets ou personnels que tu veux lorsque tu « philosophes » sur le courage. J’ajouterai que chaque fois qu’une question philosophique porte sur un seul concept - comme c’est le cas bien souvent dans le mode de pensée occidental -, cette matrice laisse toujours entrevoir la possibilité d’une dualité conceptuelle à la lumière de laquelle vont s’ouvrir de nouveaux horizons. Cette matrice peut aussi être d’un grand secours pour analyser toutes sortes de maximes, proverbes, etc. Avec ton repère cartésien, j’ai comme l’impression, sauf erreur de ma part, que cela ne reflète pas vraiment la réalité de la matrice de concepts. Je m’étais aussi amusé à procéder comme toi, mais à l’aide d’un cône, etc ! Etant donné que cette matrice de concepts m’apparaît comme un assemblage de deux justes milieux aristotéliciens, la schématisation qui me semble la plus simple et la plus parlante est la suivante (à l’aide de l’exemple du courage): Prudence & Courage △ △ Lâcheté △△△△ Témérité Témérité △△△△ Lâcheté Si tu souhaites en savoir plus sur cette matrice de concepts, voici deux articles de P. Franceschi: "Une classe de concepts" : https://shs.hal.science/halshs-00003159/file/Une_classe_de_concepts.pdf "Le plan dialectique : pour une alternative au paradigme" : https://web-archive.southampton.ac.uk/cogprints.org/7163/1/Le_plan_dialectique.pdf Bien à toi, Tison
  24. Je n’ai hélas aucune compétence en logique et encore moins en mathématiques, pour appréhender les questions que tu soulèves, cher D U. Tout ce que je peux dire, c’est que dans la description de sa matrice de concepts, P. Franceschi est parfaitement conscient des nombreux problèmes que soulève sa théorie et qu’il formule sous forme de questions laissées sans réponse. Néanmoins je trouve intéressante cette matrice parce qu’elle permet de générer des concepts duaux complémentaires, parfois antinomiques (par exemple courage + et lâcheté - , ou encore prudence + et témérité -), laissant prévoir des conflits à la clé qu’il faudra parvenir à résoudre au moment d’agir, c'est-à-dire en contexte bien évidemment, dans une quête d’harmonie.
  25. Dans une multitude de langues, le coeur (mais aussi le foie) est le siège des émotions. Cela doit remonter à la nuit des temps. Le rapport à la virilité que j'ai mentionné est beaucoup plus rare, mais sûrement également très ancien. Tout cela renvoie à la préhistoire et il semble alors impossible d'en savoir davantage.
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