Enchantant

Bonjour Blaquière, Faire des statistiques cela peut être utile et intéressant,faut il encore que l‘on obtienne des résultats qui correspondent à une attente ou bien une interrogation précise préalable. Comparer la quantité d’intervention entre les uns ou les autres, indique effectivement une participation momentanée plus ou moins grande des pseudos considérés. Mais qui peut vraiment s’intéresser à ce genre de comptabilité sans objet ? 100% pour 100% des gagnants ont joué, c’est cela le message subliminale que vous souhaitez transmettre ?

Calculé la surface à peindre une fenêtre petit carreau sansdéduire la surface de vitrage me semble plus correspondre à une démarche de bonsens pratique. A quoi bon perdre son temps à faire un linéaire des petitsbois, alors que le coût du métrage détaillé reviendrait plus cher en temps pourl’artisan que l’inexactitude supposée du calcul en question. Par ailleurs, la quantité de peinture sur une surface planedépend déjà de plusieurs facteurs, or des surfaces anguleuses ajoutent à la variabilitédu résultat calculé. Ce qui importe, ce n'est pas la façon de calculer, au final,c'est le prix total du travail en question.

Pour en remettre une couche... La culture d’un peuple est indissociable de ses croyances. D'ailleurs, tous les vestiges d'édifices anciens ou pas sont la caractéristique de leurs croyances sur le temps long. Se matérialisant par des alignements néolithiques (Alignement de Carnac), des tumulus, des pyramides, des églises, des cathédrales, des mosquées, des temples… Mais les croyances ne sont pas exclusivement d'ordre religieux, la croyance dans le progrès a engendré, des voies de communication,routière, ferroviaire, aériennes, des immeubles toujours plus haut… Bref, ce qui caractérise les humains, ce sont leurs croyances… Qu’on y adhère ou pas est d’un autre ordre.

Complètement d’accord avec votre éclairage sur le sujet !

L’éloge du silence ne vaut que dans notre prédisposition à écouter l’autre et essayer de le ou la comprendre. Si le silence est synonyme d’isolement ou d’une rumination mentale égocentrée, je ne vois pas en ce cas là, la raison justifiant un éloge particulier du silence ?

« La culture est un rempart contre l’extrémisme/haine/obscurantisme »disent certains ? Certaines phrases sont utilisées comme des slogans publicitaires, elles interpellent les uns, et permettent au ministère de la culture de justifier les subventions gouvernementales. La culture n’est un rempart contre rien, la preuve, le nazisme s’est développé chez nos voisins et amis allemand, peuple extrêmement cultivé hier comme aujourd’hui, prouvant que cette affirmation est totalement fausse. Par contre, les rencontres entre les individus, dans un climat pacifique de partage et d’échange réciproque, favorisent la compréhension, l’empathie entre les uns et les autres. La culture devenant en ce cas, le prétexte favorisant ces rencontres. La Culture n'y est pour rien, seulement un moyen.

Hors sujet… Lorsque l’on veut accentuer l’intensité dramatique d’une situation, on évoque le nombre des morts. Sans vouloir surenchérir dans cette comptabilité morbide, je remarque que les 199 morts des noyades de vacanciers sur nos côtes, depuis le début de l’été, n’ont fait l’objet d’aucune déploration spontanée ? Si les drames et je le conçois parfaitement, ne se comparent pas au nombre des victimes recensées, n’y a-t-il pas une véhémence perverse de la part des journalistes de presse et de télévision à vouloir égrener ce genre de comptabilité ?

Winona, Peut être avez-vous raison ? Mais votre réaction épidermique, n’est elle pas plutôt le reflet d’une expérience vécue, afin d'atténuer sa responsabilité ?

L'amour ou plutôt le désir, tout le monde, en parle trop justement, pour justifier un peu tout et n'importe quoi ! De quel amour parle t-on ? De celui que l’on donne ou de celui que l’on reçoit ? Notamment dans la justification des ruptures au sein des couples, au prétexte que l’on se sépare parce que l’on ne s’aime plus. Sans se soucier le moins du monde des conséquences dramatiques sur les enfants de ces couples déchirés. Alors que l’amour est indissociable de l’association entre des êtres et pas une affaire exclusivement personnelle ! Dans les siècles précédents,les unions se faisaient au nom des intérêts associés des familles, l’amour n’était qu’une variable d’ajustement pouvant survenir ou pas. On ne se séparait pas officiellement pour défendre des intérêts sonnant et trébuchant. Bref, les interprétations changent au cours des siècles, mais fondamentalement existe toujours une certaines continuités dans nos comportements collectifs et individuels.

Belle bouillie moralisatrice caricaturale qui sous tend que la richesse des uns engendrent automatiquement la pauvreté des autres. C’est faux. Genre de propos tenu en général par des personnes qui bavent de jalousie lorsqu'ils sont sans le sou, et qui s'empressent, lorsque leurs revenus le permettent, de s'identifier immédiatement à ceux qu'ils dénonçaient hier. En conjuguant le verbe paraître à tous les temps.

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Bonjour January, Brassens dans une de ses chansons: « Non, les braves gens n’aiment pas, qu’on suivent une autre route qu’eux ! » Faire et laisser braire est la méthode à suivre. Sans donner une importance excessive au jugement d’autrui, c’est recommandé pour la santé physique et mentale.

renard77, Bon d’accord, vous êtes algérien de coeur et français de papier. Lorsque je lis votre prose, qui dénigre en permanence notre pays et l’Europe. Je me dis, mais qu’attend-il donc donc pour retourner dans son pays rêvé, l’Algérie. Cette Algérie a un grand besoin d’homme intelligent et compétent comme renard77, c’est trop dommage pour vos congénères de ne pas vous avoir.

Poutine: Un homme de fer, les autres en tôles!

LouiseAragon, Il ne vous a pas échappé que Sipras, le Grec, est allé en exURSS chercher des appuis et du soutien, auprès de Poutine, en symbiose avec ce qui reste du parfum communiste, notamment en Europe, dans les narines de ceux qui n’ont pas connu le régime en question. Bref, cela dit, je n’ai jamais prétendu que dans le régime libéral que nous vivons, tout y était idyllique et que les problèmes n’existaient pas. Mais ce qui m’exaspère dans votre simplification extrême de voir les choses, c’est de mettre le capital et les banques en accusation permanente,comme si les gouvernants politiques étaient plus compétents pour prendre des risques que les banquiers dans le domaine financier. Or, les États, les entreprises, les particuliers, ont besoin des banques pour investir, donc emprunter, ce qui nécessite des capitaux, que les prêteurs et les épargnants fournissent. Pas de capitaux, pas de prêt, pas d’investissement. Que ce capital emprunté soit remboursé et majoré d’un taux d’emprunt,par les emprunteurs, c’est le minimum syndical pour entretenir la confiance entre ceux qui donnent et ceux qui reçoivent. Est-ce au-delà de votre compréhension minimum du fonctionnement de l’économie ?

Liberté2012, C’est très beau de se gargariser avec les idéaux… Je lis que vous récitez parfaitement la leçon apprise. Demandez donc à ceux qui ont vécu sous un régime communiste ce qu’ils en pensent, de vos tirades. Le communisme, c’est l’uniformité et la pauvreté pour tous. Il faut vraiment en avoir une couche pour s’imaginer un seul instant qu’une théorie appliquée, qui n’a jamais réussit nulle part, puisse encore avoir un crédit quelconque chez certains.

A ceux qui s'offusquent par principe... Revenons à nos moutons, Ce qui caractérise une démocratie, c'est justement d'élire ses représentants politiques avec son bulletin de vote. Que le premier ministre grecque, Alexis Tsipras, élu démocratiquement, décide de se défausser en demandant de faire un référendum sur la question auquel il ne veut pas engager sa propre responsabilité, on est toujours dans le cadre du fonctionnement démocratique d’un pays. Que les particuliers grecs se soit empressés de retirer leur argent de banques grecques pour les placer dans les banques européennes, c’est aussi leur droit. Honnêtement, je ne comprends pas la position de la présidente du parlement grecque, qui considère ce référendum comme une atteinte à la démocratie grec ? (ce n'est pas les européens qui en ont fait la demande que je sache?) Bref, puisque c’est le peuple grec qui doit se prononcer,attendons la réponse des grecques ! Point barre.

N’est ce pas étrange, alors que le système communiste prôné par Louise Aragon a toujours été aux antipodes de la démocratie. Qu’elle en appel à plus de démocratie concernant la Grèce ? Évidemment, avoir le journal l’humanité comme lecture de chevet, c’est déjà s’interdire de penser soi même et développer son propre esprit critique. Je reste toujours interloqué par l’assurance sans faille des croyants ! A aucun moment, le doute ne les effleure…

De quoi parle-t-on exactement ? Les Grecques anciens avaient défini tous les sens que peut recouvrir le mot « AMOUR » (Copié/collé pris au hasard sur internet) Ce texte de Catherine Bensaid revient me rappeler combien les grecs avaient un vocabulaire riche pour ce mot "amour". J'ai souvent perçu des degrés dans mes relations. Il me semble que les amours plurielles donnent encore plus de chance de les expérimenter, et simultanément parfois. - Porneia (du grec pornê, prostituée) : L'amour est dévorant, on attend de l'autre qu'il nous nourrisse. - Pathos (souffrance, passion) : L'amour est passionné, possessif, il s'agit d'une demande inquiète et obsessionnelle. - Eros (désir des sens) : L'amour est désir. Dès que l'autre sort de cette illusion de perfection, on ne l'aime plus. - Philia (amitié) : L'amour est amical,non parce qu'il exclut le désir, mais parce qu'il apprend à le découvrir, depart et d'autre, et à le dire. Afin que chacun puisse l'entendre et s'entendre. - Storgê (amour familial) : L'amour est tendresse. Pas seulement douceur, mais aussi tension : tendre vers l'autre,être attentif, attentionné. - Charis (grâce, faveur) : L'amour est grâce. Le bonheur d'être ensemble est un cadeau. Cet accord profond permet d'être pleinement l'un avec l'autre. La quotidien prend toute sa saveur, se teinte de cette folie qui nous permet d'élargir l'horizon, d'aller vers l'inconnu. - Agapê (amour divin) : L'amour est don. C'est la part inconditionnelle de l'amour. Là s'ouvre la porte de l'amour véritable, qui est une oeuvre à accomplir.

Donc, le pragmatisme, c’est défendre son intérêt particulier d’abord, puis ce faisant, supprimant la possibilité aux élus, les moyens de redistribuer l’argent qu’ils n’ont plus. Tant Il est vrai que cet argent ne leur appartient pas, j'en conviens. En conclusion, le pragmatisme, c’est après moi le déluge ? La cité peut bien crever, j’en ai rien à faire ? C’est bien cela qu’il faut comprendre ?

Ce que j’observe, c’est que les grecques votent démocratiquement pour leurs représentants politiques, mais retirent l’argent de leur banque pour les placer, dans les banques européennes. Autrement dit, ils n’ont aucune confiance dans leurs représentants politiques élus. En ce cas, ce peut il que le bulletin de vote majoritaire,introduit dans l’urne avec la main, soit invalidé par le vote avec les pieds, du particulier citoyen déplaçant son argent, ailleurs que dans son propre pays ? Qu’est ce que la démocratie, telle que nous la comprenons ?

lactance77, Les structures en acier sont moins résistantes aux incendies qu’au béton. Les tours du World Trades Center se sont effondrés suite à deux effets successifs distincts. Le premier effet. (Insuffisant à lui seul) L’incendie de quelques étages au droit de la collision de l’avion, répandu par le kérosène et la paperasse contenu dans ces bureaux, entraînant la déformation des poteaux métallique de l’étage en question, après un certain laps de temps. Second effet. (Le plus destructeur) L’absence momentanée de résistance de ces poteaux métalliques déformés par la chaleur, libérant l’énergie potentielle de la masse représentée par la chute des étages supérieurs sur les étages inférieurs. (Effet coup de marteau) Ce qui explique que les bâtiments ce sont effondrés absolument verticalement sur eux-mêmes. Les structures métalliques visibles après l'effondrement, cisaillées par le second effet exclusivement. Bref, il n’y a pas beaucoup de mystère dans cette destruction.

Diable ou pas, cultivés ou pas, lorsque les populations humaines confrontées à la haine, la guerre, la peur, des destructions sans fin, la terreur, la menace sur la vie des siens. Les horreurs se font dans un contexte particulier, un climat ambiant donné. Nous sommes tous capable dans ces périodes là de devenir des assassins, pour peu que l’on s’invente une raison supérieur pour s’absoudre de ses exactions. Avoir de grands discours moraliste sur le bien et le mal,hors de ce contexte tragique évidemment, c’est facile, cela donne l’illusion d’être meilleurs que les autres, cela permet de se gargariser à bon compte. En fait, il n'en est rien...

Être en osmose, c’est certainement réconfortant, cela prouve simplement que l’on peut être à plusieurs et se tromper ! Tant que vous n’aurez pas saisi que le droit que vous exigez de la société (c’est-à-dire les autres), celui de recevoir la becquée gratuitement (pour vous exclusivement, si je comprends bien), est obligatoirement un devoir que vous exigez des autres (la société), qui n’aurait comme obligation que celle de trimmer pourvous… Rien ne vous empêche d’y croire et de vous lamenter sur les conditions de l’existence, mais fondamentalement, pleurer sur son sort, ne change rien !

l'empereur, (de quoi, cela reste à définir?) Vous écrivez : « Selon moi le travail dans nos sociétés modernes est la survivance de l esclavage !! » Aucun être vivant sur terre, ne reste au cours de toute son existence, le bec ouvert, en attendant que d'autres viennent lui apporter gracieusement sa pitance. Le travail est aux hommes, ce que les oiseaux adultes font sans se poser de questions pour nourrir leur nichée. Votre réflexion s’apparente plutôt à celle d’un enfant, pas à celle d’un adulte. Ou alors, chez vous, c’est celui du syndrome de TANGUY qui est à l’oeuvre…