Tout de même, je choisis d'avoir plutôt peur de la vie.
Bah c'est plus facile d'avoir peur de la vie que de la mort : nous y sommes plus souvent confrontés. :smile2:
Un jour, peut-être, parlerai-je de masochisme existentiel.
Friedrich s'y est déjà attelé : à part lui faire pousser moustache et syphilis, ça n'a rien donné... Laisse tomber !