Passiflore

D'accord avec ce que vous dites là. Ce qui s'est passé et se passe dans des établissements catholiques tel que betharram (châtiments corporels, viols, etc...), les actes de pédophilie et les viols de religieuses pratiqués par des prêtres, etc... toutes ces abominations n'ont pas été commises par des hommes habités et mus par la foi mais par des religieux, ce qui n'est pas du tout pareil. Le Christ nous demande de ne pas répondre à la violence par la violence (c'est ainsi que je comprends le "tendre l'autre joue"). J'ai choisi moi aussi de l'accepter et avec joie, qui plus est.

La foi est un don de Dieu que l'on est libre d'accepter ou de rejeter.

Ce pourrait être un merle ?

Je ne conçois pas du tout la foi comme un asservissement, pour ma part. On pourrait aussi dire que tout est asservissement, tout est privation de liberté et pourtant, n'avez-vous pas librement consenti à choisir, à aimer votre épouse et à lui consacrer à elle et à elle seule votre vie d'homme ? N'avez-vous pas à coeur de la rendre heureuse, de lui faire plaisir, de la combler par tout un tas de petites attentions ? Souffrez-vous de cet "asservissement" ou vous comble-t-il de joie, de bonheur ? Cela confère-t-il du sens à votre existence ? Eh bien concernant la foi chrétienne, c'est un peu du même ordre d'idée: en faisant le choix de croire en Dieu, on a à coeur de chercher comment Lui plaire et pour ce faire, on part à Sa découverte dans les écrits bibliques, surtout dans ceux du Nouveau Testament. Sa vie prend alors une certaine direction, chacun de ses choix existentiels découlant de sa foi et sa vie quotidienne étant empreinte de sa foi, foi et vie de chaque jour étant indissociables; si tel n'était pas le cas, si sa foi était purement égoïste, c'est que l'on n'aurait rien compris au Message du Christ et aux préceptes bibliques. Non, cette philosophie existentielle n'est pas vécue comme un asservissement; elle est librement consentie, acceptée et elle est source de joie et de maintes satisfactions. J'espère que ce que je vous ai expliqué là vous aidera à mieux comprendre l'état d'esprit chrétien.

Dieu "Se révèle" à celui qui Lui ouvre son coeur avec confiance et espérance (la foi), percevant le Créateur dans Sa Création. La planète Terre a été "organisée" (oxygène, eau, soleil, etc...) afin que l'Homme y trouve tout ce qui est nécessaire à sa vie; c'est ainsi que je conçois personnellement les choses (ce qui n'engage bien évidemment que moi). L'Homme est perfectible et c'est justement ce point-là qui peut conférer du sens à son existence ici-bas: choisir la voie du perfectionnement de soi, peaufiner son "moi" profond, embellir son âme afin qu'elle soit la plus belle possible lorsqu'elle retournera à Dieu.

Reconnaissons honnêtement que cela nous manquerait, de ne plus pouvoir forumer. En tout cas cela me manquerait, j'avoue.

Comme je te comprends !! Cela me peine, me navre et me consterne aussi lorsque la maman pousse le landau ou la poussette, portable à la main, ne regardant pas son enfant bien éveillé et cherchant à capter le regard de sa maman.

C'est simple, fais preuve de plus de fermeté puisque cette relation ne te convient pas et qu'il n'a apparemment pas l'intention de changer, ne reviens plus à lui à chaque fois.

Toi, que voudrais-tu qu'elle soit, cette relation ?

Il voyage beaucoup et constate que tu dis oui à chaque fois qu'il te hèle à chacun de ses retours, jamais tu ne lui as opposé de refus, tu sembles être à sa disposition, il profite donc de la situation. Il semble attaché à toi mais t'aime-t-il d'amour, seul lui le sait et seule toi tu peux le percevoir si tel est le cas. Peut-être est-il temps de lui poser certaines questions mais toi, que désires-tu ? Lui as-tu dit que tu avais quitté ton copain ? Comment a-t-il réagi ?

Même un chat ???

User de violence pour faire comprendre à un jeune ultra-violent qu'il ne doit pas être violent, comment dire...

Pas facile de trouver la meilleure méthode car la violence ces jeunes-là ne la connaissent que trop bien, ils ont baigné dedans, alors que faire ? Leur parler gentiment, avec douceur et bienveillance ? Oui bien sûr, ce serait la méthode la meilleure, la plus humaine, la plus pédagogique mais hélas, ces jeunes ultra-violents sont hermétiques à la douceur étant pour eux signe de faiblesse incompatible avec la notion de virilité telle que eux la conçoivent. Alors, que faire ? Comment procéder pour les faire renoncer à la violence comme moyen d'expression et but de leur existence ? Comment les "déprogrammer", en somme ?

ça peut donner l'envie de se surpasser, certes mais point trop n'en faut de stress.

Je ne serais pas aussi affirmative, quant à moi...

Ce qui explique pourquoi il passe autant de temps à regarder ce qu'il se passe du côté de ses collègues !

Tu n'arrives pas à te concentrer sur ton travail ?

Alors qu'il est censé bosser, étant sur son lieu de travail ?

Autant j'aime quand mes chats dorment sur moi quand je canape (j'ai un canapé lève-gambettes ! ) l'un sur mes jambes, l'autre en haut contre mon cou, parfois un autre sur le côté contre moi), autant ils ont l'interdiction de dormir dans les chambres, sur les lits et... ils le savent !

Lorsqu'il était petit, mon cadet ne supportait pas de perdre, il se mettait dans tous ses états ! Je lui disais alors que s'il ne cessait pas immédiatement, j'arrêterais de jouer. Il n'était pas rare que je mette un terme au jeu. Fait amusant: sa fille est comme était son papa au même âge et... ça l'agace prodigieusement, son papa ! C'est cela qu'il faut dire à son enfant: "fais de ton mieux" et pas: "sois meilleur que les autres".

Ne surtout pas céder à tous les caprices de l'enfant, cela ne ferait qu'amplifier son côté capricieux, exigeant. Un "non" posé doit rester "non" et ne surtout pas se muer en "oui" si l'enfant hurle en se roulant par terre. Un enfant comprend très tôt qu'il se fatiguera pour rien, que le non restera non. S'il sait que papa ou maman finira par céder, il hurlera jusqu'à ce qu'il obtienne satisfaction.

Féliciter un enfant lorsqu'il réussit quelque chose ou a une bonne note à un devoir est très important. S'il a une mauvaise note inutile de le gronder, il s'en veut, inutile d'en rajouter, lui dire qu'il fera mieux la prochaine fois, qu'il rattrapera cette mauvaise notre au devoir suivant. Lui apprendre à "perdre", les jeux de société sont d'une aide précieuse pour cela. Trop nombreux sont les parents qui, pour éviter un accès de colère de l'enfant, le laisse gagner. Non, il ne faut surtout pas faire cela ! L'enfant doit accepter de perdre car durant sa vie, il sera confronté à des échecs de tous ordres; il est donc primordial qu'il accepte le fait de ne pas toujours être gagnant.

Moi pareil, si je suis stressée je ne suis plus bonne à grand chose et je pourrais commettre des erreurs, ce qui pourrait être lourd de conséquences dans mon boulot.

"De la maison (qui au moment où je me retrouve là, je ne sais pas encore que c’est celle de ma tante), je vois un homme sortir et regarder dans ma direction. Il s’avance d’un pas rapide et je reconnais mon père et lorsqu’il se trouve devant moi (...) pres du comptoir, il y a l’entrée pour une autre pièce et ma tante se tient là. Elle va lui dire quelque chose mais, je ne sais pas quoi. Mon père la regarde (...) et il me regarde a nouveau et là de sa main droite, il va me balancer une gifle sur la cuisse gauche. Je ne sais même pas pourquoi il est faché, pourquoi il me frappe. Et à partir de la gifle (...)" La question est: que faisait ton père dans la maison de ta tante ? Ce qui l'a mis en colère, n'est-ce pas le fait que tu le voies sortir de chez elle ? Tu n'aurais pas dû être là, d'où son accès de colère contre toi.

C'est qui, "elles" ? Une mère et sa fille ? Deux soeurs ?