Enchantant

Bonjour versys, Si on admet que le pour est positif et le contre est négatif, dans le domaine social et politique, l’on assiste souvent à des négatifs de négatifs qui se traduisent finalement par du positif. Car chacun sait que c’est beaucoup plus facile d’être contre quelque chose que pour. Néanmoins, vous avez raison… Selon la théorie générale de la démocratie, les membres d’une collectivité accomplissent vraiment leur devoir dans la mesure ou ils s’élèvent au niveau de l’intérêt général. Contrôle et critique n’ont de portée que si les citoyens connaissent les problèmes diplomatiques ou économiques qui sont posés. Or c’est loin d’être le cas, je vous l’accorde… c'est justement là le point faible de nos démocraties.

Dans le domaine des généralités, chacun peut exprimer ses positions, cela ne fait de tort à personne. Mais critiquer un système sans essayer d’expliquer la raison d’un supposé dépoussiérage des institutions, c’est sur ce point-là qui serait intéressant que vous développiez ! Car être contre, tout le monde peut le faire et le dire, mais cela ne change rien et c’est insuffisant pour critiquer et éventuellement comprendre.

Une démocratie directe, cela ne veut rien dire… Une démocratie sans élus, encore moins… Deux âneries dans la même phrase cela fait beaucoup pour un seul homme, je trouve ? Certains s’imaginent qu’il existerait un système politique au monde parfait en tous point de vue… (celui de leur rêve les plus fous) C’est déjà une absurdité totale que de croire que cela puisse exister. L’exercice de la démocratie c’est justement la délégation pour une durée temporaire à des représentants élus, au moyen du bulletin de vote des citoyens. Cette délégation temporaire du pouvoir pour une durée limité, est justement la dynamique et le fondement du système démocratique, c’est à dire que les citoyens insatisfaits ont le pouvoir de remplacer ou pas leurs élus. De faire remarquer que, dans les systèmes politiques non démocratique, les présidents sont élus pratiquement jusqu’à leur mort ou leur disparition brutale. On vous pardonne cette fois, parce que vous êtes nouveau sur le forum !

En fait, cela existe déjà…les marchés aux brocantes permettent justement de vendre pour une somme symbolique et dérisoire des tas d’objets dont nous n’avons plus besoin. Quand au droit de propriété et le crédo égalitaire que gazouille tous nos marxistes patentés, qui partent du principe que la propriété c’est le vol, oublient que l’égalité républicaine s’appliquait au justiciable uniquement, pas à ce que nous ayons tous la même taille, le même revenu… L’expérience politique de l’absence de propriété grandeur nature s’est faite avec le communisme soviétique, et cela s’est lamentablement effondré en 1989, avec 80 millions de mort et disparus à la clé. L’expérience a permis d’observer, que l’humain à une prédisposition naturelle à défendre ce qui lui appartient en propre, et à considérer que la propriété collective ne l’incite pas à faire des efforts pour maintenir les choses, ce qui s’est traduit par un état de délabrement économique de toute la société soviétique. Certes, comme le faisait très justement remarquer Alexandre Soljénitsyine dans son discours de Harvard en 1978… Nous avions placé trop d’espoirs dans les transformations politico-sociales, et il se révèle qu’on nous enlève ce que nous avons de plus précieux ; notre vie intérieure. A l’est c’est la foire du parti qui la foule aux pieds, à l’Ouest la foire du commerce ; ce qui est effrayant, ce n’est même pas le fait du monde éclaté, c’est que les principaux morceaux en soient atteints d’une maladie analogue.

A vrai dire je n'en sais rien... Les lois s'imposent souvent au moment ou les problèmes surviennent ou risquent de survenir. C'est bien pour cette raison qu'elle fait l'objet d'un débat actuel sur le sujet. Tout n'est pas écrit, pour toujours ou définitivement dans notre législation. C'est justement le rôle des parlementaires d'actualiser ces lois.

Elles ont raison. Dans un pays démocratique, il existe un avant et un après le vote. Or ceux qui se présentent aux suffrages, mêmes s’ils ont leurs convictions propres et s’ils sont élus, doivent l’être pour rassembler le plus grand nombre sur leurs idées après, pas pour diviser une population en clan ou en tribus. Favoriser une liste communautaire en France ou en Europe, c’est la guerre civile qui se profile à l’horizon. (Il suffit d’observer les pays arabes qui fonctionnent sur ce mode-là pour s'en convaincre) C’est bien pour cette raison qu’il faut absolument interdire la formation de liste communautaire.

Bonjour Lou ! Paradoxalement, dans le monde animal, ce sont les mâles qui ont les plus beaux atours ! Alors que les femelles sont discrètes et relativement neutre, pour camoufler et protéger leurs nids et leurs petits. Chez les humains, c’est absolument l’inverse , c’est la femme qui développe ses plus beaux atours et attraits? Il y a vraiment de quoi se perdre, n'est il pas ? (c'est pô juste)

Ce que l’on défini comme intelligence chez les humains, c’est leur capacité à établir des relations. Or, vous tentez de nous soumettre une hypothèse qui lie l’intelligence à la beauté et vice et versa, ce que je réfute complètement. Est-ce si compliqué à comprendre ?

Déjà, il n’y a absolument aucune relation de cause à effet entre notre perception de la beauté et l’intelligence… Il faudrait définir d’abord, de quelle beauté et de quelle intelligence parlons-nous ? Ce que nous reconnaissons personnellement comme beau, ne l’est pas nécessairement pour autrui. Si on est pas convaincu de cela dés le départ, on est déjà perdu dans le méandre qu’on ne voulait pas atteindre initialement.

Dans le mode de représentation symbolique que nous nous faisons d’une civilisation, je suis assez d’accord avec cette proposition. Pour être compris et transmis au plus grand nombre et aux générations qui se succèdent, les symboles ont besoin d’anniversaire et de la manifestation de leur message renouvelé, sinon ils disparaîtraient complètement d'un petit coin de notre cerveau…

C’est ce type de remarque absurde qui définit un raisonnement binaire chez son auteur. Ouvert/fermé_0/1_Oui/non_Allumé/Eteint Bref, se représenter et comprendre une civilisation et ses racines par une seule cause, ici la prostitution, c’est d’une naïveté infantile ou une provocation pour faire réagir ? Je penche plutôt pour la seconde interprétation…quoique ?

S’imaginer ou croire que la civilisation soit le fruit d’un seul facteur, ici « le commerce »est très simpliste et très réducteur. Il n’est pas inutile de rappeler ce que nous entendons par civilisation ? État de développement économique, social, politique, culturel auquel sont parvenues certaines sociétés et qui est considéré comme un idéal à atteindre par les autres. La situation géographique, l’époque, le relief, le climat, les conflits avec les pays voisins, l’isolement, les cours d’eau, les croyances des uns et des autres, sont autant de facteurs qui interfèrent dans ce que nous désignons comme la civilisation.

C’est vrai, cela me revient maintenant que vous me le dites ? (Parapou c’est du tonnerre) Il est vrai que c’était mon épouse qui était particulièrement attentive à la chevelure des gamins… A vrai dire, je ne me sentais pas investi de la même mission… et de plus j’étais incapable de les détecter et de les identifier !

Pourquoi tant de haine envers les poux !

Il est vrai que les personnes d’origine magrébine semblent plus fragiles que d’autre, face à la réalité de l’existence. "Pour la cause des étudiants il était toujours là, il s'était mis en sciences politiques pour faire bouger les choses" Cet étudiant lyonnais avait pour cousin Medhi, il est normal que l’on pense Tunisie ou Lybie. Mais de faire une généralité à partir d’un cas particulier, comme je suis en train de le faire, c’est tout aussi idiot comme raisonnement, j’avoue.

Avoir des enfants ou pas, n’a rien à voir avec l’évolution ? Ce que l’on désigne comme l’évolution, ce que certains d’entre nous confondent avec le progrès, c’est une période d’adaptation lente du monde vivant dans un milieu donné. A l’échelle du temps long, les contraintes de survie, légèrement différente d’un milieu ambiant à un autre, ont développé certaines aptitudes distinctes entre des espèces vivantes identiques. L’adaptation du vivant à son milieu, n’est pas une affaire de raisonnement ou d’élucubration mentale, c’est une condition de nécessité et de survie, et ceci pour tout être vivants, les humains, les plantes, les animaux. Qui paradoxalement vous l’aurez remarqué, sont tous étroitement interdépendant des uns des autres. Prenons l’exemple de l’eau en Egypte, ou le barrage d’Assouan sur le Nil, va être capté en parti par un barrage amont en Ethiopie. Le partage des eaux entre ces pays voisins, va se faire possiblement de deux façons, soit la guerre ou la négociation. Ces deux possibilités sont en fait, l’adaptation d’une population à son milieu. J’entends déjà le rugissement des moralistes de tous poils sur le forum, mais les faits ont la tête dur, surtout lorsqu'il s'agit de survivre…

A la lumière de ce qui se passe au Mexique, au Chili et dans quantité de villes dans le monde, les narco-trafiquants tiennent à défendre leur marché, donc leur territoire, ils se considèrent en guerre contre l'état. C’est l’armée qu’il faut envoyer. Les attaques contre la police, les pompiers, les médecins, dans les zones sensibles ou ce que l’on appel (pudiquement) les territoires perdus de la République, s’inscrivent exclusivement dans ce contexte-là. Laisser faire les trafics en tous genres, en France, c’est s’exposer à ce qu’on observe dans le monde, ou l’état est pratiquement absent, comme dans certains pays africains également du reste.

Pas nécessairement...qui peut prouver que la personne à été poussée ? Je partage l'avis général, dans le principe cela se comprend tout à fait, dans le domaine d'application de justice, c'est impossible à régler... faut-il que les tribunaux et la police, soient encore plus encombrés qu'il ne le sont déjà ? Or, nous savons tous, que le mieux est l'ennemi du bien...bref, si le budget de la police et de la justice reste en l'état, cela relève du vœux pieu.

Bonjour Sovenka, Pour revenir au sujet sur la responsabilité des parents, avez-vous des enfants vous-mêmes ? Il ne s’agit pas de prétendre ici que ceux qui ont des enfants (savent de quoi il parle) et que ceux qui n’en ont pas (ne sauraient pas de quoi il parle) J’ai eu 3 enfants et lorsque j’observe, pour chacun d’eux, leur différence d’approche, leur différence de comportement, leur différence de raisonnement, je peux vous affirmer que notre influence sur eux, nous les parents, existe incontestablement, mais représente une fraction très petite de ce qu’ils sont devenus une fois adulte.

Je n’y connais rien dans ce domaine, mais lorsque j’observe le croupion de l’avatar, j’en déduit que c’était sans doute un bi qui était à la manœuvre ? Est-ce bien cela qu’il faut comprendre ?

Ou plutôt tous les pédés, souhaitent que tous les hommes devraient l'être ? Ce qui est assez logique provenant de vous, j'en conviens...

Je ne suis pas un expert en droit, mais cette remarque qui consiste à responsabiliser les parents des conneries de leurs enfants, au bout du bout, on justifie tous les génocides. Votre proposition, pour cette raison élémentaire, est absolument inconcevable, de plus elle induit indirectement la déresponsabilisation des actes des enfants adultes. Si des enfants sont maltraités par leurs parents, et que la justice en soit informée, la société peut déchoir ces parents-là de leur droit de parents, mais c’est le maximum qu’elle puisse faire, ou bien pénaliser financièrement les parents si les enfants sont mineurs, en réparation auprès des victimes.

Lorsque l’on réagit à un sujet, c’est nécessairement à une phrase extraite du texte de celui ou de celle auquel on répond. Soit pour manifester son approbation ou son désaccord ! Pour ma part, je sélectionne toujours une phrase extraite, issue du texte de mon interlocuteur, de cette façon, nous savons immédiatement de quoi il s'agit et à qui l’on s’adresse. Par ailleurs, l’émetteur est prévenu de notre réaction, via, la notification en haut à droite de l’écran qui l’en informe.

Mon père aurait ajouté avec un petit sourire en coin... Certes, mais réflexion profonde, dans le sens de creux !

Certes, il faut se méfier de tous les termes, se terminant par « isme », mais ils sont intimement liés aux tripes de tous les humains. Les sociétés humaines, n’ont cessé de se déchirer et de se recomposer au cours de leur longue histoire, et cela perdure encore de nos jours. Cela à commencer avec le « clanisme », puis les clans après s’être étripés et trucidés, ont fini par s’agglutiner au nom du « tribalisme ». Puis les tribus se sont étripés et trucidés à leur tour, puis ont fini par conclure une paix provisoire, constituant ainsi le « régionalisme ». A leur tour, les régionalistes, se sont étripés et trucidés à leur tour, pour définir un ensemble nouveau, la nation, dont les ferments initiaux sont le « nationalisme ». Puis les nations, se sont fait la guerre, notamment en Europe, pour convenir finalement que d’être en paix avec les nations voisines, c’était beaucoup mieux qu’avant et surtout que nous étions plus fort ensemble… Mais les vieux démons de la dislocation des nations est toujours présent, avec la cohorte de malheurs qui les accompagnent. En Europe, depuis deux cents ans, nous étions en guerre avec un pays voisin, tous les 20 ou 30 ans. Depuis un peu moins de 75 ans, nous sommes relativement en paix avec nos voisins, mais la mémoire des peuples est courte et prompt à faire table rase du passé. La paix perpétuelle est une utopie…